Le pire des deux mondes: c'est le libre entreprenariat,le troc axé sur les services sans impôts !

L'état au service du peuple, et non l'inverse ! C'est une roue ,.............sans fin !
Le début de la fin ,sera les faillites des pays sous développés,comme on le connet bien a travers le monde,..................ou surdéveloppés ,car surdéveloppé entraîne la perte des ressouces naturels non renouvelable ! Si les ressources non renouvelables disparaissent ,il faudra changer de planète ou trouver une technologie pour détruire le toxique et transformer les objets en énergie pour notre survie !

Alors pour détruire l'humain et la planète,on taxe$ tout simplement !
La preuve que l'argent est inutile et appartient au code barre 666 !
L'énergie est dans l'invisible,,.............comme la Liberté,l'amour etc..........L'Utopie vous ratrappera bien un jour !


Quand on dit que trop d’impôt tue l’impôt, en voici un exemple éloquent.

Mon mari et moi, propriétaires d’une petite collection de motos – certaines anciennes – avons décidé cette année de ne pas les immatriculer, en geste de protestation. Comme elles doivent être toutes immatriculées individuellement, même si on ne peut en conduire deux à la fois, c’est devenu trop cher, point à la ligne. Le seul scooter de fiston dont la vitesse ne peut dépasser 60km/heure, coûte désormais 296 $ pour environ six mois sur la route.

Alors qu’immatriculer une auto coûte 275 $ pour douze mois.

«Les paraplégiques coûtent cher à l’État, vous savez,» m’a dit la préposée de la SAAQ…

L’immatriculation de motos anciennes coûtait une centaine de dollars il y a quelques années. Cela a triplé même si leur usage est restreint. Et si on a quelque peu réduit le coût de l’immatriculation des motos dites «normales» il y a deux ans, le gouvernement en a profité pour en augmenter de manière significative le prix du permis de conduire pour les motocyclistes. Économie: zéro.

De toute façon, avec le temps qu’il fait cette année, ce geste de protestation ne changera pas grand-chose à nos habitudes. Nous ne roulons que lorsqu’il fait beau, pas trop frais, pas trop chaud.

Le gouvernement devra donc se passer des milliers de dollars que nous lui versions chaque été pour immatriculer nos belles.

En passant, le nouveau ministre des Transports, Robert Poëti, ne fait pas que du vélo…

Plus et moins à la fois

Le nouveau gouvernement prépare la population à un régime dit d’austérité (je préfère le mot responsabilité) qui, je crois, sera bien accueilli par les «gens ordinaires» qui, contrairement aux groupes de pression, aux syndicats, aux dépendants électifs qui ne peuvent envisager de vivre sans que l’État ne soit mis à contribution pour régler tous leurs problèmes, comprennent que ça ne peut plus durer.

Mais la situation est à ce point dégradée que Philippe Couillard n’aura d’autre choix que de faire coexister des impôts, des taxes et des tarifications outrancières ET une réduction des services. Le pire des deux mondes. Payer gros pour avoir moins.

Hier, quand nous sommes allés au bureau principal de la SAAQ pour remiser nos motos, il n’y avait qu’une seule préposée à l’accueil à l’entrée et une file d’attente longue de plusieurs mètres. Les trois autres postes d’accueil étaient vides.

Voilà ce qui nous attend : continuer à payer – on pense aux taxes scolaires élevées, à la taxe santé qui sera conservée, etc – mais en contrepartie l’État devra rogner sur l’offre de services.

Je ne vois pas comment il peut faire autrement, mais la population déjà exsangue devra payer deux fois, en argent et en services, l’irresponsabilité des gouvernements précédents, alimentée par notre dépendance chronique à l’État.

Bref, le pire des deux mondes.

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