Le monde d’Internet se divise en deux catégories. Ceux qui font
attention à ce qu’ils disent, et les autres. Mais même quand on essaie
de se construire une identité numérique solide, on n’a pas toutes les
clés en main pour projeter exactement l’image souhaitée. Certes, on
maitrise certains profils et contributions, mais on n’est pas maitre de
ce que disent les autres de nous. Comment faire un point et connaitre
l’image que l’on projette de manière objective ?
Un site permet de répondre à cette problématique de manière ludique et en quelques lcics seulement. Le service s’appelle Google Mii
et est proposé par l’agence iProtego. Difficile de faire plus simple à
utiliser : vous entrez votre nom, vous spécifiez un thème et une couleur
de fond, et le site va allez chercher parmi les résultats les mots clés
les plus courants rencontrés quand on parle de vous. Le résultat se
présente sous la forme d’un nuage de tags comme celui-ci :
Les résultats sont plutôt pertinents pour ma part, en remontant mon
pseudo « Modérateur », mon métier « Community manager », ma société
« Regionsjob » et ma binôme sur le blog « Anne-Laure Raffestin ».
L’exercice est plutôt sympa à faire, à qui le tour ?
Devant une augmentation importante des plaintes contre des
agences de recouvrement, l’Office de la protection du consommateur est
passé en quatrième vitesse pour mettre de l’ordre dans cette industrie
controversée. Déjà, l’une d’elles a reçu une amende salée de 18 800 $.
Les demandes d’informations sur les agences de recouvrement reçues à
l’Office de la protection du consommateur (OPC) sont passées de 5 012 à 5
487 en un an, une hausse de près de 10 %.
Parmi ces demandes, 241 ont conduit à des plaintes en 2011-2012, comparativement à 206 l’année financière précédente.
« Tu lâches les agences de recouvrement une couple d’années et les
plaintes recommencent à s’accumuler. Il faut constamment les avoir à
l’œil », dit Réal Coallier, directeur régional à l’OPC.
« Il y a encore beaucoup d’abus et il y a peu de chance que la
situation s’améliore rapidement », concluait en 2008 un rapport d’Option
consommateur.
À ceux qui disent qu’après tout les endettés n’ont qu’à payer s’ils
veulent éviter les problèmes, M. Coallier répond que « ce n’est pas
parce qu’un consommateur est en retard dans ses paiements qu’il n’a pas
de droits. » Harcèlement
L’Office a intensifié ses actions depuis le début de l’année en imposant des amendes à quatre agences montréalaises.
La plus élevée a été décernée à l’Agence de recouvrement F.D.R. en
mai dernier. L’entreprise a été condamnée à verser 18 800 $ pour avoir
harcelé et menacé des clients, en avoir appelé certains à leur lieu de
travail et avoir téléphoné à certains qui avaient exigé que les
communications se fassent par écrit.
De son côté, l’Agence de recouvrement IQOR Canada, située rue
Jean-Talon, a écopé d’une amende de 12 510 $, entre autres pour avoir
continué de contacter un consommateur qui l’avait avisé qu’il n’était
pas le débiteur visé par la réclamation.
AllianceOne, sur le boulevard Pie-IX, a quant à elle dû payer 3 780
$, entre autres pour avoir menacé le débiteur de poursuites s’il ne
payait pas.
Ces façons de faire contreviennent toutes à un article de la Loi sur
le recouvrement de certaines créances, qui encadre le travail de ces
agences. Travail difficile
« On est parfois bien rapide à lancer la pierre aux agents de
recouvrement, a témoigné au Journal un agent sous le couvert de
l’anonymat. Tu te fais envoyer ch... à tous les jours. Et tu dois
continuer d’essayer de collecter le monde la semaine avant Noël. Je peux
comprendre que certains pètent une coche une fois de temps en temps. »
La plupart des agents travaillent au salaire minimum, mais obtiennent
des commissions après avoir recouvré 50 000 $ dans leur mois.
Victime d’une agence
Quand l’agence de recouvrement contacte Éric, il leur offre aussitôt
de rembourser 100 $ par mois jusqu’à l’expiration de sa dette d’environ 5
600 $.
« Ce n’est pas comme si j’étais un Bougon qui essayait de fourrer le système », dit-il.
Le citoyen de l’Estrie, qui refuse d’être identifié pour ne pas
étaler ses problèmes financiers sur la place publique, avait cessé de
payer les mensualités de 268 $ de sa Chevrolet Cobalt en raison de
problèmes personnels.
« La première agente a accepté ma proposition de remboursement, puis
un deuxième m’a rappelé pour me dire que ça ne tenait plus. »
Une troisième prend ensuite le relais de façon plus agressive,
l’enjoignant à emprunter l’argent à des amis ou demander une avance de
fonds sur sa carte de crédit, allant jusqu’à le menacer de lui saisir
son salaire.
Une quinzaine d’appels en trois semaines qu’il n’est pas près
d’oublier. « Le dernier coup de fil a été fait le 22 décembre. Je leur
ai demandé s’ils pouvaient me donner un break pendant les Fêtes. »
En janvier, on s’est entendu sur un remboursement réduit de 3 700 $,
mais payé en un seul versement. Mais Éric a encore ses démêlées dans la
gorge et songe sérieusement à intenter un recours en justice contre
l’agence.
cinq pratiques interdites par la loi
appeler au bureau ou des proches
À moins qu’il n’ait pas de numéro personnel ou l’adresse du débiteur.
Et l’agence de recouvrement ne doit appeler qu’une seule fois.
Appeler à des moments indus
Les appels doivent obligatoirement être faits entre 8 h et 20 h, du lundi au samedi, et pas les jours fériés.
Refuser de cesser d’appeler
Il est possible d’exiger que les communications se fassent uniquement
par écrit. Cette demande doit toutefois être faite... par écrit.
exiger un supplément
Le débiteur n’a pas à payer davantage que ce qu’il doit. Les suppléments
pour délai de paiement ou frais de recouvrement sont interdits.
menacer
« Je vais lâcher un coup de fil à ton boss » ou « Si tu vends pas ton
auto pour payer ta dette, je t’envoie en cour », sont des arguments que
les pires agents vont utiliser pour tenter d’accélérer le remboursement.
Il a 23 ans, étudie à McGill et habite dans la rue
Photo le journal de montréal, anabel cossette civitella
Originaire de Montréal, Shane Dussault porte un pyjama
de soie déniché dans une vente de garage dans Westmount. Il se promène
nu-pied parce que « ce ne sont que d’autres souliers ». Il pose devant
l’université McGill, son lieu d’étude depuis un an. Un étudiant en philosophie à McGill passe sa première année d'universitaire dans la rue.
L’hiver, Shane dort sur un matelas gonflable sur le campus de McGill.
L’été, il installe son hamac dans un recoin isolé du Mont-Royal. Tous
les jours, il plie bagage et transporte sa maison et ses quelques effets
personnels dans son sac à dos.
Sur la montagne, il n’a jamais eu de problèmes. À McGill, son statut
de sans-abri entre dans une zone grise. Il est toléré, et même ami avec
les gardiens de sécurité, mais sa situation est toujours un peu
précaire.
Ses comportements hors norme, comme se promener sans soulier, se
brosser les dents dans le hall de la bibliothèque ou porter des
vêtements plus adaptés à la température qu’à la mode, font qu’il attire
parfois l’attention des élèves.
« Il nous arrive de l’avertir, mais il est toujours très collaboratif », commente un gardien. Une économie d’argent
Avec 5 000 dollars par année venus de l’aide financière aux études,
Shane Dussault vit et étudie sans problème : « J’ai compris que je
n’avais pas besoin de biens de luxe pour vivre. Je ne considère pas mon
mode de vie extraordinaire. »
Il raconte qu’avant cette année, il ne dormait déjà pas beaucoup chez
lui. Fils d’une mère alcoolique et d’un père peu présent, Shane s’est
inspiré d’un sans-abri rencontré sur la rue pour établir son nouveau
mode de vie. En commençant l’université, vivre sans domicile fixe lui
est apparu comme la meilleure façon d’économiser et de rester libre de
son portefeuille.
Shane met sur le compte de l’hiver le fait que son mode de vie
détonne. Selon lui, il suffit d’avoir le bon équipement pour s’adapter à
un mode de vie sans domicile fixe. Il constate que les sans-abri sont
souvent étiquetés comme des alcooliques ou des gens malheureux, mais que
ce qu’il vit n’a rien à voir. Relations sociales
L’université est un lieu propice où habiter, mais il est facile de
rester isolé lorsqu’on ne fait qu’étudier. Pourtant, sa routine plaît
bien à Shane qui assure qu’il consacre tout de même du temps à ses amis,
pour cuisiner par exemple.
Au-delà de ses collègues de classe, Shane s’est fait connaître par sa
présence assidue à la bibliothèque et… sur les réseaux sociaux. Les
commentaires sont unanimes : il détonne, mais il est apprécié pour sa
bonne humeur et ses idées.
« Ce qui m’inspire le plus, c’est son courage de défier ce qui est
habituellement dicté par la société », témoigne Monika, une étudiante
qui le connaît par le biais de son blogue.
« Il a beaucoup de volonté. Il est assidu, il ne lâche pas, c’est
impressionnant de le voir ! », commente un gardien de sécurité sur le
campus.
A quand les verres carrés,les cie perdraient moins de place de rangement et aucun verre ne tomberaient ou se casseraient !$!Tim Horton devrait donner le ton.Pourquoi,............parce-qu'un verre de café c'est chaud en taaaaa!Alors pensez-s'y ,quand tu prend ta première gorgée tu la prendrait,devinez,.............dans le coin strrrie !
A quand le Bixi-Chien,si la ville de Montrèal,taxe les chiens avec des licences(sauf l'ile-perrot)et en veut pas plus que 3 par maison.Laisser un chien dans une auto c'est 150$ au moins, d'amende.C'est pire que laisser un bébé dans une auto pendant l'été,vous devenez un criminel ! On veut pas d'usine a chiot ,ni de merde sur les trottoirs;tout le monde a le complexe du pouce brun !
Pas besoin de police,les ti-culs a cellulaire s'improvise agent secret pour vous faire chiiiiiiiiiiiii$.
Les magasins n'en veulent pas,alors un Bixi s'impose ?
Wow la pluie Pseudo-Tropicale Montréalaise du 29 Mai 2012 avec 13 pouces d'eau et la pluie diluvienne du 4 Juillet 2012 ,avec 7 pouces d'eau,a fait des mini inondations assez problématique a Montréal.Plusieurs sous-sols et locataire des derniers étages ont eut des dégâts d'eau cette été , en moins de 2 mois ,plusieurs secteurs devienne des rues inondables,les cie d'assurance sont dans l'enbarras ou plutôt (act of God)les assurés n'ont plus d'autre recours que de déménager.Car la ville de Montréal n'aura pas complété ses travaux de réseau tampon de trop plein d'eau de ruissellement avant des mèches et des lunes !
il est temps de mentionner ces zones sinistrées :
Les rues inondables de Montréal sont dans les secteurs des collecteurs d'eau de ruissellement comme la zone des rues Lanouette et Hickson entre autres.
La zone s'étend du 3901 Lanouette jusqu'a la rue Hickson en perpendiculaire, (zone industriel)qui est inondé du 1000 a 1100 Hickson.
Le 29 Mai c'était pas beau a Mtl. Au moins 98 logements de la métropole ont été inondés mardi soir,
rapporte la Ville de Montréal. D'ailleurs, déjà 30 personnes ont demandé
à être dédommagées. D'autres réclamations suivront vraisemblablement,
car les gens ont 15 jours pour présenter une demande.À l'Université du Québec à Montréal (UQAM), six
pavillons étaient toujours fermés mercredi en lien avec des problèmes
électriques et d'autres problèmes dus à l'accumulation d'eau. Une équipe
d'Hydro-Québec a été déployée sur les lieux.Le corridor menant de la Place des Arts au Complexe Desjardins, qui
s'est transformé en «rivière», était fonctionnel mardi, selon la
conseillère aux relations publiques de la Place des Arts, Astrid Brochu.Des ordinateurs ont été endommagés au Collège d'informatique et d'administration Verdun-LaSalle où les cours ont été suspendus.Seize écoles de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeois (CSMB) ont
été touchées à divers degrés par les précipitations. De 18 à 20 cm d'eau
se sont accumulés dans certains établissements.
- La rue Bannantyne a Verdun.Karina Bertrand, qui vit dans la rue Bannantyne, à Verdun, a vécu la
même situation. «Tout était sec, et en moins de deux minutes, il y avait
deux pouces d'eau sur le plancher. C'est sorti par les toilettes.
J'entendais de l'eau couler dans les murs. Elle descendait des
appartements d'en haut, qui ont eu la même chose. Ç'a fait des bulles
dans mon plafond. La rue Bannantyne s'est remplie d'eau, les autos
faisaient des vagues en y circulant», raconte Mme Bertrand, qui habite
au rez-de-chaussée. «Je n'ai plus d'électricité et suis dans le noir
depuis 19h. Ça fait 10 ans que je suis ici et je n'ai jamais vu ça.
Heureusement, je n'ai pas trop de dommages, j'ai eu le temps de
débrancher les appareils et de mettre en hauteur tout ce que je
pouvais.»
- Même la rue blanchet a Longeuil.
Si j'étais intelligent je ne le dirais au prochain con qui va y aménagé sa petite famille.Pensez-s,y !$$$!