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mercredi 11 avril 2012

Intrusion de vie privée pour taxation maximale ou L’état-espion ?


Souriez, on vous regarde !

Les magiciens excellent dans l’art de détourner notre attention pour exécuter des manœuvres discrètes et réaliser leurs tours. Ils savent que si notre cerveau se concentre sur les gestes de la main droite, il ne voit pas ceux de la main gauche. Dans une certaine mesure, les autorités publiques emploient la même technique que les magiciens.
Aujourd’hui, la santé de l’économie mondiale, les crises d’endettement et les mesures annoncées dans les récents budgets retiennent toute notre attention. Ces préoccupations sont certes légitimes, mais elles peuvent nous faire oublier certains changements profonds qui s’opèrent dans la société.
L’un de ces changements vise l’utilisation des technologies de l’information à des fins de surveillance de la population.
J’ai déjà traité du projet de loi fédéral C-30 qui donnerait le droit aux forces policières d’obliger les entreprises de télécommunications à fournir des renseignements sur leurs clients ainsi que le contenu de leurs communications sans obtenir l’autorisation des tribunaux.
Vie privée
Toutefois, les tentatives d’intrusion dans notre vie privée vont plus loin. Pensons aux compteurs intelligents qui suscitent la polémique dans plusieurs pays notamment parce que cette technologie permet à l’État de surveiller l’occupation des lieux, les habitudes de consommation et même d’identifier lesquels de vos appareils électriques sont en fonction. Big Brother pourrait donc savoir à quelle heure nous nous levons, quand nous partons pour le travail, prenons une douche, lavons nos vêtements ou regardons la télé.
Pensons également à la nouvelle technologie « Intellistreets » qui est déployée notamment au Michigan. Celle-ci consiste à remplacer les lampadaires qui éclairent les rues par des lampadaires intelligents qui présentent certes des vertus en matière d’économie d’énergie, mais qui sont aussi munis de dispositifs de surveillance ultrasophistiqués. Entre autres, le système peut être programmé pour détecter les piétons, les prendre en photo et même enregistrer leurs conversations.
L’état-espion
Ce n’est pas tout. Le gouvernement américain s’affaire à terminer la construction du plus important centre d’espionnage et de stockage de données au monde. Ce complexe de deux milliards de dollars, situé dans l’Utah, pourra non seulement capter, filtrer et enregistrer toutes les communications de la planète, y compris les achats en ligne, les communications téléphoniques, les SMS, les recherches sur Internet, etc., mais il pourra aussi décrypter les données et accéder à un large éventail d’informations confidentielles.
Pour couronner le tout, David Petraeus, directeur de la Central Intelligence Agency (CIA) a récemment déclaré que plusieurs appareils technologiques permettront bientôt aux autorités de surveiller en permanence presque n’importe quel lieu.
Pendant que nous dénonçons l’État-providence, nous ne remarquons ni la montée de l’État-espion ni l’érosion de notre vie privée. En fait, la plupart des gens se moquent royalement d’être surveillés si on affirme que c’est pour leur sécurité.
Benjamin Franklin disait : « Ceux qui sont prêts à sacrifier une liberté fondamentale pour obtenir temporairement un peu de sécurité ne méritent ni la liberté ni la sécurité ». J’ignore où les nouvelles technologies nous mèneront. Peut-être que les autorités abandonneront leur obsession pour la surveillance. Ou encore peut-être que le monde entier prendra bientôt l’allure d’une prison. La suite des choses dépendra de nous.


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Nathalie Elgrably-Lévy

lundi 9 avril 2012

Park toué a 15 pieds du coin ,la Loi c'est la Loi !

contraventions
Photo Le Journal de Montréal, Valérie Gonthier
Lucie Robert, Marcel Jérôme, Simon Wong et 43 autres citoyens du quartier Saint-Michel ont reçu une contravention de 52 $.

zèle policier ?

Des contraventions pour le moins surprenantes

Les voitures se trouvaient à moins de 5 mètres d’une intersection

Près d’une cinquantaine de résidents du quartier Saint-Michel ont trouvé une contravention sur leur pare-brise récemment, en matinée. La raison ? Leur voiture était garée à moins de cinq mètres d’une intersection. Du « zèle » de la part des policiers, croient certains citoyens rappelés à l’ordre.
« Ça fait 40 ans que je reste ici. C’est la première fois que je reçois une contravention pour cette infraction », lance Lucie Robert.
Le 30 mars au matin, lorsqu’elle est sortie de chez elle, Mme Robert a eu une bien mauvaise surprise : une contravention de 52 $.
En regardant autour d’elle, la dame a vite réalisé qu’elle n’était pas la seule dans cette situation. Au total, en l’espace de quelques heures, 46 contraventions ont été remises aux citoyens mal stationnés.
Pompiers frustrés
À l’arrondissement, on indique que c’est à la suite d’un problème rencontré par les pompiers de Montréal que ces contraventions ont été données.
« C’est à la demande du service d’incendie. Ils ont agi pour des raisons de sécurité. Mais à l’arrondissement, nous n’avions pas été mis au courant », explique Anie Samson, maire de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
Au Service d’incendie, on dit n’avoir jamais « demandé » de mettre des contraventions.
Mais après avoir eu un problème d’accessibilité à une rue dans ce secteur, des pompiers ont décidé d’agir.
« Certains ont pris l’initiative d’aller voir les policiers au poste de quartier. C’est à la suite de ça que les policiers sont allés mettre des contraventions », expose Mélanie Drouin, chargée de communication au Service des incendies.
Intervention du maire
Lorsqu’elle a été mise au courant de cette tournée de contraventions, Mme Anie Samson est intervenue.
« Mais j’ai demandé au commandant du poste de quartier d’arrêter de donner des tickets, lance-t-elle. Même si on donne une contravention, le camion ne peut pas plus passer dans la rue. Il faut qu’on mette en place des installations », dit-elle.
Mme Drouin reconnaît que ce n’est pas le rôle des pompiers d’aller voir les policiers concernant ce type de problèmes.
« Nous avons un comité de circulation. Les pompiers auraient dû adresser leur requête à nos gens à l’interne », dit-elle.
Deux places perdues
Anie Samson ajoute que même si l’interdiction de stationner à moins de cinq mètres d’un coin de rue est en vigueur, « on ne l’applique pas ».
« Notre objectif, ce n’est pas de donner des tickets pour donner des tickets. Personne ne veut ça », ajoute-t-elle.
Pour Lucie Robert, l’infraction en soi ne mérite pas une contravention.
« C’est du zèle de la part des policiers, indique-t-elle. Déjà que c’est difficile de trouver du stationnement dans les rues… »
Un argument qui est corroboré par Mme Samson.
« Le stationnement est très dense dans le secteur. En enlevant les cinq mètres, on perd deux places de stationnement par coin de rue. Ce n’est pas vrai qu’on va enlever des places », lance-t-elle.
Dans les prochaines semaines, des pancartes interdisant le stationnement à certains endroits devraient être installées.


REF.:

L'intimidation voyez-y !



L'intimidation a la même effet psychologique qu'un enfant serait battu !
Pourquoi on peut pas dire osti de neigue et qu'osti de fife ,on le peut ?
https://www.facebook.com/pages/OSTI-DE-FIF-Jasmin-Roy/100382306672202

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vendredi 6 avril 2012

«Le Seigneur de Guerre» condamné à 25 ans de prison


États-Unis - Un trafiquant d'armes condamné à 25 ans de prison
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. 
© Reuters

NEW YORK - Le Russe Viktor Bout, reconnu coupable en novembre 2011 de trafic d'armes en faveur de la guérilla en Colombie, a été condamné jeudi par une juge new-yorkaise à 25 ans de prison. L'ancien pilote de l'Armée rouge, qui a inspiré le personnage joué par Nicolas Cage dans le film «Lord of War» («Le Seigneur de Guerre») sorti en 2005, est considéré par les États-Unis comme l'un des plus grands marchands d'armes clandestins du monde.
La juge Shira Scheindlin a condamné Viktor Bout à la peine minimale de 25 ans de prison pour l'un des chefs pour lesquels il avait été inculpé, et à 15 ans de prison pour chacun des trois autres chefs, mais a décidé de confondre ces peines.
«Vingt-cinq ans, c'est assez», a-t-elle déclaré en prononçant le verdict après que Viktor Bout eut pris la parole devant la cour, répétant qu'il était innocent.
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. Agé de 45 ans, Viktor Bout avait été reconnu coupable par un jury fédéral de tous les chefs d'accusation qui pesaient contre lui.
Il avait notamment été jugé coupable d'avoir essayé de vendre en 2008 un arsenal de fusils et de missiles à des agents secrets américains se faisant passer pour des guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie.
Il avait été arrêté en Thaïlande en 2008, après avoir accepté, selon l'accusation, de vendre ces armes, que ces pseudo-guérilleros disaient vouloir utiliser pour abattre des hélicoptères américains aidant l'armée colombienne dans son combat contre les Farc.
Selon ses avocats, Viktor Bout n'a jamais eu l'intention de commercialiser ces armes et souhaitait en fait vendre deux avions cargo à ses interlocuteurs.




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Réalité augmentée: Google veut offrir une paire de lunettes aux internautes

Réalité augmentée - Google veut offrir une paire de lunettes aux internautes
 
© Courtoisie

SAN FRANCISCO - Google a dévoilé un prototype de lunettes utilisant la technologie de la réalité augmentée pour proposer aux internautes ses services en ligne.
La technologie de la réalité augmentée permet de superposer à une image du monde réel des éléments virtuels comme un plan, une photo ou une affiche récupérés sur internet.
Ces lunettes spéciales peuvent permettre de prendre des photos, de lancer une visioconférence et de trouver son chemin, grâce à des microphones et de minuscules caméras intégrés aux branches et contrôlables à la voix.
Le projet de Google, encore au stade expérimental, ne sera pas commercialisé dans l'immédiat. Il a été présenté mercredi soir, dans une courte vidéo, sur le réseau social de la firme californienne Google+.
«Nous partageons cette information maintenant parce que nous voulons lancer une discussion et tirer des enseignements de votre collaboration», écrit Google sur une page de son réseau social dédié au «Project Glass» (projet de lunettes).
La paire de lunettes a été développée par Google[x], une équipe du moteur de recherche qui travaille sur les projets avancés du groupe, comme celui des véhicules sans conducteur.


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jeudi 5 avril 2012

LE SECRET DES BANQUIERS SUISSES

LE SECRET DES BANQUIERS SUISSES

Il y a quelques années des employés de banques suisses ont commis le pire crime possible dans ce milieu: ils ont dévoilé les dossiers de leurs riches clients.

Dans ces documents figurent le nom de plusieurs centaines de canadiens qui avaient caché des millions de dollars à l'impôt et l'équipe d'Enquête y a eu accès.

Ces ex-banquiers nous racontent ce monde secret et révèle plusieurs fraudes qui se cachent derrière les voûtes des banques suisses.


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