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vendredi 30 septembre 2011

Des bactéries E.Coli dans le but de faciliter l'encodage de messages secrets.


image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/ecoli_1.jpg
Des chercheurs de l'université américaine Tuftsont réussi à modifier génétiquement des bactéries E.Coli dans le but de faciliter l'encodage de messages secrets.
Radio-Canada rapporte que les bactéries ont été modifiées pour «produire des protéines fluorescentes de différentes couleurs», permettant ainsi de faciliter les communications dites secrètes et de lutter contre la contrefaçon.
Les protéines ainsi créés se présentent sous diverses couleurs lorsqu'elles se trouvent exposées à des ondes lumineuses de différentes longueurs, indique l'article.
À partir de là, l'équipe du docteur Manuel Palacios a pu construire un code de lecture en associant les couleurs à une lettre. «Ces informations sont ensuite imprimées sur un support de nitrocellulose qui fige l'organisation des bactéries, qui pourront être lues sous un éclairage particulier».
Ironiquement, cette méthode de cryptage a pour nom SPAM - qui indique dans ce cas-ci Steganography by Printed Arrays of Microbes.
REF.: Source: Radio-Canada/BBC


Encore des Policiers morts en service


OTTAWA – Un policier de la Sûreté du Québec (SQ) figure parmi ceux qui seront honorés, dimanche, à l’occasion de la 34e cérémonie annuelle tenue en l'honneur des agents de la paix du Canada qui ont perdu la vie dans le cadre de leur fonction.

L’agent Sébastien Coghlan-Goyette a perdu la vie en novembre 2010 dans un accident survenu sur la route 340 aux Cèdres, en Montérégie.
Les trois autres policiers honorés seront Michael B. Potvin, de la GRC, le sergent Ryan J. Russell, de la police de Toronto et Garret Styles, de la police régionale de York, en Ontario. Tous sont morts au cours de la dernière année.
La cérémonie, à laquelle participeront le gouverneur général David Johnston et le ministre de la Sécurité publique, Vic Toews, aura lieu à Ottawa, sur la Colline du Parlement, dès 9h.
Les noms de ces quatre policiers morts en service seront gravés sur un panneau de verre installé sur un mur du Pavillon commémoratif de la police du Canada.
Une cinquantaine de noms de policiers morts au cours des 150 dernières années, dont plusieurs Québécois, seront également gravés sur le panneau commémoratif, qui comptera 822 noms au total.

jeudi 29 septembre 2011

Constable Boucher : 0 et École secondaire: 1


La Prairie - Un policier tabassé dans une école secondaire
 
© Archives QMI


LA PRAIRIE – Un policier attitré à l’école de la Magdeleine à La Prairie a été frappé par un élève qu’il tentait de maîtriser alors que d’autres s’en sont pris à lui, lundi.
L’événement est survenu lors de la pause de l’après-midi dans le corridor menant à la cafétéria.
« Deux élèves venaient d’avoir un accrochage verbal dans un cours. L’un d’eux était en colère et voulait se battre », a déclaré la porte-parole de la commission scolaire des Grandes-Seigneuries, Mylène Godin.
La direction ou un surveillant aurait tenté de le calmer, en vain.
« Le policier Patrick Boucher s’est interposé et le jeune lui a assené un coup de poing au visage », a poursuivi le constable René Fleury, de la Régie de police Roussillon.
Rapidement, une foule de quelques centaines de jeunes s’est agglutinée autour d’eux.
« L’agent s’est défendu et il a réussi à maîtriser le jeune au sol, a-t-il poursuivi. Le constable se trouvait dans un coin. Des élèves de la foule l’ont ensuite frappé à coups de pied et de poing. »
L’agent a dû brandir son bâton télescopique pour faire reculer les jeunes. Les surveillants ne seraient pas parvenus à intervenir plus rapidement.
Des policiers de la Régie de police Roussillon ont été appelés en renfort.
Il n’y a pas eu d’autre débordement. « Lorsque la cloche a sonné, tous les élèves sont retournés en classe normalement », a indiqué la porte-parole de la commission scolaire.
Commotion et fracture
Le policier souffre d’une commotion cérébrale et d’une entorse cervicale.
Le jeune à l’origine des coups, un élève de 4e secondaire, a été arrêté puis amené au poste de police de Candiac.
Détenu toute la nuit, il a comparu en cour ce matin pour répondre à des accusations de voies de fait sur un agent.
C’est la deuxième fois que le policier Boucher appelle ses collègues en renfort depuis la rentrée scolaire en raison de la violence manifestée par des élèves.


Encore la STM,un autobus sans chauffeur


STM - Autobus en folie
Le véhicule lourd a successivement heurté un autre autobus de la STM, un camion de livraison de Postes Canada et cinq véhicules.
© Maxime Deland / Agence QMI


MONTRÉAL – Le pire a été évité de peu, jeudi après-midi, aux abords du Centre Bell, à Montréal.
Une chauffeuse d'autobus de la Société de transport de Montréal (STM) aurait garé son véhicule lourd à l'intersection de la rue de la Montagne et de l'avenue des Canadiens-de-Montréal et serait ensuite descendue, pour une raison indéterminée.
«Probablement qu'elle a laissé l'autobus sur le neutre parce qu'il s'est mis à reculer en prenant pas mal de vitesse. C'est là que la dame a vu ce qui se passait», a raconté un témoin de la scène.
Selon ce dernier, malgré sa petite taille, la chauffeuse aurait tenté d'immobiliser elle-même le mastodonte en s'agrippant à la fenêtre, mais sans succès.
Le véhicule lourd a successivement heurté un autre autobus de la STM, un camion de livraison de Postes Canada et cinq véhicules stationnés. Fort heureusement, les deux autobus étaient vides, tout comme les véhicules.
Deux personnes, dont la chauffeuse d'autobus, ont cependant dû être transportées à l'hôpital pour traiter un choc nerveux.
«Ça aurait pu être bien pire! Si l'autobus ne percutait pas le camion de Postes Canada, il s'en allait tout droit vers la rue Saint-Antoine», a ajouté le témoin.
L'incident pour le moins inusité a forcé la fermeture de la rue de la Montagne pendant environ une heure, entre le boulevard René-Lévesque et la rue Saint-Antoine. Cette fermeture a causé énormément de congestion au centre-ville, d'autant plus que plusieurs partisans du Canadien se trouvaient dans le secteur pour assister au match de leurs favoris.


Se chauffer grâce à un centre de données


France - Se chauffer grâce à un centre de données
 
© AFP PHOTO / Kimihiro Hoshino


Peut-on chauffer des bâtiments grâce à la chaleur émise par des centres de données, dont les puissants serveurs informatiques constituent une source d'énergie jusqu'ici inemployée? L'expérience inédite va être tentée dès cet hiver dans un parc d'entreprises de Marne-la-Vallée.
Miser sur une «énergie de récupération« pour se passer des énergies fossiles, émettrices de CO2 et dont les cours flambent: c'est le coeur de ce projet qui utilise le centre de données d'une banque comme source d'un réseau de chauffage urbain pour alimenter les entreprises et bureaux alentour.
Les canalisations souterraines sont actuellement en cours de construction et les premiers clients devraient être raccordés dès cet hiver, a annoncé mardi Jean-Philippe Buisson, directeur Ile-de-France de Dalkia, filiale de Veolia Environnement et EDF spécialisée dans la production d'énergie.
À terme, le centre de données choisi permettra d'alimenter en chauffage et en eau chaude sanitaire jusqu'à 600 000 m2 de bâtiments et évitera l'émission de 5 400 tonnes de CO2 chaque année, selon ses calculs.
Au même titre que les incinérateurs de déchets ou les eaux chaudes rejetées par les piscines, les centres de données constituent des sources d'énergie de récupération non négligeables pour le chauffage alors qu'ils sont de plus en plus nombreux et de plus en plus puissants à travers la planète.
Un centre de traitement des données, est un site qui héberge des équipements et des ressources informatiques et électroniques. Ces installations, abritant serveurs informatiques, systèmes de refroidissement et systèmes électriques, sont «de très gros consommateurs en énergie».
Stabilité du prix à long terme
En avril 2010, l'organisation écologiste Greenpeace avait estimé dans un rapport que les centres de données consomment 1,5 à 2% de l'électricité globale, avec une croissance de l'ordre de 12% par an.
Selon M. Buisson, il y en aurait une centaine en France, dans les secteurs bancaires, de la téléphonie et de l'internet.
Dans le projet de Val-d'Europe, un parc d'activités de Marne-la-Vallée dont le développement est assuré par le groupe Euro Disney dans le cadre d'une convention avec les pouvoirs publics, c'est la chaleur émise par les systèmes de refroidissement du centre de données d'environ 10 000 m2 qui est récupérée.
Cette chaleur permettra de porter à 55°C l'eau présente dans un réseau souterrain auquel vont être progressivement raccordés les nouveaux bâtiments - entreprises, bâtiments publics, bureaux - qui seront construits sur ce parc d'activités d'une surface totale de 150 hectares (dont 30 ha aujourd'hui effectivement bâtis), précise Euro Disney.
Techniquement, outre l'absence d'émissions de CO2 supplémentaire, le système s'appuie sur une source qui «fonctionne 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7».
Économiquement, ce chauffage revient aux clients à 8 centimes le kW/h, soit «une gamme de prix inférieure à un chauffage électrique individuel mais un peu supérieure à une installation au gaz ou au fioul», en raison d'un investissement initial de «plusieurs millions d'euros», selon M. Buisson.
Avec l'avantage, précise-t-il, d'une «stabilité garantie» du prix à long terme car affranchie de la variabilité des prix des énergies fossiles.
Le réseau bénéficiera aussi à l'avenir de la chaleur émise par d'autres data centers attendus sur ce parc d'activités, indique Euro Disney, qui, pour chauffer son célèbre parc de loisirs tout proche, se tourne en revanche plutôt vers la géothermie.



On publie les noms et adresses de 25 000 policier


Autriche - Anonymous publie les noms et adresses de 25 000 policiers
 
©Twitter.com

La branche autrichienne du groupe de pirates informatiques Anonymous (AnonAustria) a publié lundi des données concernant près de 25 000 policiers autrichiens, a confirmé le ministère de l'Intérieur autrichien après l'annonce d'AnonAustria sur son compte Twitter.
Le groupe nie avoir piraté les sites des autorités, indiquant que les informations - nom, prénom, date de naissance et adresse - lui ont été «mises à disposition».
Ces données auraient été obtenues via une organisation proche de la police, a indiqué le ministère de l'Intérieur, qui mène l'enquête.
AnonAustria entend par cette action protester contre la loi sur le stockage des données qui doit entrer en vigueur l'année prochaine: «Personne n'a rien à cacher, n'est-ce pas?», a commenté AnonAustria sur Twitter.
Les pirates d'Anonymous se sont attaqués ces derniers mois en Autriche aux sites du parti d'extrême droite FPÖ, du parti social-démocrate SPÖ et aux données de l'organisme GIS, chargé de la collecte la redevance audiovisuelle.


REF.:

mercredi 28 septembre 2011

La justice de l'enfer est a l'endroit ?


Affaire Claude Robinson - Cinar refuse de payer
Claude Robinson 
©Eric Bolte/Agence QMI
Affaire Claude Robinson

Cinar refuse de payer

MONTRÉAL – La compagnie de production Cinar a demandé vendredi à la Cour d’appel du Québec la suspension de l’application de son jugement rendu dans l’affaire Claude Robinson, a rapporté Radio-Canada.
Dans un jugement rendu le 20 juillet dernier, la Cour d’appel avait ordonné à Cinar et ses associés de verser 2,7 millions $ plus les intérêts au créateur Claude Robinson pour le plagiat de son œuvre «Robinson Curiosité» en 1995.
Claude Robinson s’est montré très déçu de ce jugement de la Cour d’appel qui ne lui accordait pratiquement que la moitié des dédommagements que lui avait attribués la Cour supérieure en 2009.
«On dit que pendant 16 ans j'ai eu raison de poursuivre, avait-il déclaré à la suite du jugement de la Cour d’appel. J'ai dit la vérité. On confirme que c'est un plagiat et là on me punit. Je ne comprends pas.»
Estimant que cette somme réduite ne lui permettrait même pas de rembourser ses avocats, il a décidé de poursuivre sa bataille en Cour suprême du Canada.
Cinar craint toutefois qu’en versant maintenant le montant dû, elle ne puisse pas le récupérer si jamais la Cour suprême casse le jugement de la Cour d’appel.