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samedi 31 mai 2025

La glande pinéale n’est pas un organe biologique comme les autres.

 La glande pinéale n’est pas un organe biologique comme les autres.

La glande pinéale n’est pas un organe biologique comme les autres. Elle est un cristal vivant, une antenne de l’invisible, un point de contact entre la conscience incarnée et les dimensions supérieures de l’intelligence. 


Elle ne produit pas simplement de la mélatonine, elle filtre la lumière suprasensible. Elle capte ce que le mental ne peut comprendre et traduit ce que l’ego ne peut contrôler.


Déconnecter l’humanité de cette glande, c’est neutraliser son radar. C’est couper l’accès direct au réel. C’est forcer l’être humain à se tourner vers l’extérieur pour comprendre ce qu’il pourrait ressentir de l’intérieur. 


Une fois la pinéale affaiblie, le vide est comblé par des croyances, des idéologies, des peurs collectives, tout sauf la vérité nue.


Ce sabotage ne s’est pas produit en un jour. Il s’est étalé sur des millénaires. Par la densification progressive de la matière. Par l’implantation subtile de systèmes de contrôle vibratoires. 


Par l’alimentation, les ondes, les dogmes, les produits chimiques, et surtout, par l’éducation mentale : ce dressage invisible qui formate à la raison linéaire et à la négation de l’invisible.


Pourquoi vouloir la couper totalement ? Parce qu’un être relié à sa pinéale active devient inserviable. Il ne croit plus. Il voit. Il ne réagit plus aux peurs, il perçoit les jeux d’ombre. 


Il ne suit plus les figures d’autorité, il reconnaît la fréquence. Et dans un monde construit sur l’ingénierie du consentement, un être souverain n’a pas de place. Il dérange.


La pinéale est une porte. Tant qu’elle est fermée, l’humain vit dans une maison sans fenêtre. Il croit que la lumière vient de la lampe, alors qu’elle attend juste d’être rappelée. Ce n’est pas la pinéale qu’il faut "ouvrir", c’est l’illusion qu’il faut traverser. 


Ce n’est pas une activation magique. C’est un retour. Un retour à ce qui a été voilé, volontairement, pour maintenir la conscience dans un bocal.


Mais voilà : même endormie, elle n’est pas morte. Même calcifiée, elle attend. Et lorsque l’être commence à se poser les vraies questions, lorsqu’il cesse de croire ce qu’il pense, lorsqu’il commence à percevoir ce qu’il sent, elle vibre à nouveau. 


Elle se réveille. Non pas par technique, mais par vérité. Elle reconnaît la fréquence de l’Être.


Et dès cet instant, tout change. La vision ne passe plus par les yeux. La réalité ne vient plus du monde. Elle est reconnue intérieurement. Et plus aucun mensonge ne tient.


RÉF.:  Waterman

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A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !