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vendredi 6 mars 2009

Pour définir le NWD,faut comprendre le NWO :

Le nouvel ordre mondial (« new world order ») est le nom donné à une vision du monde de l'après-guerre froide immédiat et de la période de l'histoire entamée au tournant de la dernière décennie du XXe siècle, juste après l'effondrement de l'Union Soviétique. L'expression a été utilisée lors d'un discours prononcé au Congrès américain le 6 mars 1991 par le président George H.W. Bush puis régulièrement reprise[1],[2].

Définition:
Le nouvel ordre mondial est défini par sa tendance unipolaire (après cinquante ans de bipolarité, incarnée par l'opposition entre le monde occidental et le bloc soviétique), un fort interventionnisme international au nom des Droits de l'homme, un gouvernement mondial.
Pour certains, c'est une volonté d'expansion de tout ce qui, schématiquement, définissait le modèle américain pendant la Guerre froide, notamment la démocratie et l'économie de marché. Mais selon d'autres, comme Lawrence Patton McDonald, il s'agit d'une fusion entre le capitalisme et le communisme tel que pratiqué en Russie[3]. Enfin, selon John Rarick, le nouvel ordre mondial est un projet d'asservir les États-Unis à une dictature planétaire[réf. nécessaire].
La question des démocraties à travers le monde a été abordée dans un rapport de la Commission Trilatérale de 1975 intitulé The Crisis of Democracy. Selon ce rapport, le sentiment d'aliénation ainsi que l'action des intellectuels ayant une valeur menacent ce système de gouvernance, qui impliquerait un retour à la dictature telle qu'elle est pratiquée dans les pays non démocratiques.

Théorie de l'empire global;

Les tenants de la théorie de l'empire global considèrent les événements politico-économiques internationaux survenus depuis 1989 comme témoins de la transition de l'humanité vers un « empire global », polarisé autour d'une seule puissance mondiale. Pour certain, il s'agit des États-Unis, mais un gouvernement mondial n'aurait pas de frontière, par définition.
Cette théorie du nouvel ordre mondial, propre à la première moitié des années 1990 et par ailleurs liée, dans une certaine mesure, aux thèses de Francis Fukuyama, est contestée par d'autre thèses qui, au lieu d'une unipolarité, définissent le monde comme étant plutôt « multipolaire », la Chine et l'Inde étant également des pôles majeurs non pris en compte par les partisans de cette « théorie de l'empire global ». Les objections reposent également sur l'opinion selon laquelle les États-Unis constituent une puissance en déclin (Après l'empire de Emmanuel Todd, etc.).
David Rockefeller dans son livre Mémoires[4], a écrit que lui-même et sa famille ont travaillé contre l'intérêt des États-Unis. Il a d'autre part expliqué que le but était de construire une souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux.

Thèses conspirationnistes;

Il existe plusieurs théories du complot articulées autour de la théorie du nouvel ordre mondial (dans lesquelles ce dernier est souvent évoqué sous l'acronyme NWO (NOM en français). Elles possèdent toutes un noyau commun, selon lequel l'empire global est un projet de longue date et que tous les événements mondiaux survenus au moins depuis la naissance du communisme ont été orchestrés par un groupe d'individus agissant dans l'ombre de l'Histoire et porteurs d'un projet totalitaire.
Certains groupes du monde des affaires, du fait de leur grande discrétion, sont désignés par certains comme étant le « cerveau » derrière le projet secret de contrôle du monde.
Selon les théories, les acteurs essentiels seraient :
les Skull and Bones
les Illuminati
les sionistes
le groupe Bilderberg, le Council on Foreign Relations et la Commission trilatérale
les élites de la franc-maçonnerie
la Fondation Ditchley
le Bohemian Club
le Project for the New American Century

Fausses données;

Parmi les informations (textes, vidéos etc.) concernant le nouvel ordre mondial, certaines sont des canulars qui discréditent toute analyse critique des événements. Il y a notamment :
le discours de Kennedy à propos de l'organisation secrète du nouvel ordre mondial[5] qui est un montage fait à partir d'un discours qu'il a prononcé en parlant de l'union soviétique et de la guerre froide[6].
Le protocoles des Sages de Sion est un faux écrit par Mathieu Golovinski
L'organisation du Prieuré de Sion semble avoir été inventée par Pierre Plantard

Franc-maçonnerie et nouvel ordre mondial ;

Émile Flourens, ministre français des Affaires étrangères, dénonça les prémisses de la création de la Société des nations et de la Cour permanente de justice internationale dans un livre[7], signalant les influences maçonniques pour créer un gouvernement mondial, une justice mondiale et une religion globale dans un Nouvel Ordre Mondial d'où le papisme serait exclu[8]. Il émit l'hypothèse que les cercles maçonniques désiraient éliminer le droit à l'autodétermination des peuples pour le remplacer par le droit international[9]. Gary H. Kah considère que la franc-maçonnerie est la force derrière l'agenda pour un Nouvel Ordre Mondial et un gouvernement mondial unique[10].

Socialisme et nouvel ordre mondial ;

William F. Jasper, un membre de la John Birch Society, dénonça l'appartenance socialiste ou marxiste de chaque secrétaire général des nations unies, dénonçant une future dictature mondiale[11]. Une théorie qui se rapproche de celles de John Coleman.[12]
Larry McDonald, également membre de la John Birch Society, affirma en 1983 qu'il y a eu un transfert de fonds et de technologie vers l'URSS[13]. C'était donc pendant la guerre froide. Il expliqua que des élites des États-Unis voulait créer un gouvernement mondial de tendance socialiste.

Dans les médias altermondialistes ;

Outre les conceptions géopolitiques et les démarches de périodisation historique, l'expression nouvel ordre mondial est parfois employée par certains altermondialistes pour faire référence à l'ordre mondial actuel, caractérisé par la mondialisation économique et par la « pensée unique » libérale.
Ces thèmes sont développés en particulier dans les textes de l'altermondialiste et rappeuse Keny Arkana (« Nouvel Ordre Officieux, terrorisme Officiel ! » contre lequel elle appelle à la « désobéissance civile »[14]), également co-fondatrice du collectif La Rage Du Peuple qui a illustré ces expressions à travers le clip "La Rage", diffusé sur internet en mai 2006.


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