Récit de Paulo Coelho: L'Aleph, Un point dans l'univers qui qui contient tous les autres points
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vendredi 20 octobre 2023
Récit de Paulo Coelho: L'Aleph, Un point dans l'univers qui qui contient tous les autres points
C'est Dieu ou l'Esprit qui vous guide:
C'est Dieu ou l'Esprit qui vous guide:
Selon le livre : Alephs,une note personnelle a été mit dans le livre concernant un événement en date du 201023.Sylvie G.
Christina=Christiane G. / La distance= Nice et Montréal;
A dû comprendre par les nombreux texto(SH)
REF.: Extrait du Livre: Aleph, de Paulo Coelho
jeudi 19 octobre 2023
Poème: Lac-Mégantic
Poème: Lac-Mégantic
On se remet pas d'une histoire comme ça
On survit.
On s'accroche a ceux qui restent.
On redécouvre même parfois avec un regard différent
et c'est là que les étoiles retrouvent leur lumière
et leur beauté.
Je crois toujours pas au hasard
et j'ai espoir dans le fameux grand plan.
L'Univers est mystérieux
et la foi aussi.
REF.: Tiré du film Mégantic , en 2023 https://videotron.com/divertissement/club-illico/megantic
Musique thème , par Dazmo: https://www.youtube.com/watch?v=OWPTCURwP0I&list=PLKpgUrihI6PRLKpePVYROhIWBOD1o1OtS&index=97
Nota: L’accident ferroviaire de Lac-Mégantic s'est produit le 6 juillet 2013 à 1 h 14 heure locale (HAE) à Lac-Mégantic, une municipalité de la région de l'Estrie, au Québec (Canada).
Le déraillement d'un convoi à la dérive de 72 wagons-citernes contenant 7,7 millions de litres1 de pétrole brut léger provoque des explosions et un incendie qui détruisent, dans le centre-ville, une quarantaine d'édifices dans une zone de 2 km2, tuant 47 personnes.
Deux mille autres personnes doivent être évacuées de leur domicile.
mardi 17 octobre 2023
Le premier baiser remonterait à environ 4 500 ans : qui dit mieux ?
Le premier baiser remonterait à environ 4 500 ans : qui dit mieux ?
Par: Rémi Bouvet
20 mai 2023 à 16h00
Le baiser amoureux/sexuel (le baiser avec la langue, le french kiss si vous préférez ou encore le cataglottisme si vous souhaitez frimer) est une pratique courante dans nos sociétés. À en croire deux biologistes de l'université d'Oxford, Troels Pank Arbøll et Sophie Lund Rasmussen, les Homo sapiens se « galocheraient » depuis plus longtemps qu’on ne l’imagine…
La pratique du baiser remonterait à 3 500 ans. Du moins, c'est ce que l'on pensait avant. En effet, de nouvelles recherches révèlent des traces de cette pratique au moins 1 000 auparavant, soit il y a 4 500 ans. Certains chercheurs estiment même que les néandertaliens s'embrassaient déjà il y a 100 000 ans !
Depuis 1 500 avant J.-C. seulement ? Certainement pas !
Jusqu’à présent, c’est un manuscrit daté de 1 500 av. J.-C. environ, provenant d’Inde, qui faisait foi quant à l’origine du « premier baiser ». Toutefois, à la suite d’une étude publiée en 2022 qui suggérait que les baisers romantiques dans les sociétés anciennes pouvaient être liés à la propagation de certaines souches du virus de l'herpès simplex, les deux chercheurs susmentionnés ont retrouvé des évocations de cette pratique dans « un corpus substantiel de preuves négligées » remontant à 2 500 ans avant notre ère.
« […] nous avons rapidement réalisé que la plupart des études de la communauté scientifique au sens large citaient une source indienne datant d'environ 1 500 avant notre ère comme la première référence au baiser romantique sexuel », explique M. Arbøll. « Je savais qu'il existait des documents antérieurs provenant de l'ancienne Mésopotamie et, lorsque j'ai commencé à me documenter sur le sujet, je me suis rapidement rendu compte que les preuves avaient été largement rassemblées dans un résumé dès les années 1980, mais que ces informations n'avaient apparemment jamais été diffusées dans d'autres domaines et qu'elles étaient donc inconnues dans le discours scientifique plus large sur le baiser ».
Selon les chercheurs, les habitants de Mésopotamie (Irak et Syrie actuelles) et d’Égypte se livraient déjà à cette joyeuseté il y a 4 500 ans. Et le baiser semblait déjà être un élément ordinaire de l'intimité, inscrit dans les mœurs.
Deux textes datant de 1 800 av. J.C. sont assez révélateurs. L'un décrit comment une femme mariée a failli être dévoyée par le baiser d'un autre homme, l'autre évoque une femme célibataire jurant d'éviter d'embrasser et d'avoir des relations sexuelles avec un homme en particulier.
Une pratique répandue
De manière générale, les auteurs estiment que le baiser amoureux a de nombreuses origines indépendantes et qu'il n'est pas apparu dans une seule région, du moins à cette époque.
« Les sources de l'ancienne Mésopotamie suggèrent que les baisers liés au sexe, à la famille et à l'amitié faisaient partie intégrante de la vie quotidienne dans les régions centrales de l'ancien Moyen-Orient à partir de la fin du troisième millénaire avant notre ère. Par conséquent, le baiser ne doit pas être considéré comme une coutume provenant exclusivement d'une seule région et se propageant à partir de celle-ci », écrivent-ils.
Ils ajoutent : « Dans notre article, nous affirmons que cette forme de baiser est attestée dans une vaste zone géographique dans l'Antiquité, notamment en Inde et en Mésopotamie, et que les preuves ne pointent pas vers un point d'origine unique, du moins à l'époque historique. Si quelqu'un insiste pour que l'on en trouve un, il faudrait le faire remonter très loin dans la préhistoire. »
Une pratique possiblement encore plus ancienne...
Notez que nous parlons ici du baiser sexuel. Le baiser amical et parental serait encore plus universel et ancien. Le baiser amoureux s’inscrit vraisemblablement dans un contexte culturel plus restrictif (y compris dans nos sociétés actuelles).
Par ailleurs, sachez que chez nos plus proches cousins, chimpanzés et bonobos s’embrassent également : les premiers pratiquent le baiser amical dans un contexte de relations sociales, tandis que les seconds sont les seuls – avec les humains – à s’adonner aux baisers sexuels.
Pour en revenir à notre origine du premier baiser, Troels Pank Arbøll et Sophie Lund Rasmussen affirment que les références mésopotamiennes aux baisers montrent que cette pratique n'est pas une invention isolée : elle serait apparue au sein d'un large éventail de cultures à des époques multiples qui pourraient remonter jusqu'à la préhistoire.
Pour appuyer leurs dires, ils citent les auteurs d’une étude portant sur le transfert du coccobacille buccal Methanobrevibacter oralis (une bactérie). Ces derniers ont émis l'hypothèse selon laquelle les néandertaliens auraient déjà embrassé sur les lèvres des ancêtres des humains modernes il y a plus de 100 000 ans.
La période exacte d'apparition du baiser romantique reste dans tous les cas incertaine. La sculpture ci-dessous, appelée les Amants de Ain Sakhri, qui date d'il y a 12 000 ans, fait néanmoins dire à nos deux chercheurs que la pratique existait bien avant l'invention de l'écriture.
S’embrasser ? Mais pour quoi faire ?
Outre « depuis quand ? », l’autre grande question est peut-être « pour quoi faire ? ». Alors, si vous vous demandez pour quelles raisons les humains s’embrassent, les auteurs de l’article nous donnent quelques pistes.
Aux origines, le baiser romantique aurait pu servir à évaluer certains aspects d'un partenaire potentiel, et ce, grâce à des indices chimiques transmis par la salive ou simplement l'haleine.
En outre, le baiser aurait aussi agi comme une sorte de « médiateur » des sentiments d'attachement entre les individus.
Enfin, plus prosaïquement, il aurait permis de faciliter l'excitation sexuelle, et, par conséquent, les relations sexuelles à des fins de reproduction.
Source : https://www.clubic.com/mag/sciences/actualite-470592-le-premier-baiser-remonterait-a-environ-4-500-ans-qui-dit-mieux.html?_ope=eyJndWlkIjoiNzM2OGQyYTA1M2UxYjUzYTEzZDE0MDAzYWQ0Yzg1YWMifQ%3D%3D
Notre représentation de la Voie lactée est-elle erronée ?
Notre représentation de la Voie lactée est-elle erronée ?
Des scientifiques suggèrent qu'elle a une forme différente de celle que l'on connait.
ROCH ARÈNE
2 min
Depuis notre position à l’intérieur de la Voie lactée, il est difficile de déterminer de manière précise sa morphologie. Les astronomes considèrent qu’il s’agit d’une spirale composée de quatre bras principaux qui s’enroulent autour d’un noyau central. C’est d’ailleurs de cette façon qu’elle est représentée dans la plupart des livres scientifiques.
On distingue clairement sur l’illustration visible ci-dessous les différents éléments, mais de nouvelles données suggèrent que cette vision est erronée et que la Voie lactée n’a pas vraiment cette apparence :
Illustration de la voie lactée : Wikipédia
Une galaxie (trop) unique en son genre ?
Les instruments récents ont permis aux astronomes de déterminer qu’il existe trois formes principales de galaxies dans l’univers : elliptique, irrégulière et spirale. Et pour cette dernière catégorie, la grande majorité est dotée de deux bras spiraux. Ce constat a poussé des scientifiques de l’Académie chinoise des sciences à s’intéresser de plus près à notre galaxie et ses quatre bras supposés…
Les recherches qu’ils ont publié reposent sur des données probantes qui proviennent notamment du télescope spatial Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) lancé en 2013. Ils se sont concentrés sur des étoiles spécifiques qui bougent très peu pendant leur existence, ce qui permet d’obtenir des informations précises malgré les distances importantes.
Résultat, il semblerait que notre galaxie à quatre bras, n’en a en fait que deux… « En utilisant les emplacements précis des objets très jeunes, nous proposons pour la première fois que notre galaxie a une morphologie à bras multiples qui se compose d’une symétrie à deux bras », peut-on lire. « Les bras de Norma et de Persée sont probablement les deux bras symétriques dans la Voie lactée intérieure. En s’étendant de la galaxie intérieure aux parties extérieures, ils bifurquent et se connectent aux bras du Centaure et du Sagittaire » qui se seraient en fait créés lors de collisions avec d’autres galaxies.
Source /
Quelle est une simple vérité sur le vieillissement que la plupart des gens ignorent ?
Quelle est une simple vérité sur le vieillissement que la plupart des gens ignorent ?
Le vieillissement du visage reflèterait le vieillissement systémique au niveau de plusieurs organes de notre corps.
Il est courant d’entendre, c’est incroyable ce qu’il/elle fait jeune, il/elle ne fait pas son âge, ou au contraire, il/elle n’a que 65 ans, il/elle fait vraiment plus âgé(e), je lui donnais 75 ans ! L’aspect de notre visage serait-il le reflet de notre âge physiologique et des aptitudes biologiques de nos tissus? Comme le dieu romain Janus représenté avec deux visages opposés, nous aurions aussi deux visages, celui tourné vers l’extérieur serait le miroir du visage tourné vers l’intérieur de notre corps. La comparaison peut paraitre osée mais elle découle de la lecture d’un intéressant article paru récemment dans le British Journal of Dermatology.
Que savait-on sur ce sujet ? Des études antérieures avaient déjà montré que la différence entre l'aspect du visage, c’est-à-dire l’âge perçu ou estimé, par rapport à l’âge chronologique, permettait de mesurer notre âge biologique, le risque de maladies cardiovasculaires et son impact sur la longévité. On aurait bien l’âge de nos artères ! Plus étonnant encore, dans une étude de jumeaux monozygotes, le jumeau d'apparence plus âgée est décédé avant celui qui paraissait plus jeune. Ainsi la longévité serait écrite sur le visage.
Que nous dit l’étude du British journal of dermatology sur l’impact de la différence entre l’âge perçu et l’âge chronologique ?
Cette étude repose sur une cohorte qui a débuté en 1990 dans la ville de Rotterdam, aux Pays-Bas. Elle comporte 2679 personnes, d'origine européenne, avec une légère prédominance de femmes (F= 54% ; H=46%), âgés de 51,5 à 87,8 ans (âge médian 65,8 ans). Des photographies faciales ont été utilisées pour évaluer l'âge perçu par un panel de 27 observateurs indépendants qui ne connaissaient pas l'âge chronologique ni les antécédents médicaux des participants à l’étude. Schématiquement, les évaluateurs ont sélectionné une tranche d'âge de 5 ans pour classer les images des personnes qu’ils regardaient. Elles ont été classées trois groupes : « semble plus jeune » (en moyenne 5 ans), « semble leur âge » et « semble plus âgée ».
L’objectif des auteurs était d’étudier l'association avec les maladies les plus répandues liées au vieillissement et donc à l’âge de divers organes/tissus : pathologies cardiovasculaires, pulmonaires, ophtalmologiques (dégénérescence maculaire liée à l'âge, cataractes et glaucome), neurocognitives (basée sur une batterie de tests cognitifs), rénales, squelettiques (arthrose et ostéoporose) et perte auditive.
Les résultats : Un âge perçu inférieur de 5 ans (c'est-à-dire avoir l'air plus jeune de 5 ans pour son âge (il s’agissait majoritairement d'hommes : 61%) était associé à moins d'ostéoporose, moins de maladie pulmonaire obstructive chronique (même après ajustement sur le statut tabagique), moins de perte auditive liée à l'âge, moins de cataractes et à un meilleur fonctionnement cognitif.
Comment expliquer que l’âge perçu soit un bon reflet du vieillissement systémique du corps humain ?
Au niveau de la peau, la diminution de la production de tissu conjonctif, et donc de la production de fibroblastes cutanés et de collagène pourrait expliquer un aspect plus âgé. Elle pourrait également expliquer l'ostéoporose (moindre densité osseuse) en rapport avec une diminution de l'activité des ostéoblastes, impliqués dans la synthétise et le renouvellement de la matrice osseuse. En effet, en culture cellulaire, les fibroblastes sont comparables aux ostéoblastes et expriment les mêmes gènes. D’où l’association des rides avec l'ostéoporose. Les auteurs de l’article suggèrent que l'ostéoporose du fait de la perte perte osseuse faciale participerait aussi aux modifications du massif facial et à un aspect plus âgé.
Les mécanismes moléculaires du vieillissement sont très complexes mais quelques études pointent le rôle des télomères. En bref, il s’agit de séquences d’ADN localisées à l’extrémités des chromosomes, dépourvues de gènes, mais qui préservent l’intégrité de notre patrimoine génétique. A chaque division, les cellules perdent un petit bout de télomère et l’accumulation de ces pertes entraine un arrêt de la division et du métabolisme cellulaire. On parle de « sénescence cellulaire » dont la contribution au vieillissement est bien établie (E Blackburn, C Greider et J Szostak : prix Nobel de physiologie ou médecine 2009). Il est possible que la télomérase, qui est l’enzyme chargée de maintenir la taille des télomères, soit plus efficace chez les personnes qui vieillissent moins vite….
Les auteurs concluent que « les mesures de la santé physique et cognitive sont associées à un âge apparent plus jeune que l’âge chronologique ».
En relisant ma réponse, j’ai pensé aux nombreux SDF qui font la manche devant un grand magasin du centre-ville. Je les croise régulièrement en rentrant de mon club de bridge. Soumis aux privations, au froid, à l’alcool et parfois à la drogue, j’estime que leur âge perçu est probablement supérieur de 10 ans, voire plus, à leur âge chronologique et donne une idée de leur vieillissement systémique. Je ne peux m’empêcher de les comparer aux visages des bridgeurs que je viens de quitter, qui pour la plupart paraissent beaucoup plus jeune que leur âge chronologique. Je pense, notamment, à une dame qui aura 100 ans avant la fin de l’année et qui en parait 85 ans. Je dois dire que ses aptitudes cognitives et son enthousiasme sont impressionnants. Il est vrai qu’elle a une coxarthrose, mais l’article du British journal of dermatology indique que sa survenue est indépendante de l’âge perçu….
Référence : Selma Mekić et al, Younger facial looks are associate with a lower likelihood of several age-related morbidities in the middle-aged to elderly, British Journal of Dermatology ; 188, 390–395 ; 2023
REF.: Georges Delsol,Anciennement Professeur à la retraite à Université Toulouse III Paul Sabatier (1972–2012).
https://fr.quora.com
Mon Carnet - De la bonne volonté sur les réseaux sociaux
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Par: Bruno Guglielminetti