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jeudi 2 septembre 2021

Mouvement Desjardins: un autre employé remercié après avoir consulté des donnée

 

 

Mouvement Desjardins: un autre employé remercié après avoir consulté des donnée 

Jean-Michel Genois Gagnon MISE À JOUR

Le Mouvement Desjardins a de nouveau congédié, ces derniers mois, un employé ayant consulté des renseignements personnels de «plus de 1000 clients» sans véritable motif dans le cadre de son travail.

• À lire aussi: Les banques canadiennes optent à leur tour pour la vaccination obligatoire

Cette nouvelle, qui a été rapportée au micro de Paul Arcand (98,5), mardi matin, a été confirmée au Journal par la direction de l’institution financière.

Aujourd’hui, Desjardins dit avoir complété son enquête. La direction refuse toutefois de dévoiler le nom de cette personne, son poste ainsi que son lieu de travail. Une plainte a été déposée aux policiers.

Cet ex-employé aurait consulté des dossiers entre 2019 et 2021. Tous les membres visés auraient reçu une lettre pour les avertir de la situation.

Desjardins assure que ce travailleur détenait les autorisations nécessaires pour consulter ce type de dossiers. On retrouvait, dans les documents des membres visés, des dates de naissance et des coordonnées. 

«Cette personne avait accès à ces données. [...] Elle pouvait les utiliser dans le cadre de son travail, mais elle n’en avait pas besoin. Cela contrevient à notre politique», a indiqué au Journal la porte-parole, Chantal Corbeil, ajoutant que l’ex-employé en question a consulté «un par un», durant ces deux années, ces dossiers et qu’il «prenait des notes».

Aucun lien avec 2019

L’institution financière de Lévis n’a pas voulu dire depuis combien de temps cette personne n’est plus dans l’organisation. C’est dans le cadre du resserrement des mesures de sécurité, depuis le vol de données de millions de membres en 2019, que Desjardins a découvert cette pratique.

La direction affirme qu’il n’y a aucun lien entre les deux événements. Elle n’est toutefois pas en mesure d’expliquer ce qui a motivé cette personne à regarder ces dossiers. Il n’est pas possible de savoir, pour le moment, si certaines données sont sorties des murs de l’institution financière.

«C’est la police qui va faire son enquête», a répondu Mme Corbeil. «Notre enquête a dévoilé qu’elle avait légitimement accès à ces données, mais qu’elle ne devait pas les consulter, car elle n’avait pas reçu de demande», a-t-elle ajouté, précisant qu’il n’y a aucun autre suspect.

Desjardins a refusé de dire le nombre exact de personnes qui sont touchées par cette nouvelle brèche

 

 

REF.:.

vendredi 20 août 2021

Buick Chevrolet GMC :Attention au Check Engine,beaucoup de mauvais diagnostiques

 

Buick Chevrolet GMC :Attention au Check Engine,beaucoup de mauvais diagnostiques

Il n'y a rien de pire qu'un problême de transmission,et que vous n'avez que CAA pour vous remorquer a tout les 500 Km pour vous rendre a destination(selon votre abonnement) !

Faut contrevérifier,les diagnostiques,car il peut y avoir de mauvais diagnostiques,concernant les codes d'erreurs!

Plusieurs propriétaires de vieillles voitures avec un bulletin de service technique(et non pas un rappel de pièces défectueuses) ont eu des problêmes !

Souvant occasionant des frais qui n'était pas prévus ou prévisible ou carrément frauduleux !

Tandis que Chevrolet,GMC Canada en Ontario,vous dira dossier fermé,car vous êtes le deuxième propriétaire,faut s'entendre avec le dealer qui transige avec vous ;-)

 

 


Problême classifier par Chevrolet : un jolie gagne de voiture dans le pétrin ;-) Sunfire,Cavalier etc....


 

REF.: T30



jeudi 29 juillet 2021

John McAfee, le créateur du célèbre antivirus, retrouvé mort en prison

 

 

John McAfee, le créateur du célèbre antivirus, retrouvé mort en prison

John McAfee, le pionnier de la sécurité informatique et créateur du célèbre antivirus éponyme, est décédé. Accusé d’évasion fiscale, il a été retrouvé mort dans sa cellule de prison en Espagne le jour même de l’annonce de son extradition vers les États-Unis.

La dernière page de l’histoire de John McAfee vient d’être tournée. Le créateur de l’un des plus populaires logiciels antivirus de tous les temps a été retrouvé mort dans sa cellule de prison en Espagne. La piste du suicide est privilégiée. Son décès a été annoncé peu de temps après la décision d’un tribunal espagnol d’autoriser son extradition vers les États-Unis.


John McAfee a fondé McAfee Associates en 1987 et il a dirigé l’entreprise jusqu’en 1994 avant de démissionner. Il a été accusé d’évasion fiscale en 2020. Il encourait ainsi une peine de plusieurs décennies aux États-Unis. À presque 76 ans, John McAfee ne serait donc jamais ressorti de prison.

John McAfee était suspect numéro un d’un meurtre et gourou des cryptomonnaies

Tout a commencé en 2012 lorsque le pionnier informatique était recherché par la police de Belize pour le meurtre du ressortissant américain Gregory Viant Faull. Ce dernier se serait plaint des chiens de John McAfee. Ensuite, le créateur du logiciel antivirus avait lancé un blog hébergé en Russie pour raconter la folle histoire de sa cavale. Après 24 jours de recherche, il a finalement été retrouvé et arrêté par les autorités locales au Guatemala. Il est expulsé du pays et rapatrié vers les États-Unis.

En 2019, John McAfee annonce qu’il ne paye plus ses impôts depuis huit ans et quitte les États-Unis. Il est finalement arrêté l’année suivante à l’aéroport international de Barcelone. Il était depuis placé en détention provisoire dans la région de la Catalogne en attendant son extradition vers les États-Unis.

En plus de son évasion fiscale, le milliardaire était aussi devenu un gourou des cryptomonnaies. Il partageait des opérations liées aux cryptomonnaies sur son compte Twitter affirmant à sa communauté qu’il gagnait 2000 dollars par jour. Il dissimulait évidemment ses motivations personnelles. Selon les nombreuses accusations auxquelles il a fait face au cours de sa vie, il aurait dirigé une secte, fabriqué de la drogue et soudoyé des fonctionnaires locaux pour échapper à la prison.

Source. : ComicBook

Android : Google a installé une app de pistage à l’insu des utilisateurs

 

 

Android : Google a installé une app de pistage à l’insu des utilisateurs

Google a installé une application de pistage contre le Covid-19 sur le smartphone des utilisateurs Android résidents dans le Massachusetts (Etats-Unis). Le géant de Mountain View admet avoir intégré cette app de contact tracing sans la permission explicite des usagers. Sans surprise, les utilisateurs concernés sont furieux. Pour se défendre, Google assure que le pistage n'était pas activé sans l'accord des internautes.


Comme la plupart des états américains, le Massachusetts a lancé une application de suivi afin d'endiguer contre la propagation du coronavirus. Intitulée “Exposure Notifications Settings Feature”, cette application prévient les usagers s'ils croisent une personne ayant contracté le Covid-19, à la manière de TousAntiCovid en France.

Sur la page dédiée à l'application sur le Play Store, de nombreux résidents du Massachusetts se plaignent que l'application de pistage ait été installée par défaut sur leur smartphone Android. “L'application été installée sur le téléphone de ma fille sans son consentement et sans aucune alerte” affirme une utilisatrice.

Sur le même sujet : Android 12 vous laissera refuser le pistage publicitaire des applications comme sur iPhone

Google admet avoir installé l'application de pistage à l'insu des utilisateurs

“Je n'ai aucune idée de comment c'est arrivée sur mon smartphone” surenchérit un internaute. “L'app a été installée sur mon téléphone pendant la nuit sans me prévenir” abonde un témoignage. De nombreux usagers expliquent avoir rapidement effacé l'app de leur terminal après la découverte de l'intrusion de Google.

Contacté par nos confrères d'Android Police, Google admet avoir installé l'application de contact tracing sans demander l'avis des utilisateurs du Massachusetts. “Nous avons travaillé avec le Massachusetts Department of Public Health pour permettre aux utilisateurs d'activer le système de notifications d'exposition directement à partir des paramètres de leur téléphone Android. Cette fonctionnalité est intégrée aux paramètres de l'appareil et est automatiquement distribuée via le Google Play Store, de sorte que les utilisateurs n'ont pas à télécharger une application distincte” explique Google dans un communiqué.

Le groupe californien précise cependant que le pistage n'était pas activé par défaut. “Les notifications d'exposition COVID-19 ne sont activées que si un utilisateur les active de manière proactive. Les utilisateurs décident d'activer cette fonctionnalité et de partager des informations via le système afin d'avertir les autres d'une éventuelle exposition au Covid-19” tempère l'éditeur américain. Que pensez-vous de la justification de Google ? On attend votre avis dans les commentaires.

Source : Android Police

samedi 24 juillet 2021

En bois, ce satellite sera mis en orbite à la fin de l’année

 

 

En bois, ce satellite sera mis en orbite à la fin de l’année

Lorsque des entreprises envoient des satellites dans l’espace, la crainte la plus fréquente est souvent sa durée de vie, notamment à cause des débris spatiaux. Lancer un satellite en bois pourrait donc permettre de savoir si ce matériau est plus résistant que le métal une fois dans l’espace.

L’ESA a annoncé qu’elle allait mettre en orbite le premier satellite en bois fin 2021. Il s’agit du Woodsat WISA, un nanosatellite CubeSat de 10x10x10 cm construit à partir de boîtes standardisées.

Satellite en bois - Artic Astronautics
Satellite en bois – Crédit : Artic Astronautics

Cette mission unique, qui vise à évaluer la durabilité du matériau renouvelable en orbite, est une idée de l’écrivain finlandais Jari Makinen, fondateur d’Arctic Astronautics. Il dit avoir été inspiré par sa passion pour les modèles réduits d’avions. Le satellite est un CubeSat, un type de nanosatellite de 10 centimètres de côté construit avec des panneaux en contreplaqué.

Jari Makinen a commencé par tester son idée de placer du bois dans l’espace avec un ballon météo. L’étape suivante consisterait à le lancer à bord d’une fusée Electron de Rocket Lab en Nouvelle-Zélande. Les seules parties extérieures de Woodsat qui ne sont pas en bois sont les rails en aluminium utilisés pour son déploiement dans l’espace. On retrouvera aussi une perche à selfie en métal qui tiendra une caméra pointée vers le satellite.

Pourquoi lancer un satellite en bois ?

L’équipe de Woodsat aimerait savoir si les satellites en bois sont plus résistants que les satellites en métal. Ce matériau est moins cher, ce qui pourrait permettre aux scientifiques de lancer davantage de satellites dans l’espace.

Woodsat utilise du contreplaqué qui a été séché et traité afin de mieux survivre à l’environnement hostile qu’est l’espace. L’équipe en charge du projet s’attend à ce que la structure extérieure s’assombrisse. Cependant, elle veut notamment vérifier si des fissures se forment pendant qu’il sera en orbite.

Le satellite en bois devra également résister aux collisions avec des débris spatiaux, qui étouffent de plus en plus l’orbite de la Terre. On sait que ceux-ci peuvent faire beaucoup de dégâts. Le mois dernier, c’est le bras de l’ISS qui a échappé de peu à la catastrophe après avoir été heurté par un débris trop petit pour être détecté. L’utilisation du bois pourrait également permettre de réduire le risque que celui-ci se transforme lui-même en débris spatial à la fin de sa vie, puisqu’il pourrait être plus facilement désintégré qu’un satellite en métal.

L’université de Kyoto et l’entreprise japonaise, Sumitomo Forestry, travaillent également de concert pour développer un satellite en bois afin de limiter l’accumulation de déchets en orbite autour de notre planète. Ce dernier pourrait être envoyé dans l’espace en 2023.

Source : cnet

samedi 17 juillet 2021

La corruption et la collusion dans le monde de la construction ? L'arrêt Jordan pour Accurso, et l'ARC sur la glace !

 

 La corruption et la collusion dans le monde de la construction ? L'arrêt Jordan pour Accurso, et l'ARC sur la glace !

Quand Accurso célèbre «Jordan»

Difficile de trouver manière plus ironique de souligner le cinquième anniversaire de l'arrêt Jordan.

Le célèbre entrepreneur Tony Accurso, une des vedettes de la commission Charbonneau sur la corruption et la collusion dans le monde de la construction, a réussi jeudi à obtenir un arrêt des procédures grâce à «Jordan».

Rappelons-le, avec ce fameux jugement de 2016, la Cour suprême avait voulu donner un électrochoc à la culture des délais dans les tribunaux du Dominion.

Depuis, la durée de certains procès a en effet été raccourcie, mais les limites strictes imposées par la cour ont entraîné l'avortement de plusieurs procès (dont certains pour meurtre!); sans compter le gaspillage du labeur des policiers et des procureurs.

Corruption

Dans le cas d'Accurso, «La Presse» titrait hier «10 ans de travail à l'eau». Les accusations n'avaient rien d'anodin: fraude, complot, abus de confiance et faux, entre autres. Le tout découlait de l'enquête «Coche»(Tout Croche ?) de la GRC, portant sur la corruption à l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Les avocats du fédéral accusaient M. Accurso et des collaborateurs d'avoir versé des pots-de-vin à des employés de l'ARC. Deux fonctionnaires auraient chacun reçu quelque 700 000 $, qui furent retrouvés en Suisse, bien planqués dans des comptes!

Accurso, «blanchi»? Attention: un arrêt des procédures ce n'est pas un acquittement, mais l'abandon de poursuites, le retrait d'accusations.

Ici, ce sont les procureurs du Service des poursuites pénales du Canada (SPPC) qui ont demandé de tout stopper. Selon eux, la quantité de documents déposée en preuve était trop volumineuse; impossible de les divulguer convenablement dans des délais raisonnables.

Plusieurs choses sont étranges dans cette affaire. En 2011, Revenu Québec avait perquisitionné l'ARC pour obtenir des preuves! Afin de faire sa propre enquête en lien avec ces faits.

Habituellement, les agences fédérales et québécoises réussissent à travailler en équipe. Ou alors une fait enquête et transfère ensuite le dossier à l'autre. Ici, l'agence québécoise a carrément cru bon perquisitionner sa vis-à-vis fédérale. Manque de confiance?

L'ARC semble souvent avoir du mal avec les «gros poissons», m'indique une source... Revenu Québec, qui gère la TPS et la TVQ sur le territoire québécois, serait-elle plus efficace? Elle a en tout cas réussi à épingler M. Accurso et ses entreprises, qui plaidèrent coupables en octobre à des accusations de fraude fiscale. Le tribunal leur a collé des amendes de 4,2 millions $.

Les politiciens fédéraux, qui seront en campagne bientôt, devraient en faire un enjeu: que feront-ils pour nous garantir que les écuries de l'ARC seront nettoyées? Car depuis 2010, les cas d'employés faisant l'objet d'une enquête, ou suspendus, ont été nombreux.

Lussier s'en va

Petite nouvelle politique: la chef libérale Dominique Anglade perdra bientôt son directeur des politiques, Jérôme Lussier, embauché il y a moins d'un an. 

Le hic: il devait préparer la plateforme électorale de 2022. Comme sa chef, M. Lussier avait transité par la CAQ (lui, en 2012-2013).

En réponse à une chronique de votre serviteur, en mars, il expliquait avoir quitté la CAQ en raison de son virage nationaliste identitaire. 

Pourquoi quitte-t-il le PLQ cette fois? Selon mes sources, le virage progressiste du PLQ angladien n'était pas assez prononcé au goût de celui qu'on désignait comme le «pion de QS» au PLQ.

 

REF.:

vendredi 16 juillet 2021

Billet de stationnement contestable a Montréal:

 

Billet de stationnement contestable a Montréal:

 

Par exemple sur la rue Hall les voitures stationnées coté école ,comme l'indique ici sur la photo le chiffre -1- (défendu entre 7 et 16:00 hrs jours d'école) ,alors que nous somme ici en la date du 16 juillet 2021 (Vendredi),donc pas d'école ,donc on a le droit de stationner!

Mais la pancarte interdiction de stationner ,ici au numéro -2- , indique défendu le vendredi en période d'été entre 12:30 et 15:30 Hrs , et la voiture KIA icim a un billet,car l'auto est dépassée la pancarte (-1-),donc il aurait dû avoir une flèche limitant la localisation du stationnement écolier de 7 a 16:00 hrs.

Ça sent la marde d'Aubergine de Mouriale !-) Vous savez ceux qui lave pas leurs pantalons en laines et les gardes toute la semaine ;-)

Car en fin de compte,le bâtiment de l'école est du coté opposé a ce coté de rue,(expliquant le stationement défendu vendredi 7-16:00 hrs)il me semble que rendu a 100 pieds plus loin et de l'autre coté de la rue,ce n'est plus un stationnement pour les autobus qui viennent chercher les écoliers !!! !!!


Sinon,ce billet est contestable a la ville de Montréal !!!

Car on est en dehors des journée des écoliers,c'est en Juillet lolol !!!

 


 


Des billets comme ça,il y en a plein ,qui sont contradictoire et devienne un piège,pour le simple travailleur au salaire minimum,qui n'a pas le temps d'aller contester en cour municipale lolol ;-)



REF.: UnConPasStable_çaCeConteste.comme