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jeudi 15 juillet 2021

Vous pourriez avoir subi de l’intimidation de Service Canada ?

 

Vous pourriez avoir subi de l’intimidation de Service Canada ? 

Oui,si vous parlez grossièrement a un agent des services du Canada,comme l’ARC(agence de revenu de Canada) et ses différents services en ligne! Vous savez le fameuse clé d’activation ,alors que l’ont en n’a rien a foutre,il vous bloque le compte en ligne pour que vous les appelier,mais le premier qui répond est le bureau du New-Brunswick,(estie y me parle en acadien ,c est pire que le créole ,j’pas capable,désolé,passe moi un autre agent s’il vous plait),mais par la suite, si vous vous connecter par votre institution bancaire c’est mieux(on fonctionne a deux facteur)lolol

Ils vous mettent en attente pendant 40 a 60 minutes lolol.

Pendant ce temps ,au même moment que le gars de service canada va vous répondre,………..un gars de l’ARC (spiCyalis des recouvrement)utilise ses droits d’inspecteur Clouzo OO7,pour vous téléphoner en texto ou sur votre répondeur pour vous dire ;,…………clic sur l’ option un pour écouter et en cliquant ,il n’y a pas de message a écouter,vous taponner dans votre répondeur en perdant du temps pour favoriser un taux plus élevé d’anxiété et de frustration envers leur services

Non,mais,……….. Y sont-ti gentil ,les méchants ,….Nonnnnnnnnnnnnn

Et l’a le gars te répond calmement et vous demande de l’excuser du temps d’attente

Va@(*?&$mon estrie(a c’teur on dit canton de l’est) ! 

 

Le service 911 des policiers,fait la même chose ,quand un policier est en communication avec vous,votre cell est relier a leur réseau et vous ne pouvez fermer votre appareil !!!

REF.:Okanata_ou_jemesouviens;-).com

Nota: On fonctionne a deux facteurs a l’ARC,car il y a encore des pommes pourrites a service Canada,surtout a l’ARC !!! A suivre,a bientôt,on s’en reparle!

Remarque: nous aussi on va faire pareille,merci pour le truc

mercredi 14 juillet 2021

Comment un policier vous traque pour une contravention de vitesse ou d'arrêt obligatoire ?

 

 

 Comment un policier vous traque pour une contravention de vitesse ou d'arrêt obligatoire ?

Vieux truc,......mais amélioré,car aujourd'hui les auto-patrouilles scannent les voitures par numéro de licence pour vous repérer,mais aussi par les panneaux de détermination de vitesse et de caméra au feux de circulation pour les arrêts obligatoires installées a un feux de circulation ou d'arrêt stop !

Alors,la traque s'installe et l'info se transmet au policiers municipaux qui de paire avec la SQ ,se stationne dans des stationnements de stations services ou ailleurs pour regarder votre itinéaire, allez et retour de votre travail et se placer pour vous coller un billet a des points comme les arrêts stop ou les zones scolaires avec passage piétonnier.Pour ce qui est de la municipalité ,le réseau routier de la ville ajoute des one way et des dos d'âne ainsi de des pots de fleurs en ciment dans les ruelle pour vous désister a emprunter ces trajets,les zones a plantation d'arbres aux intersections,les panneaux de vitesse avec poteaux a chaque 100 pieds dans le centre de la rue rétrécissant la largeur de cette rue,sans compter les rues et ruelles désignées pétonnes pour la saisons de l'été !

Moralité,regarde en arrière pour ta sécurité,.......on sait jamais s'il n'y a pas de cons a écraser!

REF.:unmirroirçaXist.comm

 

jeudi 8 juillet 2021

La vie d'un mercenaire Québécois:Raymond Boulanger s'est forgé un nom dans l'histoire des cartels et de la CIA

 

 

 

 

La vie d'un mercenaire Québécois:Raymond Boulanger s'est forgé un nom dans l'histoire des cartels et de la CIA

La vie abracadabrante d'un pilote d'avion trafiquant de drogue

À 65 ans, Raymond Boulanger est sorti de prison. Ses périples entre la Colombie et le Canada pour transporter de la cocaïne sont connus dans le monde entier.

 

Raymond Boulanger est un ex-pilote mercenaire qui a travaillé pour la CIA et les cartels colombiens, en plus d'avoir croisé la route de Pablo Escobar. Après 23 ans de prison, il revient sur sa vie hors-norme dans la série documentaire Le dernier vol de Raymond Boulanger, diffusée sur Crave. Stéphan Bureau discute avec lui de cette vie qu'il ne regrette pas.

« On fait ça pour l’aventure plus que d’autre chose. Il y en a qui font ça pour l’argent, mais c’est plutôt rare. »

 

À la demande de la mafia

Raymond Boulanger était en Belgique quand il a reçu un appel d’un Colombien, lui indiquant qu’un Italien cherchait à le joindre pour lui parler d’une éventuelle importation massive de cocaïne au Canada.

«Ils m’ont dit qu’ils avaient planifié d’entrer par le nord. Je suis venu à Montréal pour rencontrer le mafioso en question [...] Je lui ai expliqué que si je le faisais, on allait le faire à ma manière», se souvient le pilote.

Le plan, qui lui aurait rapporté 50 millions $, estime-t-il, a finalement été mis à exécution, mais ne s’est pas déroulé comme prévu. Personne ne l’attendait à l’atterrissage. «On est restés calmes, mais ça ne tenait pas debout. Je devais décider si je détruisais l’avion, ou si je la ramenais. Mais avec la chaleur que j’ai eue en montant, il n’était pas question de la ramener. L’équipe [de la mafia qui était censée être sur place] a tous les explosifs en main. Une fois qu'ils ont déchargé toute la marchandise, ils brûlent l’avion.»

Boulanger décide donc de téléphoner à l’aéroport de Roberval pour se commander un avion, comme on appelle un taxi. Cette demande a alerté les autorités, et en peu de temps, il était arrêté. Il a été condamné à 23 ans de prison.Quoique hors de prison, l'ancien pilote n'est toutefois pas libre comme l'air. Deux conditions lui sont imposées quant à sa liberté conditionnelle. La première est qu'il devra régulièrement faire état de ses revenus et en deuxième lieu, il devra éviter de fréquenter le milieu criminel.Un ami lui fournira un appartement et il aura un emploi.

Aujourd’hui, même s’il ne montre aucun signe de repentance, le pilote assure qu’il en a eu assez. «Je n’ai plus besoin de rush maintenant. C’est fini.»


Par: Le Point.fr

Son histoire alimente les plus grands fantasmes et une part d'ombre entoure ses activités. Raymond Boulanger s'est forgé un nom dans l'histoire des cartels. Il se fait arrêter en 1992 avec la plus grande quantité de drogue jamais saisie : 4 323 kilogrammes de cocaïne. Le tout transporté dans son bimoteur de Colombie jusqu'au Québec. Condamné à 23 ans de prison, Boulanger se fait la malle à deux reprises, en 1998 et 2001. À chaque fois, la police ne réussit à mettre la main sur lui que quelques mois après le début de sa cavale. Le temps pour lui de filer en Colombie puis au Mexique se refaire une santé.

Libéré la semaine dernière, l'homme désire désormais couler des jours tranquilles. De son propre aveu, quelques millions de dollars lui appartenant seraient bien au chaud dans des paradis fiscaux. De quoi s'assurer une retraite dorée. En 2006, lors d'une demande de libération conditionnelle, Boulanger affirmera "avoir accès à cet argent n'importe où" et n'avoir donc aucun "stress financier" pour l'avenir, rapporte Le Journal de Montréal.

Un cow-boy

Né en 1948, Raymond Boulanger apprend à piloter sur les genoux de son père. "J'ai grandi sur l'aéroport (de Mont-Joli, dans l'est du Québec), avec des avions partout. J'ai toujours été fasciné. (...) On était capable d'identifier un avion juste par le son du moteur", raconte-t-il au Journal de Québec. Comme souvent dans ce milieu, Boulanger est un touche-à-tout. Il est embauché en 1971 en tant que pilote professionnel pour une compagnie de transport aérien aujourd'hui disparue. Lorsque son entreprise cesse ses activités en 1974, Boulanger s'installe en Gaspésie avec sa femme et enchaîne les petits boulots : photographe, hôtelier et divers jobs de pilote (transport de touristes, technicien, épandage aérien...). En 1992, peu après son arrestation, un ancien collègue se confie à La Presse, un quotidien canadien : "C'est un cow-boy, ça, c'est sûr ! (...) C'est pas tous les pilotes qui peuvent atterrir dans un petit champ. Pour lui, c'était pas un problème. S'il décidait qu'il arrêtait là, il arrêtait."

Ses premières livraisons de drogue remontent à 1973 alors qu'il était pilote à temps partiel. Boulanger partait en avion de Floride, d'où il rejoignait la Colombie et revenait quelques heures plus tard. Les trafiquants ? Des vétérans de la guerre du Vietnam, raconte-t-il au Journal de Québec. Raymond Boulanger affirme même avoir travaillé pour la CIA au milieu des années 80. L'agence américaine avait créé des compagnies aériennes fictives "pour aider les Contras qui tentaient de renverser le gouvernement de Daniel Ortega au Salvador", explique le journaliste Daniel Renaud. Son rôle était alors de "larguer des marchandises" dans les bois et de faire des "vols de reconnaissance" pour repérer les camps. Des faits qui n'ont évidemment jamais été confirmés par voie officielle.

Pour la décriminalisation des drogues

Ces activités lui auraient permis d'entrer en contact avec les cartels colombiens. Il aurait même côtoyé Pablo Escobar. Raymond Boulanger forme des pilotes, leur apprend à atterrir dans le noir sur des pistes improvisées. "On faisait des "drops" sur les îles des Caraïbes ou en mer. (...) À cette époque, il y avait entre 40 et 50 vols qui sortaient tous les soirs", raconte-t-il, toujours au Journal de Québec. L'homme se fait finalement arrêter à Casey au Québec avec plus de 4 tonnes de cocaïne dans l'avion. Il est condamné à 23 ans de prison. Lors de sa première escapade, en 1998 (il profite d'une libération conditionnelle), il file droit vers la Colombie, où il connaît de nouvelles aventures. Il est pris en otage par un groupe marxiste et sera finalement relâché au bout de deux mois grâce à l'intervention des Farc avec lesquelles il est en contact depuis de nombreuses années. Les termes exacts de sa libération (qui a payé la caution ?) restent troubles. Ce qui alimente encore davantage sa légende.

Début mars, le narco-pilote de 65 ans est sorti de prison, avec l'obligation de faire état de ses revenus financiers. S'il se pose aujourd'hui, c'est probablement en raison de son âge, non des remords : il milite pour la décriminalisation des drogues. Interrogé par des journalistes sur le vol qui lui a coûté 20 ans de sa vie, Raymond Boulanger affirme n'avoir aucun regret et utilise le "nous" en parlant des cartels. Au Journal de Québec, il répond : "Si j'avais 45 ans aujourd'hui, je le referais, mais pas de la même manière. Je me suis fait prendre parce que je n'ai pas contrôlé ce qui se passait ici. J'ai laissé ça entre les mains d'imbéciles." 

 

Ceux qui ont visionné la très bonne docusérie Le dernier vol de Raymond Boulanger, offerte sur Crave et Canal D, savent que la vie de ce Rimouskois, qui a notamment bossé pour des cartels colombiens, est digne d’un film d’aventures. C’est hallucinant, vraiment. En 2013, le collègue Daniel Renaud a consigné les péripéties criminelles de ce personnage flamboyant dans un livre intitulé Raymond Boulanger : Le pilote mercenaire.



Le pilote Raymond Boulanger a été arrêté en novembre 1992 à Casey, en Haute-Mauricie, avec 4300 kg de cocaïne dans son avion. La plus grosse saisie de coke de l’histoire du Canada.

Au fil de ses opérations secrètes, Raymond Boulanger a collaboré avec la CIA, transporté des armes, croisé le célèbre narcotrafiquant Pablo Escobar, effectué des missions au Viêtnam et plané au-dessus du désert en Libye. L’ancien pilote de brousse a été arrêté en novembre 1992 à Casey, en Haute-Mauricie, avec 4300 kg de cocaïne dans son avion. La plus grosse saisie de coke de l’histoire du Canada. Le pilote a ensuite passé plus de 20 ans derrière les barreaux.

C’est un véritable roman policier que raconte, en quatre épisodes d’une heure, Le dernier vol de Raymond Boulanger, série documentaire écrite par Sébastien Trudel et Marc-Antoine Audette, deux anciens Justiciers masqués.

La télésérie de fiction sur la vie de Raymond Boulanger sera plus romancée, me dit-on. Il y a quelques années, TVA a envisagé, avec l’aide de la productrice Fabienne Larouche, de transposer au petit écran le parcours atypique du pilote québécois. Le projet n’a jamais été déposé officiellement en raison des coûts exorbitants qu’il engendrait.

Il y a cependant une zone de turbulences qui s’approche. Depuis le début de la pandémie, Raymond Boulanger ne se gêne pas pour afficher ses idées conspirationnistes. Oui, un de plus. Sa page Facebook publique est tapissée de doigts d’honneur aux différents ordres de gouvernement.

Entre autres, Raymond Boulanger traite ceux qui respectent les consignes sanitaires « d’ostie de moutons », il dénigre le travail des médias traditionnels, il qualifie du « comble de la stupidité » les commerces qui utilisent des plexiglas et il estime que Maxime Bernier est le seul politicien à avoir des couilles. Ce florilège de bêtises n’a été puisé que dans les publications faites par Raymond Boulanger en juin 2021.

Je n’ai pas eu le courage de remonter plus loin dans le temps. Le discours « anti-toute » me rend agressif et me transforme en Frugo Dumas, ce qui n’est pas bon pour ma pression.

Les patrons de Bell Média ne doivent pas être enchantés des prises de position de Raymond Boulanger contre le masque, contre les vaccins et, surtout, contre les politiciens. Surtout quand on sait que les gouvernements fédéral et provincial contribuent grandement au financement de séries télé comme celle qui se prépare sur le pilote casse-cou.

En entrevue, Raymond Boulanger, qui souffre d’un cancer du sang incurable (la maladie de Waldenström), assume tout, tout, tout et en rajoute même une couche. À propos des institutions publiques qui pourraient retirer leurs billes, Raymond Boulanger réplique : « Qu’est-ce que tu veux que ça me crisse à moi ? Je connais plein de gens à Hollywood qui seraient prêts à financer la série. »

Pour lui, le virus est une « crisse de cochonnerie » associée au programme Phoenix de la CIA dans les années 70, les dirigeants sont des « crisses de pantins » et des « trous de cul », tandis que les vrais complotistes sont les membres du G7.

C’est ici que je pousserais un gag facile de « y a-t-il un pilote dans l’avion ? », mais comme Raymond Boulanger a perdu sa licence à la suite de son lymphome il y a trois ans, ça ne fonctionne pas. Chose certaine, ça ne vole pas très haut. Tout juste au-dessus d’un nid de coucou.

 

REF.:

dimanche 4 juillet 2021

Harcèlement et intimidation: l’omerta dans le milieu de la santé dénoncée

 

 

 

 

Harcèlement et intimidation: l’omerta dans le milieu de la santé dénoncée

Plusieurs préposés aux bénéficiaires formés l’été dernier dénoncent le manque d’aide face à l’intimidation

Des préposés aux bénéficiaires issus de la formation accélérée pendant la pandémie dénoncent les mauvais traitements qu’ils ont subis, et particulièrement l’omerta qui règne dans le monde de la santé.

• À lire aussi: Hausse de 6% en 3 ans pour près de 60 000 employés

• À lire aussi: En pleine pandémie : Incursion dans le monde des inhalothérapeutes

« Un soir, une préposée m’a frappée dans le dos. J’étais en train de prendre mon uniforme, je ne m’y attendais pas. J’ai crié et je l’entendais rire. Après ce coup, j’ai eu mal toute la soirée à la tête et au dos et, depuis, je ne peux plus travailler », soutient Lucy Carrière, une préposée aux bénéficiaires (PAB) de 58 ans à Gatineau, en Outaouais, qui a suivi la formation accélérée en juin 2020 après avoir laissé sa carrière dans le domaine de la sécurité. 

Elle avait répondu à l’appel du premier ministre François Legault, en mai 2020, qui annonçait la mise en place d’une formation accélérée pour 10 000 préposés en CHSLD.

Une fois sur son lieu de travail les choses se gâtent. Après plusieurs semaines d’intimidation et de harcèlement au travail, le coup reçu dans le dos le 26 octobre a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, soutient-elle.

Arrêt de travail

Deux jours après, un médecin lui signe un arrêt de travail, en raison de la blessure causée par le coup, mais aussi pour l’anxiété liée à un climat de travail toxique. 

Un mois plus tard, elle adresse une plainte à la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST), dont Le Journal a obtenu copie. Le lendemain, elle affirme avoir reçu une lettre de congédiement. 

« J’avais beau aller voir la gestionnaire, rien ne changeait », déplore Mme Carrière, toujours suivie par un physiothérapeute.

Comme elle, d’autres préposés issus des nouvelles cohortes de la pandémie affirment avoir été la cible de violence physique, de harcèlement ou encore d’insultes d’anciens PAB.

Pour Marie-Neige Létourneau, qui était PAB à Lévis, dans Chaudière-Appalaches, le climat de travail insoutenable dès son premier jour l’a aussi poussée à se mettre en arrêt de travail le 23 septembre dernier.

« Chaque fois que j’allais travailler, je pleurais dans ma voiture pendant la demi-heure de trajet », confie, la gorge nouée, la femme de 36 ans, qui suit une thérapie depuis qu’elle a quitté son emploi.

Refus d’entendre

De son côté, un préposé qui travaillait à l’est de Montréal et qui a demandé à garder l’anonymat dit avoir reçu des commentaires homophobes.

« J’ai fait des plaintes et mon syndicat m’a dit qu’il ne pouvait rien faire. Personne ne veut écouter ce qu’on vit », regrette l’homme de 37 ans, qui a décidé de quitter le domaine de la santé.

Mme Létourneau affirme avoir tenté d’appeler à l’aide de nombreuses fois, tant du côté de l’établissement que du syndicat. Mais elle s’est toujours butée à un mur, lance-t-elle.

« Il y a vraiment une omerta, c’est terrible. Ils ont ouvert une ligne pour dénoncer l’intimidation, mais on m’a répondu deux mois plus tard avec un message automatisé », laisse-t-elle tomber.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux explique ne pas s’ingérer dans les dossiers confidentiels de conflits entre les employés.

La présidente du syndicat des travailleuses et travailleurs de la santé et des services sociaux de l’Outaouais, Josée McMillan, assure que le cas de Mme Carrière est une exception.

Au syndicat qui représente les PAB de l’est de Montréal, on reconnaît que l’intégration des nouveaux PAB a été difficile.

« C’était comme des corps étrangers qui arrivaient avec la moitié de la formation des temps complets. Ça s’est résorbé rapidement de notre côté, mais des cas malheureux, il y en a tous les jours », soutient le président, Éric Clermont. 


REF.:

jeudi 1 juillet 2021

La prosopagnosie est un trouble de la reconnaissance des visages

 

 La prosopagnosie est un trouble de la reconnaissance des visages:

 

La prosopagnosie est un trouble de la reconnaissance des visages, distinct de la prosopamnésie. C'est une agnosie visuelle spécifique rendant difficile ou impossible l'identification des visages humains. Le prosopagnosique reconnait les personnes en recourant à des subterfuges, comme l'identification visuelle par l'allure générale (démarche, taille, corpulence) ou à des détails (vêtement familier, coiffure, barbe, tache de naissance, lunettes) ou des indices multisensoriels (voix, odeur, poignée de mainetc.)

Le mot est composé du grec πρόσωπον « visage », α (privatif) et γνωσία « reconnaissance ».

Elle se manifeste chez les sujets atteints par une incapacité à reconnaître et différencier les visages familiers tels que ceux de leurs proches, amis et parfois même leur propre visage. Les sujets atteints de cette pathologie sont capables de voir, mais pas de reconnaître. Leur acuité visuelle est normale, ils sont capables de décrire en détail un visage familier, mais n’y associent pas d’identité.

Historique et prévalence

La première description de la prosopagnosie acquise a été rapportée par un neurologue allemand, Joachim Bodamer (de) en 1947. Il publie une description détaillée de deux soldats qui sont incapables de reconnaître des visages familiers après des lésions cérébrales survenues pendant la guerre. Une forme pédiatrique est décrite en 1995 par une neurologue anglaise, Helen McConachie1,2.

Le développement des études scientifiques est facilité par l’essor de techniques d'imagerie.

La proportion de la population mondiale atteinte de cette pathologie n'est pas connue. Le seul chiffre disponible concernant la prévalence de la prosopagnosie est celui d'une étude allemande, qui a estimé sur la base d'un échantillon dans une université allemande que 2,5% de sujets étaient atteints3.

Formes

Il existe principalement deux types de prosopagnosie : la prosopagnosie innée et la prosopagnosie acquise.

  1. La prosopagnosie innée, aussi appelée développementale, correspond vraisemblablement à un défaut de développement du processus de reconnaissance des visages, sans lésions sous-jacentes. Certains auteurs comme Kennerknecht et al. évoquent la possible intervention d’un facteur génétique. Plus précisément, ces individus sont dans l’incapacité d’associer un visage à une personne. Déjà dans la petite enfance, ils ne reconnaissent pas leurs proches, en n’associant pas un visage à un signe distinctif particulier, propre et unique à une personne.
  2. La seconde forme recensée, la prosopagnosie acquise, avec comme principal signe une perte de la faculté de reconnaissance des visages, résulte d'une lésion cérébrale. La cause première d’apparition de ces lésions, comptant pour 40 % des cas, est un accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique (déficit d’approvisionnement sanguin en oxygène et sucre, ou ischémie) dans le territoire cérébral alimenté par l’artère cérébrale postérieure. La deuxième cause de lésion, en fréquence, est le traumatisme crânien (environ 20 %). D’autres causes sont moins fréquentes : hématomes cérébraux (AVC hémorragiques, 11 %), causes infectieuses comme les encéphalites virales (9 %), les tumeurs cérébrales (6 %). Les crises épileptiques (5 %) peuvent provoquer des lésions favorisant l’apparition de la pathologie. La maladie peut également être associée à des troubles mentaux, tels que les troubles de l'identité ou le dédoublement de personnalité. La prosopagnosie peut aussi prendre une forme dite progressive, se manifestant par une perte graduelle de la reconnaissance des visages. Elle est souvent associée à un processus neurodégénératif et, pour Gainotti (2007), elle est apparentée à une forme de démence sémantique.

Sous-formes de la prosopagnosie

Si on considère que le traitement précoce des informations permettant l’analyse des visages est préservé chez certains sujets mais pas chez d’autres, on est amené à penser qu’il existe différentes formes de prosopagnosie.

  1. La prosopagnosie aperceptive : elle se caractérise par une défaillance de l’analyse structurale des visages, empêchant l’élaboration d’un percept susceptible d’activer une unité de reconnaissance faciale.
  2. La prosopagnosie associative, dans laquelle l’accès aux processus de reconnaissance dysfonctionne. Dans ce cas, il y aurait vraisemblablement une construction correcte de la représentation structurale, mais celle-ci serait dans l’incapacité d’activer un registre de traitement nécessaire à l’accès aux informations sémantiques.

Cadre théorique

Il existe un cadre théorique permettant l’analyse des différents processus impliqués dans l’identification des visages. Bruce et Young en 1986, ont introduit l’un des modèles théoriques les plus influents, dans lequel ils postulent que le traitement des visages se réalise de manière sérielle, selon trois étapes :

  1. la première étape se caractérise par une analyse structurale de l’ensemble du visage, ce qui conduit à la formation d’un « percept » basé sur les dimensions et les rapports entre les traits faciaux ;
  2. la seconde étape permet un appareillement de ce percept aux unités de reconnaissances faciales ou URF ;
  3. dans un troisième temps, l’individu accède aux informations sémantiques relatives à l’identité de la personne, dans le cas où celle-ci est connue.

On estime que les étapes de traitement des images perçues des visages sont perturbées chez les patients prosopagnosiques. Le dysfonctionnement pourrait résider soit dans l’étape initiale du traitement, dès l’analyse structurale du visage, soit dans l’étape plus tardive, rendant impossible l’accès aux unités de reconnaissance faciale et/ou aux informations sémantiques. Ces hypothèses ont été analysées par des études utilisant des tâches de traitement d’appareillement de visages non familiers et/ou exprimant diverses émotions, présentés sous différents angles et éclairage. Toutefois, à nouveau les résultats divergent, tout comme les avis des chercheurs. Certains établissent que les mécanismes généraux du traitement des visages ne sont pas affectés, puisque les sujets prosopagnosiques de l’étude semblent être capables d’estimer l’âge, de distinguer le sexe du faciès, d’en juger l'expression, et d’appareiller différentes vues d’un même visage. D’autres chercheurs rapportent le contraire, en montrant que certains sujets atteints présentent des déficiences dans le traitement général des visages, ne distinguant ni le sexe ni l’âge ni les émotions.

Localisation cérébrale

Les données développées dans ce paragraphe sont issues de travaux de la littérature scientifique. Les études analytiques de patients atteints de prosopagnosie montrent que plus de la moitié d’entre eux présentent des lésions cérébrales bilatérales (des deux hémisphères cérébraux). Mais les avis divergent : certains auteurs parlent de bilatéralité univoque alors que d’autres estiment qu'une lésion unilatérale suffit pour qu'apparaisse le trouble. Une des raisons pouvant expliquer le débat est la symétrie cérébrale. En effet, la mise en place de cette symétrie ne suit pas de règles précises et dépend généralement de la latéralisation du sujet.

Qu’il s’agisse de lésions unilatérales ou bilatérales, ce sont les lobes temporaux et occipitaux qui sont les plus fréquemment touchés, tandis que les lobes frontaux et pariétaux semblent beaucoup moins touchés. Par ailleurs, il ressort de la littérature que ce sont les lésions droites et plus particulièrement situées dans les lobes temporal et occipital qui provoqueraient l’apparition des troubles. En effet, le lobe pariétal comprend certaines aires corticales composées de neurones liés aux processus mnésiques ainsi que de neurones dédiés à la reconnaissance d’objets associés, tels que les visages. Des lésions des aires visuelles de V4 (selon la topographie de Brodman) semblent provoquer la pathologie. Une étude réalisée en 1991 par J. Sergent a permis de révéler l’intervention de structures cérébrales particulières dans la pathologie. Grâce à la tomographie par émission de positons (TEP), la chercheuse française a découvert que les gyrus fusiforme et lingual droits situés dans le lobe temporal doit, ainsi que la partie antérieure des lobes temporaux sont activés lors de la présentation d’un stimulus facial. D’autres études ont permis de découvrir que le gyrus occipital inférieur serait fréquemment touché en cas de prosopagnosie.

Ces régions cérébrales hébergent notamment certaines zones fonctionnelles primordiales qui interviennent dans la reconnaissance des visages : « fusiforme face area » (FFA, ou aire fusiforme des visages), zone du gyrus fusiforme, « occipital face area » (OFA, ou aire occipitale des visages), zone du gyrus occipital inférieur. Lors d'études par imagerie cérébrale d'activation (IRM fonctionnelle), la reconnaissance d’un visage semble activer préférentiellement la FFA et la OFA de l’hémisphère droit. Il semble logique qu'une lésion d’une de ces deux zones entraîne l’apparition de la prosopagnosie. On retiendra qu’il est plus fréquent d’observer une prosopagnosie associée à une lésion de l’hémisphère droit qu’à une lésion unique de l’hémisphère gauche.

Le , une équipe de chercheurs de l'Université Ben Gourion du Néguev4 a étudié grâce à l'IRM fonctionnelle plusieurs sujets atteints de prosopagnosie congénitale (PC)5 :

  • pour les personnes souffrant de PC, l'activation de la zone centrale - qui contient le thalamus, le pont, le cervelet, la moelle et la formation réticulée - est normale en présence de stimuli visuels ;
  • ces mêmes personnes présentent toutefois une diminution de l'activation de la partie antérieure temporale droite du cortex cérébral, en particulier pour la zone impliquée dans la reconnaissance des visages connus, ainsi qu'une connectivité endommagée entre cette partie antérieure temporale et la zone centrale ;
  • l'activité de l'amygdale, région impliquée dans la reconnaissance et l'évaluation des stimuli émotionnels, et ses relations avec la zone centrale sont intacts6.

Hypothèses explicatives

Il faut identifier les mécanismes cognitifs à l’origine des dysfonctionnements observés chez les patients prosopagnosiques. Plusieurs hypothèses s'opposent, mais l'une d’entre elles est largement répandue, qui suppose que prosopagnosie découlerait d’un déficit de traitement holistique. D’autres hypothèses sont apparues relativement récemment, mettant en cause une possible atteinte de la perception des distances, ou encore une atteinte des traitements visuels. Le courant de pensée « holistique » né à la fin du XIXe siècle considère que la perception sensorielle d’une entité globale est qualitativement différente de la somme des perceptions individuelles de chacune de ses composantes.

Au travers des publications scientifiques, une tendance s’est largement répandue pour expliquer la prosopagnosie en termes de déficit d’intégration de composants locaux en un tout indissocié. En effet, des auteurs tel Galton (1883) considèrent que les traits du visage ne seraient pas représentés et perçus de façon indépendante, mais intégrés dans une représentation perceptive globale. Certaines études en IRMf par présentation de visages inversés montrent la présence « d’inversions » pour les visages au niveau de l'aire fusiforme des visages (et dans une moindre mesure au niveau du lobe occipital). Ceci va dans le sens d’un processus de codage holistique dans cette région7 (Angélique Mazard et al., 2006)[source insuffisante]. Ces preuves sont cependant indirectes, étant donné que l’inversion haut-bas du stimulus visuel affecte non seulement l’intégration des traits faciaux en une représentation holistique, mais également le codage de traits localisés. Les données actuelles de la littérature font évoquer la possibilité d’intervention d’autres facteurs explicatifs.

Tests et prise en charge

Il existe assez peu de tests permettant une évaluation diagnostique de la pathologie qui permettrait de déterminer le type de prosopagnosie ou l'étape défaillante dans le traitement de l’information.

Un des tests généralement utilisé est celui des visages célèbres, dans lequel des visages de personnalités sont présentés aux sujets. Il existe aussi le test de reconnaissance facial de Benton (BFRT), basé sur l’appariement de visages identiques présentés sous différents angles.

Un autre test, développé par des chercheurs américains et anglais, et basé sur une présentation successive de stimuli visuels (objets, visages, animaux…), a montré que les sujets prosopagnosiques étaient incapables de reconnaître les visages qui leur avaient été présentés, alors qu'ils reconnaissaient les objets et animaux de la série.

La prise en charge de la prosopagnosie est souvent longue et semble apporter peu de résultats. L’échec des rééducations est probablement lié pour part à la méconnaissance des mécanismes responsables du déficit.

Quelques cas

Le neurologue Oliver Sacks parle de sa propre prosopagnosie dans son ouvrage L’Œil de l'esprit (2010). Il cite également le cas de la primatologue Jane Goodall, dont le déficit de reconnaissance faciale concerne autant les humains que les primates qu'elle étudie8. Parmi les personnalités contemporaines, les acteurs Thierry Lhermitte9 et Brad Pitt10, l'essayiste Éric Naulleau11, le journaliste Philippe Vandel, la comédienne Aude GG et l'auteur de bande dessinée Boulet12 reconnaissent être atteints de ce handicap. 

 

Prévenir la prosopagnosie

Les mécanismes impliqués dans le développement de la prosopagnosie sont encore mal compris. Aucune mesure de prévention n’a été clairement établie.

Certaines mesures semblent toutefois contribuer à lutter contre les prosopagnosies progressives en préservant les fonctions cognitives et en s’opposant au processus neurodégénératifs. Les recherches ont notamment mis en évidence l’importance de :

  • maintenir une alimentation saine et équilibrée ;
  • pratiquer une activité physique régulière ;
  • faire travailler son cerveau.

 

REF.: Wikipedia

mardi 15 juin 2021

Comment se protéger des faux codes QR qui peuvent mener vers des virus

 

 

 

 

Comment se protéger des faux codes QR qui peuvent mener vers des virus

Êtes-vous sur le point de scanner un code QR qui veut vous rediriger vers une fausse application, un site malveillant ou pire un virus? Retrouvez des trucs pour ne pas tomber dans les pièges que tendent des pirates informatiques.

Les codes QR sont de plus en plus utilisés par des sites, des entreprises et même par les gouvernements.

Que ce soit un billet de spectacle, un portefeuille de cryptomonnaie, un lien vers un site ou bien la fameuse preuve vaccinale du gouvernement du Québec, les codes QR sont utilisés à toutes les sauces.

Bien que pratiques et simples à utiliser, ils peuvent être utilisés à mauvais escient par des pirates informatiques.

Il est extrêmement simple d’en créer, alors que le navigateur Google Chrome par exemple nous permet de le faire en 2 sec à l’aide d’un clic droit sur une page. C’est sans compter tous les sites qui permettent d’en créer en deux temps trois mouvements.

Cette grande simplicité comporte des risques. L’entreprise d’antivirus Kaspersky a publié un billet de blogue sur le sujet et nous partage ses trucs pour ne pas se faire avoir.

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Il est extrêmement simple de créer un code QR, même à partir de Chrome par exemple.

Les actions que peuvent faire un code QR et les risques potentiels

Le principal problème d’un code QR est que c’est visuellement flou. Ce n’est pas aussi clair que de voir un hyperlien douteux sur un site. Ça reste un carré s’apparentant à un code-barre. Qui sait où il va nous envoyer ou quelle action il va déclencher.

Car oui, un code QR peut lancer plusieurs actions, tel que:

  • Ouvrir une page web
  • Ajouter un contact
  • Lancer un appel
  • Ouvrir la rédaction d’un courriel
  • Envoyer un message texte
  • Partager notre localisation
  • Télécharger une application
  • Ajouter un événement à notre calendrier
  • Ajouter un réseau WiFi dans nos paramètres

Vous pouvez déjà vous imaginer les dangers potentiels n'est-ce pas?

On peut donc être redirigé vers un site ou une application malveillante, collecter notre localisation, ou encore nous inscrire à un calendrier qui, lui-même, nous bombarde de notifications malicieuses.

Comment se protéger des faux codes QR et ceux malicieux

Heureusement, il existe des petits trucs simples pour éviter de scanner un code QR frauduleux et malicieux.

D’une part, le site, courriel ou autres plateformes qui affichent le code QR sont-ils crédibles? Tout comme les liens d’hameçonnage dans un courriel, texto ou autres, il faut être vigilant sur la provenance du code QR.

Ensuite, la principale chose à regarder est de savoir où le code QR veut nous rediriger. Cette information est affichée par notre application qui lit le fameux code.

Est-ce un hyperlien qui s’aligne avec le sujet que l’on regarde? Un code QR pour le site d’une pizzeria par exemple nous envoie-t-il vraiment sur leur site? Même chose pour une application.

Si l’hyperlien de redirection est raccourci ou ne s’aligne pas avec le sujet où il est affiché, ceci devrait nous mettre la puce à l’oreille que quelque chose cloche.


Il est super important de regarder où le code QR souhaite nous rediriger.

S’il s’agit d’un code QR sur une affiche physique, ça peut sembler stupide, mais assurez-vous que quelqu’un n’a pas apposé un autocollant par-dessus!

Enfin, Kaspersky offre notamment une application gratuite, Kaspersky’s QR Scanner, pour iOS et Android qui peut nous aider à démasquer les codes QR malicieux.

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Terrorisme: un Anglais de 15 ans condamné à perpétuité

 

 

Terrorisme: un Anglais de 15 ans condamné à perpétuité

Par; Africa Studio
International

Un écolier britannique devra purger une peine de prison pour incitation au massacre à l'endroit de policiers lors d'un défilé organisé dans le cadre des commémorations de la Première Guerre mondiale, en Australie.

En avril 2015, la police a mis au jour une effrayante correspondance par Internet entre un Anglais de 15 ans et Sevdet Besim, djihadiste australien âgé de 18 ans. Les deux adolescents avaient fait connaissance par l'entremise du recruteur du groupe Etat islamique Khaled al-Kambodi.

Étalée sur quelques 3.000 messages électroniques la correspondance des garçons expose minutieusement le plan détaillé de leur futur acte terroriste, qualifié par la police de "choquant par son envergure et sa cruauté".

L'écolier britannique était le concepteur du crime tandis que le djihadiste australien était censé l'exécuter. Sevdet Besim avait pour mission de commettre une attaque sanglante contre des policiers lors de la parade de Melbourne (sud d'Australie, ndlr) consacrée aux commémorations de la Première Guerre mondiale.

D'après le schéma bien conçu des jeunes comploteurs, au moins un agent des forces de l'ordre devait être renversé par une voiture et décapité à l'aide d'une machette.

L'adolescent anglais avait également incité son ami à "s'entraîner à couper des têtes" en attaquant "des cibles isolées".

La police a précisé que les preuves de ce crime prémédité et déjoué portaient à croire que des membres de l'EI en tiraient les ficelles.

Le Britannique de 15 ans devra purger sa peine en Angleterre!

 

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