Rechercher sur ce blogue

jeudi 24 mai 2012

Le magazine «Maclean’s» voit rouge !

«Maclean's» - Les étudiants en Une
Le magazine «Maclean’s» fait du conflit étudiant la une de son prochain numéro. 
©Capture d'écran / MACLEAN'S MAGAZINE

MONTRÉAL - Après avoir publié, en septembre 2010, un article intitulé «La province la plus corrompue du Canada», en parlant du Québec, le magazine Maclean’s fait du conflit étudiant la une de son prochain numéro.
L’hebdomadaire titre cette fois sa page couverture «La nouvelle classe dirigeante du Québec», avec comme image un étudiant masqué habillé en rouge.
«Comment un groupe d’étudiants autorisés est allé à la guerre et a fermé la province. Pour 325 $», peut-on lire en sous-titre.
La nouvelle a fait réagir sur les médias sociaux, notamment sur Twitter. Certains ont même lancé un appel au boycottage des publications de Rogers, propriétaire du magazine.
En 2010, la une du Maclean’s illustrant le Bonhomme Carnaval avec à la main une valise qui déborde d’argent et l’article sur les scandales de corruption entourant le système politique québécois avaient causé beaucoup d’émoi. Publié en pleine commission Bastarache, l’article affirmait que le dérapage entourant ces travaux était le résultat «de l’état désastreux du gouvernement de Jean Charest».
Ironiquement, sur son site internet, une offre spéciale d’abonnement pour les étudiants est par ailleurs mentionnée à côté de l’image de ladite page de couverture.


REF.:

dimanche 20 mai 2012

Nous n'oublions pas, nous ne pardonnons pas, redoutez-nous !

Loi 78 - Anonymous lance un avertissement
En début de journée samedi, Anonymous a revendiqué une attaque informatique sur le site internet de l’Assemblée nationale qui a été piraté dans la nuit de vendredi à samedi. 
© Valery Hache / AFP PHOTO
Loi 78

Anonymous lance un avertissement


Le mouvement international de contestation Anonymous a lancé samedi sur YouTube l'« Opération Québec », dans laquelle il dénonce la loi 78 adoptée par le gouvernement du Québec et demande expressément à celui-ci de laisser le peuple québécois s'exprimer.
À LIRE ÉGALEMENT:
26e manifestation nocturne ManifsWiki.net voit le jour
Révolte bruyante
Prudente, la CLASSE retire son calendrier
Le carré rouge à la télé américaine
« Le Gouvernement du Québec assassine le droit de manifester en adoptant une loi d'urgence visant à faire taire les manifestations contre la hausse des droits de scolarité », peut-on entendre sur la bande audio de l'extrait.
Le message d'une durée de 1m 45 prévient le gouvernement que les actions menées par les citoyens sont légitimes et justifiées. Il réitère que la population a le droit de manifester et demande au gouvernement de « laisser le peuple québécois dire ce qu'il souhaite vous faire entendre ».
Le tout se termine par la signature du mouvement : « Nous sommes Anonymous, nous sommes légions, nous n'oublions pas, nous ne pardonnons pas, redoutez-nous! »
En début de journée samedi, Anonymous a revendiqué sur son compte Twitter une attaque informatique sur le site internet de l'Assemblée nationale qui a été piraté dans la nuit de vendredi à samedi.


REF.:

samedi 19 mai 2012

450 000$ de fraude pour 21 mois en d'dans ;-)


Fraudeur informatique - Condamné à 21 mois de prison
Sébastien Massicotte-Lalumière 
© Courtoisie

LAVAL – Sébastien Massicotte-Lalumière, ce fraudeur informatique qui a mis la main sur plus de 450 000$ en fraudant des clients de différentes institutions financières du Québec, a écopé, jeudi , de 21 mois moins un jour d'emprisonnement.
Le fraudeur avait réussi à dérober d'importantes sommes d'argent à plusieurs Québécois en procédant à l'envoi de courriels qui imitaient les sites internet d'institutions financières. Il a effectué des changements d'adresse postale au nom de ses victimes pour ensuite s'y faire livrer de nouvelles cartes de crédit.
Lors du procès, la poursuite avait suggéré une peine de trois ans de prison. De son côté, l'avocat de la défense, Clemente Monterosso, avait fait valoir qu'une peine de 18 mois à laquelle il faudrait soustraire la détention préventive serait suffisante.
Selon la défense, l'année en prison doit compter pour une année et demie en raison des difficultés vécues par l'accusé en détention. Il était la risée des autres prisonniers et a dû être placé en isolation pour les mêmes raisons. «Je crois sincèrement que mon client a compris sa leçon. Il a de profonds regrets», a ajouté Me Monterosso. En raison d'un manque de preuves, la juge Lise Gaboury n'a pas pu prendre en considération les difficultés qu'il a connues en détention.
Témoignage saisissant
Avant que la sentence soit prononcée, Sébastien Massicotte-Lalumière s'est adressé à la juge. «Aujourd'hui, cela fait exactement un an jour pour jour que je suis en prison. Ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est de reprendre une vie normale et de retourner aux études faire un cours de 1800 heures en informatique», s'est exprimé l'accusé.
La juge a affirmé que son arme à lui, c'était un ordinateur. « Ce serait donc une drôle de décision de lui permettre de se spécialiser encore plus dans le domaine qui lui a valu son crime », a commenté Mme Gaboury.
Sébastien Massicotte-Lalumière a finalement écopé d'une peine initiale de trois ans de détention. Étant donné qu'il a déjà passé une année en prison, il lui en reste deux à purger. L'accusé a aussi écopé de trois ans de probation à sa sortie de prison. Il lui sera interdit de se servir d'un ordinateur. À sa sortie de la salle d'audience, il s'est exclamé en riant : «C'est absolument n'importe quoi tout ça!».
Sébastien Massicotte-Lalumière a déjà eu de nombreux démêlés avec la justice en raison notamment d'accusations pour alcool au volant, vol et possession de stupéfiants.


REF.:

Le Fédéral gaspille votre argent ? Des Édifices à moitié vide Coût: 11,5 millions $

Édifices à moitié vide - Coût: 11,5 millions $
L’analyste du marché Barry Nabatian. 
©Tony Caldwell / Archives / Agence QMI

OTTAWA – Des immeubles fédéraux à moitié vides coûtent 11,5 millions $ par année aux contribuables, selon des documents obtenus par l’Agence QMI en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.
Il y a près d’un million de pieds carrés de bureaux fédéraux vides à Ottawa. Selon les documents, il y a 18 édifices de Travaux publics et Services gouvernementaux qui ont un taux d’inoccupation de plus de 50 % dans la région d'Ottawa-Gatineau, et plusieurs d'entre eux sont vacants depuis des années et mêmes des décennies, ce qui coûte aux contribuables des millions $ pour le chauffage, l’eau et l’éclairage, la sécurité ou les taxes foncières.
En raison de la mise à pied de 4 800 employés fédéraux d’ici 2015, l’espace vacant devrait doubler. En outre, quatre nouveaux édifices fédéraux présentement en construction à Gatineau accueilleront des fonctionnaires fédéraux en 2013.
«Je pense que toute personne raisonnable pourrait se demander pourquoi le gouvernement jette par la fenêtre des millions $ pour l’entretien de bâtiments vacants», a déclaré le directeur pour l’Ontario de la Fédération canadienne des contribuables, Gregory Thomas. «Je pense que Travaux publics doit une explication aux contribuables.»
Selon l’analyste du marché Barry Nabatian, qui travaille pour Shore-Tanner and Associates, il existe un réel problème de gestion.
«Ils n’administrent cela vraiment pas correctement. Aucune société immobilière, aucune entreprise de gestion du secteur privé ne permettrait que cela se produise».
«Des espaces vacants pendant quelques mois, cela est parfois inévitable, mais année après année, c’est incroyable», a ajouté M. Nabatian.
Selon lui, la seule solution viable consiste en un partenariat public-privé pour louer les espaces gouvernementaux vacants.
Il fait valoir que le gouvernement fédéral devrait accueillir de petites firmes de consultation et des entreprises de haute technologie en démarrage, afin de louer l'espace vacant avec des contrats à court terme, qui pourraient prendre fin lorsque le gouvernement aurait besoin à nouveau de cet espace.
«Dans l'intervalle, les bâtiments seraient occupés, le gouvernement obtiendrait des recettes et augmenterait aussi la sécurité», a déclaré M. Nabatian.
Le porte-parole à Travaux publics et Services gouvernementaux, Sébastien Bois, a toutefois fait valoir que les édifices fédéraux, y compris l'espace inutilisé, ont contribué à l'économie locale, avec le versement de 74,63 millions $ en taxes versés directement dans les coffres de la ville d’Ottawa en 2011.




REF.:

Prêts et bourses ? l'argent est utilisé à d’autres fins ?

Québec a reçu depuis un an un pactole de 550 millions de dollars du gouvernement fédéral pour financer les bourses aux étudiants des cégeps et des universités. L’argent est utilisé à d’autres fins.
Un premier chèque de 275 millions de dollars est entré en janvier 2011, puis un deuxième du même montant a été versé en janvier dernier, a confirmé Ressources humaines et développement des compétences Canada (RHDCC). L’argent est versé en vertu du Programmes canadien de prêts aux étudiants. Même s’il ne participe pas à ce programme, le Québec a droit à « des montants compensatoires qui visent à appuyer ses propres programmes d’aide financière aux étudiants », a expliqué RHDCC par voie de courriel.
Les contributions du fédéral couvrent les années 2009-2010 et 2010-2011. RHDCC n’a pas confirmé si le versement du transfert sera reconduit pour l’année 2011-2012. Au lieu d’utiliser cet argent pour financer le programme de prêts et bourses aux étudiants, Québec l’injecte dans le fonds consolidé du revenu, de sorte qu’il sert au financement de différentes missions de l’État, a déjà confirmé le ministère des Finances.
Étudiants défavorisés
Les associations étudiantes des cégeps et des universités demandent au gouvernement Charest d’utiliser au moins une partie de l’argent provenant du fédéral pour bonifier le régime de prêts et bourses.
« Ça fait partie de nos revendications depuis plusieurs années. On s’est rendu compte l’an dernier qu’il y avait eu une bonification de 70 millions du transfert fédéral. Et on a encore eu les 70 millions de plus cette année. C’est de l’argent qui devrait aller aux étudiants. On doit bonifier le système de prêts et bourses. Les étudiants défavorisés en ont besoin », demande Martine Desjardins, présidente de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ).
Le régime d’aide financière aux étudiants des cégeps et des universités est doté cette année d’une enveloppe de 568,7 millions de dollars, en hausse de 62,6 millions par rapport à l’année 2011-2012.


Pologne: IBM et HP impliqués dans une affaire de corruption

Pologne - IBM et HP impliqués dans une affaire de corruption
 
© AFP / Jean-Pierre Clatot

VARSOVIE - Les groupes informatiques IBM et Hewlett-Packard seraient impliqués dans une affaire de corruption concernant l'informatisation des administrations en Pologne, croit savoir jeudi le quotidien polonais Rzeczpospolita.
Le porte-parole de la police anti-corruption (CBA) Jacek Dobrzynski a refusé de confirmer ou de démentir les informations du journal.
Ces informations font suite à l'annonce mercredi par CBA de l'interpellation d'un haut fonctionnaire au sein de la direction de la police nationale et de deux dirigeants d'une société informatique polonaise, NetLine selon Rzeczpospolita, mis en examen tous les trois pour pots-de-vin.
«Les présidents de la société NetLine interpellés hier coopéraient étroitement avec les géants informatiques IBM et HP», a affirmé le journal.
Au début de l'année, CBA avait arrêté plusieurs hauts fonctionnaires et deux anciens directeurs de sociétés informatiques, mis en examen pour corruption dans les appels d'offres, a rappelé M. Dobrzynski.
Les porte-parole d'IBM et de HP en Pologne ont implicitement confirmé jeudi l'implication dans l'affaire de leurs anciens employés.
«Hewlett-Packard Polska coopère pleinement avec les autorités polonaises dans le cadre de l'enquête et ne commente pas son déroulement», a déclaré à l'AFP sa porte-parole Anna Marciniak, tout en soulignant que l'un des hommes inculpés, Tomasz Z., «n'était plus employé de HP Polska depuis février 2010».
De son côté, IBM «prend note des informations de presse au sujet d'un ancien employé d'IBM», a déclare son porte-parole en Pologne Tomasz Stachera.
«Nous prenons cette affaire très au sérieux et coopérons avec toutes les institutions chargées de l'enquête. Nous n'en commentons pas les détails à ce stade», a-t-il précisé.


REF.:

Les Riches vivent a Singapour

Oui, les riches sont imposés à 20% au lieu de 35% !

Voici l'histoire d' Eduardo Saverin : (un riche au pays de pauvres ! )

Loin de l'agitation de Wall Street où Facebook s'apprête à entrer en Bourse, un cofondateur du géant des réseaux sociaux, Eduardo Saverin, mène une vie tranquille à Singapour où il investit sa fortune dans des start-ups technologiques.

Le Brésilien, qui avait créé Facebook avec Mark Zuckerberg et deux autres amis à Harvard en 2004, a abandonné sa nationalité américaine et veut s'installer définitivement à Singapour, la ville-État prospère du sud-est asiatique.
Comme le raconte le film «The social network», Saverin, âgé maintenant de 30 ans, avait mis son sens des affaires au service de l'entreprise, portée par le génie informatique de Zuckerberg, lorsqu'ils ont créé ensemble le site internet le plus populaire au monde.
Les deux amis se sont violemment disputés lorsque la part de Saverin dans le capital a été fortement diluée, mais il devrait largement bénéficier de la mise en Bourse de Facebook, prévue vendredi.
Les critiques affirment que Saverin a renoncé à sa nationalité américaine pour éviter de payer l'impôt sur la plus-value sur sa fortune, estimée à 3,4 milliards de dollars US par le site internet «À qui appartient Facebook?».
Selon ce site, le jeune Brésilien détient 4% du capital.
Si ce chiffre est confirmé, Eduardo Saverin sera un des résidents de Singapour les plus riches.
Fuyant les médias, il bénéficie dans ce centre technologique et financier de l'Asie d'un anonymat qui lui échapperait aux États-Unis.
Tom Goodman, le porte-parole de Saverin à New York, a refusé de préciser la part de son client dans le capital de Facebook et affirme que la question des impôts n'a pas joué dans la décision de s'exiler.
C'est simplement que «Saverin a trouvé plus pratique de devenir un résident de Singapour» pour le long terme.
«Il estime que Singapour est au centre de la zone où il faut être pour la croissance, notamment dans tout ce qui touche à la technologie grand public, avec un marché internet et de portables qui s'accroît vite et va devenir dominant au niveau mondial», a déclaré Tom Goodman.
«Il prévoit d'investir dans des groupes brésiliens et internationaux qui sont très intéressés par l'entrée sur les marchés asiatiques», a-t-il ajouté.
L'impôt sur la plus-value n'existe pas à Singapour.
Les habitants les plus riches sont imposés à 20%, un taux moins élevé que les 35% de taux marginal pour les plus riches aux États-Unis.
Eduardo Saverin, dont l'argent et les conseils sont très recherchés par les acteurs du secteur de la technologie à Singapour, refuse les entretiens avec la presse et limite ses apparitions publiques.
Ceux qui le connaissent assurent qu'il est sans prétention et qu'il protège sa vie privée, mais qu'il reste accessible.
Il est apparu à quelques reprises dans la presse au bras de jeunes beautés, dont Rachel Kum, Miss Singapour 2009.
Perx, une start-up du web de Singapour, est une des entreprises dans laquelle Saverin a investi.
Selon le cofondateur de l'entreprise, Andrew Roth, Saverin a mis la main à la poche en 2011 et fournit ses conseils sur le développement de son application pour l'iPhone, une carte virtuelle de fidélité qui récompense les clients de restaurants, boutiques et autres établissements. Elle compte 40 000 clients.
«Il s'investit de plus en plus côté produits (...) et nous a donné des conseils très pertinents sur la façon de s'améliorer», a indiqué Roth.
Anideo, autre société technologique singapourienne connue pour son application de streaming vidéo sur mobile, Denso, a également reçu des fonds de Saverin.
Pour Tom Goodman, la présence de cette star des nouvelles technologies attire des entreprises «de première classe» à Singapour et dynamise le secteur des start-ups.