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mercredi 23 juillet 2025

Ce que nous vivons n’est qu’un point de vue dans l’espace-temps :

Ce que nous vivons n’est qu’un point de vue dans l’espace-temps :



Il y a un trou noir au centre de notre galaxie. Et peut-être aussi au centre de nous.


Il s’appelle Sagittarius A*.

Quatre millions de fois plus massif que le Soleil.

Silencieux, enveloppé de poussière, il semblait inerte depuis des millénaires.


Mais en mai, il s’est enflammé 75 fois plus fort que d’habitude.

Un éclair d’énergie.

Sorti de nulle part.

Puis plus rien.


💥 Aucune étoile n’est tombée. Aucun événement connu n’explique ce phénomène.

Peut-être un choc magnétique.

Peut-être une collision invisible.

Peut-être… autre chose.


 Les scientifiques observent. Mais ce que ça ébranle, c’est plus que la physique.

C’est notre vision même de la réalité.


 Le temps ne s’écoule pas pareil partout.

Là-bas, au bord du vide, il ralentit.

Ici, nous courons sans fin.

Nous croyons au solide, au connu, au prévisible.

Mais la physique quantique prouve qu'on se plante, allégrement !


 Nos expériences sont relatives.

Ce que nous vivons n’est qu’un point de vue dans l’espace-temps.

Il n’y a pas qu’une vérité, pas qu’une blessure, pas qu’un chemin.

Nous sommes faits de matière visible et de forces invisibles.

Traumatisme, croyance, loyauté, mémoire familiale…

Tout ça peut sembler figé.

Mais tout ça peut aussi brûler et se transformer.


 Peut-être que le trou noir, c’est aussi le lieu inconscient en nous.

Celui qui paraît fermé, éteint, anesthésié.

Et qui, sans prévenir, peut s’illuminer.


Et si cet éclat cosmique n’était pas seulement un événement astronomique,

mais un rappel ?

Un écho du vivant en nous ?

Un appel à changer de conscience ?


 Même ce qui semblait endormi peut changer.

Même ce que tu croyais figé peut s’éveiller, peut surgir.

A évoluer !


RÉF.: Corinne Hanon, 


https://sourceensoi.com/

jeudi 17 juillet 2025

Dans un événement, s'il y a une tension, c'est qu'il faut :

 Dans un événement, s'il y a une tension, c'est qu'il faut :

Dans un événement, s'il y a une tension, c'est qu'il faut se demander c'est quoi le problème et donc il faut se poser une question et parler à son esprit.


Par : Sandra Vimont



Réponse (T30du113); 


-Tout se passe à l'intérieur de votre univers fractal



-Si on a le mot lâcher prise en tête, c'est vraiment désuet, c'est plutôt une communication avec votre double, et que vous devez demeurer dans votre intelligence, et dans votre amour expansif pour inclure et intégrer tout ce qui a déjà été créé dans votre univers ! Ce voyage, vous propulsera directement dans le plan universel pour vous rendre ensuite à la source manifestée ou le Yang absolu.



RÉF.: T30du113, 


SandraVimont,


https://www.supramental.biz/fr/index.xml



lundi 14 juillet 2025

Vous ressentez un malaise… sans comprendre pourquoi ? Appel-moi, je travail averc l' Hypnose, EMDR, accompagnement thérapeutique

 Vous ressentez un malaise… sans comprendre pourquoi ? Appel-moi, je travail averc l' Hypnose, EMDR, accompagnement thérapeutique



Il n’y a pas de drame. Pas de conflit. Et pourtant, quelque chose en vous pèse.

Un flou intérieur. Une fatigue émotionnelle. Un vide que rien ne semble combler.


💬 Vous vous le dites peut-être :


« Tout va bien, mais rien ne va vraiment. »


Ce que vous vivez n’est pas anormal. C’est un signal.

Un appel discret de votre corps et de votre inconscient.


Il ne s’agit pas d’un simple passage à vide.

C’est une perte d’alignement.

Avec vous-même. Avec vos vrais besoins. Avec ce que vous avez dû mettre de côté trop longtemps.


Et si c’était le moment de revenir à vous ?

Hypnose, EMDR, accompagnement thérapeutique…

Je vous propose un cadre simple et respectueux pour accueillir ce malaise flou et l’éclairer.


Pas besoin de tout comprendre pour commencer.

Pas besoin d’aller vite.

Seulement le désir de retrouver un lien clair avec soi, au-delà des automatismes et des rôles.


Ce travail ne vous transforme pas en quelqu’un d’autre.

Il vous reconnecte à qui vous êtes quand vous arrêtez de fuir.


Ce que vous gagnez :

Un espace pour poser vos ressentis sans jugement


Une écoute précise, respectueuse de votre rythme


Des outils concrets pour sortir de la confusion intérieure


Une alliance thérapeutique stable et professionnelle


📩 Prêt(e) à revenir chez vous ?

Prenons le temps d’en parler.

Un premier pas peut tout changer.


👉 Contactez-moi ici par message.

RÉF.:Corinne Hanon, https://sourceensoi.com/ , 

et Fb 

mercredi 9 juillet 2025

Aimer autrement: Par Corinne Hanon

 Aimer autrement: Par Corinne Hanon


L’attractivité d’une personne ne devrait pas reposer sur une faille.

Ni sur le manque, ni sur le besoin d’être comblé.

Ni sur les projets qu’on imagine, ni sur les fantasmes de ce que l’on pourrait construire ensemble.

Ni sur la fuite de soi-même.


Elle ne devrait pas venir de la peur, ni du vide, ni d’un "ceci ou cela" qu’on cherche désespérément à remplir.

Mais naître, simplement, de la rencontre.

De ce qui se ressent en soi quand l’autre est là.

De ce mouvement intérieur qui nous recentre, qui nous relie à une part vivante de nous.

De l’évolution silencieuse qui se met en route à ce contact.


Ce qui compte, ce n’est pas d’aimer l’autre pour ce qu’il est — car qui peut réellement le voir entièrement ?

Ce qui compte, c’est de voir comment la relation nous permet d’aimer.

D’aimer l’autre, mais aussi de nous aimer nous-mêmes à travers ce lien.

D’éprouver la capacité d’être en relation.


Et la relation, ce n’est pas un concept figé.

C’est un mouvement.

Un espace où les formes changent, où la parole parfois éclaire, et où parfois il ne reste qu’un silence partagé.

Un lien qui peut être doux ou secoué, calme ou traversé de tension, mais qui garde la conscience éveillée.

Une présence à l’autre — et à soi — qui ne cherche pas toujours un but, mais accepte d’être là, pour rien.


Être en relation, c’est aussi apprendre à se respecter profondément.

À discerner ce qui est juste, ce qui est bon pour soi, ce qui fait sens dans le lien.

C’est savoir se tenir, savoir dire non, savoir reconnaître quand un seuil est franchi.


C’est une clarté qui ne ressemble à rien de ce qu’on a connu avant.

Et vouloir être en relation, vraiment, implique cette exigence.

Celle d’habiter la conscience, pas seulement le désir.

Et d’accueillir ce que ce lien vient nous apprendre, en nous, pour nous.


RÉF.: Corinne Hanon, 

https://sourceensoi.com/

Poème: En forme de coeur

 Poème: En forme de coeur



C'était un rubis qu'elle portait

Sur une chaîne autour de son cou

En forme de coeur

En forme de coeur


C'était une époque que je n'oublierai pas

Pour le chagrin et le regret

Et la forme d'un coeur

Et la forme d'un coeur

Je suppose que je ne l'ai jamais su

De quoi elle parlait

Je suppose que je ne l'ai jamais su

Ce sans quoi elle vivait


Les gens parlent d'amour, ils ne savent pas à quoi ils pensent

Attends celui qui te va comme un gant

Parlez en termes de croyance et d’appartenance

Essayez de donner un nom à leur désir

Les gens parlent d'amour

Il restait un trou dans le mur

D'un ancien combat

De la taille d'un poing

Ou quelque chose de lancé qui avait manqué

Il y avait aussi d'autres trous

Dans la maison où tombaient nos nuits

Beaucoup trop de choses à réparer

À l'époque où nous étions là


Les gens parlent d'amour, ils ne savent pas à quoi ils pensent

Tendre la main les uns aux autres en poussant et en bousculant

Parlez en termes de vie et d’apprentissage

Essayez de penser à un mot pour la brûlure

Tu continues comme ça, tu essaies si fort

Pour empêcher une vie de s'effondrer

On ne sait jamais quelles brèches et quels défauts sont cachés


En forme de coeur

En forme de coeur

En forme de coeur

C'était le rubis qu'elle portait

Sur un support à côté du lit

Dans l'heure avant l'aube

Quand j'ai su qu'elle était partie

Et je l'ai tenu dans ma main

Pendant un petit moment

Je l'ai laissé tomber dans le mur

Je l'ai laissé partir et je l'ai entendu tomber

Je suppose que je ne l'ai jamais su

De quoi elle parlait

Je suppose que je ne l'ai jamais su

Ce sans quoi elle vivait

Les gens parlent d'amour, ils ne savent pas à quoi ils pensent

Attends celui qui te va comme un gant

Parler en termes de vie et de vivant

Essayez de trouver le mot pour pardonner

Tu continues comme ça, tu essaies si fort

Pour empêcher une vie de s'effondrer

Et je ne connais jamais les bas-fonds et les récifs invisibles

qui sont là depuis le début

En forme de coeur

En forme de coeur

En forme de coeur

En forme de coeur

En forme de coeur

En forme de coeur



Par: Chanson de Jackson Browne  https://www.youtube.com/watch?v=lbRKL6HHN88

In the Shape of a Heart


La différence entre l’amour et l’attachement…

 La différence entre l’amour et l’attachement…


Il y a une douleur sourde que l’on porte souvent sans la nommer. Une confusion silencieuse qui s’installe dans nos vies et déforme nos cœurs : celle entre aimer et s’attacher.

On croit aimer… mais en vérité, on s’accroche.

On croit que c’est de l’amour parce que l’autre nous manque, parce qu’on pense à lui chaque jour, parce qu’on souffre quand il s’éloigne. Mais ce n’est pas ça, l’amour.

Ce manque, cette peur panique de perdre, ce vide qui hurle quand l’autre n’est plus là… c’est l’attachement.


L’attachement dit : « Ne me quitte pas, j’ai besoin de toi pour être bien»

L’amour dit : « Je te veux libre, même si ce n’est pas avec moi»


L’attachement viens du vide, du manque, des blessures non guéries. Il s’accroche aux gens comme une bouée à la dérive.

L’amour, lui, viens du plein. Il n’a pas besoin de posséder, ni de contrôler. Il est présence, pas dépendance. Il est offrande, pas contrat.


Beaucoup restent dans des relations mortes, pensant aimer… alors qu’ils ont juste peur d’être seul.

Ils confondent l’habitude avec la passion, la douleur avec la preuve, le besoin avec le lien.

Ils disent : « Je l’aime trop pour partir. »

Mais ce n’est pas de l’amour quand sa t’éteint, quand sa t’efface, quand sa t’abîme.

Aimer, c’est grandir à deux.

S’attacher, c’est s’oublier pour retenir l’autre.

Alors pose-toi la vraie question :

Est-ce que tu aimes cette personne…

… ou est-ce que tu as peur de ce que tu serais sans elle ?


La vérité, c’est que l’amour ne fait pas mal.

Ce qui fait mal, c’est de s’agripper à ce qui ne te nourrit plus.

Ce qui fait mal, c’est de confondre l’autre avec ta propre valeur.


Libère-toi.

Apprends à aimer sans t’oublier.

Apprends à laisser partir ce qui n’est plus aligné.

Parce que l’amour véritable ne détruit jamais. Il élève.

Et parfois, le plus grand acte d’amour

… c’est de se choisir soi. Tu vas y arriver.. je crois en toi 🙏


Par: Olivier

FB: « les voix de l’univers »

Vivre en fonction de l’autre: par Corinne Hanon

 Vivre en fonction de l’autre: par Corinne Hanon 


Il y a eu un basculement.

Jusqu’ici, j’ai vécu ma vie en fonction de l’autre —

par réaction, par amour, par conflit, par réparation.

Aujourd’hui, c’est terminé.

Ma vie ne change plus à cause de l’autre.

Ni grâce à lui.

Elle change parce que c’est le moment.

Parce que c’est juste.

Parce que je suis là.

Ce tournant est programmé.

Il ne concerne que moi.

Il ne dépend d’aucun regard, d’aucune reconnaissance, d’aucune validation.

Je ne suis plus la réparatrice.

Je ne suis plus la mère.

Je suis dans ma vie.

Entière. Présente. Autonome.

Et surtout :

je ne crois plus.

Je ne crois plus aux signes extérieurs, aux figures, aux idées toutes faites, ni aux promesses des autres.

Croire, c’est se subordonner.

Moi, je ne crois plus.

Je n'attends plus.

Ce que je n’accepte pas encore, je ne le fige pas.

Je sais que ça bougera.

Le présent est un mouvement — et j’y suis.

Vivre dans l’instant,

c’est cesser de demander à l’autre de faire sens.

Je suis le sens.

Je suis là.

 Rien ne commence ailleurs qu’en moi, centré.e


RÉF.:Corinne Hanon, 


https://sourceensoi.com/