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mercredi 23 mars 2011

Le peuple nippon devrait pisser fluorescent d'ici 3 ans















Aliments et eau contaminés dans le pays


Le Japon a déclenché samedi une première alerte aux aliments radioactifs à proximité de la centrale nucléaire de Fukushima. Des niveaux anormalement hauts de radioactivité auraient été relevés dans du lait et des épinards produits dans le nord-est du pays, ont indiqué les autorités.
Des traces d'iode radioactif ont également été décelées dans l'eau du robinet à Tokyo et dans d'autres localités.
Ces niveaux de contamination ne sont cependant pas dangereux pour la santé, a assuré un porte-parole du gouvernement, en appelant la population à garder son calme.
Mais Julie Lemieux, chercheuse autonome et auteure du livre «Avez-vous peur du nucléaire ?», estime que cette situation était à prévoir. «C’est évident qu’il y a des dépôts radioactifs déjà qui se font au niveau du sol, qui vont être mesurés dans l’eau et qui vont être là de manière durable et à long terme.
C’est sûr qu’une fois que le territoire est contaminé il va falloir faire des échantillonnages de sol, de plantes, pour vérifier exactement ce qu’il y a dans chaque composante. C’est sûr qu’ils n’en parlent pas parce que premièrement c’est un travail très compliqué puis deuxièmement c’est très alarmant effectivement.
Le fait qu’on ait mesuré de l’iode radioactif à Tokyo, on parle de 250 km de distance […] et l’iode radioactif c’est dangereux, très dangereux, ça augmente le risque de développer un cancer dans les années qui viennent», a indiqué Mme Lemieux.
Sans attendre l'annonce des prélèvements effectués sur le terrain, plusieurs pays étrangers avaient déjà pris des mesures préventives contre les produits alimentaires nippons.









«Des contaminants radioactifs ont été détectés dans quatre échantillons de légumes en provenance du Japon», a annoncé l'autorité de surveillance alimentaire de Singapour.



Deux employés ont été «exposés à des niveaux de radiation compris entre 170 et 180 millisieverts», a indiqué Hidekuki Nishiyama, porte-parole de l'Agence.
Les employés travaillaient dans un bâtiment qui abrite la turbine, un lieu distinct du bâtiment du réacteur.
Une exposition à 100 millisieverts sur une période d'un an est considérée comme le seuil à partir duquel augmente le risque de contracter un cancer plus tard.



REF.:

L’avenir avec un grand A !


Tant au niveau social, politique qu’humain, les Québécois se prononcent.
L’IRB a demandé aux Québécois de jeter un œil dans leur boule de cristal et de nous dire ce qu’ils y voyaient. À vous de juger s’ils sont plutôt positifs ou davantage négatifs.

L’homme, foncièrement bon

La grande majorité des répondants considère l’homme comme un être foncièrement bon alors que le quart n’adhère pas à cette croyance (70% vs 25%). L’attitude plutôt pessimiste de ces derniers se fait d’ailleurs sentir sur leur niveau de bonheur, l’IRB moyen de ce groupe accusant un recul de 3 points sur celui des autres.
Plus on vieillit, plus on adopte un ton conciliant vis-à-vis de l’homme avec un grand H alors que l’inverse se produit avec le niveau de scolarité des répondants.
Considère que l'homme est un être foncièrement bon en fonction de l'âge

Cette constatation se veut inquiétante et n’est pas sans démontrer un certain cynisme qui plane au-dessus de nos sociétés depuis déjà trop longtemps, cynisme qui s’installe dès l’adolescence et le début de l’âge adulte.

Le collectif vs l’individuel

Questionnés à savoir si l’intérêt de la race humaine primera un jour sur les intérêts individuels, la réponse est cinglante et démontre l’étendue des dommages. Alors que 40 % le croît, plus de la moitié (56 %) n’y croit plus. Le pire est de constater que l’IRB des deux groupes est sensiblement le même, ce qui démontre que la plupart ont abdiqué et n’entretienne plus aucun espoir de ce côté.
Ces données et d’autres issues des enquêtes antérieures de l’IRB expliquent, en partie du moins, la recrudescence de l’individualisme au détriment du collectivisme, une tendance qui ne démontre aucun signe de fatigue.

Pire ou meilleur le futur?

Avec les données précédentes, personne ne sera surpris d’apprendre que dans la boule de Cristal des Québécois, ils sont moins nombreux (41 %) à voir dans demain un monde meilleur et plus nombreux (52 %) à y voir le contraire.

REF.: