Dans le film Bumrush, la mafia élimine les indésirables directement dans les incinérateurs ? Ça c'est un arrangement funéraire ?
Photo le journal de montréal, Pierre-Paul Poulin
Patrick Fortin, dirigeant des salons de la bannière
Complexe funéraire Fortin, a coupé les liens avec le salon de la rue
Wellington mis à l’amende ce mois-ci, question de conserver son image de
marque.
Le tiers des directeurs de funérailles au Québec gèrent mal
les comptes où est déposé l’argent récolté auprès de leurs clients, pour
des préarrangements funéraires. Fiction ou réalité ?$?
C’est la conclusion à laquelle est arrivé l’Office de la protection
du consommateur après une enquête de deux ans, qui a aussi permis de
décerner 250 000 $ d’amendes aux contrevenants.
Le quart des Québécois qui décèdent ont opté pour un préarrangement
funéraire. Cercueil, service d’incinération, exposition, pierre tombale,
la facture s’élève souvent à plus de 10 000 $. Un montant réglé à
l’avance pour épargner cette corvée aux proches, mais un cadeau qui peut
s’avérer empoisonné si l’argent versé au salon n’est plus là dans
30 ans, au moment du décès. Une faillite et une enquête
C’est ce qui est arrivé en 2008 lors de la faillite du Centre
funéraire Ville-Marie, rue Ontario. On a découvert un compte en banque
vide, mais 48 préarrangements signés et payés. Pourtant, la loi impose
aux salons de conserver ces montants dans un compte en fiducie. Par un
coup de chance, le Salon funéraire Côte-des-Neiges a décidé de récupérer
et d’honorer les contrats. Sinon, les clients auraient peut-être dû
payer leur préarrangement une seconde fois.
C’est cette situation explosive qui a incité l’OPC à visiter les
277 directeurs de funérailles de la province en 2009 et 2010 pour
vérifier si on respectait la loi. Ils ont découvert que près d’une
centaine d’entre eux omettaient de déposer au moins 90 % de la somme
perçue dans un compte dans les 45 jours suivant sa réception, comme
l’impose la loi. Récidivistes
Bon joueur, l’Office a donné le temps aux directeurs de funérailles
de modifier leurs pratiques. Mais lorsque l’organisme est passé à
nouveau quelques mois plus tard, 43 d’entre eux étaient toujours
délinquants. C’est à eux que l’OPC a distribué généreusement les
amendes : 113 000 $ à 14 salons funéraires en 2010; 35 000 $ à huit
salons en 2011 et 102 700 $ à sept salons depuis le début de l’année.
D’autres amendes sont à venir, promet l’OPC.
Le montant des amendes varie de 1 500 $ à plus de 30 000 $, selon la
taille des entreprises. « On ne veut pas les saigner, mais on veut
qu’elles retiennent le message », explique Jean-Jacques Préaux,
porte-parole à l’OPC.
Le dernier directeur de funérailles mis à l’amende, Alexandre Roy, du
Complexe funéraire Fortin, division sud-ouest, situé sur la rue
Wellington, à Montréal, a même été condamné pour avoir entravé le
travail des enquêteurs de l’OPC. « Il a nié avoir fait signer des
contrats d’arrangement préalables alors qu’on avait reçu des plaintes
contre lui », explique M. Préaux.
Nous avons contacté Patrick Fortin, qui dirige les salons de la
bannière Complexe funéraire Fortin. Il nous a assuré avoir coupé les
liens avec ce salon afin de conserver son image de marque. Selon le
Registraire des entreprises, le salon porte le nom de Complexe funéraire
Roy depuis le 30 mars 2011.
ET ça ,sans que le SPVM allume ? alloooooooooo 0 ici Pole Poirier,......10 a 4 pour la mafia ;-)
Deux policiers de Longueuil et deux autres de la police de
Montréal ont été arrêtés ces derniers jours en raison de leurs relations
avec des individus liés au crime organisé, a appris le Journal.
Deux des quatre policiers, un de Longueuil et un de Montréal, ont été
appréhendés dans la lignée des événements qui ont mené au passage à
tabac d’un enquêteur du SPVM dans une boîte de nuit de Playa Del Carmen
au Mexique en janvier 2011.
Les deux policiers n’auraient cependant pas été du groupe qui a séquestré et battu sévèrement l’enquêteur.
Des détails sur les relations entre ces deux policiers et les motards
ont été exposés lors de l’enquête sur remise en liberté de deux
individus accusés de menaces dans cette affaire, Marc-André Lachance et
Shane Kenneth Maloney.
Une ordonnance de non-publication nous empêche de rapporter les
témoignages entendus lors de cette enquête tenue en novembre 2011. Arrêtés au travail
Les actes reprochés aux deux policiers longueuillois ne se sont pas produits dans l’exercice de leurs fonctions.
Ces policiers, qui cumulent entre 5 et 10 ans d’expérience, ont été
arrêtés au travail mercredi matin, sur le territoire de la police de
Longueuil. Les deux policiers du SPVM ont été appréhendés jeudi. On
ignore toutefois dans quelle circonstance.
LE SPVM a confirmé leur arrestation mais n’a donné aucun détail sur la nature de leur travail et leur ancienneté.
Les quatre policiers arrêtés dans cette affaire ont été interrogés
par des enquêteurs de la Division du crime organisé de la police de
Montréal puis relâchés. Ils pourraient être accusés. Suspendus
Immédiatement après leur arrestation, les deux policiers
longueuillois ont été suspendus avec solde et renvoyés à la maison. On
ne sait pas si c’est le cas pour les deux policiers montréalais.
« Notre code prévoit qu’ils doivent être suspendus avec solde étant
donné qu’ils n’ont pas été accusés. Cette situation pourrait toutefois
changer si des accusations sont portées, dépendamment de la nature de
celles-ci », explique la capitaine Nancy Conagiacomo de la police de
Longueuil.
Une affaire de fesses et de piastres ! La dignité de mourrir dans la paix a été exclus !
QUÉBEC – Après deux jours et demi de délibérations, l'ex-juge Jacques
Delisle a été reconnu coupable jeudi d'avoir tué sa femme de manière
préméditée, devenant ainsi le premier magistrat à être condamné pour une
accusation de meurtre au premier degré, au Canada.
Les huit hommes et quatre femmes ont prononcé ce verdict unanime vers 15
heures, jeudi, après que le juge Claude Gagnon eut demandé à l'accusé
de se lever. À l'annonce de cette décision, Jacques Delisle – qui avait
été très droit jusqu'ici – a frappé la table de son poing en lançant un
«calique!», avant de se prendre la tête à deux mains.
L'ancien juge de la Cour d'appel du Québec est donc automatiquement
condamné à une peine d'emprisonnement à perpétuité, avec un minimum de
25 ans à purger avant d'obtenir une libération sous condition.
La nouvelle a provoqué un véritable raz-de-marée émotionnel chez la
famille du désormais meurtrier, ses enfants – Jean et Élaine – ne
pouvant retenir leurs larmes. Désemparé, le fils de Jacques Delisle a
marché vers son père, quelques instants après que la cour eut été
suspendue, suppliant les gardiens de le laisser lui faire un dernier
«câlin».
«Je veux faire un câlin à mon père! Je veux faire un câlin à mon père!
C'est du gros bon sens, ici, dans cte cour-là, esti», a-t-il laissé
tomber, en larmes.
Faisant fi des directives des constables, qui lui demandaient de
respecter la procédure et de quitter la salle, Jean Delisle a enlevé son
veston et détaché sa ceinture, visiblement déboussolé.
«Je peux pas croire qu'en notre société on est rendu la», a-t-il ajouté, avant de lancer son veston dans la salle du tribunal. Attaque aux journalistes
Calmé par ses proches et l'avocat de son père, Me Jacques Larochelle,
Jean Delisle a ensuite injurié un journaliste qui se trouvait dans la
salle, sous les yeux de plusieurs témoins. L'homme de 48 ans s'en est
ensuite pris aux autres reporters, s'insurgeant du fait que certains
d'entre eux ont utilisé Twitter durant le procès pour meurtre de son
père.
«Ça n'a pas de bon sens, il y a quelque chose de fucké, ça ne marche
pas! Twitter, ça n'a pas de bon sens», a-t-il lancé, juste avant de
quitter la cour.
Avec un certain trémolo dans la voix, le juge Claude Gagnon a remercié
le jury. «Votre verdict mérite notre respect et nous y donnerons suite»,
a-t-il mentionné, avant de le dissoudre.
Jacques Delisle a donc pris le chemin des cellules. Pas à l'abri de la Justice
Au sortir de l'audience le procureur de la Couronne, Me Steve Magnan, s'est évidemment dit satisfait du verdict.
«Il faut respecter le travail qu'a fait le jury, a dit le procureur.
Durant six semaines, ils ont écouté la preuve, ils ont délibéré durant
deux jours et demi. Je ne suis pas surpris. La preuve était présentée et
c'est correct.»
«Personne n'est au-dessus de la loi, a ajouté Me Magnan. Peu importe le
titre, peu importe la profession, peu importe ce que la personne fait
dans la société, lorsqu'il y a une preuve qu'un crime est commis,
lorsqu'une preuve est présentée et qu'un dossier est enquêté, c'est
notre devoir de présenter le dossier, peu importe à qui on a affaire ou
peu importe qui a commis le crime.»
Quant à l'avocat de Jacques Delisle, Me Jacques Larochelle, il a refusé
de répondre aux questions des journalistes. On s'attend cependant à ce
qu'il porte le verdict en appel.
Tuée d'une balle à la tête
Le 12 novembre 2009, Jacques Delisle appelait le 911 pour expliquer que
son épouse s'était suicidée. Mais un technicien en scènes de crimes aura
rapidement des doutes en constatant que la main de Marie-Nicole
Rainville portait des traces de noir de fumée et de poudre, ce qui ne
collait pas avec l'hypothèse du suicide, dans les circonstances.
Une longue enquête policière s'est donc déclenchée et on connaît la
suite : le juge à la retraite a été accusé du meurtre prémédité de son
épouse et, ce matin, les 12 jurés - huit hommes et quatre femmes - se
sont rangés aux arguments de la poursuite.
Dans sa plaidoirie finale, Me Steve Magnan avait fait valoir que le
magistrat, qui a officié à la Cour d'appel du Québec de 1992 à 2009
avant son retrait de la vie active, avait prémédité son crime en
maquillant le meurtre de sa femme de 71 ans en suicide.
Le procureur de la Couronne a soutenu que l'ex-juge Delisle avait deux
motifs pour tuer son épouse qui nécessitait des soins constants depuis
son retour à la maison quelques semaines avant sa mort. Mme Rainville
était paralysée du côté droit depuis qu'elle avait été frappée par un
AVC en 2007. Puis en juillet 2009, une fracture de la hanche l'avait
encore diminuée physiquement.
D'abord selon Me Magnan, Jacques Delisle voulait refaire sa vie avec sa
maîtresse de longue date qui a été sa secrétaire durant plus de 25 ans.
Cette dernière devait d'ailleurs emménager avec son ancien patron, mais
le 15 juin 2010, deux jours après avoir annoncé à son mari qu'elle le
quittait pour faire vie commune avec son amant, Jacques Delisle était
arrêté par la police.
Ensuite, toujours selon la thèse de la poursuite, un autre mobile,
financier celui-là, aurait motivé l'ex-magistrat à éliminer sa femme,
puisqu'en la quittant, le septuagénaire aurait eu à subir un divorce
coûteux qui l'aurait privé de 1,4 million $. Ramassis d'histoires
Me Magnan a appelé 22 témoins à la barre - experts en balistique,
projection de sang, pathologiste, ergothérapeute, notaire, policiers -
durant la vingtaine de jours du procès, qui a commencé le 7 mai, afin de
démontrer que Marie-Nicole Rainville avait été victime d'un homicide,
qu'elle était triste de son état, elle qui avait toujours été une femme
active, mais qu'elle n'était pas suicidaire.
Le procureur de la Couronne s'est attaqué à la crédibilité du seul
expert en balistique de la défense. Selon lui, la trace de poudre
«suspecte» dans la main gauche de la victime prouve que cette dernière a
tenté de se protéger lorsque son mari aurait tiré.
Et contrairement à ce qu'a dit le spécialiste français, si la femme
avait tenu l'arme avec sa seule main valide des traces de poudre
provenant du canon de pistolet ne s'y seraient pas retrouvées de cette
façon, a avancé l'avocat.
En clôture de sa plaidoirie, Me Steve Magnan a demandé au jury de se
servir de leur «gros bon sens». Il a souligné que la preuve de la
défense n'était «qu'un ramassis de cinq bouts d'histoires» raconté par
des membres de la famille et des proches afin de corroborer la thèse du
suicide de Marie-Nicole Rainville.
Il a ajouté que Jean, l'un des deux enfants de Jacques Delisle, et sa
petite-fille avaient livré à la barre des témoignages très similaires
comme s'ils en avaient discuté, que c'en était presque du
«copier-coller».
L'avocat de la poursuite a finalement demandé aux jurés de prendre en compte les faits pour rendre un verdict de culpabilité. «Très suicidaire»
De son côté, l'avocat de l'accusé de 77 ans, Jacques Larochelle, a
notamment appuyé son argumentaire sur l'état physique, mais surtout
psychologique de l'épouse de l'accusé qui d'après ses prétentions était
dépressive et «très suicidaire» depuis son AVC. Voilà ce qui explique
son passage à l'acte le matin du 12 novembre dans le condo du couple à
Sillery.
À la suite d'une querelle et pendant que son mari s'était absenté pour
faire des courses, Marie-Nicole Rainville se serait donné la mort en se
tirant une balle à la tempe gauche avec un pistolet de calibre .22.
L'ex-juge conservait l'arme chargée chez lui sur une petite table.
«J'arrive à la maison. Ma conjointe s'est enlevé la vie», avait dit
Jacques Delisle, lors de son appel au 911. L'ex-juge n'a pas témoigné
pour sa défense, au procès.
Le réputé plaideur de Québec a fait appel à un expert en balistique qui a
expliqué que la tache de poudre noire dans la paume gauche de la
victime, qui a rapidement éveillé les soupçons des enquêteurs, s'y
trouvait parce que Mme Rainville avait tenu le pistolet à l'envers par
le canon, qu'elle s'était bien donné la mort tout comme l'a aussi
démontré la trajectoire de la balle, contrairement aux dires de la
poursuite.
Sept témoins ont été appelés à la barre durant le procès de Jacques
Delisle dont son fils Jean, sa petite-fille et des amis du couple, qui
ont pour leur part témoigné de l'état dépressif de la victime tout en
ayant de bons mots pour l'accusé.
Jacques Larochelle a réfuté dans sa plaidoirie finale la thèse du
meurtre prémédité avancée par la Couronne et le «drôle de plan» que
l'accusé aurait manigancé pour déguiser son acte en suicide tout en
rappelant la «faiblesse» de la preuve de la poursuite.
L'avocat a invoqué le «doute raisonnable» et demandé au jury de rendre
le «seul verdict qui s'impose» soit d'acquitter Jacques Delisle.
Le juge Claude C. Gagnon de la Cour supérieure du Québec avait ouvert
trois possibilités de verdicts: meurtre prémédité, meurtre non prémédité
et acquittement.
Le procès de Jacques Delisle est une première dans les annales
judiciaires au Canada. Jamais un juge n'avait été accusé de meurtre.
Quand la morphine ne joue plus sont rôle appaisant et qu'ont veut sauver de l' $$$ on coupe et cré un programme de fin de vie ?
Yves Bolduc et Jean-Marc Fournier
allez vous faire tatouer un 666 dans le front !
QUÉBEC – Le gouvernement Charest annonce la création d'un comité de
juristes experts afin d'établir le cadre juridique pour légaliser
l'euthanasie balisée, rebaptisée l'«aide médicale à mourir» par la
Commission «Mourir dans la dignité».
Les ministres Jean-Marc Fournier et Yves Bolduc veulent ainsi donner
suite aux recommandations de la Commission spéciale qui a dévoilé son
rapport très attendu il y a près de deux mois, au terme de consultations
menées dans plusieurs villes du Québec.
Les membres de la commission (des élus de tous les partis politiques)
avaient alors unanimement recommandé de s'inspirer du modèle belge en
légalisant l'euthanasie dans des circonstances bien précises. Seule une
personne souffrant d'une maladie grave et incurable et dont la condition
ne présente «aucune perspective d'amélioration» pourrait demander qu'un
médecin mette fin à ses jours dans un environnement contrôlé.
Le comité d'experts sera présidé par Me Jean-Pierre Ménard, un avocat
spécialisé en droit médical. Deux autres juristes externes, dont le
criminaliste Jean-Claude Hébert, participeront aux travaux du comité qui
devra soumettre son rapport au plus tard en octobre 2012. Des juristes
du ministère de la Justice appuieront également le comité.
«Les recommandations de la Commission Mourir dans la dignité nécessitent
un éclairage plus approfondi, notamment par rapport aux dispositions du
Code criminel, de compétence fédérale, qui prohibent l'aide au suicide,
ainsi que sur l'étendue et la portée du pouvoir d'orientation du
Procureur général au Directeur des poursuites criminelles et pénales», a
déclaré le ministre de la Justice Jean-Marc Fournier.
Les membres de la Commission spéciale ont dit souhaiter qu'un projet de
loi soit présenté à l'Assemblée nationale au plus tard en juin 2013.
«Nous sommes convaincus que la société québécoise souhaite ce
changement. Nous avons conclu qu'il faut acquiescer aux demandes d'aide à
mourir dans des circonstances bien précises. Une nouvelle option est en
effet nécessaire dans le continuum de soins de fin de vie, car les
soins palliatifs ne peuvent soulager toutes les souffrances physiques et
psychologiques des personnes malades», pouvait-on lire dans le rapport
qui a été rendu public le 22 mars dernier.
«Ce changement s'impose puisqu'il permettra des morts plus douces et des
fins de vie plus sereines, y compris pour les personnes qui n'auront
jamais recours à l'aide médicale à mourir, mais qui sauront que cette
option existe, si jamais leurs souffrances deviennent intolérables»,
avait également plaidé la Commission.
La voiture, dans laquelle le labrador était enfermé, était garée dans une zone sans ombre. (la zone en rouge)
Chien étouffée(c'était une femelle)
Un couple est accusé
TORONTO – Un homme et une femme de Val Caron, en Ontario, ont été
inculpés après que leur labrador brun sale soit mort étouffé dans leur
vieux truck, stationnée en plein soleil dans un centre commercial,ou meetons a coté.
Le couple en question(?), Angèle Lazurko, 20 ans et 3 mois et Mathieu Arbour, 21
ans juste, seront accusés et pendus pour avoir causé des souffrances inutiles à un nanimal,mais leur petit fils lui a survécu.C'est leur petit fils qui les a appelé sur leur cell avec un texto.
Ils ont été remisés en liberté ,tout près de la statue du petit jézus et doivent comparaître en cour le 10 juillet à Newmarkette, en n'Ontario.
Ironiquement,hahahahaaaa le coupe revenait de Woodstock, un festival torontois célébrant…les chiens ! c'"est vraiiiiii !
C’est un consonnateur du cente commercial de Vaughn Mills, qui a
remarqué le chien dans la voiture essayant d'écrire help dans la vitre avec sa buée a 14 h hr locale du dimanse et qui a
infomé la sécuritée.
Le chien polichier était en détlesse, allors que la fenête était à peinne
entetlouvete, a indiqué l’inspecteur William Bombray. La voiture était
garée dans une zone sans ombre,autrement dit pas d'ables.
La police croit que le chien polichier était dans la voiture depuis au moins deux heures,en train de faire ses besoins polichiers, avant qu’un passant ,paase palla remarque sa plésence.
Le chien était encore en vie lorsque les pompiers ont tenté de lui
donner de l’eau au boyeaux d 'arrosage à travers l’ouverture de la fenêtre brisée avec le pic pis la pelle de survie. Il a toutefois
perdu connaissance,et ne se rapellera pu jamais de cette incident la, alors qu'ils tentaient toujours de le sortir du
véhicule,car il y était entrée auparavent.
Le couple a finalement quitté le centre commercial ,apras une couple de minutes,pour se diriger vers les toilettes avec la voiture et a été mis en état d’éjaculation précoce.
Le groupe Anonymous a piraté le site internet www.caisse-police.ca, le lundi 11 juin 2012.
Photo Capture d'écran
La caisse Desjardins des policiers piratée
MONTRÉAL - La caisse Desjardins des policiers et policières du
Québec a visiblement été victime d'une attaque informatique, lundi en
soirée.
Sur le site www.caisse-police.com,
Anonymous rend disponibles les adresses courriel personnelles de
dizaines de policiers qui seraient membres de cette institution
financière.
Toutefois, il n'a pas été possible de savoir si ces adresses étaient
hébergées sur le site caisse-police.com, ou si elles avaient été
obtenues sur un site Internet différent.
Sur la page principale du site Internet, il est également possible de
visionner une vidéo d'Anonymous, qui elle est hébergée sur YouTube
depuis le 25 mai dernier.
Dans la vidéo, le groupe Anonymous dénonçait les «violences
policières» lors des manifestations qui se passent un peu partout au
Québec depuis le début de la grève étudiante.
Un manifeste, truffé de fautes, y a également été placé :
«Je me souviens, de vos attaques contre la presse... De vos chiens
qui ne méritent en aucun cas le titre de policiers, ces agents du
désordre qui s'attaque aux caméras. Je me souviens de votre petite fête,
où le peuple ne fut pas convié. Je me souviens de ces voitures qui
défilaient autant que les arrestations politiques. Gouvernement
terroriste du Québec, je me souviens. Bientôt, je me souviendrais, du
peuple québécois qui n'aurait imaginé... jusqu'où ce moment clef de
l'histoire pourrait aller. Je me souviendrai du peuple regagnant sa
liberté, ignorant les abrutissements et les coups de ceux que vous
employez. Je me souviendrai des journaux enfin libres de parler sans
crainte de la corruption mise à jour. Je me souviendrai de votre
défaite, parce qu'elle est promise et inéluctable. Je me souviendrai du
procès : Anonymous pour protéger le peuple, le peuple seul juge et
maître de son destin et un gouvernement entier pour accusé.»
Une autre signature est également visible sur le site Internet : celle du poney.
Celle-ci avait également été observée lors de l'attaque perpétrée contre le site Internet de la Ville d'Alma.
D'ici 2015, plus de 60 % des entreprises surveilleront l'activité de
leurs employés sur les réseaux sociaux, d'après une étude récente du
cabinet Gartner.
Les entreprises y ont recours pour s'assurer que leurs employés ne
divulguent pas d'informations confidentielles qui puissent porter
atteinte à leur marque ou à la sécurité informatique de leurs sites sur
les réseaux sociaux.
Ces derniers temps, la presse américaine rapporte que certains
employeurs iraient jusqu'à demander les codes d'accès (identifiants et
mots de passe) aux réseaux sociaux de leurs employés en poste et de
candidats à l'embauche, même si ce genre de pratiques peut leur coûter
cher devant un tribunal.
Les employés ne doivent sous aucun prétexte accepter de divulguer ses identifiants et mots de passe sur Facebook or Twitter.
Andrew Walls, du cabinet Gartner, rappelle que la pratique ne concerne
qu'une poignée d'entreprises, avant d'ajouter que «même si cette
pratique spécifique va s'étioler avec le temps, les employeurs
continueront de chercher à avoir plus de visibilité sur les
conversations de leurs employés, de leurs clients et du grand public sur
les réseaux sociaux, lorsque les sujets abordés intéressent
l'entreprise».
Selon Allen Ackerman, un expert en recrutement sur les médias numériques
à l'Agence américaine Magnet, quelques cas isolés ne suffisent pas à
révéler une tendance sur les demandes de mots de passe Facebook et
Twitter à l'embauche.
«La pratique n'est pas courante (et probablement pas légale). [...] Cela
constitue clairement une atteinte à la vie privée», précise-t-il, avant
d'ajouter que les messages publics sont une autre histoire.
Que cherchent donc les recruteurs lorsqu'ils cherchent votre nom dans
Google ou qu'il jettent un oeil à vos messages publics sur les réseaux
sociaux?
Selon Ackerman, «Nous vérifions toujours les profils LinkedIn qui
sont représentatifs du résau professionnel du candidat. C'est une bonne
chose de voir les contacts qu'on a en commun et les personnes qui les
ont recommandées. On ne regarde pas Facebook mais on jette un oeil à
Twitter et aux blogues.
Nous estimons que FB est un réseau plus personnel. De nos jours, il est
impératif de se rendre compte que tout ce que l'on met en ligne sera
accessible à tous les internautes, donc si vous envisagez de vous lancer
dans une carrière professionnelle, mieux vaut réfléchir à deux fois
avant de poster une photo de soirée à thème».