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dimanche 5 juin 2011

Appeler le donc le Chat botté ,.....ou Harper McF.Y. !


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Nommer le chat de Stephen Harper ;-)

OTTAWA - Le premier ministre Stephen Harper et sa famille demandent au public de les aider à trouver un nom pour leur nouveau chaton.
Le nouveau résidant du 24, promenade Sussex, est un chaton gris enjoué et un peu taquin.
Sur sa page Facebook, Stephen Harper a mis quelques photos du chat, demandant aux gens de voter pour un des noms suivants : Smokie, Vingt-quatre, Stanley, Earl Grey, Griffin et Gandalf.
Samedi soir, déjà plus de 2960 personnes avaient voté. Le nom Stanley est en tête. Peut-être que les finales de la coupe Stanley y sont pour quelque chose...
Les gens ont jusqu'à lundi pour voter.
http://www.facebook.com/pmharper

La jeune page protestataire gagne l’appui de Michael Moore


Discours du Trône - La jeune page protestataire gagne l’appui de Michael Moore
La jeune page a brandi un panneau avec l’inscription « Stop Harper » durant la lecture du discours du Trône vendredi. 
© Reuters / Chris Wattie

OTTAWA – Le documentariste américain Michael Moore vient de donner son appui à la jeune page du Sénat qui a brandi un panneau avec l’inscription « Stop Harper » durant la lecture du discours du Trône vendredi.

L’activiste américain a publié dimanche sur son site internet une photo de la jeune Brigette DePape lors de son intervention inusitée à la Chambre des Communes, et il y a aussi affiché des liens vers un site Facebook en soutien à cette ancienne étudiante de l’Université d’Ottawa, âgée de 21 ans.
À LIRE ÉGALEMENT:
La page militante congédiée

Le site de M. Moore qualifie le geste de la jeune femme de « Meilleur outrage au Parlement ! » - une allusion à la déclaration du Président du Sénat, qui s’était montré critique envers le comportement de Mme DePape.
À la suite de cet incident, la jeune page du Sénat a été relevée de ses fonctions et mise à la porte.
Dans un communiqué de presse, Brigette DePape a ensuite dénoncé les politiques « catastrophiques » du premier ministre Stephen Harper et souhaité l’avènement d’un « printemps arabe » au Canada, faisant référence aux récents soulèvements dans quelques pays du Moyen-Orient.
« Nous devons l’empêcher de gaspiller des milliards pour des avions de combat, des bases militaires et des réductions d’impôts aux grandes sociétés, tandis qu’il sabre les programmes sociaux et détruit l’environnement », a-t-elle déclaré. 

samedi 4 juin 2011

Un "Poulet" qui fait cuire du poulet


Lévis - Un ex-policier reçoit un absolution conditionnelle

© Archives / Agence QMI
Lévis

Un ex-policier reçoit un absolution conditionnelle


LÉVIS - Un ex-policier de Lévis, Patrick L’Heureux, 25 ans, a bénéficié d’une absolution conditionnelle après avoir été reconnu coupable d’entrave au travail de ses confrères lors d’une enquête qui l’impliquait.
L’Heureux, alors soupçonné de violence conjugale, a menti à des agents de la paix qui se sont pointés chez lui et cherchaient à rencontrer la présumée victime.
Le juge André Plante a indiqué qu’il s’agit « incontestablement d’un manque de jugement commis sous l’emprise de la panique ». L’Heureux sera soumis à une probation de 12 mois et devra faire un don de 1000$ à Lauberivière. Il avait été acquitté de violence conjugale, mais reviendra devant la Cour pour faire face à d’autres chefs d’accusation d’entrave et d’usage de faux documents.
Le policier, qui avait un statut de « temporaire », n’a jamais été rappelé au travail. Il occupe maintenant un emploi dans une rôtisserie.

Payer vos impôts a tous les 21 ans !


Fiducies familiales - Les Bronfman veulent modifier leurs fiducies
Des membres de la famille Bronfman ont déposé hier un projet de loi privé pour que Québec les autorise à transmettre la fortune familiale à de nouveaux descendants.
© Agence QMI
Fiducies familiales

Les Bronfman veulent modifier leurs fiducies

MONTRÉAL – Le clan Bronfman souhaite redistribuer le patrimoine détenu par plusieurs de ses fiducies familiales. Des membres de la célèbre famille ont déposé un projet de loi privé, jeudi à l’Assemblée nationale, pour que Québec les autorise à transmettre la fortune familiale à de nouveaux descendants.
Les actifs d’une dizaine de fiducies sont concernés par la requête de la famille Bronfman. Il s’agit de fiducies, créées en 1942 par le Montréalais Samuel Bronfman, alors patron de Seagram.
L’homme d’affaires dirigeait à une certaine époque l’une des plus importantes distilleries de la planète, avec un portefeuille de 250 produits, dont Crown Royal. Il avait créé des fiducies aux bénéfices de ses enfants, Edgar Miles, Charles et Phyllis, aujourd’hui connue sous le nom de Phyllis Lambert. Son objectif était, entre autres, d’assurer la pérennité du capital.
« Dans les années 1940, les gens fortunés créaient des fiducies familiales qui étaient, en quelque sorte, éternelles. Elles ne payaient jamais d’impôt sur le gain en capital. Aujourd’hui, c’est impossible! Les fiducies sont imposées sur ces gains tous les 21 ans », a expliqué la fiscaliste Brigitte Alepin.
Mme Alepin a précisé que les anciennes fiducies ont conservé leurs privilèges en raison de clauses « grand-père ». La fiscaliste croit que la famille Bronfman pourrait jouir de tels avantages.
Les fiducies d’Edgar Miles Bronfman et de Phyllis Lambert ont été, dans les décennies subséquentes, divisées en plusieurs fiducies, aux bénéfices des enfants d’Edgar Miles, notamment. Les bénéficiaires de ces fiducies sont Edgar jr, Holly, Matthew, Adam, Sara et Clare.
Edgar senior, aujourd’hui âgé de 82 ans, est en charge des fiducies en question. Il souhaite que le gouvernement du Québec adopte une loi pour lui permettre de partager les actifs des fiducies entre un ou plusieurs de ses enfants, petits-enfants ou autres descendants plus éloignés.
Un juriste montréalais, qui préfère conserver son anonymat, a expliqué à Argent que seulement deux générations de descendants (Edgar Miles et ses enfants, par exemple) peuvent bénéficier de l’argent généré par une fiducie.
Selon l’expert consulté, de nouvelles fiducies doivent être créées pour que les petits-enfants d’Edgar Miles Bronfman jouissent, le moment venu, d’un capital important protégé par une fiducie. Le cas échéant, les fiducies devraient être dissoutes et leur capital versé au dernier bénéficiaire.
Le projet de loi a été présenté par le député de D'Arcy-McGee, Lawrence S. Bergman. Argent a contacté le politicien à quelques reprises mais M. Bergman n’a pas retourné les appels.
La famille Bronfman a été conseillée par la firme Davies Ward Phillips & Vineberg dans la présentation de son projet de loi.
Des milliards de dollars
Il n’est pas possible d’établir la valeur des actifs détenus par les fiducies Bronfman. Mais la fortune des tous les clans de la famille est estimée à plusieurs milliards de dollars.
Un exemple. Charles Bronfman, le frère d’Edgar Miles et le père du patron de Claridge, Stephen Bronfman, est le cinquième homme le plus riche du Canada, selon le magazine Forbes. Sa fortune est évaluée à 2,2 milliards $ US. Leur fortune provient, en grande partie, de l’empire Seagram, la distillerie développée par Samuel Bronfman. En 1965, le chiffre d’affaires de Seagram dépassait le milliard de dollars avec des ventes réalisées dans 119 pays. Les principales marques de Seagram étaient Chivas Regal, Crown Royal, Armagnac JANNEAU, VO whiskeys, le rhum Captain Morgan et les jus de fruits Tropicana. La famille a également investi dans l’immobilier puisque les Bronfman ont possédé Cadillac Fairview pendant plusieurs décennies.
Dans les années 1980, ils ont acquis près de 25 % du capital du géant DuPont avant de revendre leurs parts 9 milliards $, en 1995, pour investir dans le divertissement.
Notamment dans Time Warner, Universal Studios, MCA, et PolyGram. Warner a été revendu 1,3 milliard $ il y a quelques semaines.
Avantage pour les riches
Transférer de l’argent dans une fiducie peut procurer de nombreux avantages aux gens, surtout fortunés, qui optent pour cette mesure fiscale.
Dans un premier temps, une fiducie permet d’assurer la pérennité du capital amassé au fil des ans. Il s’agit d’un outil de choix pour transmettre de l’argent à des héritiers trop jeunes ou trop frivoles pour administrer leurs biens.
Les fiducies permettent également de faire du fractionnement de revenus au sein d’une famille. Un homme d’affaires peut recourir à cette formule et partager ses revenus avec sa femme et ses enfants pour éviter d’être le seul contribuable imposé sur ces revenus. Ultimement, le montant d’impôt payé devrait être inférieur.
Les fiducies permettent d’éviter de payer de l’impôt sur un gain en capital important au moment du décès d’un individu fortuné. Le même gain ne sera pas imposé si l’actif se trouve dans une fiducie, car une fiducie ne meurt jamais.
Contrairement à la croyance populaire, les fiducies doivent payer de l’impôt sur leurs gains. Elles sont imposées tous les 21 ans sur leurs gains en capital selon la réglementation fiscale.
Une fiducie peut être constituée pour quelques milliers de dollars seulement, mais la facture est plus salée pour les fiducies complexes des grandes familles riches. Ces dernières emploient des notaires, des avocats et des fiscalistes de très haut niveau, qui affichent des taux horaires élevés.

Libre de taxe maintenant,.......vous savez quoi faire !


Impôts | Études - Libres de taxes... le 10 juin
 
© Agence QMI
Impôts | Études

Libres de taxes... le 10 juin

La famille québécoise moyenne aura symboliquement payé tous ses impôts annuels la semaine prochaine, le 10 juin, selon une étude annuelle publiée par l'Institut Fraser et obtenue parLe Journal de Montréal.
À LIRE ÉGALEMENT:
Pour déterminer avec précision la «journée d'affranchissement de l'impôt», l'Institut Fraser calcule le nombre de jours nécessaires pour qu'une famille puisse payer à l'avance tous les impôts et diverses taxes payés par les contribuables à tous les niveaux de gouvernement.
Dans son étude annuelle qui sera publiée ce matin, l'Institut a constaté que pratiquement partout au pays, mais encore davantage au Québec, il faut de plus en plus de jours de travail pour réussir à payer tous ses impôts et taxes.
«Au cours de la dernière année, nous constatons que la journée d'affranchissement de l'impôt dans la plupart des provinces se déplace plus tard dans l'année, toutes, en fait, sauf la Saskatchewan et Terre-Neuve», souligne Niels Veldhuis, économiste principal à l'Institut Fraser.
La hausse de la TVQ en cause
De toutes les provinces canadiennes, c'est le Québec qui, au cours de la dernière année, a vu sa journée d'affranchissement de l'impôt repousser du plus grand nombre de jours. Alors que la variation pour les autres provinces est d'une ou deux journées, il faudra quatre jours de plus aux Québécois pour payer tous leurs impôts et leurs taxes.
«Il y a des raisons propres à chaque province pour expliquer cette hausse du fardeau fiscal. Au Québec, c'est certainement la hausse de taxe de vente qui explique cette augmentation de quatre jours», explique M. Veldhuis.
Ainsi, la famille québécoise moyenne paiera cette année 1 832 $ de plus en taxes et impôts, ce qui vient pratiquement éliminer la hausse de revenus moyenne qui se situe à 2 183 $. Seule l'Alberta a connu une hausse de l'impôt total à payer plus importante (+1 898 $), mais cela s'explique surtout par une hausse encore plus forte des revenus des familles (+3 179 $).
Le Québec est à l'avant-dernier rang des provinces, avec une journée d'affranchissement le 10 juin. C'est Terre-Neuve qui ferme la marche, neuf jours plus tard, le 19 juin.
La moyenne canadienne se situe au 6 juin.

L'Institut Fraser réalise cette étude annuellement depuis 1981. À cette époque, l'écart entre le Québec et les autres provinces était encore plus grand. Le Québec terminait de payer son total d'impôt le 7 juin et la moyenne canadienne s'établissait au 30 mai.

vendredi 3 juin 2011

Frank Berton et Geoffrey Maher,deux wouèreux de Québec


Québec - Deux policiers accusés d'avoir laissé un détenu se faire tabasser

©Archives

Deux policiers accusés d'avoir laissé un détenu se faire tabasse

QUÉBEC – Deux policiers de Québec, Frank Berton et Geoffrey Maher, devront subir un procès à l'automne prochain pour avoir fermé les yeux et laissé deux co-détenus battre un pédophile dans un fourgon cellulaire, avant son transport vers le Palais de justice.
L'affaire remonte à août 2009. Un des policiers aurait appris que deux détenus avaient l'intention de tabasser un troisième détenu, un pédophile de 61 ans. Or, celui-ci s'est retrouvé assis entre les deux individus dans le fourgon cellulaire, et ils lui ont infligé une sévère raclée.
À l'origine, une troisième policière, Ariane Chrétien-Castonguay, avait été accusée dans cette affaire, mais les accusations sont tombées faute de preuves.
On aurait besoin de copwatch !

L'acquittement de 31 Hells Angels,.......sinon un procès échelonné sur 50 ans


Au lendemain de l'acquittement de 31 Hells Angels, le bâtonnier invite Québec à investir rapidement dans l'appareil judiciaire pour mener à bien les mégaprocès, sans quoi ce sera le désastre.
«Le jugement d'hier ne signifie pas la fin des mégaprocès. Mais si nous choisissons de lutter contre le crime organisé, il faut s'assurer que nous serons capables de le faire», dit Me Gilles Ouimet.
Selon lui, la décision rendue mardi par le juge James L. Brunton de la Cour supérieure de libérer 31 accusés de l'Opération SharQc et de casser les accusations de trafic de stupéfiants et de gangstérisme ne doit pas rester lettre morte.
Il croit qu'il faut d'abord ramener le projet de loi C-53, qui donne davantage d'outils aux juges lors du rappel des Communes, puis augmenter le nombre de magistrats et de procureurs de la Couronne.
Comité ad hoc
En 2004, alors que les mégaprocès qui ont découlé de l'Opération Printemps 2001 étaient toujours d'actualité, le Barreau du Québec avait mandaté un comité ad hoc pour se pencher sur les mégaprocès qualifiés alors de «nouvelles réalités».
Dans un rapport d'une vingtaine de pages auquel le juge Brunton a d'ailleurs fait référence à quelques reprises en rendant sa décision mardi, le comité prévenait déjà les autorités qu'elles devaient «s'adapter» et que les mégaprocès généraient de «mégaattentes dans la population qui, si elles sont déçues, auront un impact sur le public».
«Sept ans plus tard, nous avons évolué, mais très peu. Il faut augmenter le financement général de la justice au Québec, autrement ce sera le désastre», dit-il.
Réalisme
Des procureurs de la Couronne interrogés par leJournal ont également indiqué qu'ils ne croyaient pas que la décision du juge Brunton marquait pour autant la fin des mégaprocès au Québec.
«Il va falloir être plus réalistes cependant et accuser au total 12 ou 15 personnes à la fois. Il faut que cela se poursuive, sinon la Loi sur le gangstérisme aura été adoptée pour rien», nous a confié l'un d'eux.
«C'est sûr que cela va avoir un impact. Il va falloir s'ajuster, mais c'est le système judiciaire qui devra avant tout s'adapter», a renchéri un policier de haut rang sous le couvert de l'anonymat.
"Nous essayons de rapetisser les enquêtes, mais il ne faut pas oublier que SharQc était une enquête exceptionnelle et que la dernière aussi importante, Printemps 2001, remonte à huit ans.
«Nous allons continuer de nous attaquer aux grosses organisations. On va le faire différemment. Mais il ne faut pas oublier que la décision du juge Brunton a été portée en appel », conclut le policier.

Des débats enflammés
«Tant d'efforts policiers anéantis. À cause de quoi ? À cause d'une planification médiocre, d'une mauvaise gestion du procès (...)»
«Depuis des mois, le gouvernement affirme qu'il veut voir les criminels en prison, pas à la télévision. Hier, ce qu'on voyait à la télévision, c'étaient des criminels qui sortaient de prison. Gâchis.»
- Pauline Marois, chef de l'opposition
«Une improvisation totale pour ce qui est, pourtant, le plus gros procès criminel de l'histoire du Québec.»
«C'est un triste jour pour la justice, une victoire pour les motards. M. le ministre, vous êtes responsable. (...) À quand, un vrai ministre de la Justice?»
«On aimerait ça sentir un peu d'imputabilité.»
- Véronique Hivon, Parti québécois
«Quel résultat spectaculaire ! Des milliers d'heures de travail des policiers mises à la poubelle.»
«Est-ce qu'il y a encore, en cette salle, une seule personne qui lui fait confiance, le ministre de la Justice ?»
- Sylvie Roy, Action démocratique du Québec
«On n'est pas obligé de dire que le jugement est la vérité absolue. Moi, je crois à l'expertise et l'expérience de nos procureurs.»
- Jean-Marc Fournier, ministre de la Justice