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lundi 18 avril 2011

La nuit ou vous aurez compris ?

C'est lorsque vous vous apercevrez que les déficients intellectuels ,sont pas vraiment malades,mais ce sont plutôt ceux qui ont une tête sur les épaules qui sont vraiment déficients !










ci-dessus,vedette de cinéma !


Parole:  de St-Té0 aux tessaloniciens.

Erreur judiciaire ,Hinse donnera 12,1 Millions $ dans son testament ,pour payer la dette du Québec

Erreur judiciaire - Réjean Hinse recevra 13,1 M$ de Québec et Ottawa
Réjean Hinse 
© Agence QMI / Joël Lemay
Erreur judiciaire

Réjean Hinse recevra 13,1 M$ de Québec et Ottawa

Accusé puis incarcéré durant les années 1960 pour un crime qu’il n’a pas commis, Réjean Hinse touchera des indemnités de 4,5 millions $ de la part de Québec et 8,6 millions $ venant d’Ottawa, pour un total de 13,1 millions $. Un record dans les annales judiciaires canadiennes.
VOTRE OPINION : Devrait-on pouvoir expédier plus rapidement de tels cas d’indemnisation?
Cette décision de la juge Hélène Poulin, de la Cour supérieure, vient mettre un terme à près d’un demi-siècle de lutte acharnée de la part de M. Hinse pour obtenir réparation.
En 1964, alors qu’il est âgé dans la vingtaine, M. Hinse écope d’une peine de 15 ans d’emprisonnement pour un vol qualifié survenu quatre ans plus tôt à Mont-Laurier. Il purgera cinq ans derrière les barreaux avant d’obtenir sa libération conditionnelle. Or, il n’avait rien à voir avec ce qu’on lui reprochait.
«C’est un énorme soulagement», a soupiré l’homme lors d’une conférence de presse, jeudi, dans les bureaux de la firme d’avocats Borden Ladner Gervais à Montréal.
Exhibant une reproduction de la célèbre toile «Le Cri» du peintre norvégien Edvard Munch, qui représente selon lui la détresse qu’il a vécue durant toutes ces années, M. Hinse s’est remémoré avec douleur ses cinq années passées au pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul.
«Ça a toujours représenté l’horreur de la bêtise humaine à mes yeux. C’est l’enfer sur terre», a-t-il lancé, la gorge nouée par l’émotion.
Ottawa durement sermonné En 1989, la Commission de police reconnaîtra que l’homme a été victime d’une enquête bâclée. Deux ans plus tard et trente ans après les faits, la Cour d’appel du Québec annule le verdict de culpabilité prononcé contre lui, décision confirmée à l’unanimité par sept juges de la Cour suprême du Canada en 1997.
Mais malgré ce verdict d’acquittement, Québec et Ottawa refusent d’indemniser M. Hinse, ou même de reconnaître leur faute. Le gouvernement provincial acceptera finalement de régler pour 4,5 millions avant la fin du procès, qui s’est tenu en novembre et décembre derniers.
Le fédéral est pour sa part demeuré campé sur ses positions, ce qui lui a attiré les foudres de la juge Poulin dans son volumineux jugement de 73 pages.
«Informées de l’injustice qu’il dénonce haut et fort (les autorités fédérales) ne posent aucun geste pour le réhabiliter, affichant pendant des décennies un immobilisme aussi implacable qu’inexplicable», martèle la magistrate.
«La grave inertie administrative de même que la lourde paralysie institutionnelle dans laquelle le gouvernement fédéral s’est complu pendant toutes ces années ont confiné Hinse dans la prison psychologique qu’il n’a pas encore, à ce jour, réussi à briser. Il en a même perdu sa dignité», poursuit-elle.
En appel De son côté, Me Guy Pratte, qui a défendu M. Hinse pro bono lors du procès, s’est dit réjoui qu’enfin, «justice ait été rendue pour les horreurs du passé». À l’instar de la juge Poulin, l’avocat n’a pas manqué de critiquer sévèrement Ottawa pour son attitude dans cette affaire.
«Le gouvernement plaidait que la prison avait avantagé et bénéficié à M. Hinse. C’est comme si un médecin refusait de traiter une victime d’accident», a-t-il déploré.
Ottawa a déjà fait savoir qu’il ferait appel de la décision. Cette dernière est toutefois exécutoire, ce qui signifie que M. Hinse pourra néanmoins toucher ses indemnités en attendant que la cause soit entendue.
Celui-ci compte d’ailleurs souligner sa victoire en se consacrant à diverses activités culturelles. Il prévoit notamment une visite des différents musées de Toronto à la fin du mois, avant de partir pour le nord de l’Italie en juin.

REF.:

Décès ,par : racisme,copinage,$,drogue,sexe,gen-Xtrême,...............tout ça !

Montréal - Décès d’un homme battu par erreur
Iqbal Ahmed 
© TVA Nouvelles

Décès d’un homme battu par erreur? pas si sûre,...............car ils le connaîssait !

MONTRÉAL – L’homme sauvagement battu à la suite d’une terrible méprise, vendredi soir dans l’arrondissement Verdun à Montréal a succombé à ses blessures mercredi soir.
Vendredi de la semaine dernière, Iqbal Ahmed, 56 ans, avait poursuivi deux adolescentes près d'une station de métro de Verdun où il habite parce qu’il croyait que l'une d'elles était sa fille et qu'il voulait la ramener à la maison.
Parvenu à leur hauteur, M. Ahmed a constaté que ce n'était pas sa fille, mais il connaissait bien les deux jeunes femmes qu'il venait de suivre.
Les choses ont dégénéré quand les deux adolescentes ont raconté à leurs amis qu'elles avaient peur, car elles étaient poursuivies par un inconnu.
Trois jeunes hommes ont apostrophé le père de quatre enfants originaire du Bangladesh puis l'agression s'en est suivie. Iqbal Ahmed aurait reçu au moins deux rudes coups au visage avant que sa tête heurte violemment le sol.
«Après le premier coup, mon père a eu des étourdissements, raconte l'aînée de la famille de la victime. Il ne savait pas ce qui se passait et il ne pouvait pas se défendre. [...] Le gars trouvait que ce n'était pas assez juste un étourdissement. Il voulait lui donner une autre leçon. Ce deuxième coup-là, il l'a vraiment donné.»
Iqbal Ahmed a finalement succombé à ses blessures en fin de soirée mercredi.
La jeune femme ne comprend pas pourquoi les deux adolescentes n'ont pas reconnu son père qu'elles connaissent depuis au moins trois ans, selon ses dires.
«Au début, elles disaient à ma sœur: "On ne savait pas que c'était ton père". Comment fais-tu pour ne pas savoir que c'était notre père quand tu le connais depuis longtemps? Tu sais à quoi il ressemble, tu sais qu'il t'a parlé plusieurs fois, ajoute la fille de M. Ahmed. Alors, là, dire qu'elles étaient devant, puis elles ont laissé les gars frapper mon père parce qu'elles leur ont dit, à eux autres, qu'elles se sentaient menacées, je ne comprends pas ça!»
Jusqu'à maintenant, l'enquête indique d'une part que les jeunes hommes auraient voulu défendre les adolescentes qui se disaient menacées et d'autre part que Iqbal Ahmed croyait vraiment qu'il poursuivait sa fille dans la rue.
La division des crimes majeurs du SPVM a été chargée de l'enquête.
REF.: