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samedi 19 mars 2011

La Police hésite entre l'usage de son couteau ou le Taser ?

Colombie-Britannique - Un policier sauve un homme avec son pistolet Taser
Un homme menaçait de se poignarder à l’aide d’un long couteau. 
© Archives
En effet le couteau que le policier aurait dû utiliser,aurait simplement blessé,tout comme une arme blanche l'aurait fait ,pour neutraliser le désespéré.Sinon,l'arbalette aurait fait une bonne job LOL !

VICTORIA, C.-B. – Un policier aurait sauvé la vie d’un homme en utilisant un pistolet à impulsion électrique.
Lundi à 15 h, un homme âgé de 51 ans originaire de Saanich en Colombie-Britannique, se trouvait devant le Palais de justice de Victoria lorsqu’il a menacé de se poignarder à l’aide d’un long couteau.
La police a été appelée sur les lieux et la zone a été évacuée. L’homme a parlementé avec les policiers, qui ont tenté de le convaincre de lâcher le couteau. Il a toutefois commencé à se poignarder à plusieurs reprises.
«Les policiers ont tenté de raisonner l’homme et de l’empêcher de s’infliger d’autres blessures», a indiqué le service de police dans un communiqué.
C’est alors qu’un policier s’est dirigé vers l’individu et a utilisé son pistolet électrique pour le maîtriser.
L’homme a ensuite été envoyé d’urgence à l’hôpital. Il souffrirait de blessures graves.

REF.:

M. Luksenberg s'en veut de ne pas avoir écouter M. Wisebergue de "Cinar" ;-)

Gouvernement - Un restaurateur connu écrasé par Revenu Québec
Éric Luksenberg a déjà employé 200 personnes et possédé huit restaurants dans la région de Montréal. 
© Photo courtoisie
Il s'en veut de na pas avoir mit son argent dans un compte offshore aux Barbades,comme M. Weinberg (Cinar)et M.Jean Lafleur (Commission Gomery)l'ont fait !
MONTRÉAL - L’ancien président du Regroupement des commerçants du Vieux-Montréal, Éric Luksenberg, se dit victime d’acharnement de la part de Revenu Québec qui s’oppose à sa libération de faillite. M. Luksenberg, qui a déjà employé 200 personnes et possédé huit restaurants prestigieux dans ses meilleures années, dont le Saint-Amable, La Marée, Homard Fou et Chez Éric, croit faire l’objet d’une vengeance du bras financier de l’État québécois. Le fisc lui réclame 100 000 $ pour le libérer de ses obligations financières, une somme qu’il n’a pas.
M. Luksenberg a déclaré une faillite personnelle et une faillite d’entreprise en juin et juillet 2009.
« Je n’ai plus rien, plus rien. Je voudrais pouvoir recommencer à zéro, mais Revenu Québec s’oppose à ma réhabilitation. Tous les créanciers acceptent qu’on soit libéré, sauf Revenu Québec, qui réclame une somme impossible à acquitter », dit-il.
Sans réhabilitation, M. Luksenberg se dit incapable de se trouver un nouvel emploi, ce qui hypothèque son avenir.
« Je survis en travaillant au restaurant d’un de mes enfants, à Sainte-Adèle, dans les Laurentides », explique-t-il, ajoutant que le cancer de sa femme lui fait déjà passer des moments très difficiles.
Rouleau compresseur
M. Luksenberg estime qu’il a été pris en grippe par une employée de Revenu Québec qui, depuis ce temps, lui ferait la vie dure et aurait déployé un véritable rouleau compresseur contre lui. Argent révélait lundi le processus implacable en vertu duquel Revenu Québec peut saisir les biens d’une personne qui est considérée coupable jusqu’à preuve du contraire.
« Mes erreurs, je les admets. On s’est fait frapper de plein fouet par la hausse du dollar canadien et la crise financière. Je n’en suis pas fier. Mais je n’ai jamais cherché à cacher de l’argent. J’ai toujours été honnête », assure-t-il.
Or, après avoir contesté un avis de cotisation en 1999 et obtenu gain de cause contre le ministère, il se serait fait dire par une employée de Revenu Québec qu’« il ne l’emporterait pas au paradis » et qu’« on finirait par l’avoir ». On lui aurait aussi indiqué qu’il ne servait à rien pour lui d’envisager des poursuites, car il serait épuisé financièrement avant qu’elles n’aboutissent.
M. Luksenberg explique que le moindre retard de paiement de taxes à Revenu Québec est assorti de pénalités salées, ce qui a rapidement eu pour effet de l’acculer à la faillite quand les affaires ont commencé à moins bien aller.
« C’est impossible de s’en sortir une fois qu’on est pris dans l’engrenage et qu’on a décidé qu’on veut votre peau », soutient-il.
M. Luksenberg souligne que neuf restaurants sur dix font faillite après dix ans, ce qui fait que son cas n’a rien d’exceptionnel et que sa faillite ne devrait donc pas faire l’objet d’une opposition aussi pugnace de la part de Revenu Québec.
Elle appelle l'ambulance
Signe de l’acharnement du ministère, M. Luksenberg souligne le fait que l’employée en cause aurait appelé l'ambulance et la police après qu’il lui eut dit que le comportement de Revenu Québec dans son dossier aurait pu amener des gens moins forts que lui à se jeter en bas du pont Jacques-Cartier. M. Luksenberg a ensuite été escorté par des agents armés aux urgences psychiatriques d’un hôpital montréalais.
La porte-parole de Revenu Québec, Valérie Savard, n’a pas voulu commenter le cas de M. Luksenberg, mentionnant que l’affaire était encore devant le Registraire des faillites.
Du côté de l’Association des restaurateurs du Québec, le président, François Meunier, a déploré l’habitude de Revenu Québec de cibler les restaurateurs les mieux organisés et dont la comptabilité est la plus claire. « Revenu Québec ne rentre jamais chez ceux qui font des affaires à la mitaine, parce que c’est trop compliqué de vérifier », dit-il.
M. Meunier a dit espérer que l’implantation du système de facturation obligatoire facilitera la tâche des vérificateurs et que Revenu Québec évitera ainsi les chasses aux sorcières.

REF.:

Le prix de l'essence rendu a 4.99$/Litre a Montrèal

C'est l'objectif de M.Tremblay ;-)
Budget provincial - Tremblay demande de hausser la taxe sur l’essence
Gérald Tremblay 
©Agence QMI/Archives

En prévision du budget provincial qui sera déposé jeudi, le maire de Montréal Gérald Tremblay demande au gouvernement du Québec de permettre aux villes de la région de Montréal d’augmenter la taxe sur l’essence de cinq cents supplémentaires d’ici 10 ans, pour financer le transport en commun. Cette hausse, qui s’appliquerait seulement sur le territoire des 82 villes de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), s’ajouterait aux autres augmentations qui touchent déjà l’ensemble de la province.
Ainsi, dans la métropole, la taxe sur l’essence augmenterait de 10,5 cents en dix ans, en incluant l’augmentation provinciale de 4 cents le litre entre 2010 et 2013, et la hausse de 1,5 cent supplémentaire en vigueur dans la CMM depuis le 1er mai 2010.
Le maire Tremblay a précisé, mardi, en entrevue, qu’il s’agissait là de sa seule requête à adresser au gouvernement de Jean Charest.
Il a assuré que tous les maires de la région de Montréal, y compris Gilles Vaillancourt à Laval et Caroline St-Hilaire à Longueuil, l’appuient dans sa demande et sont prêts à porter le poids politique d’une telle décision.
«C’est une demande unanime de l’ensemble des partenaires, des villes liées de Montréal, mais également des couronnes, Laval et Longueuil», a indiqué le maire Tremblay.
Engagement provincial
Selon le maire, le gouvernement doit absolument permettre aux villes de hausser la taxe sur l’essence, pour donner suite à son engagement de réduire de 20 % ses émissions de gaz à effets de serre d’ici 2020, par rapport au niveau de 1990.
«J’ai demandé à Raymond Bachand (le ministre des Finances) et au premier ministre du Québec de donner suite à leur engagement. On ne leur demande pas de percevoir des taxes pour nous, on va les percevoir nous même, et on aura la responsabilité de le justifier aux contribuables», a expliqué Gérald Tremblay.
Les maires de la région de Montréal se sont aussi entendus sur les projets de transport en commun à prioriser. Parmi ceux-ci, on note les prolongements des lignes bleue, orange et jaune du métro. Il faudra aussi remplacer les voitures de métro MR-73, qui arrivent à la fin de leur vie utile, et prévoir du matériel roulant supplémentaire pour l’expansion du métro.
Le budget provincial sera déposé jeudi, à 16 h, à l’Assemblée nationale.

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Pétrole Américain a l'honneur

L'administration américaine envisage de puiser dans ses réserves stratégiques de pétrole a indiqué vendredi le président américain Barack Obama.
Photo : Reuters /

Récemment, le secrétaire général de la Maison Blanche soulignait que l'administration Obama étudiait toutes les options pour contribuer à juguler l'envolée des cours de l'or noir.
Mercredi, le secrétaire américain de l'Energie Steven Chu avait exclu de recourir aux réserves, précisant qu'une hausse de la production en Arabie saoudite provoquerait la baisse des cours du brut.
L'Opep a réaffirmé vendredi qu'il y avait suffisamment de pétrole dans le monde malgré la baisse de régime en Libye, soulignant la hausse de la production de certains de ses membres, dont l'Arabie saoudite, et la perspective d'une baisse saisonnière de la demande.
Dans son rapport mensuel, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole indique que la production de brut a progressé de 110 000 barils par jour (bpj) en février pour atteindre plus de 30 millions de bpj, soit le plus haut niveau depuis décembre 2008, notamment grâce à une augmentation de l'offre de pétrole en provenance d'Arabie saoudite.

La Maison Blanche a répondu sur son blog officiel qu'elle demeurait engagée à «augmenter la production énergétique sur le territoire américain, y compris le pétrole et le gaz».
De son côté, le représentant démocrate Ed Markey a estimé jeudi que la «stratégie républicaine est de maintenir l'addiction au pétrole» aux États-Unis.
M. Markey et un groupe d'élu démocrates ont présenté mercredi un projet de loi visant à faciliter l'utilisation de la réserve stratégique américaine pour faire face à la montée des prix du pétrole.
Le texte demande à ce qu'au moins 30 millions de barils (4,7 milliards de litres) de pétrole de cette réserve soient déployés dans les six prochains mois. La réserve stratégique américaine sont au plus haut avec 727 millions de barils (115,5 milliards de litres).



Au lieu de vider les réserves de pétrole des pays producteurs de pétrole,les Américains ,baisse leurs réserves et rafine plus leurs pétrole!
Oui,les américains consomme leurs réserves de pétrole,parce que selon les prix trop haut et les problêmes en Lybie,ils préfères vendrent et baisser leurs réserves,car les profits seront plus grands par rapports aux prix réel de se pétrole moins onéreux que les prix actuels! c'est inévitable de vider les réserves pour faire du ca$h avec le prix mondial actuel !C'est de la comptabilité 101 ! Et l'économie roule a merveille sur le marché de l'or noir !


REF.:   canoe,