Le Monde du Réel est a l'envers, c'est l'invertionnalité des consciences ! Bienvenue aux Sourds ;-)
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jeudi 11 juin 2009
mardi 9 juin 2009
On devra se rendre a l'hôpital par nos propres moyens
Une autre histoire d'Horreur !
Ce n'est pas la faute des ambulanciers si une femme de Saint-Jean-sur-Richelieu, aujourd'hui décédée, a attendu près de deux heures avant de pouvoir être transportée vers l'hôpital, en janvier dernier, estiment plusieurs paramédicaux qui ont communiqué avec Le Journal.
L'appel 9-1-1 logé par Pascal Boyer, qui avait trouvé sa conjointe Nancy Smith amorphe et presque inconsciente dans leur résidence, a été reçu par la centrale d'Alerte-Santé, l'organisme qui gère la répartition des appels d'urgence en Montérégie.
C'est Alerte-Santé qui a pris 1h45 avant de diriger l'appel à une équipe d'ambulanciers de la compagnie Demers. Les ambulanciers, eux, se sont rendus sur les lieux 17 minutes après avoir reçu l'appel.
Nancy Smith est finalement décédée une semaine après son transport à l'hôpital. Elle souffrait d'une maladie rare, le purpura thrombotique, et son sang manquait d'oxygène lorsque son mari l'a découverte. Pas de premiers répondants M. Boyer déplore qu'aucun service de premiers répondants (policiers, pom-piers) n'ait été dépêché sur les lieux, en attendant l'arrivée des ambulanciers. «Il n'existe pas de services de premiers répondants à Saint-Jean-sur-Richelieu», a expliqué le directeur des opérations d'Ambulances Demers, Sylvain Bernier. M. Bernier souligne que les compagnies d'ambulances de la Montérégie répondent le plus rapidement possible aux appels que leur achemine la centrale d'Alerte-Santé. P.S. J'sais pas ,mais prendre l'auto ,pour transporter la personne malade,aurait été plus efficace,et le personnel n'aurait pas eut le choix de s'en occuper :o) REF.: Canoe-Kayak !
Ou se trouver 185,000$ pour une petite réunion ?
Les cégeps ont beau se plaindre d'être sous-financés, ils ont transféré cette année 3,3M$ de fonds publics à leur lobby, dont 185 000$ uniquement pour tenir les réunions d'au moins 70 comités.
Votre opinion |
Après avoir refusé de rendre publics ses états financiers, en avril dernier, la Fédération des cégeps s'est ravisée.
L'organisme, qui est subventionné par les contribuables à plus de 90%, a accepté d'ouvrir ses livres et de répondre aux questions du Journal «par souci de transparence et pour démontrer qu'on n'a rien à cacher», explique la porte-parole de la Fédération, Caroline Tessier.
Celle-ci a révélé que les 48 cégeps ont versé à leur lobby des cotisations totalisant 3,36 M$, en 2008-2009.
Trop de comités?
C'est sans compter les cinq «commissions» de la Fédération, ses «instances», en plus des trois «comités mixtes» sur lesquels siège l'organisme aux côtés du ministère de l'Éducation et d'Emploi-Québec.
Frais de fonctionnement
En plus du coût de ces réunions, les cotisations versées par les cégeps servent essentiellement à payer les «éléments de fonctionnement» de la Fédération, dont le salaire de ses 48 employés. Ceux-ci sont rémunérés selon les mêmes paramètres que les fonctionnaires «d'un cégep de taille moyenne», dit Caroline Tessier.
Ces révélations surviennent alors qu'à plusieurs reprises au cours de l'année 2008-2009, les cégeps ont dénoncé leur sous-financement. Jusqu'à ce qu'Ottawa et Québec augmentent leurs investissements dans le réseau collégial, il y a quelques mois, la Fédération des cégeps évaluait à 305 M$ la somme dont les institutions avaient besoin pour «combler leur déficit de services.»
FONDS PUBLICS PERÇUS PAR LA FÉDÉRATION AUPRÈS DES CÉGEPS
2 458 938$ Cotisation régulière (salaire, loyer, frais de fonctionnement, etc.)
185 000 $ Tenue des réunions
70 000 $ Fonds de redressement (pour absorber une dette contractée par la Fédération)
382 128 $ Fonds de négociations (pour défrayer les frais de négociations et l'interprétation des conventions collectives)
80 390$ Portail de recrutement (gestion d'un site Web où sont affichées les offres d'emploi du réseau collégial)
LES 5 CÉGEPS QUI ONT PAYÉ LA «COTISATION» LA PLUS ÉLEVÉE
133 804,28$ Cégep de Sainte-Foy
128 648,15 $ Cégep Dawson
124 339,71 $ Cégep Édouard-Montpetit
123 399,47$ Cégep du Vieux-Montréal
113 906,68 $ Collège de Maisonneuve
«C'est la bureaucratie qui dérape»
La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, reconnaît que l'existence de plus de 70 comités qui «gravitent» autour de la Fédération des cégeps peut sembler exagérée.
La Ligue des contribuables du Québec critique vivement l'existence de tous ces comités et les frais de réunions qui y sont rattachés.
«C'est la bureaucratie qui dérape», lance la porte-parole de la Ligue, Claire Joly.
«Je ne vois absolument pas en quoi tous ces comités pourraient être nécessaires», dit-elle.
«Le bon sens nous dit que, pour offrir de bons services à ses étudiants, un cégep n'a pas besoin de toute cette structure», estime Mme Joly.
La ministre de l'Éducation se réjouit néanmoins que la Fédération des cégeps ait accepté de rendre publics ses états financiers. «Ça rejoint le désir de la ministre d'avoir plus de transparence», dit son attachée de presse.
REF.:Canoe
jeudi 4 juin 2009
Cette homme est un prophète du 21 ième siècle
Le grand Gourou-coucou, Michael Moore!
Michael avait prédit les déboires de l'industrie automobile,qui arriva en 2009,a la grandeur de la planète stie !
Roger et moi (Roger & Me) est un film documentaire américain réalisé par Michael Moore en 1989. Il s'agit du premier documentaire de Michael Moore.
Il relate la suppression de 30 000 emplois dans les usines de General Motors dans la ville natale de Michael Moore, Flint dans le Michigan, ainsi que les conséquences sur la ville et sa population.
mercredi 3 juin 2009
Pourquoi GM est en faillite ?
GM est en faillite. Mais, contrairement aux individus et aux petites entreprises qui se retrouvent sur la paille quand ils ont mal géré leurs finances, le géant de l'automobile, qui s'est entêté à produire des monstres énergivores alors que la plupart des automobilistes se tournaient vers les petites japonaises), va avoir droit à un BS de luxe. C'est ce qui s'appelle être en voiture. Tu te pètes la gueule par TA PROPRE faute, et le gouvernement ramasse TES dégâts, éponge TES dettes et paie pour TON hospitalisation. UN PUITS SANS FOND On critique beaucoup la cupidité des directeurs d'entreprises ces temps-ci, et avec raison. Mais qu'en est-il des gros syndicats ? Pour David Lewis, historien à l'Université du Michigan, l'un des principaux responsables de la crise qui frappe Détroit est le puissant syndicat des travailleurs de l'automobile, le United Auto Workers Union (UAW). «Le UAW était très gourmand, et les constructeurs automobiles lui donnaient tout ce qu'il voulait de peur d'être paralysés par une grève», a expliqué l'historien au magazine Maclean's en novembre 2008. Année après année, les demandes de l'UAW augmentaient, et année après année, les constructeurs automobiles capitulaient.
DES COÛTS ASTRONOMIQUES
Selon Maclean's, seulement en frais d'assurance santé pour ses employés, GM dépense sept milliards de dollars par année.
C'est plus que son budget annuel pour acheter de l'acier !
Et qui paie pour ça? Le consommateur. On a calculé que le coût des programmes d'assurance santé des employés de l'entreprise ajoute 1 500 $ au prix de chaque automobile GM. Comment pouvez-vous rester compétitif dans de telles conditions?
La situation est telle qu'on pourrait dire que GM n'est pas un constructeur automobile, mais une machine qui paie des avantages sociaux et des caisses de retraite (de 1993 à 2007, GM a déboursé 103 milliards $ pour payer les pensions de ses employés retraités).
Vous trouvez ça normal?
DES VERS SOLITAIRES
Je ne veux pas passer pour un antisyndicaliste primaire, mais à ce que je sache, les syndicats ne sont pas au-dessus de toute critique.
On a parfois l'impression que certains gros syndicats se comportent comme des vers solitaires. Ils bouffent les entreprises de l'intérieur, jusqu'à ce qu'elles crèvent.
Le hic, c'est que, lorsque l'entreprise meurt, ses employés meurent itou.
Mais bon, qu'est-ce que ça fait aux gros syndicats, hein? Il y a d'autres entreprises à infiltrer, d'autres luttes à mener...
Le ver abandonne le cadavre de son hôte défunt et part à la recherche d'un autre corps chaud où se lover...
Actuellement, GM doit 27 milliards de dollars à ses actionnaires, et 10 milliards au syndicat. Or, les actionnaires recevront 10%des actions de la «nouvelle GM restructurée», et le syndicat, 39%.
Comme je disais, c'est ce qu'on appelle être en voiture.
REF.:Richard Martineau,canoe
Cet animal vous doit $100,000.00
Benoît Corbeil, ancien directeur général de l'aile québécoise du Parti libéral du Canada (PLC), est disposé à plaider coupable à des accusations de fraude, de complot pour fraude et de trafic d'influence pour lesquelles il avait été arrêté en avril 2008.
C'est ce qu'a indiqué son avocat, aujourd'hui, devant la juge Elizabeth Corte de la Cour du Québec. Se rendant à sa suggestion, M. Corbeil, âgé de 45 ans, a accepté de réfléchir encore quelques jours à son plaidoyer, a relaté Me Michel Grenier.
C'est à la suite d'un examen serré de la preuve montée par des policiers de la Gendarmerie royale du Canada que Benoît Corbeil a pris sa décision qui devrait être annoncée le 6 mai. Suivront les plaidoiries visant à déterminer la sentence.
Les accusations de fraude et de complot pour fraude visant Benoît Corbeil concernent directement ses activités au Parti libéral, où il occupait le poste de directeur général de l'aile québécoise de 1997 à 2001.
Il est accusé d'avoir comploté, en 1999 et 2000, avec Giuseppe Morselli (militant du PLC et proche de l'ex-ministre Alfonso Gagliano) et Alain Renaud (militant très actif du Parti libéral et démarcheur au profit de Jean Brault auprès du fédéral) pour autoriser des fausses factures d'une valeur de près de 100 000 $.
L'accusation de trafic d'influence a trait à des représentations faites auprès d'un propriétaire d'une carrière désireux d'agrandir ses activités en achetant un terrain de propriété fédérale.
* Ostie d'Crosseur !
REF.:Canoe
vendredi 22 mai 2009
3 jeunes de Montreal-Nord,chercheraient une Mini-van ou une RAV4, pas chère ???
Mme Taylor-Gregory, 69 ans, se remet péniblement de l’attentat sauvage dont elle a été victime en 2005.
«Ces jeunes-là n'ont pas d'âme. Ils n'ont pas appris le Bien et le Mal. Avant de m'attaquer, ils riaient. Celui qui avait 13 ans m'a dit : 'Bonjour, madame !' Et son ami m'a poignardée trois fois...»
Au lendemain de la mort d'une femme sauvagement battue par trois adolescents à Montréal-Nord, une autre victime de la violence des jeunes a raconté, hier, avoir été très ébranlée par ce drame humain.
Martha Taylor-Gregory aura très bientôt 69 ans. Et quatre ans après avoir été attaquée, elle aussi, à Montréal-Nord par quatre adolescents, elle n'arrive toujours pas à oublier.
«Je serais morte comme cette pauvre femme, si j'avais bougé après être tombée. Mais ils ont dû croire que j'étais déjà morte. C'est ce qui m'a sauvée», dit-elle, les larmes aux yeux.
Un discret petit crucifix pendu à son cou, Martha Taylor-Gregory se déplace difficilement, appuyée à une marchette.
Ce jour-là du 5 janvier 2005, «je déglaçais les vitres de l'automobile de mon fils, parti en vacances, quand j'ai remarqué ces jeunes dans une camionnette.»
«C'est le plus jeune qui était au volant. Il est descendu et m'a saluée.»
«Le petit m'a dit bonjour encore; je lui ai répondu encore, en riant. Aussitôt un plus grand m'a pris au cou et m'a poignardée une fois, deux fois, trois fois!»
«Ma marchette est tombée. Ils m'ont jetée à terre et ils m'ont donné un coup de pied au visage. Puis ils ont volé l'auto et sont partis en me passant à ça de la tête.»
C'est toute cette histoire qui a rejailli, raconte Mme Taylor-Gregory, quand elle a appris à la télé l'attaque contre une nouvelle victime. Elle a aussitôt éteint le poste.
REF.: Canoe