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dimanche 29 juin 2025

Ce n’est pas le silence qui sépare, c’est l’indifférence

 Ce n’est pas le silence qui sépare, c’est l’indifférence


Le silence, parfois, est chargé de sens. Il peut être douceur, refuge, pudeur. Il peut porter l’émotion qu’aucun mot ne saurait dire, un respect silencieux de ce que l’autre traverse. Deux êtres peuvent se taire, et pourtant se comprendre. Le silence peut rapprocher, s’il est habité d’attention.


Mais l’indifférence, elle, est un mur froid. Ce n’est pas l’absence de mots, mais l’absence de regard, de souci, d’émotion. L’indifférence ne cherche pas à comprendre, elle ne tend pas la main, elle détourne les yeux. C’est elle qui creuse les distances, bien plus que le silence. Elle fait naître en l’autre un sentiment d’invisibilité, comme si son existence n’avait aucun poids.


On peut survivre au silence. On ne survit pas longtemps à l’indifférence.

Elle érode les liens, elle vide les relations de leur sens. Elle est l’absence d’amour, l’abandon. Elle ne fait pas de bruit, mais elle fait mal.


Alors, écoutons les silences, apprenons à les lire. Mais surtout, refusons l’indifférence. Car ce n’est pas le silence qui sépare les cœurs, c’est le fait de ne plus s’en soucier.


RÉF .: Charlotte Cellier

 « La Sagesse des Séparations »

 « La Sagesse des Séparations »


Une séparation n’est jamais une fin. C’est un passage. Un changement d’état. Parfois une ouverture déguisée.

L’expérience peut être rude, opaque, déroutante. Mais elle ne surgit jamais par hasard.

Elle porte une vibration précise, comme un appel intérieur à s’ajuster, non seulement à l’autre, mais d’abord à soi.


Quand un lien se défait, quelque chose en nous se met à nu.

Le masque tombe, les illusions se dissipent, le miroir se brise… et ce qu’il cachait apparaît enfin :

l’attente silencieuse, les besoins inavoués, les projections inconscientes, ces parts blessées de soi qui tentaient de se réparer à travers l’autre.


Et pourtant, rien n’est faux. Aucune rencontre n’est vaine.

Chaque histoire d’amour tisse un pont fragile entre deux mondes intérieurs.

Tout ce qui s’est vécu, les joies, les silences, les frictions, réveille des couches profondes, parfois oubliées.

La relation devient alors une chambre d’écho pour les mémoires anciennes, les désirs étouffés, les blessures encore vivantes.


Et quand le lien atteint son point de bascule, une autre intelligence entre en scène.

Une intelligence vibratoire, plus subtile, qui révèle ce que chacun n’aurait pu voir seul.

L’un apprend à lâcher. L’autre, à renaître.

Chacun reçoit dans l’invisible ce que son âme appelait, même sans le savoir.


La rupture, sous cet angle, ne coupe rien.

Elle redirige. Elle réaligne. Elle invite à un nouveau mouvement intérieur.

Ce n’est pas un échec. C’est une initiation.


Ce qui a été partagé ne meurt pas.

Il continue d’exister autrement.

Dans les silences, dans les cellules, dans les profondeurs du cœur.

Même si le lien visible se transforme, la trace vibratoire reste active.

Et longtemps après le dernier mot, elle continue d’enseigner.


Et lorsque l’émotion se dissipe, lorsque le mental cesse de rejouer l’histoire,

quelque chose de plus vaste peut émerger.

Une paix étrange, une gratitude sans nom,

un regard neuf, plus doux, sur soi et sur l’autre.


Chaque rencontre laisse une empreinte.

Chaque séparation révèle un seuil.

Et chaque seuil ouvre un passage vers davantage de vérité.


RÉF.:  Marc-Antoine Charles Willaredt Bellegarde

Polarité relationnelle : Tout être humain veut se sentir aimer

Polarité relationnelle : Tout être humain veut se sentir aimer


Oui, on pourrait dire que Pauline (nom fictif impliquant ici 3 personnes ou une polarité relationnelle), comme tout être humain veut se sentir aimer,

mais elle doit savoir que l’intelligence de l’esprit ça doit descendre en elle 

pour pouvoir aimer l’autre et se reconnaître dans l’autre,

 tout comme moi en toi( une tierce personne )et toi en moi ,

alors l’amour devient psychique à ce moment, il devient collectif, il devient inconditionnel 

et invite tous les 4 autres Alephs (principes solaires de l'amour expansif) et là, 

on se sent complet dans la présence des autres,

 à moins de rencontrer une flamme jumelle qui est une relation plus fusionnelle ,

ça, c'est l’exception d’après moi et ça, on le trouve sur notre chemin d’évolution.

C’est notre esprit qui le met sur notre chemin, 

il est déjà prévu dans notre non libre-arbitre ici sur la Terre ,

pour nous relier à la Source en manifestation ou à notre Soleil, vers le plan Supramental ☀️


REF.: T30du113,

Poème: Présence intérieure

Poème:  Présence intérieure



Tu as mis ta main sur ta propre joue.

Tu as laissé cet enfant pleurer.

Et tu as reconnu que c’était difficile.

Ce qu’on t’a donné, ce n’était jamais entier.

Même dans le geste tendre, il y avait un creux.

Même dans la présence, il y avait un éloignement.

Le manque était déjà là, dedans.


Et ce manque, tu as voulu le combler toi-même,

le panser, le traverser.

Tu as offert, beaucoup.

Mais souvent, c’était encore pour retrouver ce qui n’avait jamais été vraiment reçu.


Tu t’es vue dans des rôles, dans des attentes, dans la tension de tendre vers l’autre.

Mais cette tension t’éloignait de toi.

Tu l’as senti : la présence commence là où tu ne tends plus vers quelqu’un.

Là où tu ne crois plus que quelque chose doit venir de l’extérieur.


Tu as voulu être vue. Entendue. Rejointe.

Mais dans trop de relations, tu ne l’as pas été.

Tu n’as pas été prise en compte, pas réellement rencontrée.

Et c’est là que tu as compris : ce n’est pas que l’autre te refusait.

C’est qu’il ne pouvait pas te voir.


Alors tu es revenue à toi.

Tu as reconnu ce lieu vivant en toi, ce lieu qui n’a plus besoin de prouver.

Ce n’est pas une spiritualité plaquée. Ce n’est pas une connaissance.

C’est une présence. Ancrée. Présente.


Ce qui te nourrit, ce sont les choses simples :

le thé, l’air sur la peau, le silence qui n’attend rien,

la parole que tu te donnes, la fluidité d’être en toi.

Ce n’est pas le manque qui doit te guider.

C’est la clarté de ne plus vouloir combler.


Il n’y a pas de haut soi, de soi spirituel, de démonstration à faire.

Il y a juste toi, ici. Dans cette habitation pleine.

Pas un passage, pas une montée, pas une transcendance.

Juste une présence que tu reconnais, et qui est toi.


Ce texte, c’est ton reflet.

Il n’est pas à analyser, ni à expliquer.

Juste à ressentir. Comme on ressent sa propre main,

posée doucement, sans attente.


Réf.:  Corinne Hanon 

https://www.facebook.com/corinnehanontherapeute

jeudi 26 juin 2025

 LA FEMME SACRÉE

 LA FEMME SACRÉE


La femme sacrée ne domine pas, elle touche. Elle ne provoque pas, elle est provocante.


Elle n'est pas seulement  intelligente, elle est sage. Elle ne s'insinue pas, elle montre subtilement le chemin.


Elle n'est pas pressée, elle attend le bon moment. Elle ne vole pas, elle flotte. Elle ne se soucie pas de la quantité, elle préfère la qualité. 


Elle ne voit pas, elle regarde. Elle ne marche pas, elle se promène.

Elle n'est pas exigeante, elle aime juste savourer. 


Elle ne juge pas, elle analyse. Elle ne réconforte pas, elle réchauffe le coeur. Elle ne cherche pas, elle éveille les sens.


Elle n'est pas exigeante, elle est sélective. Elle ne brille pas, elle illumine. Elle n'aime pas être regardée, elle préfère être écoutée. 


Elle ne devine pas, elle perçoit. Elle ne parle pas de sexe, elle est maître dans l'art de l'amour. Elle n'est pas facile, elle est flexible. 


L. LEFÈVRE


RÉF.: Page : Juste une Messagère

https://www.facebook.com/share/14Dfbh18UsL/

mercredi 25 juin 2025

 LA FRÉNÉSIE DES DÉBUTS N'EST PAS DE L'AMOUR

 LA FRÉNÉSIE DES DÉBUTS N'EST PAS DE L'AMOUR


On ne tombe pas amoureux en une semaine, un mois ou même une année. 


L'amour nécessite des problèmes, des crises, de la fatigue, des moments difficiles et des situations horribles. 


Il faut une longue cohabitation pour que cela devienne un véritable amour. 


L'amour commence quand l'enthousiasme s'estompe, que la communication diminue et que le désir augmente. 


On ne peut pas dire qu'on aime la mer en restant sur la plage; il faut plonger dans ses profondeurs, être frappé par ses vagues, boire de son eau salée, se blesser le pied sur un rocher, voir ses ténèbres au fond. 


Et quand on revient sur la plage, on la voit différemment, on ne la voit plus comme parfaite, car on a touché à ses défauts, vu ses ténèbres et connu sa colère. 


C'est à ce moment-là seulement qu'on peut soit détester la mer, soit l'aimer avec tous ses défauts et ses qualités...


Auteur : Un coin pour s'exprimer


RÉF.: Page : Juste une Messagère 

https://www.facebook.com/profile.php?id=100082976102631

mercredi 18 juin 2025

Poème: L'UNIVERS NE TE DONNE PAS CE QUE TU VEUX, IL TE DONNE CE QUE TU VIBRES...

Poème:  L'UNIVERS NE TE DONNE PAS CE QUE TU VEUX, IL TE DONNE CE QUE TU VIBRES...


Ce que tu vibres, ce n’est pas ce que tu dis.

Ce n’est pas non plus ce que tu espères en secret.

C’est ce que tu ressens vraiment à l’intérieur.

Même quand tu fais semblant d’y croire.

Même quand tu souris pour ne pas trop trembler.


Tu peux dire « je veux être aimé(e) »,

mais si tu vibres la peur d’être abandonné(e),

c’est cette fréquence-là que tu envoies.

Et c’est elle qui appelle.


Alors parfois, la vie te met face à ce que tu refuses de sentir,

pour que tu le regardes enfin. Pour que tu comprennes.

Pas pour te punir. Mais pour t’inviter à te réaligner.

À te retrouver.

À te croire, toi.


Ce que tu vibres est un langage.

Silencieux.

Mais puissant.

C’est ton corps qui parle.

C’est ton cœur qui guide.


Tu veux changer ta réalité ?

Reviens à toi.

Ressens. Écoute.

Et transforme ce que tu vibres.

Le reste suivra.


RÉF.: Essence d’éveil, Fb.