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dimanche 29 juin 2025

Polarité relationnelle : Tout être humain veut se sentir aimer

Polarité relationnelle : Tout être humain veut se sentir aimer


Oui, on pourrait dire que Pauline (nom fictif impliquant ici 3 personnes ou une polarité relationnelle), comme tout être humain veut se sentir aimer,

mais elle doit savoir que l’intelligence de l’esprit ça doit descendre en elle 

pour pouvoir aimer l’autre et se reconnaître dans l’autre,

 tout comme moi en toi( une tierce personne )et toi en moi ,

alors l’amour devient psychique à ce moment, il devient collectif, il devient inconditionnel 

et invite tous les 4 autres Alephs (principes solaires de l'amour expansif) et là, 

on se sent complet dans la présence des autres,

 à moins de rencontrer une flamme jumelle qui est une relation plus fusionnelle ,

ça, c'est l’exception d’après moi et ça, on le trouve sur notre chemin d’évolution.

C’est notre esprit qui le met sur notre chemin, 

il est déjà prévu dans notre non libre-arbitre ici sur la Terre ,

pour nous relier à la Source en manifestation ou à notre Soleil, vers le plan Supramental ☀️


REF.: T30du113,

Poème: Présence intérieure

Poème:  Présence intérieure



Tu as mis ta main sur ta propre joue.

Tu as laissé cet enfant pleurer.

Et tu as reconnu que c’était difficile.

Ce qu’on t’a donné, ce n’était jamais entier.

Même dans le geste tendre, il y avait un creux.

Même dans la présence, il y avait un éloignement.

Le manque était déjà là, dedans.


Et ce manque, tu as voulu le combler toi-même,

le panser, le traverser.

Tu as offert, beaucoup.

Mais souvent, c’était encore pour retrouver ce qui n’avait jamais été vraiment reçu.


Tu t’es vue dans des rôles, dans des attentes, dans la tension de tendre vers l’autre.

Mais cette tension t’éloignait de toi.

Tu l’as senti : la présence commence là où tu ne tends plus vers quelqu’un.

Là où tu ne crois plus que quelque chose doit venir de l’extérieur.


Tu as voulu être vue. Entendue. Rejointe.

Mais dans trop de relations, tu ne l’as pas été.

Tu n’as pas été prise en compte, pas réellement rencontrée.

Et c’est là que tu as compris : ce n’est pas que l’autre te refusait.

C’est qu’il ne pouvait pas te voir.


Alors tu es revenue à toi.

Tu as reconnu ce lieu vivant en toi, ce lieu qui n’a plus besoin de prouver.

Ce n’est pas une spiritualité plaquée. Ce n’est pas une connaissance.

C’est une présence. Ancrée. Présente.


Ce qui te nourrit, ce sont les choses simples :

le thé, l’air sur la peau, le silence qui n’attend rien,

la parole que tu te donnes, la fluidité d’être en toi.

Ce n’est pas le manque qui doit te guider.

C’est la clarté de ne plus vouloir combler.


Il n’y a pas de haut soi, de soi spirituel, de démonstration à faire.

Il y a juste toi, ici. Dans cette habitation pleine.

Pas un passage, pas une montée, pas une transcendance.

Juste une présence que tu reconnais, et qui est toi.


Ce texte, c’est ton reflet.

Il n’est pas à analyser, ni à expliquer.

Juste à ressentir. Comme on ressent sa propre main,

posée doucement, sans attente.


Réf.:  Corinne Hanon 

https://www.facebook.com/corinnehanontherapeute

jeudi 26 juin 2025

 LA FEMME SACRÉE

 LA FEMME SACRÉE


La femme sacrée ne domine pas, elle touche. Elle ne provoque pas, elle est provocante.


Elle n'est pas seulement  intelligente, elle est sage. Elle ne s'insinue pas, elle montre subtilement le chemin.


Elle n'est pas pressée, elle attend le bon moment. Elle ne vole pas, elle flotte. Elle ne se soucie pas de la quantité, elle préfère la qualité. 


Elle ne voit pas, elle regarde. Elle ne marche pas, elle se promène.

Elle n'est pas exigeante, elle aime juste savourer. 


Elle ne juge pas, elle analyse. Elle ne réconforte pas, elle réchauffe le coeur. Elle ne cherche pas, elle éveille les sens.


Elle n'est pas exigeante, elle est sélective. Elle ne brille pas, elle illumine. Elle n'aime pas être regardée, elle préfère être écoutée. 


Elle ne devine pas, elle perçoit. Elle ne parle pas de sexe, elle est maître dans l'art de l'amour. Elle n'est pas facile, elle est flexible. 


L. LEFÈVRE


RÉF.: Page : Juste une Messagère

https://www.facebook.com/share/14Dfbh18UsL/

mercredi 25 juin 2025

 LA FRÉNÉSIE DES DÉBUTS N'EST PAS DE L'AMOUR

 LA FRÉNÉSIE DES DÉBUTS N'EST PAS DE L'AMOUR


On ne tombe pas amoureux en une semaine, un mois ou même une année. 


L'amour nécessite des problèmes, des crises, de la fatigue, des moments difficiles et des situations horribles. 


Il faut une longue cohabitation pour que cela devienne un véritable amour. 


L'amour commence quand l'enthousiasme s'estompe, que la communication diminue et que le désir augmente. 


On ne peut pas dire qu'on aime la mer en restant sur la plage; il faut plonger dans ses profondeurs, être frappé par ses vagues, boire de son eau salée, se blesser le pied sur un rocher, voir ses ténèbres au fond. 


Et quand on revient sur la plage, on la voit différemment, on ne la voit plus comme parfaite, car on a touché à ses défauts, vu ses ténèbres et connu sa colère. 


C'est à ce moment-là seulement qu'on peut soit détester la mer, soit l'aimer avec tous ses défauts et ses qualités...


Auteur : Un coin pour s'exprimer


RÉF.: Page : Juste une Messagère 

https://www.facebook.com/profile.php?id=100082976102631

mercredi 18 juin 2025

Poème: L'UNIVERS NE TE DONNE PAS CE QUE TU VEUX, IL TE DONNE CE QUE TU VIBRES...

Poème:  L'UNIVERS NE TE DONNE PAS CE QUE TU VEUX, IL TE DONNE CE QUE TU VIBRES...


Ce que tu vibres, ce n’est pas ce que tu dis.

Ce n’est pas non plus ce que tu espères en secret.

C’est ce que tu ressens vraiment à l’intérieur.

Même quand tu fais semblant d’y croire.

Même quand tu souris pour ne pas trop trembler.


Tu peux dire « je veux être aimé(e) »,

mais si tu vibres la peur d’être abandonné(e),

c’est cette fréquence-là que tu envoies.

Et c’est elle qui appelle.


Alors parfois, la vie te met face à ce que tu refuses de sentir,

pour que tu le regardes enfin. Pour que tu comprennes.

Pas pour te punir. Mais pour t’inviter à te réaligner.

À te retrouver.

À te croire, toi.


Ce que tu vibres est un langage.

Silencieux.

Mais puissant.

C’est ton corps qui parle.

C’est ton cœur qui guide.


Tu veux changer ta réalité ?

Reviens à toi.

Ressens. Écoute.

Et transforme ce que tu vibres.

Le reste suivra.


RÉF.: Essence d’éveil, Fb.

Poème: Tu peux être en train de guérir et avancer en même temps :

Poème: Tu peux être en train de guérir et avancer en même temps : 


Tu n’as pas besoin d’attendre d’aller « parfaitement bien » pour continuer ta route.


Tu n’as pas besoin d’être totalement réparé·e pour mériter d’aimer, de créer, de rêver, de bâtir quelque chose de nouveau.

Tu peux guérir en marchant. Tu peux pleurer un jour et bâtir le lendemain. Tu peux douter et progresser. Tu peux être en reconstruction sans être figée.

Trop souvent, on te fait croire qu’il faut guérir d’abord, puis vivre.

Comme s’il fallait cocher une liste invisible de blessures cicatrisées avant de se remettre à avancer. Comme si la guérison était une destination claire, propre, finale. Mais en réalité, la vie ne t’attend pas. Elle se vit au milieu du chaos, au milieu du désordre, au milieu des émotions qui montent et descendent. Elle se vit pendant la guérison. Pas seulement après.

Il y a des jours où tu iras mieux, et d’autres où tu retomberas. C’est normal.

Tu peux te reconstruire en posant pierre après pierre, même si certaines sont encore bancales. Tu peux prendre des décisions en tremblant. Tu peux continuer à faire de ton mieux, même avec des cœurs encore sensibles, même avec des pensées encore floues. Parce que guérir, ce n’est pas cesser d’avancer — c’est apprendre à avancer autrement.

Et ce chemin, tu le fais déjà.

Chaque fois que tu choisis de te lever malgré la fatigue.

Chaque fois que tu réponds avec douceur à ton propre chaos.

Chaque fois que tu poses des limites, que tu te dis « non », ou que tu t’offres un petit « oui » timide mais nécessaire.

Chaque fois que tu fais un pas — petit, bancal, maladroit — c’est déjà de la guérison.

Ne laisse personne te dire que tu n’es pas « prêt·e ».

Tu l’es peut-être pas pour tout. Mais tu l’es pour maintenant.

Pour ce moment. Pour cette respiration. Pour cette avancée, même infime.

Tu n’as pas à être « entièrement guéri·e » pour créer du beau.

Tu n’as pas à avoir tout compris pour apporter quelque chose au monde.

Tu n’as pas à avoir toutes les réponses pour être une lumière dans la vie de quelqu’un, ou dans la tienne.

Tu as juste à être là. Présent·e. Ouvert·e. En chemin.

Et oui, il y aura encore des jours de rechute, de doute, de vide.

Mais même dans ces jours-là, tu avances.

Tu apprends à te porter. À t’écouter. À respecter ton propre rythme.

Alors ne t’arrête pas parce que tu n’es pas encore « à 100 % ».

Personne ne l’est, tout le temps.

Tu es déjà en train d’évoluer. Tu es déjà en train de transformer la douleur.

Pas en force brutale, mais en sagesse, en conscience, en mouvement.

Tu peux être en train de guérir et avancer en même temps.

Ce n’est pas l’un ou l’autre.

C’est les deux.

Et c’est plus que suffisant.


REF.: Pensées volantes , Fb.


vendredi 13 juin 2025

L’effet nocebo est plus fort que l’effet réel lors de la consommation de gluten

 


L’effet nocebo est plus fort que l’effet réel lors de la consommation de gluten

Publié en ligne le 27 mai 2025 - Alimentation - 



Une équipe internationale des universités de Leeds (Royaume-Uni), Maastricht (Pays-Bas) et Wageningen (Pays-Bas) a testé l’aspect psychosomatique de l’intolérance au gluten [1]. Par le biais de petites annonces, les chercheurs ont recruté un ensemble de volontaires se déclarant intolérants au gluten. Ceux qui avaient une maladie attestée médicalement en lien avec ce dernier (en particulier ceux souffrant de la maladie cœliaque aussi appelée « entéropathie au gluten ») étaient exclus de l’expérience. On ne teste donc que ceux qui pensent avoir une intolérance mais qui n’est pas avérée médicalement. Les participants devaient suivre un régime strict sans gluten pendant une semaine puis, le jour du test, consommer deux tranches de pain au petit-déjeuner et à nouveau deux tranches au déjeuner. Pendant cette journée de test, ils devaient noter les symptômes ressentis toutes les heures.



Les participants ne savaient pas qu’ils participaient à un test sur leur réaction aux indications données. Ils avaient été séparés en quatre groupes de 20 à 22 participants. Deux groupes étaient informés qu’ils mangeraient du pain contenant du gluten (E+) alors qu’on affirmait le contraire aux deux autres (E-). Par ailleurs, deux de ces groupes mangeaient du pain contenant du gluten (G+) et les deux autres sans gluten (G-). La recherche porte donc sur les symptômes auto-rapportés par des participants qui ont, ou non, consommé du gluten avec une information qui peut être erronée. Notons que l’expérience était réalisée en « double aveugle » dans le sens où les chercheurs qui interagissaient avec les participants ne savaient pas eux-mêmes ce que chacun des sujets allait réellement manger (groupes G- ou G+).


Les résultats montrent que ceux qui ont été informés qu’ils consommaient un pain contenant du gluten déclarent, en moyenne, plus de symptômes gastro-intestinaux que ceux qui pensaient manger du pain sans gluten. La différence est significative avec une haute confiance statistique. Parmi ceux qui pensaient manger du pain sans gluten (E-), il n’y a pas de différence apparente sur les symptômes en lien avec la consommation effective (E-G+ vs E-G-), ce qui indique qu’il n’y a pas d’effet réel du gluten. Pourtant, c’est le groupe E+G+ qui déclare le plus de symptômes gastro-intestinaux, ce qui semble indiquer une synergie entre un effet réel du gluten et l’effet nocebo. Cependant, la différence avec le groupe E+G- (qui a mangé un pain sans gluten) n’a pas la confiance statistique qui est généralement exigée pour pouvoir affirmer un effet (critère p < 0,05 qui indique que le résultat a moins de 5 % de chances d’être dû au hasard).


Une nouvelle expérience avec des populations plus importantes dans chaque groupe est nécessaire pour confirmer, ou non, un effet réel du gluten en plus de l’effet nocebo qui est, quant à lui, clairement démontré par cette expérience.




RÉF.: https://www.afis.org/L-effet-nocebo-est-plus-fort-que-l-effet-reel-lors-de-la-consommation-de-gluten


Références: Graaf MCG et al.,