qu'est ce que sa signifie ?
simplement qu'en lisant cette hisoire ci-dessous que le gouvernement provincial ne subventionne pas pour plus qu'un an les emplois et que c'est l'employeur a payer sans subvention l'employé.Parce que c'est plus intéressant pour le provincial de créer des emplois que de les garder subventionner.Aussi,en le retournant sur le chomage c'est le gouvernement Fédéral qui paye,donc le Provinçial s'en fout et aux taux qui paye pour le bien-être social au Provincial ,c'est sûre que le gars va se trouver une Job et se retrouver au chomage a la charge du Fédéral pour encore un an.Solution ,baisser les salaires et faîtes faire 40 hrs a vos employés.Certains ,se trouveront des emploies a temps partiels,a travailler sur le marché noir ou le gris.Parce que deux emplois précaires vallent mieux qu'un a 40 hrs/semaine ,c'est ce que se disent les fonctionnaires du gouvernement Provincial. Pour des emmplois subventionnés,souvant des organismes para-gouvernementaux engage des travailleurs ,a condition qu'ils suivent une formation (subventionné par le chomage) et travaille dans cette entreprise pour en fait devenir des salariés non-syndiqués ,payer par l'état et qui se trouve a remplacer temporairement les gros salariés syndiqués qui eux auraient un salaire bien plus élevé.C'est donc ,de cette manière que certaines entreprise para-gouvernementale(genre CSSS,CLSC,CHSLD,CLE ....)engage par la porte d'en arrière ,et OUI, et c'est de cette manière d'économie de bout de chandelle,qui sauvent sur le plein salaire de future employé qui auraient été engagés ,sans subvention et donc ils économisent et forme leurs propre salariés en même temps ! C'est tu pas merveilleux ;-) Quand il y a un manque d'employé,dans un secteur particulier a emploi précaire,sur appel,temps partiel,bienvenue aux pré-retraité ,........et j'en passe ,...........c'est signe que soit les salaires sont trop haut,ou bien les coûts de productions sont haut eux aussi ,ou bien c'est l'économie a l'échelle nationale qui réflète notre mode d'endettement personnel qui fait défaut !
La société est en train de se redéfinir ou a s'ajuster a notre système de consommation,................consommé pour un service de l'état tout payer d'avance avec vos impôts et qu'il faut par dessus de marché payer certains frais de bienvenue , ou consommé un bien que l'ont n'a peut être pas besoin ? A moins de créer soit-même des services a très bas prix pour équilibrer l'économie ,............l'état elle,suivra et recevra ce qui reste ,pour sa survie,...............sauf qu'il faut une masse crétique de personnes qui initialisent le processus,et la ,..............faut pas se rendre a du troc,des coopératives,du micropaiement, ou du service bénévole,parce que sa va être lette ;-) C'est ce qui pourrait détruire une économie capitaliste,pour en faire naître une autre ,.................plus intelligente !
Voici l'histoire vécu :
LAVAL – Commis de plancher dans une pharmacie de Laval pendant près de 10 ans, Stéphane Perreault a vu son monde s’écrouler le jour où Emploi-Québec a coupé la subvention qui permettait à son employeur de maintenir son poste. Au chômage depuis le mois d’octobre, le travailleur dysphasique se sent abandonné par le système.La dysphasie est un trouble primaire du langage – dans les sphères expressive ou réceptive, ou les deux –, qui affecte le développement de façon variable.
« Je suis un bon travailleur, dit M. Perreault, 29 ans. À la pharmacie, j’allais toujours donner un coup de main quand on m’appelait. Je connaissais bien mon travail. J’aurais voulu travailler là jusqu’à ma retraite. »
Grâce à son poste de commis, Stéphane Perreault a réussi, en mars dernier, à louer un appartement pour la première fois de sa vie. Son destin a cependant basculé quand, en août dernier, Emploi-Québec a jugé que la pharmacie qui l’embauchait pouvait désormais le garder à ses frais.
« À ce moment-là, je suis passé de 32 heures par semaine à 20 heures, explique M. Perreault. Je ne pouvais plus garder mon logement. » Déstabilisé, le jeune homme a fini par démissionner le 1er octobre. Il a perdu son appartement et est retourné vivre chez sa mère.
A la pharmacie du boulevard des Laurentides, on soutient qu’il était impossible de garder Stéphane Perreault à temps plein sans la subvention du gouvernement.
« Ça ne me dérangeait pas de garder Stéphane, mais en raison de son handicap, j’avais toujours besoin de quelqu’un de plus sur le plancher, explique la gérante du commerce, qui a choisi de garder l’anonymat. Si je l’avais gardé à temps plein, il aurait fallu que je coupe quelqu’un de plus polyvalent. »
La dame reconnaît toutefois qu’il s’agit d’une situation délicate. « La perte de la subvention a beaucoup troublé Stéphane, raconte-t-elle. Après cela, il n’était plus apte à travailler. Le gouvernement l’a détruit. Je sais qu’il a perdu son appartement. Ça doit être dur pour lui. »
Cafouillage
Selon Suzanne Perreault, la mère de Stéphane, c’est un cafouillage à l’agence responsable du dossier de son fils qui est à l’origine de ses problèmes.
« Quand Emploi-Québec donne une subvention à un travailleur handicapé, c’est une agence de placement pour personnes handicapées qui traite le dossier », explique Mme Perreault.
« Au mois d’août, le gouvernement a avisé un agent d’intégration que la subvention était coupée, mais le monsieur en question est parti en vacances sans transférer le cas de Stéphane à personne. »
La mère considère que cet oubli a causé beaucoup de tort à son fils. « Si le travail avait été bien fait, on aurait été mis au courant de la situation beaucoup plus tôt. Mon fils et la pharmacie se sont retrouvés devant le fait accompli. »
L’agence d’intégration pour personnes handicapées L’Étape, responsable du dossier de M. Perreault, a refusé de commenter le dossier. Son directeur, Majorique Gariépy, a toutefois assuré que le dossier de Stéphane est toujours actif, et qu’un plan d’action est en place afin de lui trouver un nouveau travail.
Cri du cœur
Employée dans un centre de la petite enfance, Suzanne Perreault croit que le gouvernement ne soutient pas convenablement les jeunes handicapés.
« Il y a un manque criant de personnel qualifié, dit-elle. Les agents de placement que mon fils a rencontrés n’étaient pas formés pour répondre à ses besoins. Le gouvernement doit mieux investir son argent afin que les gens comme Stéphane soient mieux accompagnés. »
« Donnons la chance à ces jeunes d’être des payeurs de taxes et non des assistés sociaux », ajoute-t-elle.