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lundi 25 avril 2011

Les Agences Privées de Préposé aux malades engage des criminels

L'agence de soins aux malades, "Humatech", était d’ailleurs bien au courant des antécédents criminels de son préposé aux malades.
Handicapé ébouillantée dans son bain - Un ex-préposé aux bénéficiaires accusé d'homicide involontaire
Marc Laquerre 
© BENOIT GARIEPY/ Agence QMI
Handicapé ébouillantée dans son bain

Un ex-préposé aux bénéficiaires accusé d'homicide involontaire

QUÉBEC – Marc Laquerre, un ancien préposé aux bénéficiaires de 56 ans, a été formellement accusé, hier, d’homicide involontaire sur la personne de Réjean Simoneau, qui a été ébouillanté dans son bain. Les faits reprochés à l’individu se sont déroulés en 2008, alors que Laquerre travaillait comme préposé au pavillon Saint-Charles, à Québec, au profit de Humatech, une agence privée qui offre des services et des soins de santé à domicile et en institution à travers la grande région de Québec.
Selon ce qu’il avait été rapporté, à l’époque, l’accusé aurait omis de vérifier la température de l’eau du bain avant d’y asseoir la victime de 38 ans, restée lourdement handicapé à la suite d'un accident vasculaire cérébral. Réjean Simoneau avait alors subi de graves brûlures et avait été transporté à l’Unité des grands brûlés de l’hôpital de l’Enfant-Jésus. L’homme y était finalement décédé, trois semaines plus tard. Laquerre avait été congédié immédiatement après les tristes événements.
L’enquête avait été amorcée en 2008 par le service de police de la ville de Québec pour finalement en arriver à l’émission d’un mandat d’arrestation contre l’individu, en février 2011.
Humatech se défend Rappelons que Marc Laquerre détient un lourd passé judiciaire constitué de vols, de voies de fait et d’introduction par effraction s’étalant entre 1991 et 2010. Son employeur de l’époque, Humatech, était d’ailleurs bien au courant de ses antécédents criminels. « À l’époque, les vérifications qu’on a faites ne nous permettaient pas de croire qu’il y avait des dangers pour l’intégrité physique des patients. Il semblait s’être réhabilité depuis plusieurs années », a confié, hier, Jean-Philippe Trudel, porte-parole de l’entreprise qui emploie 200 personnes.
Sans vouloir minimiser les tristes événements, M. Trudel a tenu à souligner qu’il s’agissait là d’un cas « isolé », qui s’est produit dans le cadre d’une situation « exceptionnelle ». « On parle d’un accident. Je ne pense pas que les antécédents aient un lien avec l’accident comme tel. Monsieur avait suivi des cours, il avait une formation, les autres critères avaient été respectés. Il faut relativiser », se défend-il.
À la suite du décès de M. Simoneau, des rencontres entre Humatech et le Centre de santé et des services sociaux (CSSS) de la Vieille Capitale avaient été planifiées afin de revoir, s’il y avait lieu, leur façon de faire. Selon M. Trudel, le protocole est sensiblement demeuré le même.
Sous les verrous
La procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Mélanie Ducharme, s’est opposée à la remise en liberté du prévenu, qui devra patienter au pénitencier jusqu’à mardi, date à laquelle devrait se tenir son enquête sur remise en liberté. Si Laquerre est reconnu coupable sur une des accusations de négligence criminelle ayant entraîné la mort ou d’homicide involontaire, il risque l’emprisonnement à perpétuité.
REF.:

dimanche 24 avril 2011

Poulaillier du 3ième âge ou CHSLD en PPP ?

CHSLD en PPP à Saint-Lambert - Plus cher et moins bien
Le CHSLD Saint-Lambert-sur-le-Golf est en opération depuis octobre 2010. 
© Agence QMI
CHSLD en PPP à Saint-Lambert

Plus cher et moins bien

SAINT-LAMBERT – Le premier CHSLD construit en partenariat public-privé, celui de Saint-Lambert sur la Rive-Sud de Montréal, offrirait des soins de qualité inférieure, selon la CSN.

EN VIDÉO:
CHSLD: la CSN dénonce les PPP
Coûts plus élevés à long terme, maintien de la qualité des services en péril et manque d’expérience et de savoir-faire du personnel: la formule du partenariat public-privé (PPP) utilisée dans un centre d’hébergement de la Rive-Sud de Montréal est fortement critiquée par la Confédération des syndicats nationaux. La CSN s’appuie sur une étude indépendante, produite par la firme MCE Conseils, dévoilée mercredi, à Montréal.
Selon cette analyse, les coûts d’exploitation seraient de 227 millions $ pour 25 ans au public tandis que le modèle PPP, option privilégiée par le gouvernement, entraînera des coûts de 287 millions $ pour la même période, soit une différence de 60 millions $.
Bas salaires
De plus, dans le CHSLD de Saint-Lambert-sur-le-Golf, opéré par le Groupe Savoie (Résidences Soleil), le salaire des préposées aux bénéficiaires est de 12 $ de l’heure, alors qu’il est de 18,45 $ de l’heure dans le secteur public.
L’auteur de l’étude, Benoit Bachand, craint que ces bas salaires aient une conséquence directe sur la qualité des soins qui seront offerts. «Le personnel va faire ses classes à cet endroit et partir ailleurs, vers le réseau public, pour avoir de meilleures conditions salariales», a-t-il affirmé, sous-entendant que du nouveau personnel devra constamment être formé. «Pendant qu’on forme les gens sur le terrain, on ne donne pas les soins suffisants aux résidants».
Du côté de la CSN, on presse le gouvernement de «réaliser qu’il est temps de faire marche arrière», puisque l’expérience initiée au CHSLD de Saint-Lambert-sur-le-Golf est en quelque sorte «un projet-pilote» d’un système qui pourrait être implanté dans trois autres établissements en Montérégie et un autre à Laval.
Le ministre se veut rassurant
Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, a dit que la priorité demeurait «la qualité des soins octroyés aux patients».
Sa porte-parole, Natacha Joncas Boudreau a précisé que «tous les employés sont des gens diplômés et qui sont bien formés».
Quant aux coûts d’exploitation qui seraient plus élevés en mode PPP, Mme Joncas Boudreau ne remet pas en question les chiffres présentés dans l’étude de MCE Conseils, mais assure que le PPP permet d’économiser environ 98 millions $ à l’État.
Elle n’a pas souhaité se prononcer en revanche sur la possibilité d’opter pour le mode PPP dans d’autres établissements, dans le futur.
REF.:

Collusion entre la SAAQ et Revenu Qc concernant des Bonu$ impôsable

Québec - Le PQ dénonce les généreux bonis à la SAAQ
Le PQ exhorte le ministre des Transports, Sam Hamad, à mettre un terme aux pratiques des bonis. 
©Agence QMI/ JOURNAL DE QUEBEC/ Archives/ Stevens Leblanc

QUÉBEC – Les cadres et hauts dirigeants de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) se sont octroyé des bonis de 600 000 $ en 2010, une situation qui ulcère le Parti québécois (PQ). Le PQ exhorte le ministre des Transports, Sam Hamad, à mettre un terme à ces pratiques.
«Plus ça change, plus c'est pareil. Il y a un an, on apprenait que les hauts dirigeants de la SAAQ avaient décidé de s'octroyer de généreux bonis. Or, les dirigeants de la SAAQ récidivent encore cette année», a pesté le député péquiste Nicolas Girard mercredi, à l’Assemblée nationale.
La SAAQ dans le rouge
Le représentant du comté de Gouin ne comprend pas comment le ministre Hamad peut accepter «de faire rire de lui par ce monopole de l'État», une société qui est toujours dans le rouge depuis les pertes historiques de 40 milliards de dollars de la Caisse de dépôt et placement du Québec en 2008.
Le député Girard est d’autant plus outré que sa prédécesseure, Julie Boulet, avait usé d’une panoplie d’adjectifs pour dénoncer les généreux bonis octroyés aux dirigeants de la société d’État à la même période l’an dernier.
«Inacceptable», «exagéré», «abusif» et «inapproprié», avait soutenu la ministre, qui avait même pris la peine de téléphoner à la grande patronne de la SAAQ pour lui dire sa façon de penser.
«Plus ça change, plus c'est pareil. Il y a un an, on apprenait que les hauts dirigeants de la SAAQ avaient décidé de s'octroyer de généreux bonis. Or, les dirigeants de la SAAQ récidivent encore cette année», a insisté Nicolas Girard.
La grande patronne s’explique
Quelques minutes plus tard, lors de l’étude des crédits en commission parlementaire, la présidente et chef de la direction de la SAAQ, Nathalie Tremblay, a tenu à préciser que pour les hauts dirigeants (sept vice-présidents) les primes au rendement ont été de 220 000 $ en 2010, le reste étant des bonis versés aux cadres.
Mme Tremblay, qui a une rémunération annuelle de 182 000 $, a ajouté qu’elle n’avait pas eu de prime cette année.
La «rémunération variable» qui est versée aux dirigeants de la SAAQ s’appuie sur la performance de l’organisme, qui se base notamment sur les résultats du bilan routier du Québec et sur la performance de la gestion des coûts au sein de la société d’État.
«Sur l’horizon de cinq ans de notre dernier plan stratégique, nos coûts ont réduits de 4,9 %», a-t-elle signalé.
Le ministre Hamad a accusé pour sa part son adversaire de ressasser de vieilles histoires, puisque ce sont des bonis de 2009 versés en 2010. «Depuis, on a réglé ça l’histoire des primes au rendement», a-t-il lancé.
L’an dernier, 140 000 $ de bonis ont été répartis entre les cadres et les hauts dirigeants.


REF.:

ëtre aux 7ième ciel

La force des mots et la manière de s'exprimer




.................Font la différence dans un monde ou faut se mentir pour et anéantir la force du mal innée en nous,car s'autodétruire est tellement facile chez l'humain, afin de faire naître la lumière du fond de notre coeur !

vendredi 22 avril 2011

Claude Robinson : Ça fait 16 ans qu’ils me niaisent en cour. Leur objectif était de m’épuiser

Procès - Claude Robinson devant la Cour d'appel
Claude Robinson 
© Agence QMI

MONTRÉAL - Après avoir obtenu gain de cause au terme de plus d’une décennie de lutte acharnée devant les tribunaux, l’auteur et dessinateur Claude Robinson doit de nouveau démontrer qu’il a été victime de plagiat de la part du producteur Cinar, cette fois devant la Cour d’appel. En février 2009, Cinar, ses ex-dirigeants Ronald Weinberg et feue Micheline Charest, de même que le Français Christophe Izard et le producteur France Animation, ont été condamnés à verser 5,2 millions $ à Robinson pour avoir plagié son œuvre Robinson Curiosité.
Au cours du procès, on a pu apprendre que Robinson avait présenté son projet à Cinar en 1986, puis à Christophe Izard l’année suivante. L’émission ne verra toutefois jamais le jour.
En 1995, le défunt Canal Famille débute la diffusion de «Robinson Sucroé», un dessin animé pour enfants produit par Cinar, supposément écrit par Izard et qui semble directement inspiré de Robinson Curiosité. Le féroce combat judiciaire de Claude Robinson, qui le dépouillera de pratiquement toutes ses économies, venait alors de commencer.
Dans sa décision fort étoffée de 240 pages, le juge Claude Auclair de la Cour supérieure vilipendait sans vergogne les défendeurs, n’hésitant pas à les qualifier de «bandits à cravate» qui ont fait preuve d’une «conduite scandaleuse, infâme et immorale».
Ces derniers ont toutefois interjeté appel du jugement, empêchant du coup Robinson d’être dédommagé, du moins jusqu’à ce que le plus haut tribunal du Québec se prononce sur la question.
Question d’inspiration
Les défendeurs seront entendus séparément lors de quatre journées d’audience. Lundi, c’est France Animation qui a ouvert le bal devant les juges Benoît Morin, France Thibault et François Doyon.
Selon l’avocat du producteur français, Pierre Lefebvre, il est possible que les créateurs de Robinson Sucroé se soient inspirés de Robinson Curiosité pour jeter les bases de leur projet, mais cela ne signifie pas pour autant qu’ils sont coupables de plagiat.
«Il n’y a pas de similitudes substantielles entre Robinson Sucroé et Robinson Curiosité, soutient-il. Il n’y a aucune partie importante de Curiosité qui ait été reprise.»
Prétextant notamment que le juge Auclair a commis une erreur de droit en confondant l’idée et l’expression d’une idée – seule cette dernière est protégée par la loi sur les droits d’auteurs -, Me Lefebvre s’est attardé à décortiquer chaque aspect des deux œuvres, allant des personnages aux différents décors, en passant par les paroles de leurs chansons-thème respectives.
Fatigué, mais confiant
Pour sa part, même s’il avoue être «fatigué», Claude Robinson demeure confiant de remporter cette nouvelle manche de la saga qui l’oppose à Cinar depuis maintenant 16 ans.
«Ça fait 16 ans qu’ils me niaisent en cour. Leur objectif était de m’épuiser, mais ils n’ont pas encore réussi», a indiqué celui qui fêtera bientôt son 60e anniversaire.
L’auteur fait par ailleurs remarquer que pour la première fois depuis le tout début des procédures, les défendeurs ont admis qu’ils avaient eu accès à son œuvre Robinson Curiosité alors qu’ils affirmaient le contraire auparavant.
«Ils changent leur version selon l’étape et réinventent une nouvelle histoire», a-t-il fait valoir.
Les audiences se poursuivent.


Le 3 Juin 2016:


 Le cofondateur de Cinar a vainement tenté de sortir de prison vendredi, 24 heures après avoir été reconnu coupable d’une fraude de 126 M$.
«Qu’est-ce que vous ne comprenez pas dans ce que je viens d’expliquer? Si vous n’êtes pas contente de mon jugement, vous n’avez qu’à aller à la Cour d’appel», a tranché le magistrat, sous les regards ébahis des proches de Weinberg présents au palais de justice de Montréal.
Le cofondateur de Cinar, Ronald Weinberg, et ses deux complices qui dirigeaient des firmes de placements, Lino Matteo et John Xanthoudakis, ont tous trois été envoyés derrière les barreaux jeudi, après avoir été reconnus coupables d’une fraude colossale.
Au terme d’un procès, qui a duré près de deux ans, le jury a conclu que les trois comparses avaient détourné 126 M$ de la maison de production Cinar entre 1997 et 2005, pour l’envoyer dans des sociétés bidon des Bahamas.
Seul Ronald Weinberg avait déposé une requête pour recouvrer sa liberté, vendredi. Le juge Labrie semblait toutefois déjà déterminé à ne pas modifier sa décision en montant sur le banc. Il n’a même pas eu besoin d’entendre les arguments de la Couronne avant de se prononcer.
«Le juge a adopté la bonne position dans les circonstances», a commenté Me Matthew Ferguson, de la Couronne, en sortant de l’audience.
Les avocats feront leurs suggestions quant à la peine à imposer aux trois accusés dès lundi.
 Lino Matteo, Ronald Weinberg et John Xanthoudakis seront ramenés au palais de justice de Montréal lundi pour les représentations sur leur peine.
Ronald Weinberg,..........Coupables et déjà en prison!
 La Couronne réclame la peine maximale de 10 ans de pénitencier pour le cofondateur de Cinar et ses deux complices, reconnus coupables d'une fraude «sophistiquée, planifiée et préméditée» de 126 millions $.Accusés fraude, de fabrication de faux et de faux prospectus dans l'affaire de la célèbre maison de production Cinar à l'origine de dessins animés comme Caillou, Ronald Weinberg et ses deux coaccusés ont été reconnus coupable au palais de justice de Montréal par un jury, jeudi.
Le cofondateur de Cinar, jadis considérée comme un fleuron québécois, ainsi que Lino Matteo et John Xanthoudakis ont été reconnus coupables de la majorité des 29 chefs d'accusation.
Weinberg, qui dirigeait Cinar, était accusé d'avoir participé à un stratagème visant à détourner 126 millions $ dans des comptes aux Bahamas, entre 1997 et 2005 avec l'aide de Lino Matteo qui dirigeait l'entreprise Mount Real et John Xanthoudakis à la tête de Norshield.
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Ce procès, qui a commencé au début de mai 2014, a été le plus long à s'être déroulé devant jury au Canada. Une jurée a même eu le temps de tomber enceinte et d'accoucher pendant les procédures. 




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Prendre la parole «qu'ossa donne»?

La voix du peuple - Prendre la parole «qu'ossa donne»?
Muguette Paillé
© Agence QMI
Même si je fais partie de la majorité silencieuse, ce n'est sûrement pas une bonne raison pour moi de me taire.
Je n'ai pas l'intention de me laisser leurrer par de belles promesses qui ne se traduisent que très rarement par des réalisations concrètes et qui permettraient, entre autres, à la population de faire valoir pleinement ses droits et de garder espoir.
Je ne suis pas du tout convaincue que tous ces voeux pieux demeureront une priorité le lendemain des élections. Mais au moins, ça jase, ça discute et, comme on l'a déjà maintes fois répété, ça pourrait finir par donner plus de pouvoir aux régions.
Cependant, dans la réalité, qu'est-ce qui fait qu'on ne passe pas de la parole aux actes ? Ça fait pourtant des décennies que les libéraux et les conservateurs s'échangent le pouvoir à Ottawa pour tenter d'améliorer les choses. Mais de façon palpable, «qu'ossa donne» comme dirait notre humoriste national ?
Nos politiciens semblent déconnectés de la réalité des citoyens et ceux-ci sont de plus en plus désabusés quant à la crédibilité accordée aux élus. Pour qu'on les prenne au sérieux, cela devra se traduire par des gestes clairs afin d'améliorer la situation précaire des femmes, des étudiants, des chômeurs, des «mal-nantis» de cette province, de ce pays.
DES GENS QUI EN ARRACHENT
Partout en région, au Québec, et même dans «notre plusss beau pays du monde», il y a des gens qui en arrachent, qui bouclent leurs fins de mois difficilement, qui attendent des soins de santé trop longtemps ou qui espèrent des places en garderie pour leur marmaille. Pendant une campagne électorale, et celle-ci n'est pas différente, on offre plein de projets. Mais, le 3 mai, seront-ils mis à exécution et aideront-ils réellement la classe moyenne dont je fais partie ?
Non seulement des madames Paillé, il y en a partout dans la province et à travers le Canada, mais plusieurs personnes comme moi ont repris goût à la politique en se disant que si quelqu'un a pu devenir instantanément la voix du peuple, d'autres pourraient aussi se faire entendre. Si je donne espoir, ne serait-ce qu'à quelques-uns, de s'impliquer davantage dans cette campagne, tout n'aura pas été perdu et ma question ne tombera pas dans l'oubli de sitôt.

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