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dimanche 20 mars 2011

Rappelez-vous du 9 novembre 1989 ?........... le monde chavira !









Le mur de Berlin (en allemand Die Berliner Mauer)1, « mur de la honte » pour les Allemands de l'ouest et « mur de protection antifasciste » d'après la propagande est-allemande, est érigé en plein Berlin à partir de la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande (RDA)2, qui tente ainsi de mettre fin à l'exode croissant de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA)2,3. Le mur sépare physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le Rideau de fer.
L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev et la détermination des Allemands de l'Est, qui organisent de grandes manifestations, provoquent, le 9 novembre 1989, la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande. Presque totalement détruit, le Mur laisse cependant dans l'organisation urbaine de la capitale allemande des cicatrices qui ne sont toujours pas effacées aujourd'hui. Le mur de Berlin, symbole du clivage idéologique et politique de la Guerre froide, a inspiré de nombreux livres et films. Aujourd'hui, plusieurs musées lui sont consacrés.

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Le marché du Nucléaire plus nocif que le marché du Pétrole et du Charbon


Nucléaire - La crise nucléaire agite les marchés de l'énergie
Activistes contre l'usage du nucléaire 
© AFP/ Archives/ LLUIS GENE
Au diable les GES (gaz a effet de serre),les preuves sont la !

LONDRES - La crise nucléaire qui a suivi le séisme au Japon ébranle les marchés de l'énergie, faisant chuter les prix de l'uranium et bondir les cours du gaz et du charbon, les énergies fossiles apparaissant comme une alternative à l'atome civil.
Le tremblement de terre et le tsunami qui ont frappé le Japon, accompagnés des graves problèmes dans la centrale nucléaire de Fukushima, devraient affecter en premier lieu la demande énergétique de l'archipel, troisième consommateur de pétrole brut de la planète et dont l'économie va souffrir.
Cette perspective a fait plonger mardi les cours du baril de 5 dollars à Londres. Mais les prix ont promptement rebondi et dès jeudi, ils effaçaient leurs lourdes pertes.
«La baisse était exagérée. Dès que l'activité économique redémarrera, la reconstruction du Japon sera énergivore», note Amrita Sen, analyste de Barclays Capital.
Et pour compenser l'interruption d'une partie de son parc nucléaire, le Japon devrait rapidement accroître sa production d'électricité issue de centrales thermiques brûlant du pétrole mais aussi d'autres énergies fossiles.
Pour les économistes de la Société Générale, près de la moitié de cette énergie thermique suppléant le nucléaire pourrait provenir du gaz naturel, et plus d'un tiers du charbon.
«Cependant, la perspective d'une hausse de la consommation japonaise n'explique pas à elle seule la forte progression des cours du gaz à laquelle on a assisté cette semaine», a expliqué à l'AFP Thierry Bros, analyste de la Société Générale.
«La crise japonaise a rouvert le vieux débat sur l'énergie nucléaire: si l'on voit les pays développés s'engager dans une sortie ordonnée du nucléaire, à horizon plus ou moins déterminé, il faut s'attendre à une forte poussée des prix du gaz», a-t-il expliqué.
Le prix de référence du gaz naturel en Europe a d'ailleurs bondi de plus de 13% entre vendredi et jeudi, tandis que le cours du charbon pour livraison en Europe en avril grimpait de plus de 10%, atteignant son plus haut niveau depuis 2 ans et demi, selon les chiffres du courtier Westhouse Securities.
Dans le même temps, le prix de l'uranium s'est effondré de 25%, soulignent les analystes de la société britannique, en notant que les inquiétudes sur le nucléaire «raniment l'intérêt du marché pour le gaz et le charbon comme sources d'énergie thermique».
Dans une décision emblématique, l'Allemagne a annoncé l'arrêt immédiat, pour trois mois au moins, des sept réacteurs nucléaires les plus anciens du pays.
«L'énergie nucléaire est soudainement devenue une relique dangereuse de la Guerre froide», constatent dans une note Daniel Brebner et Xiao Fu, de Deutsche Bank.
Recours au charbon
En cas de recomposition du paysage énergétique européen, le charbon, pourtant décrié car il génère d'importantes émissions de CO2, «pourrait apparaître bien plus attractif», assurent-ils.
En Allemagne, «la moitié des pertes d'électricité dues à la fermeture de centrales nucléaires pourrait être compensée par le recours au charbon», estime aussi Deutsche Bank, qui table sur une hausse de plus de 20% des cours du charbon d'ici à 2013.
Dans ce contexte, les prix des permis d'émissions de CO2, échangés sur le marché européen du carbone, ont nettement grimpé cette semaine, atteignant leur plus haut niveau depuis plus de deux ans.
Pour Thierry Bros, «ce qui agite les marchés, au fond, c'est de savoir si l'on assiste à un retournement à 180 degrés de la politique énergétique mondiale. Avant vendredi dernier, la question ne se posait même pas».

On peut voir sur ce site ,ICI , qu'il y a 18 centrales nucléaire au Canada !

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Après la pluie acide,le bon temps ?...........Voila la pluie radioactive !

Séisme au Japon - Craintes de pluie radioactive, le gouvernement appelle au calme
Le Japon subit un cocktail météorologique. Le 17 mars dernier, cette famille devait se déplacer sous la neige. 
© AFP / Jiji Press



Séisme au Japon

Craintes de pluie radioactive, le gouvernement appelle au calme


OSAKA - Des pluies prévues dimanche sur le Japon suscitent l'inquiétude d'une partie de la population japonaise qui craint qu'elles puissent être radioactives, a rapporté le gouvernement, en lançant un appel au calme.
«Un certain nombre de gens» à Tokyo et dans le nord du Japon ont appelé les autorités pour demander si les précipitations prévues en fin de journée sur la région de Tokyo, notamment, pouvaient être contaminées.
«Les niveaux actuels n'indiquent aucun dommage possible pour la santé», les a rassuré le chef de cabinet adjoint du premier ministre, Tetsuro Fukuyama à la chaîne de télévision publique NHK.
«Ne vous inquiétez pas. Si vous vous faites du souci, utilisez un parapluie», a recommandé M. Fukuyama. «Et si vous êtes mouillés, nettoyez-vous».
L'agence météorologique prévoit trois à cinq millimètres de précipitation autour de la centrale nucléaire de Fukushima, gravement accidentée à la suite du séisme et du tsunami du 11 mars.
Des petites pluies sont aussi prévues dans la soirée dans la capitale, située à 250 km au Sud-Est.
Des éléments radioactifs ont été trouvés dans du lait provenant de la préfecture de Fukushima, et dans des épinards celle d'Ibaraki, située entre Fukushima et Tokyo.
Des traces de contamination ont également été relevées dans l'eau du robinet de la capitale.
Les taux relevés, bien en-dessous des limites légales autorisées, ne sont pas dangereux pour la santé, a souligné le gouvernement.
La limite légale pour la teneur en iode radioactive 131 a cependant été ponctuellement dépassée jeudi dans l'eau courante d'une municipalité de la préfecture de Fukushima, située à 45 kilomètres de la centrale. Le niveau est redescendu bien en-dessous dès le lendemain, selon les relevés effectués.
Toujours dans l'eau courante, de l'iode radioactive et du césium ont aussi été détectés dans le nord de la préfecture d'Ibaraki, a indiqué dimanche l'agence Kyodo.

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