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dimanche 30 octobre 2011

Policier mit K.O. par un gamin de 15 ans

Faits divers - Le policier tabassé à La Prairie toujours sur le carreau
L’agent Patrick Boucher de la Régie de police Roussillon. 
© Archives QMI

LA PRAIRIE - Le policier agressé par un élève de l’école de la Magdeleine à La Prairie, le 27 septembre, n’a pas encore repris du service. L’agent Patrick Boucher de la Régie de police Roussillon avait reçu des coups en voulant maitriser un élève de 15 ans désireux de régler ses comptes avec un confrère de classe. Il a subi une commotion cérébrale et une entorse cervicale.
Il est toujours en arrêt de travail et n’a pas encore donné sa version des faits à ses collègues enquêteurs relativement à cette histoire controversée.
Des collègues le remplacent pour effectuer ce travail qui consiste principalement à remplir des rapports relativement à des vols et des accrochages physiques qui surviennent entre les élèves.
« Des policiers en patrouille visitent aussi l’école de façon sporadique pendant les pauses et l’heure du dîner », a expliqué le porte-parole de la Régie de police Roussillon, René Fleury.
Le policier Patrick Boucher, un ancien travailleur de rue, est apprécié par les anciens et présents élèves de cette école qui ont été nombreux à commenter l’agression dont il a été victime.

REF.:

jeudi 18 août 2011

Un programme informatique prévient la police avant que le crime ne soit commis


image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/minorityreport.jpg
Le film Rapport minoritaire (Minority Report) de Steven Spielberg mettait à l'avant une société capable d'arrêter des criminels avant que ne soit commis le crime. Voilà que la police de Santa Cruz en Californie fait l'expérience de la prédiction des crimes depuis début juillet grâce à un programme informatique qui indique aux officiers où des délits sont susceptibles d'avoir lieu.
Ainsi, alors que deux femmes étaient sur le point de voler des voitures, la police a pu les arrêter prise sur le fait. L'une d'elles avait en plus des amendes impayées tandis que l'autre avait de la drogue sur elle.
Le programme est développé par un groupe de chercheurs comprenant deux mathématiciens, un anthropologue et un criminologue. Le logiciel est pour l'instant utilisé dans la prévention des vols de voitures et des cambriolages de maisons, mais devrait être étendu à d'autres crimes et notamment les crimes dits «violents» (agressions, meurtres...).
Une unité de prédiction existait déjà auparavant. Elle a été créée à Chicago l'an dernier. Mais le logiciel de la police de Santa Cruz est le plus sophistiqué jamais utilisé. Il se base en effet sur les modèles de prédiction des répliques de séismes. Fort d'une base de données recensant tous les délits commis par le passé, il génère ainsi des projections sur les lieux et les horaires où les risques de futurs crimes sont les plus forts.
La police de Santa Cruz a recensé une baisse de 27% de cambriolages en un mois par rapport à juillet 2010, mais le vrai premier bilan aura lieu dans six mois. À l'origine, le programme devait équiper la police de Los Angeles qui suit de près l'expérience de Santa Cruz. Elle a annoncé qu'elle devrait finalement s'en servir un peu plus tard dans le courant de l'année avec l'idée d'y intégrer la prédiction des crimes violents.
(Source: New York Timessmartplanet et Globe and Mail)


mardi 9 août 2011

Hacking: Le Système de reconnaissance de plaques pourrait être hacké ?


Longueuil - Système de reconnaissance de plaques : projet pilote concluant

© Agence QMI
Peut-être que oui,peut être que non ?
LONGUEUIL – Le Service de police de l’agglomération de Longueuil a récemment remis son rapport au conseil municipal pour lui permettre d’aller en appel d’offres et d’équiper certaines auto-patrouilles d’un système de reconnaissance des plaques d’immatriculation, à la suite d’un projet pilote.
« Nous avons réalisé une évaluation et remis nos recommandations qui traduit l’efficacité du produit qui nous a été présenté », a indiqué le porte-parole de la police, Karl Bérubé.
L’appareil, qui est en fait une caméra installée à proximité des gyrophares, sur le toit d’une auto-patrouille, permettra aux policiers de vérifier automatiquement tous les véhicules qu’ils suivent ou croisent. Cela peut atteindre jusqu’à 1500 par minute. De plus, l’appareil est relié au terminal véhiculaire, qui rend possible l’analyse de la plaque d’immatriculation.
« Ce système de reconnaissance des plaques permettra aux policiers de repérer plus facilement les véhicules qui sont recherchés par les services policiers et, ainsi, d’identifier les conducteurs qui n’ont pas acquitté leurs droits d’immatriculation ou qui sont en retard dans le paiement de leurs contraventions », a ajouté M. Bérubé.
7,3 millions $ pour des terminaux véhiculaires
Les terminaux véhiculaires sont une composante essentielle au bon fonctionnement du système de reconnaissance des plaques d’immatriculation. Ainsi, le Conseil d’agglomération a entériné, en juillet, une résolution pour autoriser un emprunt de 7,3 millions $ pour faire l’acquisition de ces terminaux véhiculaires et le déploiement de ses différentes applications pour les services de police et de sécurité incendie.
« L’objectif du projet est de rendre disponible aux policiers et aux chefs d’opérations (incendies), directement dans le véhicule, l’ensemble des informations et outils informatifs et technologiques requis par leur travail pour améliorer leur efficacité opérationnelle et de favoriser l’accessibilité en temps réel à l’information », explique-t-on lire dans les documents.
À terme, l’Agglomération confirme que « le déploiement des terminaux et des applicatifs associés résultera dans des bénéfices tangibles récupérables, soit des économies de treize et demi postes, et des bénéfices qualitatifs opérationnels ».
Actuellement, les appels de service sont répartis vocalement par radio. Les requêtes au Centre de renseignements policiers du Québec (CRPQ) sont également effectuées vocalement par ainsi que le retour des informations. L’émission des constats et des rapports d’infraction est manuelle.
Les conséquences du mode actuel de fonctionnement sont nombreuses : perte de temps au niveau des délais d’intervention, erreurs dans la transcription manuelle, potentiel d’engorgement des ondes radio, perte de revenu et production ardue des informations de gestion.


jeudi 23 juin 2011

Quand sa sent pas bon,........... il n'y a jamais d'enquête publique

MONTRÉAL – La fusillade impliquant des policiers qui a fait deux victimes, Mario Hamel et Patrick Limoges, le 7 juin au centre-ville de Montréal, ne fera pas l’objet d’une enquête publique.
Selon le quotidien La Presse, le bureau du coroner soutient qu’il n’est pas question, pour l’instant, de déclencher une telle enquête.
Même son de cloche au bureau du ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil. Un porte-parole a indiqué que tant que l’enquête policière de la Sûreté du Québec et que l’investigation du coroner ne sont pas terminées, il n’est pas possible de lancer une enquête publique.
Cependant, du côté de l’avocat Alain Arsenault, qui a souvent défendu des personnes contre la police, le gouvernement ne pourra faire autrement que d’ordonner une enquête publique, parce qu’il y a clairement eu négligence dans l’incident. Selon lui, il y avait définitivement d’autres façons de gérer la situation pour les policiers et c’est ce qu’une enquête publique pourrait préciser.
Le 7 juin dernier, en matinée, quatre agents de la police de Montréal ont tenté de maîtriser un sans-abri (Mario Hamel) en état de crise et armé d’un couteau, sur la rue Saint-Denis, au centre-ville. Talonné, celui-ci aurait chargé les policiers, qui ont répondu en l’abattant. Les coups de feu des agents ont toutefois aussi atteint mortellement un passant, Patrick Limoges, qui se rendait à son travail. 

vendredi 29 avril 2011

Détecter la conduite sous l’emprise de la drogue

Sécurité routière - Détecter la conduite sous l’emprise de la drogue
 

LOBTINIÈRE – Les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) de la MRC de Lotbinière, dans la région de Chaudière-Appalaches, ont désormais de nouveaux outils pour repérer les automobilistes qui conduisent sous l’effet de la drogue. Chaque policier du poste de Laurier-Station sera formé, au cours des trois prochaines années, à identifier les symptômes de la conduite avec les facultés affaiblies par les drogues.
Depuis le mois de janvier, cinq policiers ont suivi cette formation de trois jours donnée à Québec. «Ils apprennent à reconnaître les symptômes d’une capacité affaiblie par les drogues», a précisé le lieutenant Jérôme April de la SQ.
Lorsque les policiers détectent une conduite anormale, ils font une série de tests en compagnie du conducteur. «Ensuite, ils l’amènent devant un agent évaluateur qui pourra déterminer le type de substance utilisée. Des tests d’urine sont aussi demandés», a ajouté le lieutenant April.
Les policiers de Laurier-Station ont procédé à leur première arrestation pour ce type de conduite avec les capacités affaiblies le 18 avril.
Ces outils permettront aux agents de monter une preuve avec beaucoup plus de facilité. «Les gens n’atteignaient pas le 0,08 mg avec l’ivressomètre, mais nous savions qu’ils étaient intoxiqués à quelque chose. Maintenant, nous avons les outils pour nous épauler», a conclu le lieutenant April.

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lundi 18 avril 2011

69 knockout en 2010 !

Montréal - Agression contre les policiers : principales causes d’accidents de travail
À 69 reprises en 2010 des policiers de Montréal ont été victimes d’actes violents. 
© Archives

Agression contre les policiers : principales causes d’accidents de travail

MONTRÉAL - Année après année, les agressions et voies de fait contre les policiers constituent les principales causes d’accidents de travail au Service de police de Montréal (SPVM). À 69 reprises en 2010 des policiers de Montréal ont été victimes d’actes violents portant le total à 430 cas depuis 2006. Il s’agit de 13 % des 3349 accidents de travail dont ont été victimes les agents durant cette période, selon des données obtenues par le journal 24 H. Le SPVM s’attarde d’ailleurs sur ce genre d’agressions, puisqu’une formation en contrôle et en maîtrise des suspects est présentement en élaboration, afin de faire diminuer le nombre de victimes d’actes violents chez les agents.
À titre comparatif, les deuxièmes types d’accidents en importance depuis 2006 sont ceux subis à la suite d’une chute (9 %) ou d’une glissade (8 %).

Le total d’accidents en légère hausse
Bien que le nombre d’accidents de travail dont ont été victimes les policiers de Montréal se soit maintenu à un niveau stable dans les cinq dernières années, certains types d’accidents ont tout de même connu une hausse spectaculaire en 2010, notamment ceux survenus lorsque la victime patrouillait à bord de son véhicule. En 2010 seulement, 39 policiers ont été blessés. Il s’agit de près de 40 % des cas de ce genre survenus lors des cinq dernières années. À titre comparatif, on n’en comptait que neuf en 2006.
On retrouve aussi des hausses dans les occurrences d’exposition au sang et de morsures animales et humaines, tout comme pour des accidents physiques en soulevant ou en étant heurté par un objet.
Les événements traumatisants ou stressants ont toutefois chuté de 25 en 2008, à 12 cas l’an dernier.
Un programme d’aide exclusivement voué aux policiers est d’ailleurs disponible en tout temps et est utilisé chaque fois qu’un agent est en situation de stress aigu.
«Nous travaillons aussi en prévention et préparons différentes campagnes de sensibilisation, non seulement pour des pratiques plus sécuritaires, mais aussi pour le port d’équipement de protection obligatoire», explique l’inspecteur Benoît Traversy, chef de la section de gestion de la santé au SPVM.

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samedi 9 avril 2011

La loi Anastasia ? .....vous connaissez ?.............

La découverte d'un pistolet de départ et d'un appareil Taser dans le casier d'un ado a provoqué tout un émoi, vendredi dernier, dans une polyvalente de la Rive-Sud.
Pour souligner le jour du poisson d'avril, des élèves avaient décidé de faire éclater des pétards à mèche à l'intérieur de l'école secondaire Saint-François-Xavier, à La Prairie. «La direction ne voulait pas que ça se reproduise et a décidé de fouiller les casiers de certains élèves», explique la porte-parole de la Commission scolaire des Grandes Seigneuries, Mylène Godin. Cela a permis de découvrir «des objets qui pouvaient ressembler à des armes à feu» dans le casier d'un élève de 14 ans, relate-t-elle.
Loi Anastasia
Il s'agissait en fait d'un pistolet de départ pouvant tirer des balles à blanc et d'un appareil Taser «pouvant donner un choc électrique», dit l'agent René Fleury, de la Régie de police Roussillon. L'appareil n'était pas dangereux, puisqu'il n'était pas muni d'une pile, souligne le policier.
L'adolescent a été rencontré par les policiers, avant d'être relâché sans condition et sans accusation. Son dossier a été soumis à un procureur de la Couronne. «Avec la loi Anastasia [qui a été adoptée à la suite de la fusillade meurtrière du Collège Dawson], c'est interdit d'avoir une arme ou une imitation d'arme dans un milieu scolaire», rappelle René Fleury.
Même si la sécurité des élèves n'a pas été menacée, l'incident a provoqué tout un émoi. «Il y a des parents qui pensaient qu'il y avait une arme à feu qui avait été pointée sur des élèves. Mais leurs craintes sont non fondées», dit M. Fleury.

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samedi 26 mars 2011

Abus policiers: Profilage racial: «une victoire» contre la Ville de Montréal,.....Dany va être contant !

Abus policiers - Profilage racial: «une victoire» contre la Ville de Montréal
 
©Agence QMI/Archives

Même si elle est trouvée coupable d’une infraction criminelle, une personne qui se croit victime de profilage racial pourrait désormais porter sa cause devant le Tribunal des droits de la personne, a tranché mardi la Cour d’appel du Québec. Pour la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ), il s’agit là «d’une importante victoire juridique», alors qu’elle se heurte depuis des années au «refus de collaborer» de la Ville de Montréal, lorsque son tribunal est saisi d’un dossier de profilage racial.
«Cette décision nous facilitera énormément les choses. Si une personne est trouvée coupable, cela ne nuira plus à sa demande d’examiner ensuite la question du profilage racial», a indiqué le président de la CDPDJ, Gaétan Cousineau.
Ce dernier croit que la décision de la Cour d’appel permettra de relancer une douzaine d’enquêtes de profilage racial qui étaient au point mort, en raison de la «contestation judiciaire» du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
«C’est le cas notamment d’un jeune Noir, dont la plainte remonte à 2003. Le jeune garçon, mineur au moment des faits, s’est vu remettre un constat d'infraction par des agents du SPVM en vertu du règlement municipal sur la propreté, parce qu'il était assis sur une clôture près de sa résidence, dans le quartier Saint-Michel. Il n’a pas contesté et a donc été trouvé coupable, mais le geste en reste un de profilage racial», a expliqué M. Cousineau.
«Selon l'enquête menée par la Commission, les policiers ont eu un comportement méprisant et discriminatoire à l'endroit du jeune et ont associé ses amis aux “gangs de rue”. Nous pourrons maintenant relancer cette cause», a-t-il ajouté.
Une soixantaine de dossiers sous enquête
À l’heure actuelle, cinq dossiers reliés à un acte de profilage racial sont devant le Tribunal des droits de la personne. Selon M. Cousineau, de 60 à 65 autres plaintes sont aussi à l’étude.
«Plusieurs [de ces plaintes] ne débloquent pas à cause du manque de collaboration de la Ville. Ce jugement va venir changer les choses», a dit M. Cousineau.
Le SPVM n’a pas commenté le jugement, mardi. Du côté de la Ville, la porte-parole Martine Painchaud a réitéré la position de l’administration Tremblay à l’effet que «c’est tolérance zéro en matière de profilage racial à Montréal».
«S’il y en a, ce sont des cas isolés», a-t-elle ajouté.
Le parti d’opposition Projet Montréal a salué, par la voix de son porte-parole Alex Norris, la décision de la Cour d’appel. «Nous avons toujours trouvé complètement farfelu l'argument de l'administration Tremblay et du SPVM voulant qu'une personne ne puisse être victime de profilage racial si elle est trouvée coupable d'une infraction», a déclaré le conseiller de Projet Montréal.
Après cette première «victoire» contre la Ville de Montréal, la CDPDJ espère maintenant remporter la prochaine manche juridique dans ce dossier, qui est actuellement devant les tribunaux. La Commission demande à ce que le droit au silence des policiers ne s’applique plus lors des affaires traitées au Tribunal des droits de la personne.

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Vol de iPhone dans le Métro ?..................les caméras de surveillance ignaurées dans le processus de retracer le réseau de receleur


Attention à vos gadgets électroniques dans le métro et dans la rue. Plusieurs usagers nous ont récemment envoyé des courriels relatant leur douloureuse expérience de vol de leur iPhone ou de leur ba-ladeur numérique. «Mon iPhone chéri m’a quitté… Il m’a sèchement été arraché des mains alors que j’étais assise dans le métro. Je jouais une partie de solitaire», a écrit Caroline. «Les agresseurs sont de plus en plus violents pour pouvoir partir avec la certitude de conserver l’appareil», a noté Sandra, qui s’est aussi fait voler son iPhone il y a 10  jours. «Il ne faut pas hésiter à utiliser le téléphone d’urgence ou l’interphone pour bloquer le train si le voleur monte dans un autre wagon», a-t-elle ajouté.Et ne vous faîtes pas,la plupart des vols sont commis par ceux qui avaient été volés,le cycle du voleur volé(généralement un étudiant pauvre et endetté)est en progression et ne se terminera jamais,......................sauf.........;-) Vous savez ce que vous avez a faire : Wouffe wouffe !$!,oui vous savez ceux qui payent pas de cotisation de chomage,car le ministère avait eut une entente claire avec eux autres $!!,...................PLU$ pour faire + ,est leur devise ;-)

Les vols à l’arraché représenteraient la majorité des crimes contre la personne commis dans le métro – une catégorie qui comprend aussi les homicides, les tentatives de meurtre et les agressions. Les statistiques obtenues par les médias recensaient 896 cri­mes contre la personne dans le métro en 2004, 453 en 2008 et 515 en 2009.

Dans plusieurs cas, la victime était assise à proximité de la porte, dos au quai, là où se trouvait le voleur, et n’est donc souvent pas capable de l’identifier. Même si le Service de police de la Ville de Montréa (SPVM) ne le confirme pas officiellement, certains crimes pourraient être liés à des initiations de membres de gang de rue. «Les gens hésitent à porter plainte. Pourtant quand le vol a lieu dans le métro ou à proximité des édicules, il y a souvent des caméra qui peuvent aider nos enquêteurs», nous a indiqué Marie-Claude Larocque, agente du poste de quartier 22 (PDQ 22).

«Les téléphones intelligents sont désormais munis d’un GPS, ce qui a permis de retrouver un téléphone volé la semaine dernière et d’épingler le voleur avant qu’il ne désactive la fonction», a précisé Mme Laroque. Pour ceux qui veulent signaler un vol sans avoir à se déplacer, un formulaire de signalement pour agression physique est en ligne sur le microsite du PDQ 22.

Recommandations
Les vols surviennent généralement à la fermeture des portes des wagons de métro ou encore aux abords des stations. Le SPVM suggère donc :
  •     D’éviter d’exposer inutilement ses objets de valeur.
  •     De redoubler de prudence si l’on se sent serré ou bousculé.
  •     De contacter le 911 si l’on est victime ou témoin d’un vol. 
  •     Le secret , une oreillette bluetooth
  •     C'est drôle ,on vole pas d'écouteurs ;-)
  •     Faîtes graver vos objets de valeurs,sinon inscriver un numéro de série et un collant indiquant  que votre cell est répertorié au SPVM avec un numéro de téléphone,comme ça les receleurs ne pourront le vendre au Pawnshop. 
 REF.: Merci a Mathias  marchal, du journalMétro,