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dimanche 16 décembre 2012

A la SQ faut surtout pas utilisé des fonds d’enquête de façon «inappropriée»

Utilisation de fonds - L'ex-patron de la SQ visé par une enquête
L’ex-directeur général de la Sûreté du Québec, Richard Deschesnes. 
Photo Archives / Agence QMI


MONTRÉAL – L’ex-directeur général de la Sûreté du Québec ainsi que deux de ses anciens bras droits font l’objet d’une enquête criminelle à la suite d’allégations selon lesquelles ils auraient utilisé des fonds d’enquête de façon «inappropriée» et «non-conforme aux politiques de gestion».
L’ex-patron Richard Deschesnes, ainsi que l’ancien directeur-général adjoint aux enquêtes criminelles Jean Audette, tous deux toujours officiellement toujours actifs, ont été relevés de leurs fonctions.


Utilisation de fonds

L'ex-patron de la SQ visé par une enquête


Quant à Steven Chabot, lui aussi un ancien patron des enquêtes criminelles, il est actuellement à la retraite.
Selon les allégations, des dépenses provenant du fond spécial d’opérations auraient été faites de façon inappropriée. Il s’agit d’un fond secret destiné aux enquêtes secrètes et importantes.
Selon ce qui transpirait mardi de cette affaire, rien n’indiquait que ces fonds auraient été utilisés à des fins personnelles.
Mis au fait de ces allégations, le nouveau directeur de la SQ, Mario Laprise, a avisé le ministre de la Sécurité publique, comme le veut l’article 286 de la loi de police.
«Le ministre a mis en place un groupe d’enquêteurs civils et indépendant qui inclut des policiers retraités ayant de l’expérience en enquêtes criminelles», a indiqué le lieutenant Michel Brunet, de la SQ.
Selon nos informations, l’équipe est formée de membres retraités de la Sûreté du Québec et de la police de Montréal.
Collaboration
Ils seront appuyés par un procureur qui travaillera sous la gouverne de la Direction des poursuites criminelles et pénales.
La nouvelle a eu l’effet d’une bombe, mardi, dans le Grand quartier général de la rue Parthenais. Il s’agit d’un second coup d’éclat à la Sûreté du Québec, depuis le renvoi de M. Deschesnes, le 10 octobre.
Les trois personnes visées par l’enquête ont toujours eu une réputation irréprochable et étaient estimées de leurs collègues.
«La Sûreté du Québec va collaborer pleinement à cette enquête», a dit M. Brunet.



REF.:

vendredi 26 octobre 2012

C'est pas ce que la Police fait ,pour désamorcer une crise !


Interventions à favoriser pour 
désamorcer une crise:

• Exprimer des signes d’intérêt : être
   disponible, présent, calme, sans
   préjugé, faire preuve d’ouverture et de
   motivation à aider la personne.
• Écouter attentivement la personne,
   encourager l’interlocuteur par des
   hochements de tête, ou par un mot.
• Gérer ses propres émotions, son
   attitude verbale et non verbale,
   respecter l’espace personnel… se faire
   confiance.
• Respecter les silences pour encourager
   l’interlocuteur à s’exprimer ou à
   donner des explications
   supplémentaires.
• Être attentif aux messages de la
   personne, dans ses propos et son non
   verbal.
• Aider la personne à identifier ses
   sentiments et ses besoins.
• Valider que nous comprenons son
   message.
• Répondre aux besoins de l’individu, pas
   aux nôtres.
• Tenir compte des particularités
   personnelles et culturelles de la
   personne afin de ne pas l’irriter
   davantage (son rythme, ses valeurs,
   son code de communication, ses
   craintes, sa relation face à l’autorité, sa
   connaissance du réseau médical, son
   statut face à la maladie…).
• Simplifier les attentes, nos demandes.
• Encourager les comportements
   adéquats.
• Être attentif à l’espace personnel, au
   langage du corps, au ton, au volume et
   à la cadence de votre message verbal.
• Isoler la personne en crise.
• Établir des limites et les respecter.





Interventions à éviter : 
• Juger, être condescendant.
• Être menaçant, agressif, réagir
   exagérément.
• Envahir l’espace personnel, toucher la
   personne.
• Tourner le dos, bloquer la sortie.
• S’engager dans une lutte de pouvoir.
• Ignorer, ne pas prendre au sérieux,
   tolérer les comportements hostiles.
• Mentir, faire de fausses promesses.
• Utiliser un jargon qui augmente la
   confusion.
• Faire semblant de comprendre.
• Insister, contredire.
• Presser la résolution de la crise.
• Entreprendre une intervention sans être
   disponible (temps, volonté, aptitudes)  
   pour gérer le stress généré.


Mieux vaut prévenir que guérir :
désamorcer une crise; par :
Caroline Picard, neuropsychologue et
Daniel Bouchard, éducateur spécialisé



REF.:

vendredi 19 octobre 2012

Un Hacker a la GRC a Ottawa


Cyberattaques - La GRC arrête un de ses anciens employés
Janvier Doyton-Tremblay 
Photo Google +

Cyberattaques

La GRC arrête un de ses anciens employés

OTTAWA - Un ancien employé de la GRC et de la Chambre des communes, à Ottawa, a été arrêté pour avoir prétendument perpétré une série de cyberattaques envers le site internet du gouvernement du Québec, et ce, depuis un ordinateur de la colline parlementaire.Originaire de Gatineau, Janvier Doyon-Tremblay, âgé de 28 ans, était un employé contractuel de la GRC et de la Chambre des communes au moment des présumées attaques informatiques.
C'est la GRC, son ancien employeur, qui a procédé à son arrestation. L'analyste informatique fait face à deux accusations d'utilisation non autorisée d'ordinateurs et à une accusation de méfait.
Doyon-Tremblay est soupçonné d'avoir perpétré une série de cyberattaques sur le principal site internet du gouvernement du Québec, le 27 avril dernier, soit en plein conflit étudiant, a indiqué la GRC dans un communiqué.
«Pendant qu'il travaillait à la Chambre des communes, M. Doyon-Tremblay aurait infiltré le réseau et obtenu des privilèges administratifs», a indiqué la GRC, dans un communiqué. Selon la police fédérale, l'analyste aurait téléchargé «un programme malveillant» qui aurait ciblé le principal site web du gouvernement du Québec, le rendant inaccessible au public durant plus de deux jours.
Doyon-Tremblay doit comparaître devant la Cour provinciale de l'Ontario le 27 novembre prochain.
Selon l'ancien agent de renseignements et expert en espionnage Michel Juneau-Katsuya, les sites des divers gouvernements, provincial et fédéral, sont «fréquemment» attaqués par toute sorte de pirates. «Des puissances étrangères utilisent des pirates beaucoup plus expérimentés», a-t-il souligné.
«Dans ce cas-ci, ce que l'on détecte, c'est qu'il y aurait une certaine complicité ou un certain soutien à la cause étudiante du printemps dernier, a-t-il dit. Cela s'est malheureusement déjà vu par le passé. Les employés [de la Chambre des communes] sont aussi des citoyens qui sont interpellés idéologiquement parfois par des situations sociales.»

L'opposition réagit

Devant l'arrestation de Janvier Doyon-Tremblay, le chef du Bloc québécois a affirmé qu'il était important que justice soit faite. «S'il a fait des choses et qu'il a piraté un site d'un ministère au Québec, qu'on le poursuive et que la justice suive son cours. [...] Il est urgent de réagir et de lui enlever ses accès à des ordinateurs qui ont une certaine puissance», a dit Daniel Paillé.
Interrogée sur les nouvelles mesures annoncées mercredi pour lutter contre cybercriminalité, la députée néo-démocrate Charmaine Borg a admis que même le Parlement n'est pas à l'abri de ce genre d'attaque. «Il y a des risques partout, nos données sont en ligne, nos données sont dans des banques de données du gouvernement et on veut s'assurer qu'elles sont protégées», a dit la députée de Terrebonne-Blainville.


REF.:

samedi 13 octobre 2012

Bipolarité Zér0 au SPVM ?

Stéfanie Trudeau est l'agent 728, un cas type de bipolarité au SPVM !


Description

Nous éprouvons tous des humeurs variées comme le bonheur, la tristesse et la colère. Les humeurs désagréables et les sautes d'humeur sont des réactions normales au quotidien et l'on peut souvent identifier les événements qui sont à l'origine de ces troubles. Cependant, lorsque l'on éprouve des changements d'humeur ou des humeurs extrêmes qui surviennent de façon totalement inattendue et qui entravent notre bon fonctionnement, ces changements proviennent souvent de troubles de l'humeur.
Le trouble bipolaire (autrefois connu sous le nom de trouble maniacodépressif) est un trouble de l'humeur qui est caractérisé par des périodes d'humeur extrêmement élevée (manie), des humeurs extrêmement basses (dépression), et des épisodes d'humeur normale.
Le trouble bipolaire se déclenche généralement pendant l'adolescence et le début de la vie adulte. Il n'est pas courant que le trouble bipolaire se déclenche chez les enfants qui ne présentent pas de facteurs de risques familiaux et il est rare qu'il se déclenche chez les personnes de plus de 60 ans (sauf lorsqu'il est associé à une autre maladie). Le trouble bipolaire touche environ 2 % de la population adulte et il affecte les hommes et les femmes dans une même proportion.

Causes

On n'a pas mis en évidence de cause unique du trouble bipolaire, mais les recherches laissent penser qu'il est provoqué par des anomalies de la fonction ou du mode de communication des cellules nerveuses du cerveau. Les chercheurs pensent également qu'il existe un lien génétique certain (antécédents familiaux) : les personnes dont un parent, une sœur ou un frère de même père et de même mère est atteint de trouble bipolaire courent un risque plus élevé d'être affectées elles aussi.
Quelle que soit la nature exacte de la cause à la base du trouble bipolaire, ce dernier rend clairement plus vulnérables aux stress physiques et émotionnels les personnes qui en sont atteintes. Par conséquent, des événements bouleversants de la vie, l'alcool, l'usage de drogues illicites, le manque de sommeil ou d'autres sources de stress peuvent déclencher des crises de la maladie, bien que ces tensions ne soient en fait pas à l'origine du trouble.
La personne atteinte de trouble bipolaire n'est pas responsable de son affection qui ne provient pas d'une personnalité « faible » ou instable. Les troubles de l'humeur sont des affections que l'on peut traiter médicalement.

Qui convient-il d’appeler lorsqu’une personne est prise d’accès maniaques? La police?

Cela dépend de son état. Si cette personne devient dangereuse pour elle-même ou pour les autres, vous devriez alors appeler la police. Et par police, j’entends ambulance et police. Le Code civil du Québec (article 26 à 30), les autorise à déclarer que, selon eux, une personne constitue un danger pour elle-même ou pour les autres. Ils ont le pouvoir de la forcer à aller à l’hôpital afin de subir un examen psychiatrique. Ils n’ont plus besoin qu’un juge intervienne pour cela. Le feront-ils? Non, par crainte des poursuites. Si le patient est connu d’un médecin, ils feront leur possible pour communiquer avec ce dernier. Je dois parfois insister lourdement pour qu’un agent de police m'amène un patient. OUI,mais quand le policier lui-même est bipolaire ? Qu'est-ce que l'école de police de Nicolet fait ? A l'école de police de Nicolet ,.........tout le monde refusaient de recommander Stéfanie Trudeau de devenir l'agent 728 ! Mais son père a Stéfanie Trudeau,ex-policier (très connu de Claude Poirier TVA ,le négociateur)a t'il eut une influence sur cette décision ? 
Déja en en mai 2012,les policiers du SPVM veulent fraterniser avec le monde de la santé mentale de l'Hôpital Douglas.L’Institut universitaire en santé mentale Douglas et le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) sont fiers de s’associer à l’organisation d’un match amical de basketball entre policiers et personnes vivant avec un problème de santé mentale. Le maire suppléant de l’arrondissement de Verdun, Paul Beaupré, et la directrice générale de l’Institut Douglas, Lynne McVey, ont procédé  à la mise au jeu officielle au Centre Roberts de l’Institut.


Autre cas:
Posté le 26-10-2006 à 20:24:33  answer
Bonjour, mon frère fait parti de la police et a été diagnostiqué bipolaire. Il a suivi un traitement il y a deux anx qu'il a arreté au bout de 6 mois. En ce moment il fait de nouveau une crise. Il est suivi par un psychiatre mais j'avoue que c'est très dur. La nouvelle crise est plus forte que la dernière évidemment, il a des tendances paranoiaques limites skyso. J'ai peur pour lui...

Y a t il des personnes travaillant dans la police ou connaissant des policiers bipolaires qui pourraient échanger avec moi?
Aidez moi j'ai besoin d'aide, en plus je suis enceinte de 7 mois et je crainds pour la suite de ma grossesse car je ne cesse de pleurer de cette situation



jeudi 11 octobre 2012

Un agent double piège l'agent 728 ?



Matricule 728 - Suspendue et désarmée


Un agent double a gauche ? tend peut-être , un piège a Stéfanie Trudeau du SPVM ? Car Claude Poirier de TVA a clairement dit que le SPVM a vraiment laisser bien entendre toutes les paroles de l'agente 728 clairement dans l'enregistrement sur internet,pour vraiment l'incriminer! Et une autopatrouille tout près, a enregistré toute la conversation! On appel ça un piège :-)
 Et quand ça fait plusieurs fois qu'un agent du SPVM se fait réprimender ,on lui tend un piège que l'on laisse en pâture aux réseaux sociaux ! Oui,plusieurs pièges,comme cette enregistrement audio(cellulaire),ou elle dit clairement qu'elle devra changer de quartier suite a son intervention manquée : Écoutez la policière Trudeau parler de l'intervention avec son supérieur dans une conversation enregistrée par mégarde dans son véhicule de patrouille (Mise en garde: langage grossier) : ICI !
Cette enregistrement cellulaire prouve que le gars arrêté par 728 ,avait déja enclanché le logiciel d'enregistrement pour enregistré 728;même si elle avait par la suite cliqué sur le bouton.Il a fallu que le gars mette le logiciel en attente pour qu'elle pèse sur le bouton. LOL ! Et lors de cette arrestation,pourquoi 728 était avec un novice ,qui lui (sur youtube)est venu 2 fois voir qui était sur le trottoir ,pour voir qui filmait ? ou pour activer le cell du gars ? Ou bien pour voir les 22 voitures de polices arrivées.Il l'a surement vendu ,pour se protèger lui;genre "écrit pas ça dans le rapport je vais être dans le trouble"disait Stéfanie Trudeau 728 !Stéfanie Trudeau était connue comme un cas problème depuis 14 ans au SPVM.

REF.: TdansltroubepointComme,

La honte du SPVM le matricule 728 ?




La policière Stéfanie Trudeau est suspendue pour la durée de l'enquête interne portant sur ses agissements lors d'une intervention menée à Montréal le 2 octobre dernier, a annoncé jeudi le directeur du Service de police de Montréal (SPVM), Marc Parent.
L'agente du poste de quartier 38 pourrait recevoir une sanction allant de la réprimande au congédiement, selon les résultats de l'enquête interne déclenchée mercredi soir, après la diffusion de reportages sur les ondes de Radio-Canada.
Sur l'enregistrement audio obtenu par Radio-Canada, on entend la policière Trudeau traiter les civils visés par l'intervention policière de « rats », « d'ostie de carrés rouges », de « mangeux de marde », de « trou de cul » et de « caves ».
Dans un court point de presse convoqué en début d'après-midi mercredi, M. Parent a tenu à s'excuser auprès de la population, tant en son nom personnel qu'au nom de tous les employés du service de police, pour les propos « inacceptables et intolérables » tenus par la policière.
« Ces propos ne sont pas du tout en lien avec nos valeurs, et ne sont pas du tout acceptés par l'ensemble des employés du SPVM. Ils sont carrément en contradiction avec ce qu'on préconise comme comportement », a dit M. Parent.
« Dès hier, on a désarmé cette policière-là, on l'a mutée administrativement dans de nouvelles fonctions. Ce que je vous dis aujourd'hui, c'est qu'à compter de maintenant, elle est suspendue durant la durée de l'enquête », a annoncé le directeur du SPVM, sans pouvoir dire si elle était suspendue avec ou sans salaire.
« C'est une enquête qui va être menée de façon accélérée, compte tenu des circonstances, compte tenu des enjeux associés aux différents faits qui ont été révélés hier, qui sont carrément troublants et complètement inacceptables », a-t-il ajouté.
Marc Parent a précisé qu'il a rencontré plusieurs personnes de son équipe depuis 17 h mercredi « pour faire le point, recueillir les faits et, en toute équité, aller chercher l'information nécessaire pour prendre la bonne décision à l'égard de la situation actuelle ».
Selon lui, le SPVM avait déjà réagi contre l'agente Trudeau, après des évènements survenus lors du conflit étudiant le printemps dernier. Une vidéo sur laquelle on pouvait la voir utiliser un gaz irritant à l'encontre de manifestants a été vue par plus d'un demi-million d'internautes sur You Tube. C'est à ce moment qu'elle est devenue connue sous le sobriquet de « Matricule 728 ».
L'agente Trudeau a aussi commis d'autres frasques dans le passé.
« Il y avait des décisions qui avaient été prises de lui donner un encadrement plus serré, [pour] qu'elle n'aille plus sur les manifestations, qu'elle n'aille plus sur les rassemblements populaires et de ne pas l'exposer à une situation où elle aurait pu être en conflit », a indiqué Marc Parent.
« Ce que j'ai questionné beaucoup hier soir et ce matin, c'est [...] les systèmes en place. Donc, les systèmes de détection de comportement. », a-t-il précisé. « Qu'est-ce qui fait que ça s'est rendu jusqu'à cet incident-là pour pouvoir poser un geste ou entrer en action? Et je peux vous dire qu'à ce niveau-là, il y a des changements qui vont être opérés. ».
M. Parent n'a pas été en mesure de dire si l'affaire avait été signalée avant que Radio-Canada ne diffuse son reportage. « Ça fait partie des vérifications qui vont être faites [concernant] les systèmes, l'encadrement, la supervision et les processus en place pour détecter ce genre de situation là. »
Le directeur du SPVM ne sait cependant pas à qui parlait l'agente Trudeau, le cas échéant. « Faut s'assurer que ce qu'elle a dit a bel et bien été entendu, pas seulement par un cadre, mais par un superviseur, un collègue de travail « , a-t-il souligné.
« Il y a des policiers qui ne sont pas fiers de voir comment elle a pu ternir non seulement le SPVM, mais l'ensemble de la communauté policière. » — Marc Parent
« Aucun superviseur ne peut tolérer ce genre de comportement ou de propos-là », a insisté M. Parent, en rappelant que le SPVM interdit tout profilage racial, social ou politique.
M. Parent a par ailleurs précisé que des citoyens peuvent bel et bien filmer des opérations policières, pourvu que ce geste ne nuise pas à l'intervention policière. Un témoin qui braque directement un téléphone cellulaire dans le visage d'un policier peut cependant s'exposer à être arrêté pour entrave au travail des policiers.
trudeau-matricule-728 La policière Stéfanie Trudeau maîtrisant Serge Lavoie lors de l'intervention controversée du 2 octobre dernier.
Sur les droits de l'agent Trudeau
Plus tôt dans la journée, le porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal, Ian Lafrenière, avait affirmé qu'il aurait été prématuré de suspendre l'agente Trudeau, malgré ses propos « troublants ».
« On est dans un état de droit, on ne peut pas suspendre les gens comme ça. » — Ian Lafrenière
« Ce qui nous préoccupe beaucoup, c'est les paroles, les gestes de la policière, dans quel état elle a fait ça, la façon dont elle agit. C'est là-dessus que notre enquête va porter », avait-il précisé en entrevue à Radio-Canada.
M. Lafrenière défendait néanmoins la décision du SPVM dans ce dossier. « Elle est déjà coupée de tout ça [des services d'ordre, NDLR]. Pour nous elle est sortie de la route présentement », souligne-t-il.
M. Lafrenière n'avait pu épiloguer sur les motifs de l'intervention policière, qui demeurent nébuleux. Il soulignait que les citoyens concernés ont toujours la possibilité de contester le constat d'infraction qu'ils reçoivent.
« Cela ne justifie en aucun temps ce qui s'est passé par après. Je ne suis pas ici ce matin pour essayer de justifier l'injustifiable », précise-t-il.
Selon lui, l'enquête concernant les quatre civils soupçonnés d'entrave à un agent de la paix, de voies de fait et d'intimidation dans la foulée de l'opération suit aussi son cours. « Dans ce cas-là, on n'a aucune plainte de citoyen », indique-t-il.
Le porte-parole du SPVM profite de la situation pour faire valoir que les citoyens interpellés par des policiers doivent toujours s'identifier. « La personne a refusé de s'identifier. Et ça ne justifie pas ce qui s'est passé », dit-il.
« Ce que je veux envoyer comme message ce matin, c'est que quand on reçoit un constat, ce n'est pas une bonne idée de refuser de s'identifier ».
Des propos « inadmissibles »
L'expert en opérations policières Mathias Tellier est d'avis que les propos de la policière Trudeau sont « inadmissibles ». Selon lui, la grande majorité des policiers « sont en total désaccord » avec les propos de l'agente Trudeau.
L'analyste en opérations policières, Mathias Tellier (archives)
« Même à l'interne, les confrères s'attendent à une intervention des autorités en place, pour que ce soit corrigé d'une manière ou d'une autre », dit-il.
Selon lui, l'enregistrement diffusé par Radio-Canada révèle « l'analyse qu'elle fait elle-même de ce qui vient de se passer, à sa conception des gens qui ont fait l'objet de son intervention ». Il deviendra du coup « un outil très important pour être capable de mettre en place des mesures qui vont corriger ou éliminer son comportement ».
Le spécialiste des questions policières souligne lui aussi que les citoyens interpellés par la police ont des droits, tant pendant l'intervention qu'après. « La police peut utiliser la force nécessaire pour mettre un terme à une menace ou à une violence quelconque, mais ils doivent le justifier en tout temps », note M. Tellier.
Selon lui, les citoyens impliqués seront rencontrés dans le cadre de l'enquête interne du SPVM, « et il n'est pas exclu qu'à la lumière de ce qu'ils vont recueillir, le procureur qui a autorisé les accusations soit rencontré à nouveau et qu'il y ait des modifications » apportées aux accusations portées contre eux.
Le ministre québécois de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron Le ministre québécois de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron
Le ministre québécois de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron, estime pour sa part que la policière Trudeau a eu un comportement « pas très édifiant », mais que le SPVM a posé « les gestes appropriés dans les circonstances ».
« Je pense que chaque personne qui a vu le reportage a constaté qu'il y a un niveau d'agressivité, un niveau de langage qui n'est peut-être pas approprié, qui n'était certainement pas approprié dans le cadre de cette intervention-là », a-t-il dit sur les ondes du Réseau de l'information.
« Il y a des autorités au SPVM qui vont poser les gestes requis en terme disciplinaire et, le cas échéant, la cause sera portée en déontologie policière, mais je ne peux pas m'immiscer dans le processus, vous le comprendrez bien », a dit M. Bergeron.
« Bien que je sois le ministre de la Sécurité publique, ce n'est pas dans mes responsabilités que de commenter publiquement chacun des comportements des policiers de quelque corps de police sur le territoire ».
Lorsqu'on lui demande s'il est inquiet que le lien de confiance entre les policiers et la population soit rompu, particulièrement dans la foulée des évènements qui ont marqué le conflit étudiant le printemps dernier, le ministre indique qu'il a reçu « plusieurs demandes » l'invitant à déclencher une enquête publique et qu'il évalue cette demande.
« Je dois voir si le système actuel nous permet d'atteindre l'objectif poursuivi, [qui] est de deux ordres : nous assurer d'une part que celles et ceux qui ont commis des gestes répréhensibles soient sanctionnés, et nous assurer d'autre part de rétablir le lien de confiance entre la population et ses corps policiers », explique Stéphane Bergeron.
« Je suis de ceux qui croient que, dans leur immense majorité, les policiers et les policières lors des évènements du printemps dernier ont fait leur travail avec tout le professionnalisme auquel on est en droit de s'attendre d'eux », ajoute-t-il.
« Ceci dit [...] leur image a été souvent indûment entachée à travers ces évènements-là, et l'important, c'est de rétablir cette image et de rétablir le lien de confiance avec la population », conclut-il.
Écoutez la policière Trudeau parler de l'intervention avec son supérieur dans une conversation enregistrée par mégarde dans son véhicule de patrouille (Mise en garde: langage grossier) :


jeudi 21 juin 2012

Payer pour dormir ?

L’heure de la sieste
Photo courtoisie
Un citoyen a pris une photographie de deux policiers profondément endormis dans leur véhicule de service, mardi dans le quartier Côtes-des-Neiges à Montréal. Il était environ 11 h, en fin d’avant-midi quand la scène a été croquée.

Un Montréalais a pris en flagrant délit deux policiers qui roupillaient confortablement installés dans leur véhicule de service.
« Ils dorment sur l’argent des contribuables. C’est très frustrant », déplore Alan, qui a capté le tout grâce à son appareil photo.
« On devrait exiger plus que ça des policiers », lance-t-il, hors de lui.
C’est en se rendant au boulot mardi vers 11 h que ce Montréalais a été témoin de cette scène qui l’a choqué.
Pause dîner
Les deux agents du Service de police de Montréal (SPVM) qu’on peut apercevoir sur la photo prise par Alan auraient alors profité de leur pause dîner pour piquer un petit somme dans leur autopatrouille.
Ils l’avaient stationné à l’intersection du boulevard Décarie et de la rue de la Savane, dans le quartier Côte-des-Neiges.
Depuis le matin, ils étaient chargés de diriger la circulation automobile dans ce coin.
Une fois assis dans l’autopatrouille et leurs repas avalés, les deux hommes se seraient tout simplement assoupis.
Quelques instants plus tard, Alan est passé par là. Ce qu’il a aperçu dans l’autopatrouille l’a poussé à arrêter sa route.
Il s’est alors approché à proximité du véhicule, sans que les deux hommes s’éveillent pour autant. C’est qu’ils étaient « profondément » endormis, assure le passant.
C’est alors qu’Alan a sorti son appareil photo pour immortaliser le moment.
Toc, toc
Il a ensuite frappé à la vitre, ce qui a eu pour effet de réveiller les deux policiers.
« Toc, toc. C’est l’heure de la sieste les gars ? », leur a-t-il demandé.
L’un deux, toujours somnolent, a haussé les épaules, puis acquiescé d’un hochement de la tête, se souvient Alan.
Les agents n’ont rien ajouté à cela après, relate-t-il. Ils n’avaient d’ailleurs pas l’air de gens qui viennent d’être pris en défaut, note-t-il.
« Si je ne me crois pas capable de faire mon travail parce que je manque de sommeil, je n’irai pas travailler », laisse-t-il tomber, soulignant que ces deux policiers auraient dû faire de même.
Du côté du SPVM, on assure que la situation est prise très au sérieux.
« Il n’y a aucune tolérance pour ce genre de chose », assure le commandant Ian Lafrenière.
Que ce soit pendant l’heure du dîner ou non, il n’est pas question de permettre aux policiers de dormir dans leur autopatrouille, ajoute-t-il fermement.
« Ce n’est pas juste une question d’image du SPVM, poursuit-il. C’est aussi une question de sécurité. Et les citoyens paient pour le service. »
Sanctions à venir
Les personnes concernées ont pris les choses en mains aussitôt que le cas a été porté à leur attention, indique-t-il.
Il explique que « le commandant de cette unité a rapidement réagi. Une rencontre avec les deux policiers doit se faire au cours des prochaines heures (hier). »
Les policiers fautifs feront face à des sanctions qui seront déterminées au cours des jours à venir.


REF.:

dimanche 17 juin 2012

Des Popos du SPVM 10 ans en concupinage avec la mafia ?

ET ça ,sans que le SPVM allume ? alloooooooooo 0 ici Pole Poirier,......10 a 4 pour la mafia ;-)

Deux policiers de Longueuil et deux autres de la police de Montréal ont été arrêtés ces derniers jours en raison de leurs relations avec des individus liés au crime organisé, a appris le Journal.
Deux des quatre policiers, un de Longueuil et un de Montréal, ont été appréhendés dans la lignée des événements qui ont mené au passage à tabac d’un enquêteur du SPVM dans une boîte de nuit de Playa Del Carmen au Mexique en janvier 2011.
Les deux policiers n’auraient cependant pas été du groupe qui a séquestré et battu sévèrement l’enquêteur.
Des détails sur les relations entre ces deux policiers et les motards ont été exposés lors de l’enquête sur remise en liberté de deux individus accusés de menaces dans cette affaire, Marc-André Lachance et Shane Kenneth Maloney.
Une ordonnance de non-publication nous empêche de rapporter les témoignages entendus lors de cette enquête tenue en novembre 2011.
Arrêtés au travail
Les actes reprochés aux deux policiers longueuillois ne se sont pas produits dans l’exercice de leurs fonctions.
Ces policiers, qui cumulent entre 5 et 10 ans d’expérience, ont été arrêtés au travail mercredi matin, sur le territoire de la police de Longueuil. Les deux policiers du SPVM ont été appréhendés jeudi. On ignore toutefois dans quelle circonstance.
LE SPVM a confirmé leur arrestation mais n’a donné aucun détail sur la nature de leur travail et leur ancienneté.
Les quatre policiers arrêtés dans cette affaire ont été interrogés par des enquêteurs de la Division du crime organisé de la police de Montréal puis relâchés. Ils pourraient être accusés.
Suspendus
Immédiatement après leur arrestation, les deux policiers longueuillois ont été suspendus avec solde et renvoyés à la maison. On ne sait pas si c’est le cas pour les deux policiers montréalais.
« Notre code prévoit qu’ils doivent être suspendus avec solde étant donné qu’ils n’ont pas été accusés. Cette situation pourrait toutefois changer si des accusations sont portées, dépendamment de la nature de celles-ci », explique la capitaine Nancy Conagiacomo de la police de Longueuil.


REF.:

mercredi 13 juin 2012

Angèle Lazurko, 20 ans et Mathieu Arbour, 21 ans, seront pendu jeudi pour avoir fait mourrir un chien

Chien étouffé - Un couple est accusé
La voiture, dans laquelle le labrador était enfermé, était garée dans une zone sans ombre.  (la zone en rouge)
Chien étouffée(c'était une femelle)

Un couple est accusé

TORONTO – Un homme et une femme de Val Caron, en Ontario, ont été inculpés après que leur labrador brun sale soit mort étouffé dans leur vieux truck, stationnée en plein soleil dans un centre commercial,ou meetons a coté.
Le couple en question(?), Angèle Lazurko, 20 ans et 3 mois et Mathieu Arbour, 21 ans juste, seront accusés et pendus pour avoir causé des souffrances inutiles à un nanimal,mais leur petit fils lui a survécu.C'est leur petit fils qui les a appelé sur leur cell avec un texto.
Ils ont été remisés en liberté ,tout près de la statue du petit jézus et doivent comparaître en cour le 10 juillet à Newmarkette, en n'Ontario.
Ironiquement,hahahahaaaa le coupe revenait de Woodstock, un festival torontois célébrant…les chiens ! c'"est vraiiiiii !
C’est un consonnateur du cente commercial de Vaughn Mills, qui a remarqué le chien dans la voiture essayant d'écrire help dans la vitre avec sa buée a 14 h hr locale du dimanse et qui a infomé la sécuritée.
Le chien polichier était en détlesse, allors que la fenête était à peinne entetlouvete, a indiqué l’inspecteur William Bombray. La voiture était garée dans une zone sans ombre,autrement dit pas d'ables.
La police croit que le chien polichier était dans la voiture depuis au moins deux heures,en train de faire ses besoins polichiers, avant qu’un passant ,paase palla remarque sa plésence.
Le chien était encore en vie lorsque les pompiers ont tenté de lui donner de l’eau au boyeaux d 'arrosage à travers l’ouverture de la fenêtre brisée avec le pic pis la pelle de survie. Il a toutefois perdu connaissance,et ne se rapellera pu jamais de cette incident la, alors qu'ils tentaient toujours de le sortir du véhicule,car il y était entrée auparavent.
Le couple a finalement quitté le centre commercial ,apras une couple de minutes,pour se diriger vers les toilettes avec la voiture et a été mis en état d’éjaculation précoce.


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Anonymous: 2 vs SPVM: 0

Anonymous - La caisse Desjardins des policiers piratée
Le groupe Anonymous a piraté le site internet www.caisse-police.ca, le lundi 11 juin 2012. 
Photo Capture d'écran

La caisse Desjardins des policiers piratée

MONTRÉAL - La caisse Desjardins des policiers et policières du Québec a visiblement été victime d'une attaque informatique, lundi en soirée.
Sur le site www.caisse-police.com, Anonymous rend disponibles les adresses courriel personnelles de dizaines de policiers qui seraient membres de cette institution financière.
Toutefois, il n'a pas été possible de savoir si ces adresses étaient hébergées sur le site caisse-police.com, ou si elles avaient été obtenues sur un site Internet différent.
Sur la page principale du site Internet, il est également possible de visionner une vidéo d'Anonymous, qui elle est hébergée sur YouTube depuis le 25 mai dernier.
Dans la vidéo, le groupe Anonymous dénonçait les «violences policières» lors des manifestations qui se passent un peu partout au Québec depuis le début de la grève étudiante.
Un manifeste, truffé de fautes, y a également été placé :
«Je me souviens, de vos attaques contre la presse... De vos chiens qui ne méritent en aucun cas le titre de policiers, ces agents du désordre qui s'attaque aux caméras. Je me souviens de votre petite fête, où le peuple ne fut pas convié. Je me souviens de ces voitures qui défilaient autant que les arrestations politiques. Gouvernement terroriste du Québec, je me souviens. Bientôt, je me souviendrais, du peuple québécois qui n'aurait imaginé... jusqu'où ce moment clef de l'histoire pourrait aller. Je me souviendrai du peuple regagnant sa liberté, ignorant les abrutissements et les coups de ceux que vous employez. Je me souviendrai des journaux enfin libres de parler sans crainte de la corruption mise à jour. Je me souviendrai de votre défaite, parce qu'elle est promise et inéluctable. Je me souviendrai du procès : Anonymous pour protéger le peuple, le peuple seul juge et maître de son destin et un gouvernement entier pour accusé.»
Une autre signature est également visible sur le site Internet : celle du poney.
Celle-ci avait également été observée lors de l'attaque perpétrée contre le site Internet de la Ville d'Alma.


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jeudi 31 mai 2012

Déontologie policière Des agents ont masqué leurs matricules lors d'une manifestation

Déontologie policière - Des agents ont masqué leur matricule lors d'une manifestation
Pour un agent, ne pas s’identifier à l’aide de son numéro de matricule constitue une dérogation à l’article 5 du Code de déontologie policière. 
Photo Agence QMI / Archives

MONTRÉAL – Une «enquête locale» a été ouverte afin de déterminer pourquoi certains policiers du SPVM affectés à la manifestation de samedi soir ont été pris en photos et filmés arborant des rubans adhésifs de couleurs sur leur casque anti-émeute, cachant leur numéro de matricule.
Pour un agent, ne pas s'identifier à l'aide de son numéro de matricule constitue une dérogation à l'article 5 du Code de déontologie policière qui stipule que «le policier ne doit pas omettre de porter une marque d'identification prescrite dans ses rapports directs avec une personne du public».
«On l'a su et, effectivement, les policiers ont été informés», a affirmé dimanche Daniel Lacoursière, le porte-parole du Service de police de la ville de Montréal. Il s'est contenté de préciser que «cette enquête» était gérée «localement» par les postes de quartier concernés.
M. Lacoursière a affirmé ne pas savoir combien de policiers étaient concernés, à quels postes de quartier ils étaient rattachés et quelles mesures seront prises.
Des centaines d'internautes ont fait circuler dès samedi soir, sur les réseaux sociaux, un extrait vidéo ainsi qu'une photo montrant certains policiers dont le casque anti-émeute présentait, à l'avant et à l'arrière, des bandes de rubans adhésifs de couleur.


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mardi 29 mai 2012

Carré Rouge: L'agent 728 "La Vache" asperge au poivre de Cayenne


La constable 728 a eut 6 jrs en pénitence pour avoir donné 2 shuts de poivre de cayenne !Stéfanie Trudeau, rendue célèbre bien malgré elle après avoir aspergé de poivre de cayenne des manifestants injurieux à son endroit.Dans une vidéo amateur diffusé au lendemain de la manifestation nocturne du 20 mai dernier à Montréal, on peut voir la policière asperger de poivre de cayenne des manifestants qui cherchaient à la provoquer. La vidéo souligne toutefois que les manifestants n'auraient pas tenté d'attaquer la policière et ne semblaient pas représenter une menace pour elle.


Soir après soir, les policiers de l’escouade antiémeute de la police de Montréal ont beau être traités de « robots » par les manifestants, ils sont des humains qui ont aussi leurs peurs, leurs sentiments et leurs opinions sur le conflit étudiant qui perdure depuis trois mois. Le Journal s’est entretenu avec l’un d’eux et vous résume l’entrevue sous forme de questions-réponses.
Comment pouvez-vous rester de glace devant les manifestants qui vous insultent et lancent des objets ?
« Nous sommes formés pour ça. On se retient en se disant que nos boss nous donneront bientôt le go pour foncer. C’est notre bonbon. Ce qui nous fait le plus c…, c’est quand on reçoit des objets et que nos officiers ne nous donnent pas l’ordre de foncer ».
Hésitez-vous à donner des coups de matraque et avez-vous peur de blesser quelqu’un ?
« Non, nous n’avons aucune hésitation. Par contre, nous sommes formés pour frapper de façon à ne pas blesser. On vise le ventre, le devant des cuisses et les bras par exemple ». « Quand une manifestation est déclarée illégale, les gens n’ont plus d’affaire là. Ils ont beau lever les mains en l’air et faire des signes de peace and love, ils seront ramassés pareil ». « Les gars appellent ça National Geographic parce que quand on fonce, les jeunes partent comme des gazelles ! Les jeunes nous trouvent athlétiques malgré les 65 lbs qu’on a sur le dos ».
À combien évaluez-vous les manifestants qui veulent en venir à un affrontement avec vous ?
« Environ 20 % des manifestants veulent la confrontation. Ce sont des jeunes qui veulent tout virer à l’envers et je trouve cela aberrant ».
Que pensez-vous de la façon dont la direction de la police gère le conflit depuis le début ?
« Ce n’est pas parfait, il y a un peu de frustration sur la ligne, mais il y a davantage de satisfaction. Le directeur Parent vient nous voir presque chaque soir pour nous appuyer et on s’améliore tout le temps ».
Que pensez-vous des actes de brutalité policière que l’on voit constamment en boucle sur Internet et dans les médias ?
« J’aimerais que les journalistes soient plus critiques envers ceux qui se plaignent de brutalité. Nous ne sommes pas parfaits, mais je trouve que les gars travaillent bien et que des écarts de conduite, il n’y en a pas eu beaucoup en trois mois ». «Il y a eu l’affaire de la policière 728. Sur la vidéo, le vidéaste dit qu’elle donne une mauvaise image à notre service et c’est un peu vrai. Je trouve ça plate ». « Par contre, beaucoup se plaignent pour rien. Les 500 arrêtés l’autre soir se plaignaient de ne pouvoir aller pisser lorsqu’ils étaient entassés dans des autobus. On n’était pas pour les amener au Hilton ».
Croyez-vous qu’il aurait fallu que la Ville et le gouvernement soient plus sévères ?
« Oui, il aurait fallu faire des arrestations de masse et donner des amendes salées dès le début. Mais maintenant, ce n’est plus arrêtable. Je ne crois pas aux négociations qui doivent débuter lundi ».
Croyez-vous que le gouvernement doit mettre de l’eau dans son vin ?
« Les deux parties devraient mettre de l’eau dans leur vin, mais le gouvernement ne doit pas reculer avec la hausse des droits de scolarité, sinon je vais être frustré. Et je ne suis pas un libéral, je déteste Jean Charest et je ne voterai jamais pour lui ».
Que pensez-vous de l’origine de ce conflit ?
« La hausse des frais de scolarité est justifiable. Au Québec, on est dans la m... Est-ce qu’on peut avoir l’éducation gratuite en plus du système de santé universel, des garderies à 7 $, etc. Ce sont des enfants-rois qui veulent tout avoir et ne rien payer ».


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dimanche 27 mai 2012

Fraude au SPVM: Un ex-enquêteur reconnu coupable

Fraude au SPVM - Un ex-enquêteur reconnu coupable
Mario Lambert a été fortement ébranlé au prononcé de la décision du juge Jean-Pierre Dumais de la Cour du Québec. 
© Joel Lemay / Agence QMI

MONTRÉAL - La déclaration de culpabilité de l'enquêteur Mario Lambert sème la consternation à la police de Montréal et dans le milieu judiciaire. La destitution attend maintenant l'enquêteur qui a été reconnu coupable d'avoir utilisé frauduleusement un ordinateur de la police. « J'en reviens pas, j'en reviens pas », a répété continuellement le policier, en s'épongeant le front, après avoir entendu le juge Jean-Pierre Dumais de la Cour du Québec prononcer le mot coupable.
Dans l'assistance, composée de nombreux parents, amis et collègues venus l'appuyer, c'était la consternation alors que l'on pouvait entendre en sourdine, une proche de l'accusée en pleurs, dans le corridor.
« Fais de l'air », a dit un proche de l'accusé à un enquêteur des Affaires internes affecté au dossier et visiblement partagé dans ses sentiments.
Cette affaire divise assurément les policiers de Montréal.
Mario Lambert avait une réputation irréprochable avant d'être arrêté à l'été 2009. Une membre immédiate de sa famille est d'ailleurs toujours policière au SPVM.
Enquêteur aux Crimes majeurs, Mario Lambert a témoigné des dizaines de fois dans des causes de meurtre et autres et était très apprécié des procureurs. « C'est vraiment triste », nous a dit l'un d'eux dans les corridors.
C'est d'ailleurs en raison de la sensibilité de l'affaire que c'est un juge de Québec qui l'a présidée.
Mario Lambert était probablement l'un des enquêteurs les plus branchés auprès des sources. Il pouvait pratiquement prévoir qui serait la prochaine victime de meurtre dans la métropole. Cette promiscuité avec ses sources, c'est probablement ce qui constitue le noeud du problème.
Plaques « plantées »
Toute cette affaire a débuté en avril 2009, lorsqu'un collègue de Mario Lambert a appris de l'une de ses sources qu'une personne liée au crime organisé était capable d'obtenir des informations de la Centrale de renseignement policier du Québec (CRPQ) par le biais d'un enquêteur de la police de Montréal. Les enquêteurs des Affaires internes ont alors entrepris une enquête qui leur a permis de cibler Mario Lambert. Par le biais de sources, ils ont amené ce dernier à vérifier des informations sur les plaques d'immatriculation de trois véhicules. En réalité, deux de ces plaques étaient factices et l'autre appartenait à un véhicule hors service de la ville.
Des caméras installées et pointées vers les ordinateurs ont également capté Mario Lambert en pleine consultation du CRPQ (Centre de renseignement des policiers du Québec).
Il a été arrêté et accusé de trois chefs d'utilisation frauduleuse d'un ordinateur de la police.
Il n'a pas nié les faits, mais s'est défendu en disant notamment que les vérifications étaient liées à des enquêtes qu'il menait et qu'une source lui avait indiqué qu'un membre du crime organisé conduisait un véhicule portant l'une des plaques.
Invraisemblable
Le juge Dumais a conclu que l'accusé n'a reçu aucune compensation financière en échange des renseignements. Par contre, il a taillé en pièces la version de l'accusé, la qualifiant d'invraisemblable et l'a déclaré coupable sur tous les chefs.
« L'accusé savait, malgré les mises en garde, qu'il ne devait pas utiliser les informations du CRPQ à des fins personnelles. C'est plutôt le contraire qu'il a fait. C'est en pleine connaissance de cause qu'il a violé les conditions d'utilisation du CRPQ soit en révélant des informations confidentielles à des tiers non autorisés », écrit le juge dans sa décision.
En appel
La Loi de police prévoit qu'un policier est destitué automatiquement aussitôt qu'il est reconnu coupable d'une accusation criminelle. L'avocat de Mario Lambert, Me Richard Perras, a déjà laissé entendre qu'il en appellera du jugement.
Mario Lambert est suspendu sans solde depuis 2009. Sa défense lui aurait déjà coûté plus de 100 000$, nous a-t-on dit.
La peine maximale pour une telle accusation est de 10 ans, mais toutes les personnes consultées s'entendent pour dire qu'il serait surprenant que l'enquêteur soit incarcéré.
« On ne met pas un policier comme ça en prison. Sa sentence, il l'a déjà eue », nous a-t-on confié dans le corridor. Il est blanchi,mais pas sur papier ,autrement dit !


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vendredi 27 avril 2012

La Police sous stéroïdes ?


Stupéfiants - Échange de substances illégales au SPVM
Rien ne laisse croire qu'il y aurait d'autres policiers impliqués dans cette affaire. 
© Joel Lemay / Agence QMI
Histoire Stupéfiante ?

Échange de substances illégales au SPVM


MONTRÉAL - Quatre policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont été questionnés en début de semaine par les affaires internes du SPVM parce qu'on les soupçonne de s'être échangé entre eux des substances illégales. Des sources nous disent qu'il pourrait même s'agir de stéroïdes et autres substances illégales utilisées pour gagner rapidement de la force physique.
Le chroniqueur judiciaire Claude Poirier a aussi eu confirmation de la nouvelle à l'effet que les quatre policiers - on parle ici de patrouilleurs qui s'entraîneraient physiquement dans des gymnases sur une base régulière - ont été interrogés au début de la semaine par le service des affaires internes du corps policier.
Il ne s'agirait cependant pas d'un réseau organisé qui visait la vente de ces substances illégales, mais bien d'un échange qui se déroulait strictement entre les quatre individus.
Par ailleurs, rien ne laisse croire qu'il y aurait d'autres policiers impliqués dans cette affaire.
L'enquête va quand même se poursuivre, car le service des affaires internes du SPVM veut clairement savoir à quoi s'en tenir dans ce dossier.
Précisons qu'aucune accusation n'a été déposée contre les quatre policiers; leur identité ne sera donc pas dévoilée.
Ils pourraient cependant faire l'objet de mesures disciplinaires, mais aucune décision n'a été prise à cet égard par la direction du SPVM.


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lundi 9 avril 2012

Park toué a 15 pieds du coin ,la Loi c'est la Loi !

contraventions
Photo Le Journal de Montréal, Valérie Gonthier
Lucie Robert, Marcel Jérôme, Simon Wong et 43 autres citoyens du quartier Saint-Michel ont reçu une contravention de 52 $.

zèle policier ?

Des contraventions pour le moins surprenantes

Les voitures se trouvaient à moins de 5 mètres d’une intersection

Près d’une cinquantaine de résidents du quartier Saint-Michel ont trouvé une contravention sur leur pare-brise récemment, en matinée. La raison ? Leur voiture était garée à moins de cinq mètres d’une intersection. Du « zèle » de la part des policiers, croient certains citoyens rappelés à l’ordre.
« Ça fait 40 ans que je reste ici. C’est la première fois que je reçois une contravention pour cette infraction », lance Lucie Robert.
Le 30 mars au matin, lorsqu’elle est sortie de chez elle, Mme Robert a eu une bien mauvaise surprise : une contravention de 52 $.
En regardant autour d’elle, la dame a vite réalisé qu’elle n’était pas la seule dans cette situation. Au total, en l’espace de quelques heures, 46 contraventions ont été remises aux citoyens mal stationnés.
Pompiers frustrés
À l’arrondissement, on indique que c’est à la suite d’un problème rencontré par les pompiers de Montréal que ces contraventions ont été données.
« C’est à la demande du service d’incendie. Ils ont agi pour des raisons de sécurité. Mais à l’arrondissement, nous n’avions pas été mis au courant », explique Anie Samson, maire de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
Au Service d’incendie, on dit n’avoir jamais « demandé » de mettre des contraventions.
Mais après avoir eu un problème d’accessibilité à une rue dans ce secteur, des pompiers ont décidé d’agir.
« Certains ont pris l’initiative d’aller voir les policiers au poste de quartier. C’est à la suite de ça que les policiers sont allés mettre des contraventions », expose Mélanie Drouin, chargée de communication au Service des incendies.
Intervention du maire
Lorsqu’elle a été mise au courant de cette tournée de contraventions, Mme Anie Samson est intervenue.
« Mais j’ai demandé au commandant du poste de quartier d’arrêter de donner des tickets, lance-t-elle. Même si on donne une contravention, le camion ne peut pas plus passer dans la rue. Il faut qu’on mette en place des installations », dit-elle.
Mme Drouin reconnaît que ce n’est pas le rôle des pompiers d’aller voir les policiers concernant ce type de problèmes.
« Nous avons un comité de circulation. Les pompiers auraient dû adresser leur requête à nos gens à l’interne », dit-elle.
Deux places perdues
Anie Samson ajoute que même si l’interdiction de stationner à moins de cinq mètres d’un coin de rue est en vigueur, « on ne l’applique pas ».
« Notre objectif, ce n’est pas de donner des tickets pour donner des tickets. Personne ne veut ça », ajoute-t-elle.
Pour Lucie Robert, l’infraction en soi ne mérite pas une contravention.
« C’est du zèle de la part des policiers, indique-t-elle. Déjà que c’est difficile de trouver du stationnement dans les rues… »
Un argument qui est corroboré par Mme Samson.
« Le stationnement est très dense dans le secteur. En enlevant les cinq mètres, on perd deux places de stationnement par coin de rue. Ce n’est pas vrai qu’on va enlever des places », lance-t-elle.
Dans les prochaines semaines, des pancartes interdisant le stationnement à certains endroits devraient être installées.


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samedi 24 mars 2012

Ce policier est anti Pédophile














 Frank Berton



Procès des deux policiers:

Berton coupable, Magher acquitté


QUÉBEC - Le verdict a été rendu samedi au procès des policiers Frank Berton et Geoffrey Magher, accusés d'avoir laissé deux détenus en tabasser un troisième.
Les 12 membres du jury ont déclaré Frank Berton, âgé de 40 ans, coupable de négligence criminelle causant des lésions et coupable de voies de fait causant des lésions par complicité.
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2012/03/20120324-115531.html#


Les conséquences de ce verdict pourraient être très graves pour l'ex-policier, qui a récemment été congédié du Service de police de la Ville de Québec. Elles seront connues lors de son retour en cour, le 4 mai prochain, pour sa représentation sur sentence.
Quant à son collègue Geoffrey Magher, âgé de 27 ans, il a été acquitté. Il pourrait donc reprendre son poste de patrouilleur au sein du Service de police de la Ville de Québec, qui l'avait été relégué à des fonctions administratives en attendant la fin du procès.
Surprise
Les jurés ont pris plusieurs personnes par surprise en rendant leur verdict samedi matin. Et pour cause : vendredi en fin de journée, ils avaient demandé de revoir et de réécouter quatre témoignages. Ceux des deux accusés, celui de l'agresseur et celui d'un autre policier.
Frank Berton et Geoffrey Magher étaient accusés de négligence criminelle et par association, de voies de fait ayant entraîné des lésions à un homme qui avait été tabassé par deux codétenus, le 28 août 2009.

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vendredi 9 mars 2012

Géolocaliser un suspect : Non ,dit la cour suprême !


Justice - Le FBI devra désactiver ses nombreux GPS
La police doit détenir un mandat l'autorisant à surveiller un suspect avec un GPS sous peine d'empiéter sur la vie privée. 
© AFP / PORNCHAI KITTIWONGSAKUL
Justice

Le FBI devra désactiver ses nombreux GPS

WASHINGTON - Une récente décision de la Cour suprême des États-Unis a contraint la police fédérale à mettre de côté les nombreux GPS qu'elle utilisait régulièrement dans ses enquêtes, a indiqué le directeur du FBI Robert Mueller.
«Je ne peux pas donner de nombre mais nous avons dû désactiver un nombre substantiel de GPS», a-t-il déclaré mercredi devant une commission de la Chambre des représentants. Un responsable du FBI a récemment indiqué lors d'une conférence que le FBI avait 3000 GPS.
Or, fin janvier, la Cour suprême a rendu une décision qui limite les droits de la police dans l'utilisation de la géolocalisation par satellite. Elle a rejeté un appel du gouvernement et jugé que la police doit détenir un mandat l'autorisant à surveiller un suspect avec un GPS sous peine d'empiéter sur la vie privée.
«Cela va avoir un impact sur le travail que nous faisons», a admis M. Mueller.
Le GPS «nous épargne souvent une surveillance physique», a poursuivi le patron de la police fédérale. «Mettre en place une équipe de surveillance physique de six, huit, douze personnes occupe énormément de notre temps», a-t-il dit, estimant que cette décision de justice allait empêcher l'utilisation de cet instrument «dans nombre de surveillances où il était extrêmement bénéfique».
«Il y a de nombreuses personnes aux États-Unis que nous ne pouvons pas inculper (...) et nous n'avons pas d'autre choix que de les surveiller pendant un temps considérable. Les GPS nous permettent d'utiliser nos effectifs ailleurs», a poursuivi M. Mueller.
«Mais bien sûr nous allons nous soumettre au jugement de la Cour suprême», a-t-il ajouté.
Dans sa décision, le 23 janvier, la plus haute Cour du pays a jugé à l'unanimité que l'utilisation par les forces de l'ordre d'un GPS pour surveiller les mouvements d'un véhicule était équivalente, si elle n'était pas encadrée par un mandat judiciaire, à une «intrusion» dans la vie privée contraire à la Constitution.
Elle a rejeté l'appel du gouvernement américain et confirmé un jugement de relaxe dont avait bénéficié un trafiquant de drogue au motif que le mandat ayant autorisé l'usage d'un GPS pour surveiller son véhicule avait expiré.


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dimanche 26 février 2012

Bisbille policière: Pommes pourrites ou intimidation ?

 Harcèlement

Les policiers ne sont pas à l'abri de l'intimidation ?

L'intimidation a lieu partout, même à l'intérieur des postes de police. Un rapport de la police d'Ottawa révèle 22 cas de harcèlement au sein du service de police d'Ottawa en 2011.
Le document fait mention de 21 plaintes venant de membres du personnel qui disent avoir été la cible d'intimidation, de langages orduriers, de rumeurs et de conflits.
Un autre dossier concernait un groupe de cinq employés qui avait un problème d'intimidation. Une solution a été trouvée concernant la plainte à la suite d'un processus de résolution de conflit entre les employés et leurs supérieurs, précise le rapport.(a t'on le même problême entre le  SPVM et leur chef ?.....ou a la SQ ? des officiers se transforme en taupes ou en informateur pour les journalistes ? )
Tous les cas soulevés ont été vécus lors des heures de travail, à l'intérieur d'un poste de police ou d'un palais de justice.Ça se passe tu ailleurs ? C'est pas répertorier encore !

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vendredi 10 février 2012

L'Affaire Davidson: ce qu'ils on dit est vrai et sera jamais cautionné par le SPVM !

Supposons mettons: La police tend un piège a un policier ?

 Et il tombe dedans,.........et prend sa retraite ,...............mais...?

À vendre: une liste de 2000 informateurs ?


Un policier expérimenté au sein de l'unité des renseignements du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a récemment pris sa retraite, fait l'objet d'une enquête depuis l'automne dernier pour avoir tenté de vendre des informations hautement confidentielles à la mafia sicilienne, a rapporté TVA Nouvelles hier.
Des informations hautement confidentielles, notamment des listes contenant le nom d'informateurs de police et d'agents-sources, sont gardées à la Place Versailles, au siège du SPVM.
Le policier aurait offert au crime organisé italien des renseignements qui figuraient sur ces listes hautement secrètes, plus spécifiquement à un membre important de la mafia sicilienne(qui aurait coulé l'information,........parce qui n'avait pas le choix ?..........ou parce qu'il ne voulait pas tomber dans ce prétendu piège,.........on ne vend pas,on donne et on s'en sert ,comme les Hells qui vol un portable qui contenait ,le/les noms de certaines taupes du SPVM ,dont Claude De Serres,il y a deux ans,qui était un agent-source ,un agent civil d'infiltration, un ACI,et qui fut liquider)
Radio-Canada a précisé, hier, qu'il aurait soumis quatre noms de sources à un contact du côté de la mafia pour montrer qu'il était sérieux et pour entamer des négociations. La société d'État a ajouté que «son stratagème aurait échoué».
Des sources ont affirmé à TVA Nouvelles que lorsque le policier, un sergent-détective, aurait eu accès à ces informations «sensibles», il était encore au service du SPVM. Toutefois, quand il aurait tenté de fournir les informations aux criminels, il avait déjà pris sa retraite.

Écoute électronique
Ces mêmes sources affirment que c'est une écoute électronique qui aurait permis de découvrir que la taupe présumée aurait offert des informations au crime organisé en échange de plusieurs centaines de milliers de dollars. C'est à la suite de cette écoute que l'enquête aurait été déclenchée.
Le policier était apparemment l'un des rares à avoir accès à la base de données. Le policier était même l'un des responsables de celle-ci parmi une petite équipe.
Cette liste pourrait contenir plus de 2000 noms d'individus qui fournissent de l'information aux policiers lors d'enquêtes, notamment sur le crime organisé.
Il y aurait deux façons de consulter ces documents, en version papier ou encore sur un support informatique.
«C'est toujours décevant de voir des choses comme celles-là qui se produisent. Mais, bien entendu, je peux vous assurer que nous prenons toutes ces informations et toutes ces allégations au sérieux», affirme Didier Deramond, du Service des enquêtes spécialisées du SPVM. «Ce n'est pas une question de faille de système informatique, loin de là. C'est une question personnelle, d'individu qui a porté certaines actions.»
Employé discret
Selon les informations obtenues par TVA Nouvelles, le policier est décrit comme un employé discret et de confiance. Il avait été embauché au SPVM en 1978 et il était affecté à la section des renseignements depuis 1992.
Pendant 20 ans, il a eu accès aux renseignements les plus confidentiels du service de police de la plus grande ville du Québec.
Les enquêteurs des crimes majeurs du SPVM n'ayant pas terminé leur enquête, il n'y a aucune accusation criminelle déposée contre lui.(donc il ne sera pas protégé et est exposé a un règlement de compte)
«Un effet épouvantable»
Richard Dupuis, ancien enquêteur au service des enquêtes criminelles du SPVM, a travaillé auprès de ce policier pendant trois ans. En entrevue à TVA Nouvelles, il se dit très surpris de ces allégations, croyant que cet individu était «au-dessus de tout soupçon».
«C'était une personne à son affaire, plutôt calme. Je suis très surpris de voir que la cupidité a pu l'amener à commettre un tel geste», dit M. Dupuis.
La divulgation de la liste comprenant le nom de tous les informateurs est un geste très grave, affirme M. Dupuis. «C'est la base du renseignement criminel. Lorsqu'on recrute un informateur, on lui garantit que son identité ne sera pas dévoilée. Là, on a tenté de vendre les informations, ça a un effet épouvantable.»
Il ajoute que le SPVM tentera de se dissocier des gestes de cet ex-policier. «On se souviendra, dans d'autres cas de policiers corrompus, qu'on a rapidement sorti ça de façon publique», ajoute M. Dupuis.
Le SPVM, la Fraternité des policiers de Montréal, la Fédération des policiers municipaux du Québec et le ministère de la Sécurité publique ont tous refusé d'accorder une entrevue au Journal à ce sujet. Le porte-parole du Parti québécois en matière de sécurité publique, Bertrand Saint-Arnaud, ne nous a pas rappelé, tandis que la porte-parole du deuxième groupe d'opposition, Sylvie Roy, n'était pas disponible pour commenter.


Le 18 janvier 2012, Ian Davidson( cet ex-policier,retraité,côtoyant la mafia),s'est suicidé(lui-même apparament ?),son corps a été retrouvé dans une chambre de l'hôtel Best Western Châteauneuf, en bordure de l'autoroute 15, à Laval.Le secret de toute cette histoire sera bien garder,ou comme dirait la mafia , coulé dans le ciment ,l'honneur est sauvé pour les deux camps ! Mais sa selon des informations obtenues par le journaliste Alain Gravel, sa conjointe et sa fille de 10 ans l'avaient accompagné au Best Western Châteauneuf de Laval pour tenter de le mettre en sécurité(elles en savent plus qu'on pensent). Elles ont toutes deux passé la nuit avec lui.Chose certaine, sa famille craignait suffisamment pour sa sécurité pour le mettre en toute hâte à l'abri dans une chambre d'hôtel.

 L'appât du gain reste le mobile soupçonné derrière cette tentative(on sait pas ? peut-être que noui? peut-être que non?) de monnayer une liste de plusieurs centaines d'informateurs. On croit que Davidson avait l'intention de vendre la liste au plus offrant, d'empocher le magot et de s'installer au Costa Rica, où il aurait des assises. Son frère Alexander J. Davidson y posséderait une luxueuse résidence.Selon des sources policières, plusieurs membres de la mafia montréalaise y auraient élu domicile.Pour le Costa Rica: On estime que 4,5 milliards $ sont perdus annuellement en évasion fiscale venant du crime et de la corruption. Concernant l'argent blanchi, on parle de 1,6 milliard $, l'équivalent de 20 % du produit intérieur brut (PIB) de l'économie du pays.

Mais en Octobre Davidson, n'a pu se rendre au Costa Rica avec un autre policier(Taupe du SPVM ? ou ami de Davidson ?),car on l'a intercepté a l'aéroport Trudeau!
Était-t'il payer pour la liste ou pour les noms divulgués ou laisser sur support informatique chez eux ,comme ceux trouvés dans sa jeep ou on a confisqué son ordinateur portable avec une liste de noms d'informateurs civils (la nuit de son suicide, a l'arme blanche)? Était-il a la recherche de contacts d'ex-informateurs ,déja rendu au Costa Rica,son Frère,......... ? Le Costa Rica était la récompense et l'asile
Selon Claude Poirier ,Davidson il aurait eut des entrés ou des contacts (de policiers mafieux) pour être en contact avec la mafia.Tout comme l'ex-président des USA , George W. Bush ,père, avait des contacts avec Ben Laden et sa famille.Tout le monde saient ça,car la CIA après avoir formé Ben Laden au terrorisme,il l'ont laissé a lui-même!Donc,quand sa sert plus a rien ,et plus aucune information sur l'ennemi vous reviens,on l'élimine.
Pour Davidson,si sa chambre d'Hotel fut réserver par une femme (et non lui) et qu'il a laisser une lettre a sa mort, a son Hotel,c'est qu'il se rendait la pour en finir,car plus personne ne voulaient dealer avec lui. Parce qu'abandonner par ceux avec qui il faisait affaire ? Ou que Davidson même s'il avait les entrés pour cotoyer le milieu de la mafia,ceux-ci (dont Tony Mucci par l'entremise de son avocat)n'ont pas accepter la liste d'informateurs(car c'est mieux une liste d'infiltrateurs),par peur du risque que ça représente.Tony Mucci ? (Celui qui avait tiré sur le journaliste Jean-Pierre Charbonneau)Et que Davidson ,ex-SPVM n'aurait jamais eut la chance de quitter le pays incognito.Il était un lien ,rien de moins.Le Costa Rica c'était du vent ,que laissait miroiter ces supposés amis.Et le commandant à la retraite, Richard Dupuis, lui a eu sous ses ordres Ian Davidson, Benoît Roberge et Philipe Paul, aurait dû se garder une petite gêne. Ce n'est pas parce que tu es nommé à la tête d'un groupe que tu es compétent.xLors de la diffusion de l'émission Policier criminel , ce commandant dit que Benoît Roberge lui a communiqué le renseignement qu'un tueur des Hells Angels revenait au Québec et que sa source d'information demandait d'attendre un peu avant de procéder à l'arrestation, afin de protéger sa propre vie,c'est bizarre.


Celui qui a aidé Ian Davidson à marchander la base de données contenant le nom de milliers d'informateurs confidentiels était encore plus proche qu'un ami.
C'était son fils, Christian.
C'est Christian, un travailleur de la construction dans la vingtaine, qui a approché le gang de Kurdes, par courriel. Il a également été enregistré discutant de cela avec son père par les policiers qui étaient à ses trousses, entre avril et octobre 2011.
C'est ce qui ressort d'informations recoupées par les différents journalistes de La Presse qui, cette semaine, ont travaillé sur cette affaire troublante et fascinante, celle d'un policier sans histoire qui, après 33 ans de carrière, décide de monnayer des données hypersensibles.
Rien n'indique, selon ce qu'on sait, que le fils ait eu accès au contenu de la base de données. Il aidait son père - qu'il présentait comme son «patron» - à marchander ces informations.
Et comme lui, Christian Davidson n'a jamais été accusé dans cette affaire.
Pourquoi?
Parce que monter le dossier d'accusation a représenté un véritable casse-tête pour les policiers et pour la Couronne après que Davidson eut été interpellé à l'aéroport de Montréal, en octobre.Plusieurs personnes s'étonnent aussi que ceux qui ont réussi à coincer M. Davidson ne l'aient pas mis aux arrêts immédiatement pour éviter toute nouvelle fuite de renseignements. Les règles de divulgation de la preuve sont telles que la Couronne aurait probablement dû remettre à la défense le matériel informatique récupéré, au prix d'efforts dignes d'un thriller, par les policiers affectés à l'enquête.Ian Davidson n'avait pas seulement tenté de remettre aux criminels la liste de noms d'informateurs, mais aussi une bonne partie du contenu des enquêtes en cours. Le discours officiel au SPVM n'en donnait pas toute l'envergure. Pour leurs révélations, les deux journalistes ont remporté le prix du meilleur scoop de l'année 2014 de l'Association canadienne des journalistes en juin dernier.

Certains diront que de stooler des collègues de travail corrumpu au SPVM ,ça revient par vous mettre dans l'embarras et de vous retrouver en policier corrompu  vous même,mais par des manigances inventées de toute pièce pour vous fermer la gueulle !
REF.: