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jeudi 16 août 2012

Opinon commanditée,Lobby du transport ou Taxé$ les incrédules ?

Le Lobby du transport existe,et existera toujours.Il exerce actuellement par ses représentants ,(avec Jippy Cailloux "La garnotte" La pierre)et ses opinions pour avoir la voix a des routes exempte le plus possible d'automobilistes pour éviter du trafic additionnel a leurs voix de transport.Le secteur St-Patrick en est un ,et un vrai(vous savez,la ou les 26 roues se park en double)! Car ,toutes les industries incluant la STM, y transite !


Actuellement les voix de détour du ministère du Transport(en cohésion avec les Lobbies,et la Ville de Mourialllle) ,concernant le détour 15 Nord et 20 Ouest ,occasionne un rallongement de parcours de plusieurs kylomètres pour la 20 Ouest (tunnel St-Rémi) au Montréalais.
Les camionneurs sont contant contant,la STM va bien et le Maire Fourra$ de la ville de Mouriallle perçoit ses taxe$ (environ de 1,5 a 3 cents/L)sur l'essence tout comme Chare$t  le fait (environ 16,2 cents/L soit 6 cents de plus que M. Big Mac Harper),c'est cool ,....................ont va moins payer d'impôt cette année ? ;-) ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,peut-être,................ LOL !



REF.: le Maire Fourra$,Charette Charette et Cie,Wharper and Co. , Ti-noir "the Gold Barrel"Lebrun ,

mercredi 15 août 2012

Auto a essence: Les Fabricants ont déja décidé pour nous ?

Le moteur à essence va nous enterrer

Le  président de Ford, Alan Mulally, embrasse le moteur Ford Écoboost de 1  litre, 3 cylindres qui a gagné le prix du moteur de l'année 2012 en  Europe.
Le président de Ford, Alan Mulally, embrasse le moteur Ford Écoboost de 1 litre, 3 cylindres qui a gagné le prix du moteur de l'année 2012 en Europe.
Photo fournie par Ford
Denis Arcand | La Presse
Publié le 15 août 2012 | Mise à jour le 15 août 2012 à 07h10
Ce graphique montre le ratio de la pression d'air à l'entrée et à la sortie d'un turbocompresseur Garrett GT-20.
Ce graphique montre le ratio de la pression d'air à l'entrée et à la sortie d'un turbocompresseur Garrett GT-20.
Non seulement le moteur à explosion n'est pas mort, il est là pour durer encore des décennies. En fait, quand tous les baby-boomers seront assez gagas pour avoir perdu leurs permis de conduire, dans 30 ou 40 ans, le moteur à explosion sera probablement encore le moteur de prédilection dans l'automobile.
Les ingénieurs essaient ces jours-ci toutes sortes de petites modifications qui, ensemble, vont presser plus de performance et de kilométrage de chaque goutte d'essence et, plus tard, de diesel. Le micro-perfectionnement du moteur à essence une des tendances fortes qui se dégagent d'un congrès de gestionnaires et d'ingénieurs automobiles qui s'est tenu ce mois-ci à Traverse City, dans le Nord du Michigan.

Par exemple, les ingénieurs planchent actuellement sur une modification grâce à laquelle la chaleur excessive générée par la combustion servirait utilisée pour chauffer plus rapidement les lubrifiants de la voiture, écrit le columniste Erik Vellequette, du magazine Automotive News, qui a assisté au congrès . Cela réduirait la friction dans le moteur et un peu partout, surtout durant l'hiver. La consommation d'essence des premiers kilomètres serait réduite.

«Pour atteindre nos objectifs, il faut qu'on améliore toutes sortes de petites choses, comme les athlètes olympiques», dit le PDG de la firme d'ingénierie FEV, cité par Automotive News lors du Séminaire du Center for Automotive Research, un colloque annuel.

C'est surtout un congrès où les grandes questions de production sont abordées. Mais on parle cette année des micro-perfectionnements envisagés parce qu'ils doivent être fabriqués pour pas trop cher et intégrés dans les méthodes de fabrication à la chaîne. En dernière analyse, toutes les améliorations proposées aux moteurs vont finir entre les mains d'ingénieurs en production. Si on peut les fabriquer sans être obligé de hausser beaucoup le prix des autos, elles auront le feu vert.

Voici les sujets qui intéressent les ingénieurs automobiles et qui pourraient prolonger la vie du moteur à explosion. On vous la présente en unités de mesure.

Centimètres cubes : les moteurs rapetissent; moins de volume, moins de cylindres. Les jours du V8 - et même du V6 -  sont comptés, mais le 4-cylindres est là pour très longtemps. Et les constructeurs préparent déjà des trois et deux cylindres qui auront la puissance des quatre-cylindres d'aujourd'hui. Les moteurs à un cylindre, qui s'en viennent en Europe, traverseront aussi l'Atlantique un de ces jours. Pour compenser, les moteurs vont finir par être dotés de turbos.

Kilopascals : en Amérique du Nord, environ 10 % des moteurs d'autos étaient munis d'un turbo en 2010. En 2016, 40 % des voitures neuves nord-américaines en auront un. Un turbo augmente la pression (de plus de 200 kilopascals, souvent) d'air dans la chambre de combustion des cylindres et permet un mélange air-essence plus efficace. En Europe, 85 % des voitures seront turbocompressées en 2015. On peut imaginer un avenir proche où toutes les voitures seront construites avec un moteur turbo.

Volts : la voiture tout électrique demeurera un petit marché jusqu'au milieu du XXIe siècle, selon un rapport récent du Département de l'Énergie. Indépendamment des vraies voitures hybrides, des composantes hybrides seront généralisées, comme le e-Assist (ou Mild Hybrid) de GM, où de petits moteurs électriques aident le moteur à explosion à basse vitesse. Cela permettra de rentabiliser le développement de systèmes comme le freinage régénératif, qui captent de l'énergie autrement perdue.

Degrés centigrades : la gestion thermique deviendra un sujet d'importance accrue. Les futurs moteurs réchaufferont leurs lubrifiants plus vite, pour réduire la friction. Le refroidissement à l'eau des gaz d'échappement sera généralisé, pour protéger les turbocompresseurs de la surchauffe.

Octanes : le moteur à explosion ne sera pas qu'à essence. Le diesel et l'éthanol vont continuer à se répandre et le gaz naturel aura un impact majeur sur notre continent bien avant l'auto électrique. Chrysler vient de commencer à produire un moteur HEMI de 5,7 litres au gaz naturel, pour le gros pick-up Ram. Cette camionnette, qui aura deux réservoirs de 130 litres pouvant tenir du gaz naturel comprimé à 25 000 kilopascals. Son coût d'exploitation par kilomètre sera trois fois moindre que celui du Ram à essence.

Newtons-mètre(ou livres-pied) : l'adaptation du moteur à explosion à un monde où l'essence est chère sera aidée par des transmissions plus sophistiquées, qui amélioreront le couple transmis aux roues par des moteurs plus petits.


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mardi 14 août 2012

Les Cons de la 55 ième de Dorval et les Cons dla STM ?

Dorval - Un autobus de la STM se renverse: deux morts
Une automobile a été lourdement endommagée lors de cette collision. 
Photo Michel Desbiens / Agence QMI

DORVAL – Deux personnes sont mortes, deux ont été blessées gravement et douze autres ont été transportées à l'hôpital à la suite d'une collision impliquant un autobus de la Société de transport de Montréal (STM) à Dorval. L'accident s'est produit vers 18h sur la 55e avenue à l'intersection de l'avenue Lindsay ,selon le Service de police de la Ville de Montréal.
Une automobile a été lourdement endommagée lors de cette collision qui a aussi impliqué une autre voiture en plus de l'autobus qui s'est renversé sur le côté.
Les pompiers tentaient toujours de dégager une personne qui était coincée dans ou sous l'autobus.

Deux personnes sont mortes et deux autres ont été blessés gravement, mardi soir, à la suite d'une violente collision impliquant un autobus de la Société de transport de Montréal (STM) et deux voitures à Dorval, dans l'ouest de l'île de Montréal.

EN IMAGES:
Accident à Dorval
L'accident est survenu vers 18 h sur la 55e avenue, à l'intersection de l'avenue Lindsay, dans un secteur industriel.
L'impact a été violent puisqu'une voiture de marque BMW a été lourdement endommagée lors de la collision avec l'autobus de la STM qui s'est par la suite renversé sur le côté.
Les circonstances exactes de l'accident étaient toujours inconnues quelques heures après le drame, mais tout porte à croire que le feu de circulation était vert pour l'autobus de la STM qui roulait en direction ouest sur l'avenue Lindsay.
«D'après moi, conducteur de la BMW n'a pas fait son arrêt obligatoire», a indiqué Danny Forbes, un passager de l'autobus.
Deux décès
Au total, trois véhicules ont été impliqués et deux personnes ont perdu la vie, selon le porte-parole de la police de Montréal, Daniel Fortier.
«Leurs décès ont été constatés sur place», a confirmé Robert Lamle d'Urgences-Santé, qui a mentionné avoir rarement vu, en trente ans de carrière, un accident avec un autobus de transport en commun d'une aussi grande brutalité.
La conducteur de l'autobus a péri tout comme la passagère du véhicule qui a heurté l'autobus.
Les pompiers ont dégagé vers 21h le chauffeur d'autobus qui était coincée sous l'autobus renversé.
Cinq autres personnes ont également été transportées à l'hôpital pour traiter des blessures mineures.
Des passagers sous le choc
À l'arrivée d'Urgences-Santé, la quinzaine de passagers qui siégeaient dans l'autobus avait évacué le véhicule.
«Les passagers de l'autobus étaient paniqués à l'arrivée des pompiers», a mentionné Luc Robillard, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Montréal.
Une mère de famille est arrivée morte d'inquiétude sur la scène de l'accident en cherchant sa fille qui était passagère.
«Ma fille m'a appelé en pleurant parce qu'elle venait d'être projetée dans l'autobus. Elle a vu le chauffeur aussi. Il est passé par la fenêtre et il est resté coincé en dessous de l'autobus», a-t-elle dit.
La vitesse en cause?
Des témoins rencontrés sont convaincus que le chauffeur roulait au-dessus des limites permises.
«Ça s'est passé très vite. D'après moi, l'autobus roulait trop vite», a dit Danny Forbes.
Jean-Robert Turgeon, un passager qui emprunte à l'occasion la ligne 196, a également soutenu que le chauffeur avait le pied pesant.
«L'autobus se dirigeait vers l'ouest à une bonne vitesse. Le chauffeur d'autobus allait beaucoup trop vite pour aucune raison», a-t-il indiqué quelques minutes après l'accident dans lequel il n'a pas été blessé.
«Personne dans l'autobus n'a vu ce qui s'est passé. On a seulement senti l'impact», a-t-il ajouté.
Les enquêteurs en scène de collision de la police de Montréal tentaient toujours de comprendre les circonstances exactes de l'accident tard en soirée mardi.
«Un gros périmètre de sécurité a été érigé dans le secteur. Nos enquêteurs évaluent la position des voitures afin de comprendre ce qui a pu se passer», a indiqué le porte-parole du SPVM.


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mardi 7 août 2012

Laissez passer les ambulances,towing,et la police clisse !

Routes du Québec - La Loi sur le corridor de sécurité est en vigueur
 
Photo Imagegami - Fotolia

La nouvelle Loi sur le corridor de sécurité est en vigueur depuis dimanche sur les routes du Québec.
Les conducteurs doivent maintenant laisser un espace de sécurité raisonnable lorsqu'une ambulance, une auto-patrouille, une dépanneuse ou une voiture de surveillance se trouve en bordure de la route.
Les automobilistes doivent ralentir et changer de voie à la vue de l'un ou l'autre de ces véhicules d'urgence. Ceux qui ne respecteront pas cette nouvelle loi pourraient recevoir des amendes salées allant jusqu'à 300 $ et quatre points d'inaptitude.
Le but premier de cette mesure est de protéger les policiers, pompiers et ambulanciers, qui ont souvent à intervenir en bordure des voies rapides. Depuis 2009, 214 auto-patrouilles de la Sûreté du Québec ont été embouties dans des accidents lorsqu'elles étaient rangées sur le côté de la route. De plus, 13 patrouilleurs ont été blessés et quatre policiers ont perdu la vie.
Le cas qui a retenu davantage l'attention est celui d'un policier de Bromont, Vincent Roy, qui est mort en service en décembre 2011. Le policier de 37 ans avait été heurté de plein fouet par un camion alors qu'il venait tout juste d'intercepter un véhicule et s'en allait rendre les papiers de l'automobiliste.
Quelques mois plus tard, en juin 2012, le gouvernement a déposé le projet de loi concernant les corridors de sécurité.
Des lois semblables sont en vigueur dans 49 états américains et sept provinces canadiennes.
Au Québec, 9000 personnes avaient signé une pétition réclamant des mesures semblables.


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lundi 18 juin 2012

Ça va prendre des colombos sur la 4e avenue !

Aller les colombos,surprener les résidents B.S. qui sont en sevrage de pilules,pour les empêcher d'appeler la police que votre auto est stationnée plus que 24 hrs sur la rue !!! Aller Facebook,et caméra photos,bienvenue Anonymous ;)-




Liser cette histoire d'horreur:
Des citoyens du quartier Vieux-Rosemont ont reçu une contravention pour avoir stationné leur véhicule plus de 24 heures au même endroit. Certains en ont même eu deux. Une surprise qui a du mal à passer.
Ce règlement, inconnu de ces citoyens, n’est habituellement mis en application que s’il y a une plainte d’un citoyen.
La méfiance s’est donc installée depuis le 23 mai, jour de la première vague de contraventions. S’il y a une plainte contre un seul véhicule, l’agent de stationnement doit sévir sur l’ensemble du tronçon de rue.
Une agente, qui « était toute mal », raconte une citoyenne, a dû passer beaucoup de temps à noter les plaques et la position de chaque véhicule entre la promenade Masson et le boulevard Laurier, sur la 4e avenue. Ce manège s’est fait le 22 mai, et elle a dû revenir donner des constats d’infraction le lendemain, en vérifiant si les véhicules avaient bougé ou non. Huit contraventions avaient été placées sous les essuie-glaces.
Une autre plainte a été déposée à la fin mai, si bien que d’autres citoyens – environ 12 – ont eu à nouveau cette surprise, le 1er juin.
« C’est quoi la joke ? », se demande avec stupéfaction Hélène Caron, résidente du secteur. Des retraités, des gens malades et des travailleurs autonomes restent sur la 4e avenue et ne prennent pas toujours leur voiture, soulève-t-elle.
Pour sa part, le retraité Armand O’Connor a eu droit à deux contraventions, les 23 mai et 1er juin. Il ne veut pas avoir à changer sa voiture de place s’il n’a pas à la prendre. « Pour moi, c’est ridicule. »
La fille de Lise Brisebois, Sylvie, est aussi frustrée de la situation. Infirmière de nuit, elle a retrouvé le bout de papier blanc et rouge dans son pare-brise un soir avant de partir au travail. Elle ne pourrait toutefois contester. « Elle était en colère. Elle ne veut pas perdre une journée de travail », explique Mme Brisebois.
Transports en commun
Parallèlement, la Ville incite les citoyens à utiliser davantage le transport en commun.
« Ça écoeure ! s’exclame Lise Brisebois. On est à Montréal. Ils disent de ne pas prendre notre voiture. »
C’est ce qui choque encore plus les citoyens de cette rue. Avec les campagnes publicitaires de la Société de transport de Montréal (STM), la taxe de 45 $ pour les propriétaires de voitures afin de financer le transport en commun, sans oublier la taxe sur l’essence dans la région métropolitaine également pour le transport en commun, ils ne comprennent pas pourquoi ils sont pénalisés d’avoir pris l’autobus ou le métro.
« Vingt-quatre heures, c’est long et, habituellement, quand on a une voiture, on a l’opportunité de la déplacer », répond la porte-parole de Projet Montréal. Catherine Maurice ne voit d’ailleurs pas de lien avec la frustration des citoyens.
Abus
Pour la Ville, il est question d’éviter les abus, surtout ceux d’entreprises.
« On ne veut pas intervenir sur ce genre d’affaires-là parce que ce règlement a sa raison d’être, soutient Mme Maurice, porte-parole du maire d’arrondissement François William Croteau. L’occupation de l’espace public doit être balisée pour qu’il n’y ait pas d’abus. [Le maire] n’a pas l’intention de faire quoi que ce soit de plus. »


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mardi 15 mai 2012

Comment faire annuler un ticket

Comment faire annuler un ticket

Voici quatre méthodes éprouvées pour avoir gain de cause en Cour

Il est possible de contester des contraventions comme celle reçue par une cinquantaine de citoyens du quartier St-Michel à Montréal, qui ont été mis à l’amende pour s’être stationnés à moins de cinq mètres d’une intersection.
Il est possible de faire annuler une contravention, même quand la loi est du côté du policier.
Il y a quelques semaines, une cinquantaine d’automobilistes du quartier montréalais Saint-Michel se sont réveillés avec une contravention de 52 $ sur leur pare-brise. La raison : avoir stationné leur véhicule à moins de cinq mètres d’une intersection. Plusieurs pourraient contester leur billet d’infraction.
Exiger la preuve
« À la rigidité de certains policiers, il faut opposer des questions de méthodologie », philosophe Alfredo Munoz, ancien policier et fondateur de SOS Ticket, l’une des entreprises qui aident les consommateurs à contester une contravention.
Assurez-vous que la preuve du policier est en béton. « A-t-il mesuré la distance ? Avait-il un ruban à mesurer ? D’où a-t-il pris la mesure ? Ce genre de question permet de contester avec succès toutes les contraventions », dit M. Munoz.
Cette preuve ne se trouve pas sur le constat. Pour l’obtenir, il suffit d’écrire sur le formulaire de réponse de la contravention « Je veux qu’on me divulgue la   preuve ».
Sur le billet d’infraction, on vous invite à expliquer pourquoi vous contestez. L’organisme Éducaloi vous implore de ne pas le faire. « En pratique, l’information que vous y indiquez est souvent utilisée contre vous et a rarement l’effet escompté (par exemple, l’annulation de l’amende) », écrit l’organisme sur son site Web.
Se préparer
Les utilisateurs de cellulaires traînent avec eux un appareil photo. Il faut s’en servir pour étoffer sa cause. Par exemple pour photographier la glace qui empêche de stationner l’auto à moins de 15 cm du trottoir. Un juge pourrait être sensible à un cliché qui démontre qu’il était difficile de se stationner plus près et que l’infraction n’empêchait pas les gros véhicules de déneigement ou les camions de pompier de circuler.
« Photographier un banc de neige qui vous empêchait de voir l’arrêt obligatoire peut aussi être très utile », ajoute Nadia Fortin, avocate pour Solution Ticket.
Argumenter
Plaider qu’on n’a pas vu le panneau d’interdiction de stationnement, qu’il neigeait ou qu’on ignorait le règlement risque de se retourner contre vous. En contrepartie, arriver avec des informations précises, comme des distances calculées au centimètre près, ou mettre en évidence les imprécisions du policier peut être payant.
Avant de passer devant le juge, plusieurs vont négocier avec le procureur. Une journée chargée et il pourrait se montrer conciliant pour éviter un débat. Ce qui peut permettre par exemple de faire passer la vitesse enregistrée par le policier de 120 à 119 km/h. Dans une zone de 70 km/h, ce petit km/h de moins permet d’économiser environ 500 $ et de faire passer la perte de points d’inaptitude de 10 à 5.

  • Les entreprises comme SOS Ticket et Solution Ticket vous demanderont entre 160 $ à 600 $, selon le nombre de points d’inaptitude en jeu. Le service ne s’adresse pas aux clients qui contestent des billets de stationnement, où on ne perd aucun point.

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mercredi 25 avril 2012

Des boîtes noires dans les auto, dès 2015

Voulez-vous être un meilleur conducteur avec Big Brother vous regarde? Chers membres de CNET, De données d'événements enregistreurs, ou "boîtes noires", qui se trouvent dans des plans et utilisés pour déterminer ce qui s'est passé dans un accident d'avion, ainsi que des données d'enregistrement telles que la vitesse, la force de freinage, les systèmes de surveillance et électrique, seront bientôt installés dans les voitures viennent 2015 . Eh oui, vous m'avez bien entendu, Big Brother va être conduite à droite dans votre siège tout enregistrement de retour de votre voiture fait avec vous derrière le volant. Croyez-le ou non, certaines voitures sont déjà équipés de ces derniers - le ministère des Transports a utilisé ces boîtes de déterminer que Toyota n'est pas responsable pour les soi-disant "non intentionnels" accélération des accidents en 2009. Si vous me demandez comment je me sens au sujet de ces boîtes noires, tandis que je fais ont des préoccupations plus ma vie privée, je pense aussi qu'il peut être utile, par exemple dans le cas d'un accident de voiture de prouver quelle partie est responsable, ou de déterminer exactement ce qui s'est passé. Tant que l'information est utilisée à ces fins et rien d'autre, alors je pense que je suis OK avec lui. Mais assez parlé de ce que je pense. Lire auteur CNET réseau de blog, post récent Liane Yvkoff de: «Voulez-vous être un meilleur conducteur avec Big Brother vous regarde» et nous dire comment vous sentez-vous EDR être dans vos voitures. Pensez-vous qu'il est à votre avantage ou est-ce une invasion de la vie privée? Etes-contre il ya plus de pros en ayant une de ces choses en place? Le fait d'avoir une boîte noire dans votre voiture vous faire conduire plus prudemment et de changer vos habitudes de conduite?

REF.: 
CNET.com

jeudi 19 avril 2012

Enfin un éclairage intelligent, non éblouissant


image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/branchezvous/opelrevolutionneleclairageautomobile.jpg
On développe un éclairage intelligent, non éblouissant à matrices de LED.
Opel a mis au point un système d'éclairage révolutionnaire et sûr, mettant en œuvre un faisceau intelligent à matrices de LED. Cette technologie de lumière, totalement inédite dans le domaine de l'automobile, rendra la conduite de nuit encore plus sûre, plus relaxante et plus confortable pour le conducteur.
Opel est aujourd'hui le premier constructeur automobile à expérimenter sur des prototypes roulants un éclairage matriciel totalement intégré. Le faisceau matriciel représente une nouvelle philosophie dans la technologie de l'éclairage. Plutôt que d'utiliser le faisceau des feux de croisement comme paramètre par défaut, le nouveau concept d'éclairage matriciel prend pour base le faisceau des feux de route. Mais dans cette nouvelle approche, le faisceau des feux de route est toujours non éblouissant et s'adapte automatiquement à la situation du trafic. De cette manière, l'éclairage matriciel apporte une assistance intelligente au conducteur, en lui permettant de conduire sans contrainte tout en conservant le niveau le plus élevé possible de sécurité. Le faisceau est capable de varier bien plus rapidement pour s'adapter aux conditions rencontrées que toute autre solution, qu'elle passe par le conducteur ou par des éléments mécaniques mobiles.

« La sécurité active est l'axe principal de la politique d'ingénierie chez Opel, » explique Rita Forst, Vice-Présidente de l'Ingénierie chez Opel. « Nous avons été le premier constructeur à proposer l'AFL - association d'un éclairage xénon dynamique en virage et statique aux intersections - dès 2002. Opel se prépare maintenant à révolutionner de nouveau la conduite de nuit avec le faisceau à matrices intelligentes, le système d'éclairage automobile le plus évolué du monde. »
L'éclairage matriciel fonctionne en association avec la caméra frontale Opel implantée entre le pare-brise et le rétroviseur. Dès que les capteurs de la caméra frontale détectent des sources de lumière venant en sens inverse ou des voitures devant, le système désactive totalement le faisceau sur cette zone, tandis que le reste de la route reste brillamment éclairé.
Ainsi, si les autres usagers de la route ne sont jamais éblouis, les autres obstacles non éclairés restent toujours visibles.
L'utilisation exclusive de diodes au sein du faisceau matriciel présente toute une série d'avantages importants, car ce nouveau système de lumière consomme moins que les lampes xénon ou classiques à halogènes. Il n'utilise qu'environ la moitié de l'énergie consommée par des lampes à halogène. Chacun des deux projecteurs à matrices se compose de quatre segments de lumières. Derrière chaque segment sont disposées quatre sources lumineuses distinctes qui peuvent être mises en service ou non, ce qui aboutit à seize combinaisons possibles d'AFL par projecteur. Les changements entre les 256 réglages différents de faisceau sont continus et tout en fluidité, sans même que le conducteur ne les remarque.
Jusque-là, seuls les feux de jour étaient capables de reproduire la forme de flèche qui constitue la signature lumineuse d'Opel. Mais désormais, le faisceau des feux de croisement en est capable également la nuit. Cette prouesse a été réalisée en combinant deux fonctions : les feux de circulation de jour et le faisceau des feux de croisement partagent maintenant une rangée de sept éléments lumineux. Cette possibilité donne aux designers automobiles plus de liberté dans le dessin de nouveaux modèles de voiture.
Le nouveau concept d'éclairage matriciel sera progressivement déployé sur l'ensemble des gammes Opel au cours des prochaines années, comme ce fut le cas en 2002 lorsqu'Opel est devenu le premier constructeur automobile à proposer le système d'éclairage de sécurité AFL. La dernière version du système AFL (AFL +) comprend des lampes à décharge bi-xénon, un éclairage mauvais temps, un éclairage dynamique en virage et statique aux intersections, un assistant au passage en feux de route et des feux de jour à LED.
Source: Opel


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lundi 9 avril 2012

Park toué a 15 pieds du coin ,la Loi c'est la Loi !

contraventions
Photo Le Journal de Montréal, Valérie Gonthier
Lucie Robert, Marcel Jérôme, Simon Wong et 43 autres citoyens du quartier Saint-Michel ont reçu une contravention de 52 $.

zèle policier ?

Des contraventions pour le moins surprenantes

Les voitures se trouvaient à moins de 5 mètres d’une intersection

Près d’une cinquantaine de résidents du quartier Saint-Michel ont trouvé une contravention sur leur pare-brise récemment, en matinée. La raison ? Leur voiture était garée à moins de cinq mètres d’une intersection. Du « zèle » de la part des policiers, croient certains citoyens rappelés à l’ordre.
« Ça fait 40 ans que je reste ici. C’est la première fois que je reçois une contravention pour cette infraction », lance Lucie Robert.
Le 30 mars au matin, lorsqu’elle est sortie de chez elle, Mme Robert a eu une bien mauvaise surprise : une contravention de 52 $.
En regardant autour d’elle, la dame a vite réalisé qu’elle n’était pas la seule dans cette situation. Au total, en l’espace de quelques heures, 46 contraventions ont été remises aux citoyens mal stationnés.
Pompiers frustrés
À l’arrondissement, on indique que c’est à la suite d’un problème rencontré par les pompiers de Montréal que ces contraventions ont été données.
« C’est à la demande du service d’incendie. Ils ont agi pour des raisons de sécurité. Mais à l’arrondissement, nous n’avions pas été mis au courant », explique Anie Samson, maire de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
Au Service d’incendie, on dit n’avoir jamais « demandé » de mettre des contraventions.
Mais après avoir eu un problème d’accessibilité à une rue dans ce secteur, des pompiers ont décidé d’agir.
« Certains ont pris l’initiative d’aller voir les policiers au poste de quartier. C’est à la suite de ça que les policiers sont allés mettre des contraventions », expose Mélanie Drouin, chargée de communication au Service des incendies.
Intervention du maire
Lorsqu’elle a été mise au courant de cette tournée de contraventions, Mme Anie Samson est intervenue.
« Mais j’ai demandé au commandant du poste de quartier d’arrêter de donner des tickets, lance-t-elle. Même si on donne une contravention, le camion ne peut pas plus passer dans la rue. Il faut qu’on mette en place des installations », dit-elle.
Mme Drouin reconnaît que ce n’est pas le rôle des pompiers d’aller voir les policiers concernant ce type de problèmes.
« Nous avons un comité de circulation. Les pompiers auraient dû adresser leur requête à nos gens à l’interne », dit-elle.
Deux places perdues
Anie Samson ajoute que même si l’interdiction de stationner à moins de cinq mètres d’un coin de rue est en vigueur, « on ne l’applique pas ».
« Notre objectif, ce n’est pas de donner des tickets pour donner des tickets. Personne ne veut ça », ajoute-t-elle.
Pour Lucie Robert, l’infraction en soi ne mérite pas une contravention.
« C’est du zèle de la part des policiers, indique-t-elle. Déjà que c’est difficile de trouver du stationnement dans les rues… »
Un argument qui est corroboré par Mme Samson.
« Le stationnement est très dense dans le secteur. En enlevant les cinq mètres, on perd deux places de stationnement par coin de rue. Ce n’est pas vrai qu’on va enlever des places », lance-t-elle.
Dans les prochaines semaines, des pancartes interdisant le stationnement à certains endroits devraient être installées.


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dimanche 1 avril 2012

2,50 $ pour un plein

Bornes publiques de recharge - L'hydroélectricité au lieu de l'essence
Le ministre Clément Gignac, rêve de voir le Québec réduire sa dépendance au pétrole importé. 
© Didier Debusschere / Agence QMI

Bornes publiques de recharge

L'hydroélectricité au lieu de l'essence

QUÉBEC - Hydro-Québec commence à déployer son réseau de bornes publiques de recharge pour véhicules électriques. La société d'État vient d'ouvrir ses 34 premières bornes situées dans les régions de Québec et de Montréal. Le ministre des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF), Clément Gignac, rêvait hier à voix haute de voir le Québec réduire sa dépendance au pétrole importé.
« Les deux tiers de notre déficit commercial sont dus à l'achat de pétrole qui nous coûte 11 milliards de dollars par année. Faire le plein d'énergie sur un véhicule électrique coûte beaucoup moins cher (2,50 $ pour un plein) et l'argent reste au Québec », a dit M. Gignac.
Aux 34 bornes à 240 volts inaugurées hier dans des terrains de stationnement de chaînes commerciales RONA, Rôtisseries Saint-Hubert et Metro, « au moins » 86 autres viendront s'ajouter l'été prochain, toujours en périphérie de Montréal et de Québec.
Il s'agit du premier réseau de bornes de recharge électriques au Canada, ont fait valoir le ministre Gignac et Hydro-Québec. Le rythme de déploiement du réseau s'ajustera par la suite à l'arrivée de véhicules électriques sur le réseau routier.
Inconvénients
Il faudra encore du temps avant que l'automobile électrique ne supplante le véhicule aux hydrocarbures.
Il existe encore d'importants inconvénients à l'utilisation d'un véhicule électrique. Recharger au complet une batterie peut prendre entre six et huit heures et l'autonomie de ces véhicules varie entre 50 et 150 kilomètres, selon la température, la saison et le type de conduite (« sportive » ou modérée), selon ce qu'on a pu entendre hier.
Le grand froid hivernal réduit l'autonomie des véhicules électriques, a convenu Pierre-Luc Desgagnés, directeur de la planification stratégique à Hydro-Québec.
« Les véhicules tout électriques répondent aux besoins urbains et péri-urbains. Pour les plus longues distances, on suggère les véhicules hybrides rechargeables (plus chers à l'achat) », a dit M. Desgagnés.
Quant à la recharge, celle-ci se fait principalement à domicile, plaide Pierre-Luc Desgagné. En quittant le domicile, le matin, le véhicule est rempli. Les bornes publiques servent de recharge d'appoint, ajoute-t-il.
Hydro-Québec prévoit installer, dès l'an prochain, des bornes publiques de recharge rapide à 400 volts. Le temps de recharge pourra alors être réduit à une trentaine de minutes. De telles bornes pourront être installées en bordure des autoroutes, entrevoit Hydro-Québec.


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Essence: un cent à chaque 1er avril jusqu'en 2013 pour financer le développement du transport en commun et l'amélioration des routes ?

Taxe sur les carburants - Le prix de l'essence augmente encore d'un cent
 
© Agence QMI / Archives
Taxe sur les carburants

Le prix de l'essence augmente encore d'un cent

MONTRÉAL – La taxe sur les carburants a augmenté d'un cent ce dimanche pour la troisième année de suite, tel que prévu dans le budget 2010-2011 du ministre des Finances, Raymond Bachand.
Le gouvernement de Jean Charest avait en effet décidé de hausser le prix de l'essence de 4 cents en quatre ans, à raison d'un cent dès le 1er avril 2010, puis d'un cent à chaque 1er avril jusqu'en 2013 pour financer le développement du transport en commun et l'amélioration des routes.
À l'époque, l'association canadienne des automobilistes (CAA-Québec) avait réagi en prévenant que cette augmentation de la taxe sur l'essence d'un cent par année, échelonnée sur quatre ans, et soumise à la hausse de la taxe de vente du Québec, aurait un impact au bout du compte d'environ 6,5 cents le litre de carburant.
Une taxe urbaine additionnelle de 3 cents le litre s'applique par ailleurs sur l'essence vendue à la grande région de Montréal et les municipalités avoisinantes, situées sur le territoire couvert par l'Agence métropolitaine de transport.
Le gaz naturel et le gaz propane, les solvants dérivés du pétrole, l'essence destinée à des usages chimiques, et le mazout coloré acquis afin d'alimenter un moteur non propulsif ou certains moteurs propulsifs ne sont pas assujettis à la taxe sur les carburants.


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jeudi 29 mars 2012

Première opération radar spéciale de nuit,la prochaine suivra ....

Vitesse - Opérations radar de nuit
 
© Karl Tremblay / Agence QMI

SAINTE-THÉRÈSE – Les 15 services de police de la Rive-Nord ont émis un total de 1190 constats de vitesse et de 272 constats pour d'autres infractions lors de leur première opération radar spéciale de nuit, qu'ils ont conjointement organisée du 27 février au 9 mars dernier.
Les policiers des districts de Montréal, Laval, Laurentides et Lanaudière ont mené 138 opérations sur l'ensemble du réseau routier de leur territoire respectif durant ces nuits.
Les services de police ont donc dressé un bilan positif de ces opérations. «Le but de cette opération spéciale était de sensibiliser la population au fait que de nombreux décès surviennent sur les routes pendant la nuit à chaque année», a expliqué Sylvain Théorêt, le porte-parole du Service de police de Terrebonne/Sainte-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion.
Martin Charron, sergent et porte-parole à la Régie de police Thérèse-De Blainville, avait quant à lui expliqué avant l'opération que les automobilistes ont souvent le sentiment qu'ils sont seuls sur la route la nuit et qu'il n'y a pas de surveillance policière. Le niveau d'alcool plus élevé dans le sang et la fatigue sont aussi des facteurs de risques d'accident qui sont à leur niveau le plus élevé la nuit.
Le regroupement policier a prévu mener d'autres opérations spéciales dans les mois à venir. Les services de police participants sont ceux de Blainville, Deux-Montagnes, Laval, Mascouche, Mirabel, Montréal, Mont-Tremblant, Repentigny, Sainte-Adèle, Saint-Eustache, Saint-Jérôme, l'Assomption-Saint-Sulpice, Terrebonne/Ste-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion, Thérèse-de-Blainville et la Sûreté du Québec.


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vendredi 23 mars 2012

Une solution contre la somnolence au volant

Coyote - Une solution contre la somnolence au volant
Les conducteurs auront bientôt un nouvel outil pour éviter de s'endormir au volant. 
© Shutterstock

Le fabricant français de systèmes «d'avertissement de zones dangereuses» (ex-«détecteurs de radars») Coyote annonce l'arrivée prochaine d'une solution, permettant d'analyser le comportement des conducteurs pour prévenir les risques de somnolence. Elle a fait l'objet d'un dépôt de brevet et sera prochainement intégrée à toute la gamme Coyote.
Dès lors qu'il est allumé, le système Coyote enregistre en permanence quatre des principales données susceptibles d'indiquer un risque accru de somnolence: les variations de vitesse et de direction, l'heure et la durée du trajet.
Ces informations servent après analyse à prévenir tout risque de somnolence, en interrogeant le conducteur pour vérifier la véracité ou non de ce risque. En cas de réponse positive, l'appareil conseille immédiatement une pause en indiquant par exemple la prochaine aire d'autoroute disponible.
Chaque profil est ensuite actualisé afin de déterminer une fréquence de renouvellement de la question: «Ressentez-vous des symptômes de somnolence?».
Selon l'Institut d'étude des accidents de la route, émanation de l'association française 40 millions d'automobilistes, la somnolence au volant est désormais la première cause de mortalité sur autoroute.

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vendredi 3 février 2012

Réchauffement climatique,"GES" , une farce de Capitali$te !

CA_NathalieElgrablyLevy

Nathalie Elgrably-Lévy

Journal de Montréal, Publié le: | Mise à jour:
La classe politique québécoise prend très à cœur la question du réchauffement climatique et ne manque pas une occasion de réitérer la nécessité de se conformer au protocole de Kyoto.
Tout récemment, Mme Marois déclarait : « Un gouvernement du PQ va continuer dans la voie (du protocole de) Kyoto. […] Et Kyoto, nous, on y croit. » Peu de temps avant, le ministre de l’Environnement, Pierre Arcand, annonçait la mise en place d’une bourse du carbone afin de réduire de 20 %, d’ici à 2020, les émissions de GES par rapport au niveau de 1990.
Leurs intentions sont certainement louables, mais leurs positions catégoriques deviennent absurdes à la lumière des dissensions scientifiques qui minent chaque jour davantage la théorie du réchauffement anthropique. À écouter leurs propos tranchés et leur dévotion à la cause, on pourrait croire qu’ils ignorent totalement les séismes qui secouent à répétition la science du climat. Ne s’informent-ils donc pas ?
Il y a quelques jours à peine, un autre collectif, celui-ci composé de 16 chercheurs de réputation mondiale, a signé un texte nous invitant à ne pas paniquer à propos du réchauffement climatique. Selon eux, il n’existe aucun argument scientifique irré­futable pour justifier l’adoption de mesures radicales de décar­bonisation de la planète.
La vérité triomphe
L’impact de ce texte est toutefois marginal à côté du coup de grâce porté, presque simultanément, par l’unité de recherche sur le climat de la University of East Anglia (UEA), située au Royaume-Uni. On se souvient que ce sont principalement des chercheurs de cette université qui ont influencé le GIEC, les décisions de nos gouvernements et les propos apocalyptiques d’Al Gore. L’un d’eux, David Viner, avait même affirmé que les enfants britanniques ne connaîtraient pas la neige. On se souvient également que ce sont les chercheurs de ce même établissement qui ont été au centre du scandale des courriels (Climategate). On leur reprochait, entre autres, d’avoir dissimulé l’absence de réchauffement au cours de la dernière décennie.
Heureusement, la vérité finit toujours par triompher. Des chercheurs de la UEA viennent de dévoiler leurs dernières conclusions à la suite de l’analyse de données provenant de 30 000 stations. Le verdict est simple : il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis 1997 ! Vous avez bien lu, le berceau de la théorie du réchauffement climatique confirme que sa thèse était fausse. Son discours alarmiste était donc non fondé. L’édifice climato-catastrophiste était lézardé depuis plusieurs années. Avec les révélations de la UEA, il s’est complètement écroulé.
Quelques questions
J’adresse donc quelques questions élémentaires à nos politiciens encore déterminés à sauver l’humanité : maintenant que vous savez que les chercheurs qui sont à l’origine de la thèse du réchauffement climatique sont revenus sur leurs affirmations et qu’ils confirment que la température n’a pas bougé depuis 15 ans, allez-vous à votre tour réviser vos politiques environnementales ?
Êtes-vous toujours résolus à saboter notre économie avec une bourse du carbone destinée à corriger un problème que vous êtes maintenant seuls à voir ?
La thèse du réchauffement climatique est morte… Un véritable leader ne pourra feindre de l’ignorer !

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samedi 28 janvier 2012

Financer un véhicule,au-delà de quatre ans, ça peut être vraiment exagéré

Financement d'une voiture - Quatre ans c'est assez
Le CAA-Québec dénonce les offres jusqu’à huit ans offertes aux consommateurs par certains constructeurs. 
© JEAN-FRANCOIS DESGAGNES / ARCHIVES AGENCE QMI

Quatre ans c'est assez

QUÉBEC - Financer l'achat d'une voiture avec intérêts au-delà de quatre ou cinq ans est vraiment déraisonnable selon le CAA-Québec, qui dénonce les offres jusqu'à huit ans offertes aux consommateurs par certains constructeurs. «On ne veut pas jouer à la mère avec les consommateurs, mais on leur demande d'être vigilants. Une voiture est un bien qui se déprécie extrêmement rapidement et surtout après quatre ans», explique M. Philippe St-Pierre, responsable des communications au sein de l'organisme.
Par exemple, acheter une Impala Chevrolet au prix de détail, avec taxes, de 34 756$ coûtera, en bout de ligne, 41 251$ si elle est financée sur 84 mois à un taux d'intérêts de 4,99%.
Mais là où le CAA-Québec s'inquiète davantage, c'est l'argent que perdra le consommateur s'il décide de vendre sa voiture après quatre ans. Dans le même exemple, la valeur résiduelle de l'Impala sera de 7700$ alors qu'il restera des versements de 17 679$ à faire, soit une perte nette de 9979$ pour le consommateur. «On voit donc qu'au-delà de quatre ou de cinq ans, ça peut être vraiment exagéré de financer un véhicule», ajoute M. St-Pierre.
Intérêts
Mais tout est dans la notion d'intérêts sur le financement à long terme. Comme plusieurs constructeurs proposent 0% à l'achat, il faut donc réfléchir pour une voiture neuve, dit-il.
«À l'opposé, quand on voit des offres jusqu'à 96 mois à 4% ou 5% d'intérêts, c'est huit ans. On se retrouve en 2020 et c'est long pour un propriétaire de voitures qui aime changer régulièrement», dit le porte-parole du CAA.


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mardi 24 janvier 2012

La voiture-concept «Fenêtre sur le monde» («Window to the World»)

Prototype - Les vitres de voitures interactives de GM pour bientôt?
 
© Courtoisie GM

Les vitres de voitures interactives de GM pour bientôt?

General Motors a dévoilé les résultats d'un nouveau projet de recherche sur l'avenir du divertissement à l'intérieur des voitures. Ceux-ci suggèrent qu'être passager sera un jour bien plus amusant qu'être le conducteur.
Conduit en partenariat avec la Bezalel Academy of Art and Design en Israël, le projet a vu des chercheurs créer des prototypes de vitres interactives utilisant des «fenêtres perfectionnées» qui ont une surface tactile capable d'afficher des graphismes.
Toutes sortes d'applications destinées à être utilisées par les passagers durant de longs trajets ont été créées pour ces vitres spéciales.
L'application Otto, par exemple, affiche un personnage animé qui survole le paysage à la fenêtre afin de distraire les enfants et de donner des informations sur la météo et le panorama, tandis que l'application Foofu permet aux enfants de dessiner de façon tactile.
Mais l'une des possibilités les plus fascinantes est sans doute Spindow, un application qui autorise les utilisateurs à jeter un oeil à la fenêtre d'autres utilisateurs.
Même si General Motors reconnaît qu'il n'y a pas «de projets immédiats pour installer des vitres interactives dans ses voitures de série», ses recherches en font le deuxième constructeur en moins d'un an à exposer les résultats d'une étude sur «les fenêtres interactives» - ce qui peut signifier que cette technologie n'est peut-être pas pour dans si longtemps.
L'été dernier, Toyota avait dévoilé une collaboration avec l'Institute of Interaction Design de Copenhague qui a permis d'utiliser la réalité augmentée sur les fenêtres de voitures pour divertir et informer les enfants.
La voiture-concept «Fenêtre sur le monde» («Window to the World») est ainsi capable de traduire des panneaux en temps réel et de dire aux passagers à quelle distance la voiture se trouve de certains points.
Vous pouvez avoir un aperçu de la technologie de GM dans cette vidéo.





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lundi 19 décembre 2011

La Falsification d'odomètres n'a jamais cesser au Québec

Falsification d'odomètres - Un garagiste de Québec condamné
 
© Shutterstock
La Falsification d'odomètres,est la pour rester et le marché des minounnes en subit le contre-coup !

Un garagiste de Québec condamné


QUÉBEC – Daniel Belzile, un garagiste de Québec de 53 ans, a écopé de six mois de prison à purger dans la collectivité pour avoir trafiqué des odomètres. Durant les deux premiers mois, l'homme sera assigné à résidence et, durant les quatre suivants, il sera soumis à un couvre-feu. Par la suite, il sera soumis à une probation de 12 mois. Il devra aussi payer une amende de 5300$ et son entreprise, le garage MécaTrans, de la rue Marie-de-l'Incarnation, à Québec, devra verser une amende de 3000$.
Selon l'acte d'accusation, Belzile aurait trafiqué les odomètres d'une trentaine de véhicules. Il a été piégé par des agents doubles de la GRC qui lui ont demandé, moyennant 300$ par véhicule, de trafiquer les odomètres de deux voitures-appâts, munies de caméras cachées. Dans le premier cas, le kilométrage affiché est passé de 175 485 à 95 649 et, dans le deuxième cas, de 178 392 à 95 170.
Daniel Belzile se spécialise dans le commerce de véhicules de luxe qu'il se procure aux États-Unis et qu'il revend ici après les avoir remis en état. Selon ses dires, il s'était procuré par internet, au prix de 13 000$, un logiciel nommé J-prog, qui lui permettait de réduire le kilométrage affiché des odomètres électroniques en connectant un ordinateur portable aux ordinateurs de bord des véhicules.
Aux policiers qui l'interrogeaient, Belzile a déclaré avoir été mis au fait de l'existence de ce logiciel en fréquentant des encans de la région de Montréal. Il a même affirmé que des personnes étaient affectées à temps plein à la falsification d'odomètres chez certains encanteurs. Il n'a cependant jamais admis avoir trafiqué les odomètres des véhicules qu'il revendait.
Daniel Belzile possédait déjà une longue feuille de route en matière criminelle pour des actes commis entre 1985 et 1997, notamment possession d'arme prohibée, trafic de stupéfiants, vente de cigarettes de contrebande, recel, menaces et emploi de documents contrefaits.


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dimanche 11 décembre 2011

Auto électrique: 55 cents le 100 Km


Projet pilote | Hydro-Québec - L'auto électrique est-elle efficace?
Quinze voitures électriques i-MiEV ont été livrées à 13 entreprises de Boucherville. 
© Agence QMI / Robert Gosselin
Projet pilote | Hydro-Québec

L'auto électrique est-elle efficace?

MONTRÉAL – Depuis un an, jour pour jour, 20 autos électriques roulent dans les rues de Boucherville. C'est la seule ville de la province où Hydro-Québec mène un projet pilote d'une durée de trois ans.

EN VIDÉO:
Les explications
Hydro-Québec demande à des entreprises de tester les véhicules. Elles paient seulement l'électricité.
Chaque voiture coûte 32 000$, avec une autonomie annoncée par le constructeur de 120 kilomètres. Et un temps de recharge d'au moins cinq heures. «Pour faire 100 kilomètres, ça nous coûte à peu près 55 sous. C'est vraiment pas cher», a indiqué le fleuriste Michael Gildart. Il conduit la i-MiEV de Mitsubishi depuis six mois. Sa compagnie économise 400$ par mois.
Améliorer l'autonomie
C'est 1000$ d’économies pour la rôtisserie St-Hubert. Pour autant, le livreur Sébastien Mahiout n'est pas tout à fait satisfait. «L'inconvénient qu'on voit en ce moment, c'est l'autonomie de la batterie. Elle nous donne 80 ou 90 kilomètres. C'est ça qu'il faudrait améliorer», a-t-il précisé, lui qui peut parcourir de 200 à 250 kilomètres par jour.
Le chauffage ou l'air conditionné consomment de l'énergie, des facteurs qui viennent affecter les performances de la batterie.
«Il y a moyen de protéger la batterie l'hiver pour préserver son autonomie. On travaille aussi sur le préchauffage des véhicules», a répondu Pierre-Luc Desgagnés, directeur principal de la planification stratégique chez Hydro-Québec.
La société d'État veut installer dans tout le Québec des bornes de recharge rapide de 30 minutes, plutôt que de 5h.
À partir du mois de mars, des infrastructures de recharge à 240 volts devraient être déployées dans les stationnements de plusieurs commerces partenaires (Métro, Rona ou l'AMT).
L'année dernière, Hydro-Québec a dépensé 500 000$ pour ce projet, sur un budget de 4,5 millions $ pendant trois ans.
D'ici la fin du mois de décembre, la société d'État compte déployer dix autres véhicules. Il y en aurait alors 30 sur les routes jusqu'à la fin du mois de décembre 2013, date de fin du projet pilote.


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