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samedi 9 octobre 2010

Pour chaque dollar gagné, un ménage canadien doit 1,46 $

Endettement - Option consommateurs demande à Ottawa d’agir


Option consommateurs demande à Ottawa d’agir


OTTAWA - Option consommateurs se dit préoccupé par l'augmentation du taux de pauvreté et de l'endettement des ménages canadiens et demande au gouvernement fédéral d'adopter des mesures afin de permettre aux consommateurs d'alléger leur fardeau financier.

L'association a présenté mercredi ses observations et ses recommandations à la Chambre des communes à Ottawa, dans le cadre de la préparation du budget fédéral.

Selon Option consommateurs, le ratio de la dette des ménages par rapport revenu disponible a atteint un nouveau sommet de 146 % au premier trimestre de cette année. En d’autres termes, explique l’association, pour chaque dollar gagné, un ménage canadien doit 1,46 $.

«Les citoyens ont de plus en plus recours au crédit pour financer leur consommation courante comme pour l'épicerie, ce qui devient problématique si les gens ne remboursent pas la totalité de leur compte», a expliqué Michel Arnold, le directeur général d'Option consommateurs.

L’organisation recommande, entre autres, au gouvernement d'éliminer la période d'attente de l'assurance emploi et d'allonger la période de prestation, de convoquer un sommet sur la création d'emplois, d'augmenter les prestations maximales du programme du Supplément de revenu garanti, d'augmenter le crédit pour la TPS et de revoir les conditions des prêts étudiants et de remboursements en raison de l'incertitude du marché du travail.

Option consommateurs est une association à but non lucratif qui a pour mission de promouvoir et de défendre les droits et les intérêts des consommateurs.REF.:

Le syndicat des cols bleus nous appauvrit,car on va être dans le rouge

Mercredi, le maire Tremblay est apparu tout sourire devant les caméras pour serrer la main du président du syndicat des cols bleus, à qui il a consenti des augmentations de salaire de 11% en six ans, en plus de créer 450 nouveaux jobs permanents.

Jeudi, il revient devant les caméras -sombre -pour annoncer qu'il devra couper 250 millions $ au cours des deux prochaines années si la Ville veut espérer boucler son budget.

Assez incohérent, non?

C'est un peu comme si vous décidiez de gâter vos enfants en les amenant magasiner au Toys'R'us, un samedi, et que le dimanche, vous leur annonciez que vous allez devoir couper sur l'épicerie...

Certains diront que la Ville a «tenu son bout» en ne cédant pas aux demandes des cols bleus qui réclamaient -tenez-vous bien -jusqu'à 22 % d'augmentations sur 6 ans. «Une moyenne de 3,8 à 4 % par année», avait déclaré Michel Parent.

Prise au jeu

La Ville s'est fait prendre au jeu. Les cols bleus demandaient trois fois trop. En leur accordant la moitié de leurs demandes irréalistes, la Ville leur a quand accordé plus que n'ont obtenu les fonctionnaires syndiqués du gouvernement québécois. Le Front commun CSN-FTQ-CSQ a quand même accepté des hausses limitées à 7% sur 5 ans. Ils ont réalisé qu'en temps de crise économique -on n'en est toujours pas sorti -, 7 % sur 5 ans, c'était plus qu'acceptable.

Les hausses de salaire doivent refléter la réalité économique d'une entreprise ou d'un gouvernement. En temps de croissance économique, il est normal que les syndicats en demandent plus. Ils le font d'ailleurs sans gêne. Mais lorsqu'une administration est dans le trou, comme l'est actuellement la Ville de Montréal, comment peut-elle en toute logique offrir des hausses de 11 % sur six ans à ses employés ?

Où vont-ils couper ?

C'est là que ça devient intéressant.

Gérald Tremblay nous promet qu'il réussira à trouver les 250 millions $ qui manquent en «réorganisant les services», en «mettant en commun les ressources», en «travaillant ensemble». Il a même évoqué, mercredi, une potentielle augmentation de la productivité des cols bleus.

Permettez-moi d'en douter.

Car, au fond, qu'est-ce qui coûte cher dans la prestation des services municipaux ? Les équipements ? Les matériaux ? Bien sûr que non. C'est évidemment la main-d'oeuvre. Or, la Ville vient de se lier les mains, du moins avec les cols bleus.

Et les tarifs ?

Le maire répète qu'il n'augmentera pas les taxes de plus de 2,5 % par année. C'est donc dire qu'il ouvre la porte à des hausses de taxes de 5 % sur deux ans. Mais il n'a jamais promis de limiter la hausse des tarifs au coût de l'inflation.

Et ils sont nombreux, ces tarifs. Pensez aux parcomètres dont le prix a déjà doublé depuis quatre ans ! Pensez aux frais pour visiter les muséums nature ! Pensez aux nombreuses «trappes à tickets», où nos valeureux policiers se postent afin de faire sonner la caisse, prétendument pour des raisons de sécurité ! Pensez aux tarifs du métro et des autobus de la STM ! Pensez à cette idée que caresse le maire Tremblay de faire payer les «méchants» banlieusards qui travaillent dans la métropole en leur imposant un péage aux ponts !

Et si tout ça ne fonctionne pas, Montréal pourra toujours aller quémander une taxe spéciale sur l'essence au gouvernement du Québec.

Quand toutes ces idées-là auront été exploitées, le trou budgétaire sera comblé. Les cols bleus pourront dormir tranquille.

REF.: Canoe

Une année record pour qui ?

la Commission de la construction du Québec (CCQ) vient de boucler une année record,...................a Oui ;-)
Industrie de la construction - 375 millions $ de moins «au noir»
La Commission de la construction du Québec a dorénavant des moyens élargis et inédits pour «assainir les pratiques dans l’industrie».
© Agence QMI
Industrie de la construction

375 millions $ de moins «au noir»,.....des peanuts !!!



QUÉBEC – Dans une industrie «où les délinquants ne cessent de raffiner leurs stratagèmes», la Commission de la construction du Québec (CCQ) vient de boucler une année record en matière de lutte à l’évasion fiscale.

À LIRE ÉGALEMENT:

Fraude: une escouade spéciale

C’est ce qui ressort de son dernier rapport annuel, déposé la semaine dernière à l’Assemblée nationale, où elle annonce que ses efforts «ont permis au gouvernement de récupérer 375 millions $ en recettes fiscales» dans l’industrie québécoise de la construction, en 2009. C’est 15 millions $ de plus que l’année précédente et près de 130 millions $ de plus qu’en 2007.

Depuis 1995, la CCQ estime avoir aidé Québec à aller chercher environ 2,5 milliards $ dans une industrie où, par contre, le travail au noir continue de priver l’État de revenus annuels de près de 1,5 milliard $.

L’année 2009 a été marquée de nombreuses «allégations hautement médiatisées de situations frauduleuses» qui ont amené la CCQ à «repositionner son rôle et à élargir son champ d’intervention [...] en vue d’assainir les pratiques dans l’industrie de la construction», écrit son président-directeur général, André Ménard.

Ce dernier ajoute que la CCQ «poussera plus loin ses façons de faire» à partir de 2010, notamment par la création d’une nouvelle escouade tactique pour lutter contre le blanchiment d’argent et la fausse facturation. La CCQ entend aussi «resserrer les liens existants avec les autres organismes d’enquête» pour élaborer des «actions conjointes».

En novembre 2009, la SQ a notamment arrêté une dizaine de personnes reliées au Hells Angel Normand «Casper» Ouimet (recherché par les policiers depuis un an et demi), qui aurait cherché à prendre le contrôle d’entreprises de maçonnerie pour y blanchir de l’argent tiré de la vente de drogue, par le biais de fausses facturations et de paiements au noir.

La maçonnerie, le coffrage et les travaux après sinistre ont d’ailleurs été identifiés comme les secteurs «les plus à risque» d’infractions liées à l’évasion fiscale (heures de travail non déclarées) ou à l’absence de certificat de compétence par la CCQ, en 2009. Trois entreprises sur 10 dans ces métiers de la construction se sont avérées fautives.

Les inspecteurs de la CCQ ont effectué 35 420 visites de chantier en 2009, dont 11 % ont mené à des contraventions. Ils ont sanctionné plus de 19 000 infractions relativement au travail au noir en 2009, soit un peu moins qu’en 2008.

La CCQ a aussi reçu 11 plaintes dénonçant une forme d’intimidation, de menace ou de mesures discriminatoires sur des chantiers.REF.:

Moins de personnels a l’Agence du revenu du Canada = plus d'investisseurs dans des banques extraterritoriales illégales

Évasion fiscale - Des Canadiens dans le collimateur de Revenu Canada


Évasion fiscale

Des Canadiens dans le collimateur de Revenu Canada


OTTAWA - Un comité de la Chambre des communes a lancé une enquête officielle lundi au sujet d’allégations selon lesquelles des centaines de Canadiens ont caché des millions $ dans des banques extraterritoriales pour mettre leur fortune à l’abri du fisc canadien.

« Nous craignons que le gouvernement n'ait pas agi de façon plus agressive à ce sujet », a déclaré le porte-parole libéral des Finances, Scott Brison.

Le porte-parole du Bloc québécois en matière de Finances, Daniel Paillé, a déclaré que les contribuables avaient droit au respect et que le fédéral devait donner davantage qu’une tape sur les doigts aux fraudeurs de la sorte. «S'ils sont reconnus coupables, ces personnes doivent être emprisonnées », dit-il.

Les députés de tous les partis ont appuyé lundi au Comité des finances une motion du Bloc québécois pour la tenue d’une enquête, après que Revenu Canada ait confirmé son intention de faire une vérification auprès de 1000 Canadiens qui seraient détenteurs de comptes bancaires en Suisse qui seraient administrés par la Banque HSBC.

« Il pourrait y avoir plus de Canadiens, il pourrait y en avoir moins», a déclaré le porte-parole de l'Agence du revenu du Canada Philippe Brideau.

Les autorités canadiennes ne font que commencer à passer au peigne fin une liste qu'ils ont récemment reçue de la France grâce à un dénonciateur de la HSBC, qui se demandait si les comptes suisses n’étaient pas utilisés pour échapper à l’impôt.

Selon une enquête menée par CBC et le Globe and Mail, les informations ont aidé les Français à récupérer 500 millions d’euros en arriérés d’impôts.

M. Brideau a déclaré que l’Agence du revenu du Canada avait commencé à vérifier les comptes les plus importants et qu’elle en était encore à « évaluer ses options » en ce qui concerne le partage des données avec les provinces.

La porte-parole néo-démocrate en matière de revenu, Carol Hughes, soutient que l’évasion fiscale atteint maintenant la somme de 88 milliards $, alors même que les conservateurs ont annoncé la suppression de 198 postes à l’Agence du revenu au cours des trois prochaines années.

« Il y a des gens qui évitent de payer l’impôt et au même moment, le gouvernement coupe dans le personnel de l’Agence de revenu. C’est un non-sens », a dénoncé la députée.REF.:

jeudi 7 octobre 2010

Comment faire de l'$$$$ Vite vite vite ;-)


Garderies de fortune

Partout au Québec, des garderies familiales illégales offrent des services de mauvaise qualité aux frais des contribuables québécois. Ces garderies sans permis, donc indétectables, profitent d'un généreux système de crédits d'impôt et des graves lacunes du processus d'inspection du ministère de la Famille.

Par exemple, les 18 inspecteurs que compte le ministère pour couvrir le Québec au complet sont impuissants devant des produits toxiques mal entreposés, une garderie mal chauffée ou même une cour sans clôture.

Ces garderies illégales profitent aussi du désespoir des familles coincées par la pénurie de places à 7 $. Enquête a suivi le cas d'un propriétaire de trois garderies illégales qui déjoue tous les mécanismes de contrôle depuis des années.



P.S. Alors ,on vous souhaite tous de vous faire poigner et de vous faire dénoncer.

REF.:

lundi 27 septembre 2010

Vous avez des livres a vendre,appeler l'Armée

Washington

Le Pentagone achète et détruit 9500 livres



Washington - Le Pentagone achète et détruit 9500 livres
Le livre qui dérange.
Photo: courtoisie

WASHINGTON - Le département américain de la Défense a acheté et détruit cette semaine environ 9 500 exemplaires des mémoires du lieutenant-colonel Anthony Shaffer, un ancien agent du renseignement, parce que le livre contenait vraisemblablement des informations classées secrètes.

En entrevue avec la chaîne CNN, le principal intéressé, M. Schaffer, a décrit ce geste du Pentagone comme un acte «de représailles». «Acheter 10 000 livres pour effacer toutes traces d’une histoire alors que nous sommes à l’ère du numérique est ridicule», a-t-il indiqué.

À la suite de cet événement, un second tirage de ce livre, intitulé «Operation Dark Heart», avait alors été commandé. D’importants passages du livre ont toutefois été noircis, à la demande du gouvernement. Ces copies censurées ont été distribuées vendredi.

Selon le lieutenant-général Ronald Burgess, de l'Agence américaine de renseignement militaire (DIA), le livre contenait des «renseignements classés secrets pouvant causer un préjudice grave à la sécurité nationale».

M. Shaffer affirme que le contenu du livre avait été approuvé par ses supérieurs de l’armée de réserve. Le Pentagone a toutefois fait valoir qu’il aurait dû obtenir le consentement du département américain de la Défense et de l’armée américaine. REF.:

dimanche 26 septembre 2010

Commission Bastarache: Gagne de menteur


Commission Bastarache

Et si tout le monde mentait ?

Mathieu Turbide
Journal de Montréal

Voilà. Les principaux acteurs de la pièce de théâtre ont joué leur rôle et témoigné. On en est au point où on ne sait plus qui ni quoi croire. Sinon cette certitude que, malgré les serments, plusieurs élites de notre société nous mentent en pleine face.

D'un côté un ex-ministre de la Justice et un sous-ministre à la longue et brillante carrière. De l'autre, un premier ministre, deux hommes d'affaires et quelques fonctionnaires.

Deux versions irréconciliables, racontées sous serment, par des gens convaincus et, souvent, convaincants.

Des mensonges, très certainement. Des vérités, peut-être.

Et si tout le monde mentait ? Si Marc Bellemare exagérait les pressions qu'il a subies et ses nombreuses rencontres avec le premier ministre ? S'il voulait au fond se venger de n'avoir pas pu faire passer ses réformes ?

Si Georges Lalande en mettait un peu pour aider son ancien patron Bellemare ?

Si Franco Fava connaissait plus de monde et avait plus d'influence qu'il ne le prétend ? S'il marchandait réellement du financement contre des nominations ?

Si Marcel Leblanc et Charles Rondeau avaient bel et bien compté de l'argent comptant au Michelangelo ?

Si Jean Charest avait vraiment suggéré à Marc Bellemare de nommer les amis de Franco et Charles ?

Si tout ça était vrai, je ne serais pas surpris.

Quelques réflexions...

* Pourquoi Franco Fava et Charles Rondeau admettent-ils avoir participé à un système partisan de nominations, mais nient catégoriquement avoir fait la même chose pour les postes de juges ?

* Pourquoi Jean Charest a-t-il maintes fois répété qu'il ne s'occupait pas des nominations de juges, alors qu'il a bien expliqué, hier, qu'il regardait non seulement les listes, mais qu'il avait établi des critères de sélection, le premier étant d'avoir au moins 50 ans ?

Marc-Yvan Côté et le cash

Hier, le nom de Jacques Champagne a été évoqué. M. Champagne est l'associé de Charles Rondeau. Franco Fava le connaît bien parce que M. Champagne a été l'organisateur en chef de Marc-Yvan Côté.

Marc-Yvan Côté -ex-ministre libéral provincial et ex-organisateur des libéraux fédéraux - a reconnu devant une autre commission, celle du juge Gomery, avoir distribué 120 000 $ en argent comptant aux candidats de l'Est du Québec pour l'élection de 1997.

Qui disait ça, déjà : «Y'en n'a pas d'argent cash, mettez-vous ça dans tête!»



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Et la fin de la commission a donné quoi ?

On pourrait résumer le rapport Bastarache en disant ceci: comme les allégations de Marc Bellemare sont impossibles à prouver, tout ce qu'il dit est donc faux. C'est donc Jean Charest qui a raison.

C'est un peu gros comme conclusion, mais c'est réellement l'impression que laisse la lecture des quelque 300 pages du rapport de la commission Bastarache.


Des faits

Même si le commissaire ne semble pas leur accorder beaucoup d'importance, quelques faits demeurent.

* Des solliciteurs de fond libéraux ont cherché à utiliser leurs «contacts» pour faire nommer des juges.

* La secrétaire du cabinet du premier ministre avait la tâche d'apposer des post-it sur les dossiers de candidatures des personnes à nommer pour indiquer s'ils étaient de bons libéraux. D'ailleurs, elle le faisait avec l'aide d'un collecteur de fonds.

Difficile de voir comment le rapport Bastarache parviendra à éliminer cette culture du copinage...


«C’est décevant d’avoir mis autant d’argent dans une commission qui a abouti à si peu de choses», a-t-il affirmé jeudi en entrevue avec Claude Poirier, au Vrai Négociateur, à LCN.

L’ancien ministre de la Justice avait plusieurs choses à reprocher à Michel Bastarache et au premier ministre Jean Charest.

«Le commissaire a été choisi par le premier ministre, sans débat, sans demander l’opinion de personne, a-t-il déploré. Et c’est évident qu’il avait un penchant assez marqué pour Jean Charest.»

«J’ai eu droit à un traitement défavorable», a ajouté Me Bellemare.

En entrevue avec Paul Arcand au 98,5 FM, il a aussi dénoncé le fait que ses avocats n’ont pas pu convoquer les témoins qu’ils désiraient et qu’ils ont eu du mal à mettre la main sur les documents dont ils estimaient avoir besoin.

De plus, M. Bastarache ne leur a pas accordé toute la latitude désirée lorsqu’ils ont mené des contre-interrogatoires, en particulier celui du collecteur de fonds libéral Franco Fava, a-t-il regretté.

Par ailleurs, il entend bien, dans le cadre des poursuites civiles qui l’opposent au premier ministre, présenter une preuve plus étoffée.

«Jean Charest voulait un rapport favorable, c’est ce qu’il a obtenu, a-t-il lancé à Claude Poirier. Ça aurait dû être une commission parlementaire, mais il en voulait plus, et ça a coûté 6 millions $.»

Marc Bellemare a aussi perçu des incongruités dans les conclusions du commissaire Bastarache.

«Il dit qu’il n’y a pas eu de pressions indues, mais n’a pas voulu se prononcer sur mes rencontres avec Jean Charest, qui étaient pourtant au cœur du problème. Il n’a jamais voulu regarder les reçus de Charles Rondeau du restaurant Michelangelo, où on s’est rencontrés en 2003, et où on avait parlé des juges.»

«Pourquoi n’a-t-il pas blâmé Jean Charest s’il est évident que des gens ont tripoté des dossiers que seul le ministre de la Justice devait avoir entre les mains?»

L’avocat, qui n’a accepté de donner qu’une poignée d’entrevues, jeudi, a affirmé qu’il restait sur ses positions. «Je maintiens ce que j’ai dit. C’est la stricte vérité. Je fais confiance au jugement de la population, qui a bien compris ce qui s’est passé. C’est plus important que ce M. Bastarache a dit.»


«Le problème, c’est Jean Charest!» — Gérard Deltell



REF.: