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jeudi 23 juin 2011

où se situent les forces et les faiblesses des CSSS ?

Soins de santé

Plus du tiers des CSSS ont une gestion «peu efficiente»

Soins de santé - Plus du tiers des CSSS ont une gestion «peu efficiente»
Lise Denis, directrice générale de l'Association québécoise d'établissements de santé et services sociaux. 
© Agence QMI / Éric Bolté

MONTRÉAL – Plus du tiers des Centres de santé et des services sociaux (CSSS) du Québec sont peu efficients dans leur gestion.
C’est ce qui ressort du rapport de l’Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux (AQESSS) dévoilé mardi. La performance des 95 CSSS de la province a été évaluée selon cinq critères principaux en 2008-2009.
La gestion efficiente des CSSS est le critère qui pêche le plus, avec 41% des centres dont l’indice de performance se situe entre 40 et 70%. Six des 39 centres visés se retrouvent d’ailleurs sur l’île de Montréal.
Il s’agit du CSSS Jeanne-Mance, Saint-Léonard et Saint-Michel, Cavendish, Bordeaux-Cartierville-Saint-Laurent, Lucille-Teasdale et celui de la Pointe-de-l’Île.
Sans indiquer clairement les résultats obtenus par les CSSS, le rapport a mesuré leur capacité à «produire des soins et des services de santé et à améliorer la santé des patients» selon le niveau de ressources utilisées (humaines, financières et matérielles).
Exercice de comparaison
Lise Denis, directrice générale de l’AQESSS, a insisté pour dire qu’il ne s’agit pas d’un bulletin pour les CSSS, mais plutôt d’«un instrument de comparaison» afin d’identifier où se situent les forces et les faiblesses de chacun.
Tous les CSSS ont été évalués sur 161 indicateurs différents, dont l’accessibilité, la qualité des soins ou encore l’humanisation des services. Les conseils d’administration disposent déjà du rapport détaillé les concernant.
«Ils ont tout ce qu’il faut pour s’améliorer. Les établissements pourront même entrer en contact avec les autres pour savoir ce qu’un autre fait pour atteindre un meilleur résultat», a suggéré Mme Denis.
Par ailleurs, celle-ci remarque que la plupart des résultats sont satisfaisants, comme celui de l’efficacité à améliorer la santé de la population, avec la note de 77%.
L’AQESSS prévoit produire un rapport sur la performance des établissements universitaires et des centres hospitaliers psychiatriques dès l’automne.

Quand la crise économique vous rend riche

Millionnaires dans le monde | 2010

On atteint un record en 2011 !

Millionnaires dans le monde | 2010 - On atteint un record!
Par pays, le palmarès reste dominé par les États-Unis. 
© Shutterstock.com

PARIS - Le monde comptait, en 2010, 10,9 millions de millionnaires en dollars, un record qui surpasse même le niveau atteint juste avant la crise financière, selon une étude publiée mercredi par l'Américain Merrill Lynch Wealth Management et le groupe français de conseil Capgemini.
La population concernée est celle des individus disposant d'un patrimoine financier de plus d'un million de dollars hors résidence principale, biens durables et collections.
Après un très fort rebond en 2009, la progression enregistrée en 2010 a été moindre mais elle a permis de dépasser le chiffre de 10,1 millions observé en 2007, avant la crise financière.
En 2009, le nombre de millionnaires dans la région Asie et Pacifique avait égalé celui de l'Europe. Un an plus tard, l'Asie-Pacifique compte 3,3 millions de millionnaires, contre 3,1 millions seulement en Europe.
La région Amérique du Nord conserve néanmoins la tête des principales zones du monde, avec 3,4 millions.
Quant à la fortune de ces millionnaires, elle a aussi dépassé le niveau de 2007, avec 42 700 milliards de dollars, soit un patrimoine moyen de 3,9 millions de dollars.
«Le grand vecteur de croissance de la richesse, c'est la croissance du PIB (produit intérieur brut, mesure de la richesse dégagée par l'économie d'un pays)», a commenté Gilles Dard, président de l'activité gestion privée France et Europe continentale de Merrill Lynch Global Wealth Management.
La croissance économique est notamment alimentée par la création d'entreprises, qui induit une création de patrimoine pour les dirigeants de ces sociétés, a expliqué M. Dard.
Par pays, le palmarès reste dominé par les États-Unis (3,1 millions de millionnaires), le Japon (1,7) et l'Allemagne (0,9). Encore à distance, la Chine poursuit sa progression soutenue (+12% à 535 000).

dimanche 19 juin 2011

Quand l'Humain a mal aux mains ;)


Garderies - «On n'a rien à cacher»
Même s'il existe un «noyau dur» de garderies délinquantes, la qualité des services de garde demeure «exceptionnelle» au Québec, selon l'Association des garderies privées.
©Archives
Ça donne des problêmes,comme ci-dessous,............................et c'est surtout que personnes veut laver,frotter,et si c'est brun et que sa pue c'est pire,alors quand tout le monde dit que c'est pas sont tour et qui sont pas payés pour nettoyer..............ça donne de beau gâchis.

Accusant les inspecteurs du ministère de la Famille de vouloir «nuire» aux garderies par des inspections trop sévères, l'Association des garderies privées du Québec (AGPQ) prépare une vaste offensive, pour «rétablir sa crédibilité» aux yeux des parents.
Sans avoir obtenu l'accord préalable de Québec, l'AQPE commencera dans les prochaines semaines à publier sur son site Web des versions «commentées» des rapports d'inspection, afin de démontrer son mécontentement à l'égard du travail effectué par les inspecteurs du ministère de la Famille.
«Je suis tanné des rapports d'inspection négatifs qui font passer les propriétaires de garderies pour un gang d'incompétents. On a fini de faire rire de nous autres», rage le président de l'AGPQ, Sylvain Lévesque.
Au lendemain de la parution d'une compilation effectuée par le Journal sur les garderies les plus négligentes en matière de propreté et de sécurité, ce dernier tient à mettre les pendules à l'heure.
«Ça va faire. Ça existe des garderies à but lucratif debonnequalité.Oui, ilyadesendroits horribles qui font l'objet de plaintes à répétition, mais ce n'est pas généralisé», soutient M. Lévesque, qui compte indiquer sur les rapports qu'il rendra publics les faits qu'il considère comme étant «erronés».
Des dizaines de garderies outrées
Depuis novembre 2009, les parents peuvent accéder à un sommaire des rapports d'inspection réalisés dans des Centres de la petite enfance (CPE) et garderies, par l'entremise du site Internet du ministère de la Famille.
Ces sommaires contiennent les manquements faits à la Loi sur les services de garde, mais ne sont pas accompagnés de justifications. C'est justement ce qui met en rogne les garderies privées.
«Il y a beaucoup de place à l'interprétation, si on n'explique pas pourquoi tel ou tel règlement a été enfreint», croit Sylvain Lévesque.
«Par exemple, si l'inspecteur passe le doigt sur un rebord d'une fenêtre que j'ai époussetée il y a deux jours, c'est sûr qu'il va trouver de la poussière, poursuit ce dernier. Ça ne veut pas dire pour autant que je n'époussette jamais ma garderie. Or, dans le rapport d'inspection, il sera écrit que je suis malpropre.»
Des inspecteurs zélés
Selon le directeur général de l'AGPQ, Jean-François Belleau, l'association recevrait chaque semaine les doléances de dizaines de garderies, «paniquées» à l'idée que leur rapport d'inspection leur fasse mauvaise presse auprès des parents.
«On constate présentement une recrudescence dans la sévérité des inspections, en raison du nombre élevé de nouveaux inspecteurs sur le terrain», affirme-t-il.
«On voit des cas ridicules. Par exemple, dans une garderie, la solution de désinfectant à jouet (spray) est rangée dans la salle de bain du personnel, qui est verrouillée en tout temps. Une éducatrice a laissé une fois son sac à main sur la même tablette», raconte-t-il.
«L'inspectrice a donné un manquement à la garderie puisque : «la bouteille pourrait tomber sur le sac à main, se vider dans celui-ci, contaminer un éventuel paquet de gomme à mâcher, et lorsque l'éducatrice prendrait une gomme, elle pourrait s'intoxiquer.» C'est ridicule !»
Les inspections de permis ont généralement lieu dans les six mois suivant l'émission d'un permis, ainsi qu'au cours des deux années précédant le renouvellement du permis.
À la suite d'une inspection, les services de garde fautifs doivent produire un «plan d'action » qui permet généralement de corriger les irrégularités constatées.



Parce que du babeurre c'est du Beurre ?

Becel condamné

Parce que du beurre, c'est du beurre,..............au goût de lactosérum ? .......,après le p'tit Québec ,le p'tit babeurre ?

Becel condamné - Parce que du beurre, c'est du beurre
Réservé à l’industrie laitière, le mot «beurre» ne peut être utilisé pour vendre de la margarine. 
© Pierre-Paul Poulin/Agence QMI

On ne sait avec quoi elle tartine ses rôties le matin, mais la juge Réna Émond vient de trancher que la mention «au goût de beurre», affichée sur certains contenants de margarine Becel, est une astuce de mise en marché illégale au Québec.
VOTRE OPINION :
La juge a condamné l’entreprise Unilever Canada à payer une amende symbolique de 500 $ pour avoir enfreint la Loi sur les produits alimentaires, le 3 juin, après trois ans de litige.
Le géant de l’alimentation et des produits d’hygiène avait lancé la Becel «Or au goût de beurre» en 2008, peu après la fin de la saga sur la coloration de la margarine au Québec.
Protéger l’industrie laitière
Le Directeur des poursuites criminelles et pénales n’avait pas tardé à déposer une accusation contre l’entreprise, soutenant qu’il est clairement interdit d’employer le mot «beurre» pour désigner un succédané de produit laitier dans la province.
La juge de la Cour du Québec lui a donné raison, rappelant que les dispositions de la Loi sur les produits alimentaires visaient notamment à «empêcher toute confusion chez l’acheteur».
Mais surtout, l’article de la loi qu’a contourné le fabricant de la margarine Becel a pour but de «protéger l’industrie laitière et l’intégrité de la consommation de ses produits, un objectif dont la légitimité est confirmée par la Cour suprême».
«Le législateur ne parle pas pour rien dire», a fait remarquer la juge Émond, en observant que la loi contestée par Unilever «ne souffre d’aucune ambiguïté».
Fait-on la distinction?
«L’intention de la défenderesse d’utiliser le mot «beurre» en référence directe au goût de la margarine, plutôt qu’à sa désignation, n’est aucunement pertinente, non plus que celle de ne pas tromper le consommateur», a ajouté la juge.
La défenderesse plaidait l’invalidité constitutionnelle de cette loi, qu’elle trouve «imprécise». De plus, elle soutenait que les Québécois «font la distinction entre sa margarine au banc des accusés et «son goût de beurre», d’après un sondage mené pour son compte.
«On ne peut prohiber l’utilisation du mot «beurre» dans tous les contextes», a argué l’avocat de la défense, Me Pierre Legault, lors du procès qui s’est tenu à Québec, en mars dernier.
Le procureur ajoutait que sa cliente ne cherchait certes pas à faire croire que la Becel Or est du beurre quand ses contenants précisent que ce produit «contient 80% moins de gras que le beurre».
Autant d’arguments que la juge a écartés du revers du couteau.
Il n’a pas été possible de savoir si Unilever Canada allait se conformer au jugement en retirant ses produits des tablettes et en modifiant leurs contenants, ou si elle porterait l’affaire en appel. Son avocat dans ce dossier était en vacances hier et la direction des relations publiques d’Unilever, à Toronto, n’a pas retourné l’appel du Journal.

La margarine jaune, présente partout en Amérique du Nord, est apparue chez nos épiciers en 2008, Québec ayant abrogé le règlement interdisant sa coloration. Les ventes de margarine ont baissé de 2% dans l’année qui a suivi, au Canada, alors que les ventes de beurre ont augmenté de 3%.

samedi 18 juin 2011

Appeler sans frais M. Ponzi au 1-800-659-4264


SAINT-GEORGES – Un résidant de Lac-Poulin en Beauce, Pierre Jolicœur, 43 ans, a été arrêté jeudi matin par les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) et l’Autorité des marchés financiers (AMF) et il a été accusé de fraude au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce.

Jolicœur, qui connaît des démêlés avec l’AMF depuis un an, opérait selon la SQ une pyramide de type Ponzi. La fraude s’élèverait à 12 millions $. « Il trouvait une personne qui était prête à investir une certaine somme d’argent qu’il s’engageait à placer, mais qu’il ne plaçait pas », a expliqué Richard Gagné, porte-parole de la SQ.
Après quelques mois, Jolicoeur envoyait un chèque « d’intérêt » au placeur, ce qui représentait une somme minime, tout en conservant le reste de l’argent. « Il trouvait alors une autre personne et recommençait le même manège », a précisé M. Gagné.
En plus de l’arrestation de l’homme, qui était sous mandat d’arrestation, les policiers de la SQ, en collaboration avec l’AMF, ont effectué trois perquisitions, dont une à sa résidence de Lac-Poulin. La vente de celle-ci avait fait l’objet d’un blocage par le Bureau de décision et de révision en valeurs mobilières en avril dernier. Les deux autres perquisitions ont été effectuées à son bureau de la 1re Avenue Est à Saint-Georges, ainsi qu’à un autre endroit dans le secteur. Toutefois, la SQ n’a pas voulu dévoiler ce lieu.
Par ailleurs, la SQ invite toute personne possédant des informations pertinentes concernant Pierre Jolicœur ou ses déplacements à les lui transmettre au 1-800-659-4264.
Jolicœur a été libéré moyennant une caution de 5000 $ et plusieurs engagements, dont ceux de ne pas quitter le Canada ni d'effectuer de transactions de courtage. Il reviendra devant la cour le 9 septembre.


Quand une bouche croche nomme un croche ,ça donne ça :


Politique fédérale - L’ex-sénateur Raymond Lavigne ira en prison
Raymond Lavigne et sa femme, Carmen Robichaud, au palais de justice d'Ottawa.
© Agence QMI / Chris Roussakis


OTTAWA- L’ex-sénateur libéral Raymond Lavigne, reconnu coupable d'avoir fraudé les contribuables, devra purger six mois de prison suivis d'une peine de six mois avec sursis dans sa résidence de Montréal.
M. Lavigne devra aussi rembourser la somme de 10 000 $ à un organisme de charité, le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels.
Ainsi en a décidé le juge Robert Smith de la Cour supérieure de l'Ontario, jeudi matin.
Le juge a surtout insisté sur les fonctions de confiance et de privilège envers les citoyens canadiens qu'occupait M. Lavigne à titre de sénateur pour déterminer sa peine.
Le juge conclut qu’une période d’emprisonnement est «nécessaire» afin de servir les objectifs de la dissuasion générale et de la dénonciation de la conduite de M. Lavigne.
«Sa fonction était investie d’une grande confiance du public, et il a abusé de cette confiance», a déclaré le magistrat.
L'avocat de l’ex-sénateur, Dominique Saint-Laurent, a immédiatement confirmé qu'il porterait la cause en appel.
«Nous considérons qu’il y a des motifs sérieux et majeurs d’appel quant à l’appréciation de l’ensemble de la preuve», a-t-il affirmé à sa sortie de la salle d’audience.
Son client s’est adressé à la Cour avant le prononcé de sa sentence. Il a affirmé qu’il n’avait pas eu droit à un procès juste et équitable, selon lui, et qu’il n’était pas coupable de tous les gestes qui lui étaient reprochés.
M. Lavigne avait été reconnu coupable de fraude en mars dernier pour avoir réclamé pour plus de 10 000 $ de dépenses de voyage, de même que d’abus de confiance pour avoir demandé à son personnel politique de couper des arbres sur sa propriété située à Wakefield au Québec. Il a été acquitté d’une troisième accusation d’entrave à la justice.
La Couronne réclamait de 12 à 15 mois de prison, alors que l’avocat de la défense soutenait que son client ne devrait même pas avoir à se retrouver derrière les barreaux en raison de ses états de service auprès des Canadiens pendant 17 ans en tant que député et sénateur.
Me Saint-Laurent avait plutôt demandé au tribunal que son client purge une peine dans la collectivité ou qu’il soit condamné avec sursis.
La GRC a porté des accusations en 2007 contre le sénateur âgé de 65 ans. M. Lavigne s’est vu interdire de siéger au Sénat la même année. Il a toutefois continué à empocher son salaire annuel de près de 133 000 $, ainsi que 10 000 $ en avantages indirects jusqu’à sa condamnation.
M. Lavigne a quitté volontairement le Sénat le 21 mars dernier, soit 10 jours après sa condamnation et tout juste avant que ses collègues ne s’interrogent sur la possibilité de lui montrer la porte.
Sa démission de la Chambre haute lui a permis de conserver sa pension à titre de sénateur et de député. La Fédération canadienne des contribuables a estimé que ce montant était d'au moins 75 000 $ par année.
M. Lavigne a été élu à la Chambre des communes en 1993 en tant que député libéral de Verdun-Saint-Henri. Il a été nommé au Sénat en 2002 par l'ancien premier ministre Jean Chrétien.

Ça fait longtemps que ça ce fait ,sauf que la,on en parle


Des hackers affirment avoir piraté le site internet de la CIA


Le site internet de la CIA, l'agence centrale du renseignement américain, n'était plus accessible mercredi soir et des pirates informatiques regroupés sous le nom de Lulz Security ont annoncé l'avoir piraté.
Dans les minutes qui ont suivi la revendication, diffusée via Twitter vers 18h00, l'accès au site a été rompu. Plus tard dans la soirée, les connexions étaient sporadiques.
«Nous vérifions ces informations», a déclaré une porte-parole de l'agence.
Les hackers de Lulz Security sont déjà parvenus ce week-end à s'introduire sur le site du Sénat et ont diffusé des données récupérées sur les serveurs de l'assemblée. Le même groupe avait réussi à pirater les systèmes informatiques de Sony et de la chaîne publique de télévision américaine PBS.
Les spécialistes de la sécurité informatique relativisent cependant la portée de ces intrusions. Les hackers de Lulz Security chercheraient avant tout à se faire remarquer et ne poseraient pas véritablement un danger direct.
«Tout ce qu'ils font revient à dire: regardez comme nous sommes doués. Tout ce qu'ils cherchent, c'est provoquer littéralement de l'embarras, dire: votre sécurité est nulle», analyse l'essayiste Jeffrey Carr, auteur d'Inside Cyber Warfare: Mapping the Cyber Underworld.
Dans le cas précis de l'attaque contre la CIA, souligne-t-il, les hackers, en piratant le site public de l'agence, n'ont aucun moyen d'accéder à des données sensibles.
Quant à leur opération lancée en mai contre PBS, ils l'ont utilisée pour poster un faux article annonçant que le rappeur Tupac Shakur, assassiné en 1996, était vivant et installé en Nouvelle-Zélande.
Il n'en allait sans doute pas de même avec la tentative d'intrusion sur les systèmes du Fonds monétaire international (FMI), révélée ce week-end, ou bien encore avec l'attaque déjouée le mois dernier par le groupe d'armement et de technologie Lockheed Martin, premier fournisseur du Pentagone.
Les hackers de Lulz Security n'ont du reste pas été soupçonnés dans ces deux cyber attaques qui illustrent les difficultés de la lutte contre des pirates informatiques.

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