Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé politicaillerie. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé politicaillerie. Afficher tous les messages

vendredi 11 juillet 2014

En voulez-vous des Érections ?

Le chef du parti conservateur a un peu de la difficulté à prononcer ses mots et voici la compilation.

Surtout le mot élection.
Combien ça coûte une érection ?
----------------------------------------
­----------------------------------------­------------------------------
The Conservative party leader in a bit of difficulty pronouncing his words and here is the compilation.

Especially the word election.




mardi 17 septembre 2013

Charest "Failed" on Plan N0rd ?

Le Plan Nord abandonné?


MONTRÉAL - C'était le grand projet censé relancer l'économie de la province. Moins de trois ans après son lancement officiel, il ne reste déjà plus grand-chose du Plan Nord, selon des informations glanées aux quatre coins de la province.
Sur les 11 projets miniers majeurs annoncés au nord du 49e parallèle, dont la valeur totalise des dizaines de milliards de dollars, plus de la moitié sont remis en question ou ont subi des révisions à la baisse importantes, selon ce que rapporte notre Bureau d'enquête dans le Journal de Montréal.


Le Plan mort

Les grandes promesses du gouvernement Charest semblent être disparues dans la nature nordique


Le plan mort

C’était le grand projet censé relancer l’économie de la province. Moins de trois ans après son lancement officiel, il ne reste déjà plus grand-chose du Plan Nord, selon des informations glanées aux quatre coins de la province.


vendredi 3 mai 2013

Le juge Michel Déziel fait l'objet d'une enquête ?

Commission Charbonneau

Un juge de la Cour supérieure éclaboussé

Commission Charbonneau - Un juge de la Cour supérieure éclaboussé
Vas-y Gilles Cloutier  !
Photo Agence QMI / Archives


MONTRÉAL - Les jours se suivent et se ressemblent à la commission Charbonneau alors que Gilles Cloutier, qui témoigne pour une troisième journée, a lancé une nouvelle bombe jeudi matin.
L'ancien vice-président au développement des affaires pour les firmes de génie-conseil Roche et Dessau a affirmé sous serment que l'avocat Michel Déziel - désormais juge à la Cour supérieure du Québec - lui a demandé, en 1997, de blanchir 30 000 $ par le biais de prête-noms pour financer la campagne du maire de Blainville, Pierre Gingras.
Un juge de la Cour supérieure éclaboussé à  la commission Charbonneau - Le reportage de Mathieu Belhumeur

Aussi sur Canoe.ca:
Marois invite la Commission Charbonneau à la prudence

«Je suis allé le rencontrer dans son bureau et il m'a demandé si je pouvais changer 30 000 $ en [dons de] 750 $. M. Déziel savait que j'avais beaucoup de contacts dans Blainville, que je connaissais tout le monde et que ça allait être facile pour moi de le faire. Lui, comme avocat, aller blanchir des 750 $, ça paraît mal pour son code d'éthique, donc il me l'a demandé à moi», a-t-il expliqué.
Toujours selon Gilles Cloutier, Déziel lui aurait précisé que l'argent provenait de la firme Dessau, alors omniprésente à Blainville. Le témoin a d'ailleurs précisé que le maire de Blainville était «toujours en voyage de pêche avec Rosaire Sauriol».
De 1997 et 2006, Gilles Cloutier et sa conjointe de l'époque ont donné un total de 3900 $ aux partis politiques de Blainville. Cloutier espérait ainsi décrocher des contrats pour Roche, car c'est sa concurrente Dessau qui obtenait tout, a-t-il raconté. «Je payais tout le temps et je n'avais rien!»
En 2005, Gilles Cloutier a donc changé son fusil d'épaule et dit avoir investi 25 000 $ pour la campagne du candidat adverse, François Cantin, en concluant une entente pour obtenir des contrats. Cantin a remporté l'élection et Roche a par la suite eu sa part du gâteau.

Financement au provincial

La Commission a aussi voulu comprendre l'importance pour les firmes de génie-conseil de financer les partis politiques provinciaux.
Le témoin a alors expliqué que le fait d'avoir des liens avec le gouvernement permettait souvent de faire progresser les dossiers des clients de la firme sur la scène municipale
«On voulait aider nos clients municipaux. Il fallait faire affaire, souvent, avec des ministères», a affirmé Cloutier, spécifiant qu'il arrivait notamment à obtenir des subventions plus rapidement pour certains projets.
Même si Gilles Cloutier se décrit lui-même comme étant associé au Parti libéral du Québec (PLQ), les données déposées en preuve par la Commission permettent de constater que, de 1997 à 2007, le témoin et sa conjointe ont donné 11 150 $ au PLQ et 11 235 $ au PQ.
Le septuagénaire a toutefois précisé que ces données sont en deçà de la réalité puisqu'il utilisait fréquemment des prête-noms, notamment de la famille et d'amis, pour donner plus d'argent.
Autre façon de financer, Gilles Cloutier a expliqué que les entrepreneurs réclamaient des «extras bidons» dont 25% était par la suite remis aux firmes de génie-conseil pour faire du financement.
Crédibilité mise à l'épreuve
En contre-interrogatoire, l'avocat représentant la firme de génie-conseil Roche, Me Michel Massicotte, a longuement tenté de miner la crédibilité du témoin, soulignant de possibles contradictions ou invraisemblances dans son témoignage.
Me Massicotte a notamment fait admettre à Gilles Cloutier qu'il avait obtenu un remboursement de Roche pour des dépenses qu'il n'avait pas vraiment faites. L'avocat a soulevé le fait que Cloutier avait inclus 71 déjeuners à L'Académie dans son compte de dépenses, mais que le restaurant n'a jamais servi de déjeuners.
En guise de réponse, Gilles Cloutier a expliqué qu'«à l'occasion» et à la demande de son patron Marc-Yvan Côté il réclamait, dans son compte de dépenses et sous une autre rubrique, des dépenses qu'il n'avait «pas moyen de [se] faire rembourser» d'une autre façon.
En après-midi, le témoin a été longuement interrogé par Me Estelle Tremblay, représentant le Parti québécois (PQ). L'avocate s'est parfois lancé dans un débat linguistique tournant autour de l'«honnêteté» et de la «malhonnêteté» des méthodes employées par Gilles Cloutier.
Me Tremblay a très peu questionné le témoin sur les propos tenus hier au sujet de l'ancien ministre péquiste des Transports, Guy Chevrette.
C'est Gilles Cloutier lui-même qui a tenu à reprendre la parole à la fin du contre-interrogatoire pour rappeler qu'il y avait eu «deux magouilles» dans le cadre du contrat de la route entre Saint-Donat et Lac-Supérieur et que Chevrette y avait pris part. Le terme «magouille» n'a visiblement pas plu à l'avocate du PQ.
Les audiences sont maintenant ajournées et reprendront le lundi 13 mai. Le contre-interrogatoire de Gilles Cloutier sera alors terminé et la Commission doit aussi questionner le témoin au sujet du projet Fiche.
Cette portion sera toutefois faite sous ordonnance de non-publication préventive.

Le juge Michel Déziel faisait déjà l'objet d'une enquête

Les allégations de Gilles Cloutier devant la commission Charbonneau mettant directement en cause un juge de la Cour supérieure, Michel Déziel, ont rapidement fait réagir le juge en chef, François Rolland.
En entrevue à TVA Nouvelles, le magistrat a déclaré qu'une enquête était déjà en cours sur le juge Déziel, sans préciser quand celle-ci a été instituée, ni pour quelles raisons.
Jeudi matin, Gilles Cloutier a déclaré sous serment que l'avocat Michel Déziel - désormais juge à la Cour supérieure - lui a demandé, en 1997, de blanchir 30 000 $ par le biais de prête-noms pour financer la campagne du maire de Blainville, Pierre Gingras.
François Rolland a dit vouloir faire preuve de prudence dans ce dossier et a confirmé que le juge Déziel pourra continuer d'exercer.
Présentement en vacances, Michel Déziel poursuivra son travail à son retour. Si l'enquête prouve les faits qui lui sont reprochés, celui-ci pourrait être relevé de ses fonctions.
Michel Déziel a été nommé juge de la Cour supérieure du district de Laval le 5 novembre 2003.


REF.:

mardi 9 avril 2013

Un jour les Colonisés du Qc, sauront tout du Rapatriement de la Constitution ?


Rapatriement de la Constitution - Québec somme le fédéral de s'expliquer
Alexandre Cloutier 
Photo Agence QMI /Archives

Rapatriement de la Constitution

Québec somme le fédéral de s'expliquer

QUÉBEC - Le gouvernement Marois somme Ottawa de s'expliquer sur l'intervention alléguée du juge en chef Cour suprême dans les événements qui ont conduit au rapatriement de la Constitution canadienne.
«Ça pose et ça remet en question toute la légitimité de la Cour suprême du Canada au moment d'avoir entendu le renvoi de même que son indépendance devant le pouvoir politique», a affirmé mardi le ministre responsable des Affaires intergouvernementales canadiennes, Alexandre Cloutier.
La sortie du ministre survient au lendemain de la publication par l'historien Frédéric Bastien du livre La Bataille de Londres, qui revient sur les événements qui ont mené au rapatriement de la Constitution.
M. Bastien y affirme que l'ancien juge en chef du plus haut tribunal du pays, Bora Laskin, serait intervenu directement auprès du pouvoir politique, allant à l'encontre du principe de la séparation des pouvoirs entre le judiciaire et l'exécutif.
«Ça nous montre jusqu'où le premier ministre Pierre Elliott Trudeau était prêt à aller et quels moyens il était prêt à utiliser pour forcer et entrer dans la gorge des Québécois une constitution, des gestes qui sont extrêmement graves», a dit M. Cloutier.

Dévoiler les documents


M. Cloutier a invité le gouvernement fédéral à faire la lumière sur ces allégations en rendant public l'ensemble des documents reliés à cette période.
«Le premier ministre Stephen Harper doit ouvrir ses livres, doit ouvrir les archives pour que la lumière soit faite. Et on ne doit pas avoir peur de la vérité», a dit le ministre.
Le gouvernement Marois risque toutefois de rester sur sa faim, puisque les conservateurs ont annoncé mardi qu'ils n'avaient pas l'intention de rouvrir ce chapitre controversé de l'histoire canadienne.


dimanche 21 octobre 2012

Maires et Politiciens non-coupables ? tout viens des firmes d'ingénieurs et d'attachés politiques ?

«Tout le monde en parle» - Lino Zambito: «80 % des politiciens sont honnêtes»
Lino Zambito 
Photo archives / Agence QMI

Lino Zambito: «80 % des politiciens sont honnêtes»

MONTRÉAL - Quatre-vingts pour cent des politiciens sont «honnêtes», «de bonne foi» et ils ne sont pas au courant des malversations parce que volontairement tenus dans l'ignorance par leur entourage, estime Lino Zambito, témoin vedette de la commission Charbonneau.
C'est ce qu'il a avancé lors de son passage à l'émission «Tout le monde en parle», diffusée dimanche soir à la télévision de Radio-Canada.
«Quatre-vingts pour cent des politiciens ne savent pas ce qui se passe, a dit l'ex-entrepreneur en construction devenu restaurateur. Je mets beaucoup en doute sur (sic) l'entourage des politiciens et c'est voulu de ne pas les mettre dans le coup. C'est vraiment les organisations [qui sont problématiques].»
Quant aux accusations de Tony Accurso, publiées dans un quotidien montréalais la semaine dernière, et selon lesquelles le témoignage de M. Zambito constituait un «[...] paquet de diarrhée verbale», il a répété : «moi, je mets au défi ces gens-là, qui nient les affirmations, d'aller à la commission et d'aller les nier sous serment, au risque de faire 15 ans de prison».
M. Zambito a assuré que ses affirmations allaient de toute manière être corroborées par d'autres témoins tout au long de la commission, qui siégera pendant plus d'un an.
«Je suis heureux d'être sorti de ce domaine-là (la construction)», a-t-il confié, ajoutant qu'il aura contribué à assainir les mœurs dans cette industrie. Il a d'ailleurs martelé l'importance de démasquer les fautifs.

«Il faut resserrer les lois»

«Il faut resserrer les lois. Les licences de construction, ce n'est pas un droit, c'est un privilège. Les gens qui ont fait de la fraude et de la collusion devraient être sortis du marché [...] il y a un ménage qui doit se faire et ça prend la volonté politique de mettre les lois en place.»
Lino Zambito a profité de son passage à l'émission pour écorcher le maire de Montréal, Gérald Tremblay, et le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, évoquant les nombreux scandales survenus ces dernières années à la Ville de Montréal, et se moquant du fait que M. Vaillancourt ait disparu des écrans radars depuis la perquisition de l'escouade Marteau à Laval.
M. Zambito a par ailleurs parlé de ses trois jeunes enfants, disant ne pas craindre pour leur vie. Il a aussi partagé les commentaires qu'il reçoit des autres parents lorsqu'il les reconduit à l'école.
«Il y a des parents qui me félicitent et il y en a d'autres qui me traitent de bandit.»
L'homme a avoué avoir beaucoup perdu sur le plan social à la suite de ses déboires judiciaires. «Quand mes problèmes ont commencé, j'ai su qui étaient mes vrais amis et j'ai assez d'une main pour les compter», a-t-il confié.
Le témoignage de Lino Zambito à la commission Charbonneau a pris fin mercredi après, notamment, les contre-interrogatoires des avocats de la Ville de Montréal et du Parti Québécois.
Contre toutes attentes, l'avocat du Parti libéral du Québec a renoncé à son droit de le contre-interroger.

«Faire face à la justice»

L'ex-entrepreneur déchu doit désormais «faire face à la justice», comme il le dit.
«Je dois passer à travers mon procès et assumer mes responsabilités», a-t-il affirmé, se disant confiant pour l'issue du procès et ajoutant qu'il a «hâte au procès pour que la vérité sorte».
Il a nié avoir négocié toute forme d'entente avec la Couronne pour une réduction de peine.
M. Zambito a été arrêté en février 2011 pour sa participation dans le scandale de la construction de l'usine d'épuration des eaux usées, à Boisbriand, après que son entreprise, Infrabec, ait été perquisitionnée par l'escouade Marteau. La cause est toujours pendante.







L'ancien chef de l'Unité anti-corruption (UPAC) Jacques Duchesneau persiste et signe. Il a affirmé mardi qu'il avait personnellement informé l'ex-maire de Montréal, Gérald Tremblay, en 2009, qu'il y avait dans son entourage des individus qui avaient des agissements douteux.Donc le Maire Tremblay savait !
«Cette rencontre du 2 juillet (2009) a eu lieu à la demande du maire Tremblay, a dit M. Duchesneau. C'est lui qui m'a appelé le 30 juin parce qu'il avait des difficultés dans les médias. J'ai accepté de le rencontrer (...) Les noms, il les a eus à la suite des questions qu'il m'a posées», a expliqué le député caquiste de Saint-Jérôme et ex-directeur de la police de la Communauté urbaine de Montréal.
Jacques Duchesneau répondait ainsi à une affirmation de Gérald Tremblay qui soutenait lundi, au moment où il annonçait sa démission de la mairie de Montréal, qu'il n'avait jamais été informé de la présence de quatre personnes aux comportements répréhensibles dans son entourage à l'hôtel de ville. Le maire démissionnaire a de plus reproché à l'ancien chef de police d'avoir un «agenda caché».


REF.:

De la S.Q. a Loto-Québec pour financer le Parti Libéral

Loto-Québec - Un vice-président aurait été congédié cet été
Richard Bégin entretenait vraisemblablement des liens d'amitié avec Tony Accurso. 
Photo Archives / Agence QMI

Loto-Québec

Un vice-président aurait été congédié cet été

MONTRÉAL - Parce qu'il était un ami de Tony Accurso et que Loto-Québec voulait éviter toute controverse en lien avec la commission Charbonneau, le vice-président responsable de la sécurité à la société d'État, Richard Bégin, aurait été congédié, en juin dernier.
Selon ce que rapportait le quotidien Le Devoir, samedi, ce congédiement est survenu au moment où s'entamaient les audiences publiques de la commission. Selon des sources ayant requis l'anonymat, Loto-Québec savait déjà depuis un bon moment qu'une relation d'amitié existait entre les deux hommes.
Richard Bégin a quitté la Sûreté du Québec pour Loto-Québec en 2005. À la SQ, il occupait le poste de directeur des enquêtes criminelles. Toujours selon Le Devoir les liens entre Bégin et Accurso étaient aussi bien connus de certains collègues de travail.
Du côté de la société d'État, le porte-parole Jean-Pierre Roy affirme que le départ de M. Bégin est plutôt lié à une réorganisation interne et que le poste a simplement été aboli à la suite d'une décision administrative.
M. Roy assure que Loto-Québec ne savait rien des liens existants entre son cadre et Tony Accurso.
Rappelons que mercredi, Loto-Québec a choisi de réaffecter Pierre Bibeau, vice-président aux affaires corporatives et communications.
Cette décision a été prise après que Lino Zambito eut déclaré, à la commission Charbonneau, avoir remis 30 000 $ en argent comptant à M. Bibeau pour le financement du Parti libéral du Québec. Cette transaction aurait même eu lieu à l'intérieur des bureaux de la société d'État.


REF.:

lundi 8 octobre 2012

Le Fédéral de Harper devra épargner 5 milliards $ annuellement pour réparer la crise économique

Toutes ces compressions budgétaires font partie d'une stratégie plus vaste qui vise à épargner 5 milliards $ annuellement en vue de rembourser le déficit de 56 milliards $ créé il y a quelques années pour soutenir l'économie du Canada pendant la crise.

Réduction des dépenses fédérales

Les fonctionnaires devront se serrer la ceinture

Réduction des dépenses fédérales - Les fonctionnaires devront se serrer la ceinture
Le président du Conseil du trésor, Tony Clement. 
Photo Chris Wattie / Reuters

OTTAWA - Les fonctionnaires fédéraux devront se serrer la ceinture. Le gouvernement de Stephen Harper a en effet annoncé lundi la mise en place d'une nouvelle mesure pour prévenir le gaspillage des fonds publics.
Les ministres devront désormais superviser toutes les dépenses de plus de 25 000 $ liées à l'organisation d'événements par les départements de leur ministère, a expliqué le président du Conseil du trésor, Tony Clement. Auparavant, les fonctionnaires pouvaient effectuer de telles dépenses pratiquement sans supervision.
La nouvelle mesure touche les frais de voyage (transport, hébergement et repas), d'accueil, de conférences et de location d'espace ainsi que les honoraires professionnels.
Le règlement aurait par exemple proscrit à l'Agence des services frontaliers du Canada de payer l'avion à 200 de ses cadres de partout au pays pour qu'ils participent à un séminaire à Montréal plus tôt cette année. Le rassemblement de trois jours dans un hôtel luxueux avait coûté des centaines de milliers de dollars aux contribuables alors qu'une simple séance de vidéoconférence aurait fait l'affaire.

Heures supplémentaires éliminées

L'implantation de cette nouvelle mesure survient une semaine après que Tony Clement eut éliminé les heures supplémentaires des chauffeurs des ministres en échange d'une augmentation salariale et qu'il eut mis fin aux subventions de stationnement pour les chefs de cabinet afin d'épargner 40 000 $ annuellement.
«Notre gouvernement scrute tous les secteurs afin de réduire les dépenses opérationnelles, incluant celles de nos propres cabinets ministériels», a affirmé Tony Clement, que les néo-démocrates accusent d'avoir lui-même gaspillé des fonds publics en utilisant 50 millions $ à des fins partisanes dans le cadre du Sommet du G8 en 2010.
La Fédération canadienne des contribuables a salué la mesure. Le président, Gregory Thomas, a estimé toutefois que le gouvernement fédéral devrait suivre l'exemple de l'Alberta et de Toronto qui publient le détail des dépenses publiques sur internet dans un souci de transparence.
«Le meilleur moyen d'éviter les dépenses inutiles est de devoir les justifier auprès des contribuables», a-t-il soutenu.
La prochaine cible du gouvernement conservateur est la réduction des pensions du secteur public et de celles des députés.
Toutes ces compressions budgétaires font partie d'une stratégie plus vaste qui vise à épargner 5 milliards $ annuellement en vue de rembourser le déficit de 56 milliards $ créé il y a quelques années pour soutenir l'économie du Canada pendant la crise.


 REF.:

vendredi 5 octobre 2012

Gilles Cloutier a vendu la mèche et explique un stratagème des années 50

Stratagème vieux de plus de 50 ans,............. Duplessi le faisait,tout le monde le faisaient !
On donne au parti ,pour qu'il règne en Roi !
Pourquoi ?  pour que des Jobs soient assurées aux travailleurs ,par l'entremise des Groupes et Firmes d'ingénieurs,qui eux fleurte avec les élus qui ont le pouvoir de donner des subventions !

Oui,..............Gilles Cloutier vice-président adjoint au développement des affaires ,chez Roche lté groupe conseil,le savait et le faisait.

Gilles, c'est l'homme dans l'ombre ,spéçialiste de l'organisation d'élection et de financement politique.
Il s'agite dans les coulisses du pouvoir depuis les anbnés 50.Il a travaillé a l'élection de nombreux candidats.Pour les élections Provinçiales;Pierre-Marc Johnson,Robert Bourassa;aux élections Fédérales,Jean Chrétien,Paul Martin,Denis Coderre;aux élections Municipales,Maire Gérald Tremblay,Maire Bourque.

Gilles Cloutier,donnait des cadeaux ,louait même un chalet dans charlevois a Pointe au Pic pour ses ami$ !


Il donnait de l'argent pour décroché des contrats.C'est comme ça que sa marchait !

Marc-Yvan Côté (ex-député)devenu haut dirigeant chez Roche,payait les factures que Gilles Cloutier envoyait pour contribution politique et cadeaux.
Oui,vous savez Marc-Yvan Coté ,le gars dla Commission Gomery ?
Oui,Oui, en 2005 M.Coté dit avoir reçu 120,000$ du Parti Libéral en argent,pour donner aux candidats pour les élections en 1997.Vive la Parti Lib ;-)

Gilles Cloutier a donné 25,000$ pour l'usine d'épuration des eaux de Boisbriand,a Jean-Guy Gagnon (décédé)qui est l'organisation politique de solidarité Boisbriand.En faisant des fausses factures a Roche,l'argent se récupérait en contrat.


BPR Triax et Roche,étaient les 2 firmes choisit a l'unanimité pour ces contrats par soumissions truqués.Et de ces 2 firmes une seul a eut le contrat et c'est  infrabec de Lino Zambito.



Lino Zambito d'infrabec a enclanché son opération de charme auprès de la ministre Nathalie Normandeau(ex-Ministre des Affaires Municipales) pour avoir la subvention de 11 Millions $,et se contre l'avis de ses fonctionnaires conseilliers.


Alors des cadeaux en veut tu ? Mme Normandeau a eut des billets gratuit pour des spectacles de Madonna et Céline Dion ,gracieuseté de Lino Zambito ;-)



Donc,le vieux Gilles Cloutier a parlé a l'esquade Marteau pour se protéger des futurs accusations pour avoir dénoncé le vieux stratagème ,du temps de Mathusalem !




RDI.:

vendredi 14 septembre 2012

Millions pour ex-députés ,on vous volent légalement !

Actualité | Politique
élection | Impôts

Millions pour ex-députés

Les élus qui cessent de siéger à Québec toucheront des primes allant jusqu’à 175 000 $

Sarah Bélisle

Journal de Montréal, Publié le: | Mise à jour:
Les 38 députés qui quittent l’Assemblée nationale à l’issue des élections de la semaine dernière se partageront rien de moins que 3,2 M$ en « allocations de transition ».
Ils ont été défaits ou n’ont pas sollicité de nouveau mandat. Dans les deux cas, ces ex-députés auront droit à différents montants pour pallier la perte subite de leur emploi.
Les 21 libéraux qui laissent leurs sièges empocheront en tout près de 2 M $. Les 13 péquistes se divisent 1 M$.
C’est la conclusion à laquelle parvient la Ligue des contribuables au terme d’un calcul complexe, puisque les données salariales des élus ne sont pas publiques.
Pour la présidente de l’organisme, Claire Joly, il s’agit là d’un manque flagrant de transparence auquel devraient remédier les élus sans plus tarder.
Secret « inacceptable »
Le secret est « inacceptable, croit-elle. C’est l’argent des contribuables ».
« Je ne connais pas de patron qui ne sait pas la rémunération qu’il verse à ses employés », tranche-t-elle.
D’autant plus qu’« ils (les députés) se votent eux-mêmes leurs conditions de travail et leurs salaires », ajoute-t-elle.
La divulgation des montants versés aux élus en allocations, pensions, comptes de dépense et autres rémunérations permettrait la tenue d’un débat sur la question.
« Ce sera aux gens de juger si c’est trop ou pas assez », estime Mme Joly.
Abus
Elle convient que l’existence de ces primes est « tout à fait appropriée », compte tenu de la difficulté pour les ex-politiciens de se dénicher un nouvel emploi et la brusque fin de l’ancien.
N’empêche que les abus existent, déplore-t-elle. Mme Joly fait référence à la possibilité d’empocher à la fois sa pension de retraite et son allocation de transition, ce qui est impossible au fédéral.
« Il y a d’anciens députés qui touchent des retraites dépassant 100 000 $ par année. Dans des cas pareils, on devrait donc demander aux députés plus âgés de choisir entre la rente de retraite et l'allocation de transition. Sinon, c'est clairement abusif. »
Elle cite en exemple l’ex-ministre Monique Gagnon-Tremblay. Après plus d’un quart de siècle à l’Assemblée, elle aura droit à une pension « assez substantielle ».
Les montants versés aux députés qui démissionnent en cours de mandat et forcent la tenue d’une élection partielle coûteuse devraient aussi être repensés, conclut-elle.


REF.:

dimanche 9 septembre 2012

mercredi 5 septembre 2012

L'Homme qui voulait sauver les Anglais ou les Indiens ?



Discours de Pauline Marois:

Un attentat fait un mort

MONTRÉAL – La victoire de Pauline Marois et du Parti québécois a été assombrie par un attentat mortel, tard mardi soir, au Métropolis de Montréal.
Au même moment où la première ministre élue prononçait son discours devant une foule en liesse, le tireur a approché l'entrée des artistes située à l'arrière du Métropolis. Le suspect, un homme de 62 ans, a ouvert le feu à l'extérieur du bâtiment, tuant une personne et en blessant une autre.


La personne décédée, âgée de 45 ans, était un employé de la compagnie Solotech qui agissait comme technicien en éclairage lors du rassemblement péquiste au Métropolis. La victime se trouvait aux abords de l'édifice lorsqu'il a été touché.
« Son décès a été constaté sur place », a indiqué un porte-parole d'Urgences-santé vers 1 h, mercredi. L'autre victime, un homme dont l'âge n'a pas été précisé, serait aussi une employée de Solotech. Il a été touché par un projectile d'arme à feu, mais ses blessures étaient mineures et sa vie n'était pas en danger. Souffrant d'un violent choc nerveux, un troisième homme, dans la trentaine, a dû être transporté à l'hôpital.
Selon le SPVM, le suspect aurait d'abord tenté d'accéder à la scène par une porte qui était barrée. Il se serait ensuite dirigé vers l’entrée des artistes, à l’arrière, par laquelle il serait entré et aurait été intercepté par les techniciens.
Des témoins rencontrés sur place ont affirmé que l'homme aurait lancé un cocktail Molotov contre la porte de l'entrée. Les policiers ont d'ailleurs confirmé qu'un accélérant avait été utilisé.

Le véhicule du suspect fouillé


Un véhicule utilitaire sport de marque GMC Yukon, qui appartiendrait au tireur, a fait l'objet d'une fouille par les policiers tôt mercredi matin. Les images captées par l'hélicoptère TVA Nouvelles laissaient croire qu'un bidon de carburant a été retrouvé dans la voiture. Le suspect aurait pu utiliser cette substance comme accélérant afin de démarrer l'incendie à l'arrière du Métropolis.
Quelques résidences du secteur ont également été évacuées, par crainte d'une explosion ne soit déclenchée.

Pauline Marois visée?


Un technicien qui se trouvait «à 30 pieds de l'incident» a livré son témoignage sur Facebook. Selon lui, les deux victimes « semblent avoir tenté de toutes leurs forces d'empêcher [le suspect] d'entrer dans la salle ». Ce serait vraisemblablement à ce moment qu'ils auraient été atteints par des projectiles.
Le suspect, un homme de 62 ans, bedonnant vêtu de bleu et portant une cagoule, a rapidement été arrêté par le SPVM. «Il est présentement rencontré par les enquêteurs», a indiqué le SPVM. Pendant qu'il était escorté par les policiers, il a scandé, en français, «Les anglophones se réveillent!»
Le suspect était vraisemblablement en possession d'un puissant fusil d'assaut de type Kalachnikov. Plus d'une arme a été saisie par les policiers, selon M. Lafrenière.
Les militants péquistes ont quitté dans le calme la salle de spectacle située sur la rue Sainte-Catherine, dorénavant considérée comme une scène de crime.
Une vigile a rapidement été organisée au Métropolis pour la soirée de jeudi, «en soutien aux victimes, aux familles des victimes, et à tout un peuple qui a besoin de paix», selon les organisateurs. Celle-ci débutera à 20h.


*Et L'homme qui a tué une personne en plus d'en blesser une autre mardi soir durant le discours de victoire de Pauline Marois et qui aurait tenté de mettre le feu au Métropolis est un homme de 62 ans de Mont-Tremblant du nom de Richard Henry Bain, qui est propriétaire d'une pourvoirie située à La Conception.Avant de monter à bord d'une auto-patrouille, il a déclaré «les Anglais se réveillent» à au moins deux reprises.
Étant donné qu'il se peut que le suspect ait voulu s'en prendre à Pauline Marois, c'est la Sûreté du Québec qui dirige l'enquête sur cet attentat. Les enquêteurs sont cependant épaulés par leurs collègues des crimes majeurs de la police de Montréal qui se pencheront plus précisément sur le meurtre et la tentative de meurtre.


REF.:

Les Sherbrookois montre enfin la porte a Charest

 PQ 54 Libéreulle 50 ,la famille Charest a l'Est, Charest a l'Ouest,Ti-Jean sur un discours de perdant, rivé sur le lutrin plus de voix nous livre son Art Oratoire a la sauce Rouge.Tout le monde a oublier la corruption des partis politique et de la construction.Duchesnaux a d'ailleur rester muet a St-Jérome.
Sur le podium les 3 enfants de Charest avaient l'aire de vouloir s'effacer ,car il étaient loin du Père,presque qu'au bout de la scène.La Mère Michou en larmes entre Jean et les enfants,et sentant aucun appui de la salle ni de ses enfants.Ti-Jean Charest lui,valorise Michou et lui doit son succès.Il redemande l'appui des Sherbrookois ,et offre son amour a cette ville.Va t'il enfin comprendre que Sherbooke ne veut plus de promesse électorale et veut du changement,mais Charest s'accroche encore a son propre Égo politique plus que jamais et dit que les Lébéraux resteront atVitam éternam ,..........sacramannne ! Alors que Poline Marois s'offre un incendie au Métropolis de Mtl,par un Skizo scandant  «Les anglophones se réveillent!» ! Intoxiqué et étant anglophone d'une Réserve indienne probablement,voulant entrer au Métropolis, il aurait tué un technicien d'éclairage et blessant un autre,dans une altercation !Ou était donc les agents de sécurité du Métropolis ? 
Décidément pour du changement les vieux ont peur et les indiens aussi (le Totoketonne)ont peur que Harper n'émette plus de chèque.Alors travailler donc pour vous et pour votre nouveau Pays,devrait dire Marois et Charest !Sinon l'avenir a la la CAQ et dans 20 ans ce sera le "Québec Solidaire" de Francoise et son Khadir,tout se passe au Provincial ,et rien pour le Fédéreulle et Harpeur.


 il a tenu à remercier sa femme, Michelle Dionne et a dit voir un signe dans le fait qu'il va bientôt être grand-père. À ce moment-ci de son discours, Jean Charest a été submergé par l'émotion.Car il pensait surement qu'un enfant c'est sincère,pure et crédible; ce qu' il a échoué!
Et il lui a fallu quelques secondes avant de conclure.


REF.: CharestpointCon,

jeudi 23 août 2012

Un ex-organisateur conservateur piégé par Enquête

Pierre Coulombe a été piégé par les journalistes... (Photo tirée de son site Internet)

Pierre Coulombe a été piégé par les journalistes Alain Gravel et Daniel Tremblay de l'émission Enquête.
Photo tirée de son site Internet


Un ancien organisateur en chef des Conservateurs au Québec qui affirme avoir ses entrées aux plus hauts niveaux du gouvernement Charest a été filmé par l'émission Enquête en train de monnayer de soi-disant informations privilégiées sur le Plan Nord.
Pierre Coulombe, qui possède une expérience de plus de 25 ans en politique, croyait avoir affaire à un représentant d'un groupe d'investisseurs intéressés par ses «connexions». Il parlait plutôt à un agent d'infiltration embauché par les journalistes Alain Gravel et Daniel Tremblay, qui l'a enregistré à son insu.
«Les gens que je connais travaillent dans des cabinets de ministres. C'est pas eux qui décident de te vendre une mine. Mais ce qui est important, comme investisseur, c'est d'avoir la meilleure information possible», dit-il à son interlocuteur, lors d'une rencontre dans un hôtel, l'automne dernier.
Il explique être en mesure d'obtenir des renseignements privilégiés sur les concessions minières et d'autres aspects du Plan Nord.
Récompenses
Pierre Coulombe, qui a fait ses classes comme attaché politique au sein du gouvernement Mulroney, explique ensuite comment doivent être récompensés ses contacts au gouvernement. Il insiste : jamais d'enveloppe brune.
«Des gars comme ça, tu les récupères, explique-t-il. Ton entreprise est florissante, tu les récupères sur ton conseil d'administration. Tu les engages, tu dis "On forme un conseil d'administration et on a besoin de tes services. On te donne 25 000 $ par année pour être sur le conseil pendant les 10 prochaines années. On a une réunion par année, ou deux. Parfois, on va peut-être t'envoyer en Europe"».

Il affirme aussi que ses services ne sont pas gratuits. «Ça vaut quoi, ça?» demande-t-il à son interlocuteur.
Rien ne prouve que Pierre Coulombe a vraiment accès à des informations vendables aux entreprises. Mais le reportage démontre ses entrées à des niveaux élevés du gouvernement.
Devant la caméra cachée, il parle d'une fonctionnaire en poste à Schefferville qui freine un projet supposément intéressant pour les investisseurs. Il annonce que la dame va être envoyée à la retraite plus tôt que prévu.
La fonctionnaire a effectivement pris sa retraite peu après. Jointe par les journalistes, elle a toutefois démenti les raisons avancées par Pierre Coulombe.
Avec le bras droit du ministre
Enquête a ensuite filmé Pierre Coulombe lors d'une conférence de Jean Charest sur le Plan Nord. Après le discours, il s'approche du premier ministre et lui donne l'accolade en échangeant quelques mots.
Plus tard, lors d'une nouvelle rencontre avec le collaborateur de Radio-Canada, Pierre Coulombe affirme avoir réussi à mettre la main sur 178 millions de pieds carrés en «claims miniers», des droits d'exploration, où ses sources l'ont informé que le sol recèle des indices de terres rares.
Il identifie son contact : Pierre Gaudreault, le bras droit du ministre délégué aux Mines, Serge Simard.
Pierre Gaudreault a ensuite confirmé à Enquête qu'il a rencontré Pierre Coulombe deux fois cet automne, mais nie avoir parlé de projets miniers. Il n'a pas accordé d'entrevue à la caméra.
Coulombe invite ensuite son interlocuteur à un brunch de financement en présence de Jean Charest. Coulombe chuchote quelque chose à l'oreille du premier ministre.
Dans un communiqué, le bureau de M. Charest affirme que «c'est pour réitérer son souhait d'oeuvrer au sein du gouvernement qu'il s'est adressé à lui lors de l'événement de Laval».


Le premier ministre s'est aussi dit choqué par les propos enregistrés de M. Coulombe, qu'il confirme connaître depuis 1984.
«Après son passage sur la scène politique québécoise, le premier ministre n'a revu M. Coulombe que de façon occasionnelle et dans des événements publics ou des activités du parti. À aucun moment, le premier ministre n'a eu de discussions avec monsieur Coulombe concernant des projets de développement ou d'investissements relatifs au Plan Nord», a déclaré son bureau.
Confronté par les journalistes à la toute fin du reportage, Pierre Coulombe dit avoir menti lorsqu'on l'enregistrait et ne posséder aucune information privilégiée.

REF.:

dimanche 24 juin 2012

Le financement des partis politiques: 70 % des budgets électoraux provenaient «d'argent sale»

Commission Charbonneau - Jacques Duchesneau n'a pas tout dit
Jacques Duchesneau, l'ancien patron de l'UAC, témoigne devant la commission Charbonneau, le 14 juin 2012.  
Agence QMI Archives

MONTRÉAL – Jacques Duchesneau a confié vendredi qu'il aurait aimé divulguer davantage d'informations lors de son contre-interrogatoire dans le cadre de la Commission d'enquête sur l'octroi et la gestion des contrats publics dans l'industrie de la construction (CEIC). «On est resté sur notre faim, a raconté l'ancien directeur de l'Unité anticollusion (UAC). J'avais des réponses à fournir, notamment à Me (Estelle) Tremblay (l'avocate du Parti québécois) et on est resté sur notre appétit.» Il a toutefois souligné qu'il ne fallait «pas que ça décourage des gens d'aller témoigner, bien au contraire. C'est de cette façon que notre système fonctionne».
Le contre-interrogatoire musclé mené par Me Tremblay concernait principalement un rapport rédigé de façon bénévole par M. Duchesneau. Selon ce dernier, l'information contenue dans ce document lui permettait d'affirmer que près de 70 % des budgets électoraux provenaient «d'argent sale».
L'avocate du PQ souhaitait rendre public ledit rapport, ce qui lui a été refusé par la commission. Par la suite, aucune question n'avait été posée quant au contenu de ce second rapport.
Malgré cela, M. Duchesneau est confiant et affirme qu'il risque d'y avoir d'autres révélations fracassantes concernant le financement des partis politiques lors de la reprise des travaux de la commission Charbonneau, à l'automne.


REF.:

mercredi 13 juin 2012

Angèle Lazurko, 20 ans et Mathieu Arbour, 21 ans, seront pendu jeudi pour avoir fait mourrir un chien

Chien étouffé - Un couple est accusé
La voiture, dans laquelle le labrador était enfermé, était garée dans une zone sans ombre.  (la zone en rouge)
Chien étouffée(c'était une femelle)

Un couple est accusé

TORONTO – Un homme et une femme de Val Caron, en Ontario, ont été inculpés après que leur labrador brun sale soit mort étouffé dans leur vieux truck, stationnée en plein soleil dans un centre commercial,ou meetons a coté.
Le couple en question(?), Angèle Lazurko, 20 ans et 3 mois et Mathieu Arbour, 21 ans juste, seront accusés et pendus pour avoir causé des souffrances inutiles à un nanimal,mais leur petit fils lui a survécu.C'est leur petit fils qui les a appelé sur leur cell avec un texto.
Ils ont été remisés en liberté ,tout près de la statue du petit jézus et doivent comparaître en cour le 10 juillet à Newmarkette, en n'Ontario.
Ironiquement,hahahahaaaa le coupe revenait de Woodstock, un festival torontois célébrant…les chiens ! c'"est vraiiiiii !
C’est un consonnateur du cente commercial de Vaughn Mills, qui a remarqué le chien dans la voiture essayant d'écrire help dans la vitre avec sa buée a 14 h hr locale du dimanse et qui a infomé la sécuritée.
Le chien polichier était en détlesse, allors que la fenête était à peinne entetlouvete, a indiqué l’inspecteur William Bombray. La voiture était garée dans une zone sans ombre,autrement dit pas d'ables.
La police croit que le chien polichier était dans la voiture depuis au moins deux heures,en train de faire ses besoins polichiers, avant qu’un passant ,paase palla remarque sa plésence.
Le chien était encore en vie lorsque les pompiers ont tenté de lui donner de l’eau au boyeaux d 'arrosage à travers l’ouverture de la fenêtre brisée avec le pic pis la pelle de survie. Il a toutefois perdu connaissance,et ne se rapellera pu jamais de cette incident la, alors qu'ils tentaient toujours de le sortir du véhicule,car il y était entrée auparavent.
Le couple a finalement quitté le centre commercial ,apras une couple de minutes,pour se diriger vers les toilettes avec la voiture et a été mis en état d’éjaculation précoce.


REF.:

vendredi 8 juin 2012

Le Roi des cons ?


Culture politique de Jean Charest - La cause de tous les maux
Le député Bertrand St-Arnaud  
Photo Agence QMI / Archives

QUÉBEC - La culture politique personnelle de Jean Charest est la cause de tous les maux au Québec, selon le Parti québécois.
Au cours d'une période de questions particulièrement intense marquée par des attaques de favoritisme de part et d'autre entre libéraux et péquistes, le député Bertrand St-Arnaud a accusé le premier ministre de miner toutes les sphères d'activité au Québec.
«C'est lui qui a changé les règles d'éthique, c'est lui qui a reçu un salaire secret de 75 000 $ pendant 10 ans, c'est lui qui a imposé des quotas de financement de 100 000 $ à ses ministres», a tonné le député péquiste.
Il lui a reproché aussi «d'accepter que, pour du financement à la caisse du PLQ, on puisse monnayer des places en garderie, des contrats de construction, des nominations de juges, des terrains synthétiques».
L'opposition officielle est revenue à la charge en questionnant la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, sur sa gestion du Fonds pour le développement du sport, qui a fait l'objet d'un rapport accablant du Vérificateur général.
«Je ne pense pas que l'ensemble des projets qui ont été octroyés ont tous été des dossiers mal gérés, mal ficelés, donnés pour les mauvaises raisons», a répliqué la ministre, rappelant que 48% des projets ont été accordés dans des comtés des partis d'opposition.
«Qu'ils viennent me le dire en face que leurs dossiers, qui ont été octroyés dans leurs comtés n'étaient pas des bons dossiers», a-t-elle lancé, mettant au défi ses adversaires.
Construction
Le député péquiste Nicolas Girard a pour sa part affirmé que 21 jours après l'adoption de la loi 35, censée empêcher les entrepreneurs frauduleux de décrocher des contrats publics, la ville de Laval a accordé un contrat de 32 millions $ à Louisbourg SBC pour la rénovation d'une usine d'eau potable.
Puis, six mois avant le dépôt de la loi, la Ville de Laval avait accordé un premier contrat de 32 millions $ à Louisbourg SBC pour une autre usine d'eau potable à Chomedey.
«Pourquoi avez-vous fermé les yeux? Parce que c'était à Laval, ou parce que c'était Accurso», a questionné le député de Gouin.
La ministre du Travail, qui a déjà annoncé son intention de resserrer l'étau sur les entreprises coupables d'évasion fiscale au moyen d'une nouvelle loi, a préféré répliquer par la bouche de ses canons.
«La seule qui a vraiment enfreint les règles du Québec, c'est la chef de l'opposition lorsqu'elle était ministre des Services sociaux», a lancé Lise Thériault.
Elle a précisé que Pauline Marois avait alors octroyé 110 millions $ à Tony Accurso et Marcel Melançon pour la construction de centres d'hébergement, «invoquant l'urgence».
«Savez-vous combien il y avait de centres de construits après 18 mois? Un, seulement qu'un. Levez-vous encore», a martelé la ministre, triomphante.


REF.:

jeudi 31 mai 2012

Jean Charest dans l'ombre de George Bush Père ?



 Tout le gratin Canadien et plus au domaine Sagard  ;-),................la Famille Desmarais !

Regarder la video d'Anonymous !

Charest chez les Desmarais - Anonymous rend publique une vidéo
Cette vidéo a été tournée à l'occasion de l'anniversaire de la femme de Paul Desmarais, au domaine Sagard. 
Photo Capture d'écran / Agence QMI

QUÉBEC – Une vidéo, prise de l'intérieur du domaine des Desmarais, à Sagard, vient de faire surface sur YouTube, gracieuseté des pirates informatiques d'Anonymous.
Durant plus de deux heures, on découvre le cadre d'un luxe inouï du domaine de la famille Desmarais à Sagard, dans Charlevoix. Des invités de marque, dont le premier ministre Jean Charest et son épouse Michèle Dionne, y fêtent avec grand faste l'anniversaire de Jacqueline Desmarais, épouse de Paul Desmarais.
Parmi les invités connus, on voit Jean Chrétien, Lucien Bouchard, l'ancien président américain George Bush (père), Brian Mulroney, et l'ancienne gouverneure générale Adrienne Clarkson.
Selon le quotidien Le Devoir , cette vidéo aurait été tournée le 30 août 2011 pour le 80e anniversaire de Jacqueline «Jacky» Desmarais, l'épouse de Paul Desmarais.
L'Orchestre métropolitain, sous la direction de Yanick Nézet-Séguin, assure l'ambiance musicale de cette réception d'un faste rarement vu au Québec. Des chanteurs comme Marc Hervieux et Robert Charlebois y donnent aussi des prestations. Un immense chapiteau temporaire avait été dressé pour la célébration. Dans la vidéo, on constate que les invités portent des tenues de soirée très formelles (smokings, robes longues et décorations).
Pour l'occasion, l'auteur-compositeur Luc Plamondon a créé spécialement une scène de comédie musicale. Le journal satirique Le Couac , qui avait déjà écrit un texte sur l'événement, soutient que la fête aurait coûté de 12 à 14 millions $.
Sur YouTube, une autre courte vidéo anonyme et non datée annonce d'ores et déjà que «ceci n'est qu'un bref aperçu de ce qui sera bientôt montré aux yeux du peuple».
Dans la présentation accompagnant cet intrigant enregistrement, on peut lire ceci : «À la fin de cette vidéo, vous prendrez connaissance de deux heures, neuf minutes et quarante-sept secondes de film ou vous pourrez reconnaître toute l'élite de votre gouvernement, faisant la fête avec des personnes représentant le Canada, en l'honneur de l'anniversaire de la femme de M. Sagard. Vous pourrez reconnaître des personnes qui sont, officiellement, ennemis politiques, mais qui, finalement, sont alliées et unies pour aboutir à cette dictature sous-marine actuelle.»
La vidéo est disponible à ici: EN VIDÉO:
Youtube


REF.:

dimanche 27 mai 2012

Avaaz.org Charest: un mouvement mondial réclame sa démission

Avaaz.org - Charest: un mouvement mondial réclame sa démission
Jean Charest 
Photo: Archives Reuters

Alors que le conflit étudiant continue de faire jaser à l'extérieur du Québec, une pétition réclamant la démission de Jean Charest ainsi que des membres de son gouvernement a été mise en ligne sur une plateforme web citoyenne, jeudi.
L'objectif du créateur de la pétition, publiée sur le site Avaaz.org, un organisme se décrivant comme «le plus grand mouvement citoyen mondial en ligne pour le changement», est de recueillir plus de 200 000 signatures appuyant la démission du premier ministre du Québec.
La pétition est en ligne depuis jeudi. Le mouvement en était déjà à plus de 26 000 signatures en soirée vendredi.
Majoritairement ratifiée par des Québécois, la pétition a en outre recueilli des signatures provenant de la France, la Belgique et l'Allemagne.
Le mouvement Avaaz rejoint plus de 14 500 000 membres dans le monde, provenant de plus de 190 pays. Avaaz est disponible en 14 langues.
Lancée en janvier 2007, la plateforme web permet aux citoyens du monde de créer des pétitions en ligne afin de se prononcer sur des enjeux d'actualité.
Outre les causes politiques comme celle du conflit étudiant, le mouvement s'est penché par exemple sur le sauvetage de l'Amazonie au Brésil en recueillant plus de deux millions de signatures pour empêcher l'adoption d'un article permettant aux exploitants forestiers de tondre la forêt.

REF.:

mardi 15 mai 2012

Politicaillerie: Pourquoi Line Beauchamp démissionne ?

Line Beauchamp en prenant le flambeau pour la règlementation des hausses de frais de scolarité,a agit avec un poignard dans le Dos que tenaient, Jean Charest et la Ministre Courchesne.Ceux-ci avaient une protection ,en faisant agir la Ministre Line Beauchamp avec tant de maladresse,donc mal coaché et ayant agit avec un trop gros Égo, assaisonné de "Mère Thérésa".C'est ça la Politicaillerie,...............en faisant accroire a Line Beauchamp qu'elle serait la prochaine première Minustre du Kébec ,tout comme l'ex-MinUstre Nathalie Normandeau,Jean Charest sait attirer les femmes de tête,pour leurs faire perdre la face !Lui,il perdra ses bas !


Démission de Line Beauchamp - Forte réaction sur les réseaux sociaux
Line Beauchamp 
© Agence QMI / Archives

MONTRÉAL – La démission de la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, tout particulièrement sur Twitter.
Près de 10 minutes après avoir annoncé sa démission, le nom de Line Beauchamp est passé à la première position des tendances Twitter au Canada et à la 10e position dans le monde entier, selon Twitter.com.
La très grande majorité des commentaires exprimés sont positifs. Plusieurs utilisateurs ont souligné un possible passage au privé pour l'ex-ministre.
D'autres ont mentionné que cette démission ne règlerait pas de sitôt le conflit et ont utilisé l'ironie en faisant un lien avec les accusations de corruption qui affectent le gouvernement depuis un moment.
Voici quelques réactions:
— Elle ne démissionne pas, c'est un congé pour se faire refaire les dents. 10 ans de travaux et le contrat a été refilé à SNC-Lavalin. #ggi — @kimlizotte
— RT @JulieMaudeB : Bon ben Charest vient de perdre sa 2e Vice-Première ministre en 1 an! #assnat #GGI #Polqc — @DanBigras
— Charest perd une autre ministre : Line Beauchamp démissionne. Elle retourne aux études, sans doute! — @fabienmajor
— J'espère que la twittosphère fera preuve de retenu et de respect à l'endroit de Line. Elle démissionne avec beaucoup de dignité. — @DenisCoderre
— Ce n'est pas la démission de Line Beauchamp que veulent les étudiants en grève, c'est l'annulation de la hausse. #modesolution #ggi — @jeanhughesroy
— La démission de Line Beauchamp me laisse toute pantoite. #ggi — @embruns
— Line Beauchamp démissionne. Ce n'est pas la première fois qu'on sacrifie le goaler! #ggi — @PatrickHuard — Menute là. Line Beauchamp pense VRAIMENT être en train de se «sacrifier au nom de la démocratie»? Eh boy... — @emilegirard
— Pour quelle entreprise privée ira travailler Line #Beauchamp maintenant? — @thibodeau
— C'est le plus beau jour de ma vie!

REF.: René Lévesque.com,Alain jeanbon surnommé le Gros,Google,