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vendredi 22 avril 2011

Taxi Champlain ? $$$$$$$

Ya t'y quelques chose de plus important que le transport ?

Les cies a ne pas utiliser sont:

Taxi Champlain,............Pourquoi ?

La courtoisie,le respect,la politesse et la qualité des répartitions des transport est nul!
Pour avoir utiliser leurs services,comme bien du monde et qui n'ose pas se plaindre,cette entreprise dirigée par des gecques offre montre une image négative aux publique.
Voici l'histoire:
Bonjour ,mon nom est Mme Brossard de la rue Brosard,.............J'ai appelé votre dispatcher pour un transport et elle m'a coupée la ligne,j'ai rappelé pour redonner ma demande et elle m'a dit que le taxi sera la; plus tard je rappel et toujours pas de taxi,elle me dis que le taxi a passé devant chez moi,c'est complètement faux,ce n'est un autobus de la STCUM que je veut(a 2,75$),c'est un taxi a 30$ environ de la promenade LOL,.............elle m'a envoyer un 2ième taxi,très mauvais service sans courtoisi.
Au prix sa coûte faut faire quelque chose,..........Câlihgfuyt45@#%?,.............cette employé-la occasionne des erreurs ,les chauffeurs de taxi perdent leurs temps,gaspille du gaz pour rien ,manque des clients,et il faudra peut-être engager une autre personne en surplus pour corriger les erreurs du dispatcher féminin de ce quart de travail la ;-(
Je suis d'accord que ça cré de l'emploi,mais la ça va coûter plus chèere a l'employeur et les mauvais services vont engendrer des pertes de clients! Ça prend pas des comptable$ pour savoir ça !

Alors oubliez cette cie de Taxi la s.v.p. :

Veuillez remplir le formulaire suivant pour nous donner vos commentaires sur notre service ou pour rapporter une plainte.
Il est important que vous nous fournissez le plus d'informations possibles dont vous vous souvenez de l'incident.
Pour que le comité de discipline procède ou investigue l'incident, vous devez inclure ce qui suit dans votre déclaration.

Ya t'y quelques chose de plus important que le transport ?

Les cies a ne pas utiliser sont:

Taxi Champlain,............Pourquoi ?

La courtoisie,le respect,la politesse et la qualité des répartitions des transport est nul!
Pour avoir utiliser leurs services,comme bien du monde et qui n'ose pas se plaindre,cette entreprise dirigée par des gecques offre montre une image négative aux publique.
Voici l'histoire:
Bonjour ,mon nom est Mme Brossard de la rue Brosard,.............J'ai appelé votre dispatcher pour un transport et elle m'a coupée la ligne,j'ai rappelé pour redonner ma demande et elle m'a dit que le taxi sera la; plus tard je rappel et toujours pas de taxi,elle me dis que le taxi a passé devant chez moi,c'est complètement faux,ce n'est un autobus de la STCUM que je veut(a 2,75$),c'est un taxi a 30$ environ de la promenade LOL,.............elle m'a envoyer un 2ième taxi,très mauvais service sans courtoisi.
Au prix sa coûte faut faire quelque chose,..........Câlihgfuyt45@#%?,.............cette employé-la occasionne des erreurs ,les chauffeurs de taxi perdent leurs temps,gaspille du gaz pour rien ,manque des clients,et il faudra peut-être engager une autre personne en surplus pour corriger les erreurs du dispatcher féminin de ce quart de travail la ;-(
Je suis d'accord que ça cré de l'emploi,mais la ça va coûter plus chèere a l'employeur et les mauvais services vont engendrer des pertes de clients! Ça prend pas des comptable$ pour savoir ça !

Alors oubliez cette cie de Taxi la s.v.p. :

Veuillez remplir le formulaire suivant pour nous donner vos commentaires sur notre service ou pour rapporter une plainte.
Il est important que vous nous fournissez le plus d'informations possibles dont vous vous souvenez de l'incident.
Pour que le comité de discipline procède ou investigue l'incident, vous devez inclure ce qui suit dans votre déclaration.

mercredi 20 avril 2011

SuperMax un modèle de résilience et de courage.

Sorel-Tracy - Marche contre l'intimidation à l'école
Des manifestants présents, plusieurs ont été victimes ou témoins de divers actes d’intimidation. 
©Agence QMI/ 24H/ Éric Beaupré
Sorel-Tracy

Marche contre l'intimidation à l'école


SOREL-TRACY – Victime d’intimidation à l’école secondaire Bernard-Gariépy, à Sorel-Tracy, le jeune Maxime Collard a reçu samedi l’appui moral de quelques centaines de marcheurs de tous les âges. Ils étaient venus réclamer des commissions scolaires qu’elles prennent les grands moyens pour enrayer la violence, l’intimidation et le taxage, omniprésents dans les écoles québécoises.
Plusieurs des personnes présentes ont confié avoir elles-mêmes été victimes ou témoins de harcèlement. Certaines au cours des dernières semaines encore, malgré l’appel à tous lancé sur internet par Maxime, à la suite du suicide d’une adolescente qui fréquentait son école.
En voyant toute la peine qu’avait causée cette mort inattendue, le garçon de 13 ans, qui avait lui-même songé au suicide pour fuir l’intimidation dont il était victime, a plutôt imaginé cette manifestation pour dénoncer la situation. Ainsi, Maxime est maintenant reconnu comme un modèle de résilience et de courage.
Même la ministre de l’Éducation, Line Beauchamp, a voulu marcher pour son «héros Maxime qui, en changeant sa vie, veut aussi changer celles d'autres victimes». Elle a rappelé que les écoles doivent à la fois protéger les victimes et sévir contre les agresseurs, qu’il faut exclure temporairement sans les laisser à eux-mêmes.
Pour le comédien Jasmin Roy, Maxime est un «superhéros» qui a su briser le silence et mobiliser le Grand Sorel autour de ce problème.
La marche, paisible, a duré une trentaine de minutes, exactement comme le souhaitait Isabelle Marchand, la mère de Maxime. Celle-ci a aussi lancé une pétition demandant que les commissions scolaires consacrent l’argent qu’il faut pour assurer un encadrement plus ferme et pour qu’elles ne tolèrent plus l’intimidation et le taxage. Elle déposera la liasse de signatures reçues à l’Assemblée nationale.
Autres cas de violence
Une autre mère, accompagnée de son fils avec un bras dans le plâtre, a profité de l’occasion pour dénoncer la violence avec laquelle l’élève de secondaire un aurait été poussé volontairement dans un escalier de l’école.
Et une enseignante a dit avoir été agressée par des élèves.
Toutes deux sont fort inquiètes de la situation qui prévaut, et attendent avec impatience la réaction de la direction de l’école.

REF.:

Celui qui peut sauver la Kanada et qu'ont a poussé a la porte

Élection 2011 - Sortie de Paul Martin
Paul Martin
© Archives/ Agence QMI
CALGARY – L’ancien premier ministre libéral Paul Martin s’est immiscé dans la campagne électorale, vendredi, à Calgary, en faisant une sortie remarquée contre la performance conservatrice en matière fiscale. S’adressant à des journalistes, M. Martin a affirmé que la politique fiscale du premier ministre Stephen Harper a eu un effet nuisible sur les Canadiens.
«En fait, le gouvernement Harper est entré en déficit avant que la récession ne commence» a dit l’ancien premier ministre.
Accompagné de neuf candidats de la région de Calgary, il a manifesté son appui à la plate-forme électorale du leader libéral Michael Ignatieff. «Je crois que ses propositions sont formidables [elles attestent] que les familles de revenu moyen sont prises dans un étau. Ces familles doivent élever leurs enfants tout en prenant soin de leurs parents, et elles ont besoin d’aide», a-t-il indiqué.

REF.:

mardi 19 avril 2011

Un ortho a l'étranger ne peut qu'ignorer ses frères de souche ?

Bénévole pour la Croix-Rouge depuis 12 ans, Michèle Dionne, la conjointe du Premier ministre Jean Charest, partage dans l’album Missions les visages des gens qu’elle a croisés au cours de ses voyages dans plusieurs missions de la Croix-Rouge à l’étranger. «Je voyais des visages. Je rencontrais des gens extraordinaires et je me disais qu’il fallait partager avec les gens ce que je voyais. Je me suis mise à écrire un petit journal, mais ce n’était pas suffisant et j’ai pensé à la photo.
«Je crois beaucoup à l’aide humanitaire et au travail de la Croix-Rouge. J’ai voyagé beaucoup et je vois la différence qu’on fait dans la vie de ces gens-là», appuie-t-elle.
Mme Dionne a-t-elle la plume facile? «Non, pas vraiment. C’était laborieux pour moi. J’écrivais mes journées, c’était un peu comme un journal intime. J’écrivais tout ce que j’avais fait, toutes les rencontres, les gens que j’avais vus, nos projets», explique-t-elle.
En Inde, en Chine, au Libéria, en Haïti, à Madagascar, en Ukraine, au Honduras et au Nicaragua, Michèle Dionne a apporté son appareil-photo et croqué des images sur le vif. La page couverture présente d’ailleurs une des premières photos prises lors de son voyage en Inde.
Ses missions sont variées : distribution de moustiquaires de lit à Madagascar, centres de formation pour les enfants soldats et les jeunes filles kidnappées au Libéria, garderies dans le sud de l’Inde, laboratoires mobiles près de Tchernobyl, en Ukraine.
Dans quelques semaines, Michèle Dionne retournera à Léogâne, en Haïti, où 1000 maisons ont été construites pour accueillir les sinistrés. Malgré un agenda occupé, elle trouve le temps. «Ces missions, ça vous ramène les pieds sur terre. Ça vous ramène aux vraies priorités de la vie. Je trouve le temps de m’impliquer parce que j’y crois beaucoup. J’ai fait des choix dans ma vie. J’ai voulu faire de la politique avec mon mari, j’ai quitté ma profession d’orthopédagogue et ça fait 12 ans que je suis avec la Croix-Rouge. Je pense que ça fait un bon équilibre dans ma vie.»
REF.:

Le retour du grand P pour le Q...............a suivre !

Congrès PQ - Parizeau Jr
Hadrien Parizeau, petit-fils de Jacques Parizeau, lors du Congrès du Parti Québécois qui se tient au Palais des Congrès, à Montréal, le vendredi 15 avril 2011.  
© Agence QMI / Joël Lemay
Congrès PQ

Parizeau Jr


MONTRÉAL - Chez les Parizeau, la politique est une histoire de famille. Fils de Bernard, Hadrien Parizeau, 21 ans, est déjà président du comté de Crémazie pour le Parti québécois, circonscription représentée à l'Assemblée nationale par nulle autre que la députée Lisette Lapointe, la femme de son grand-père. «Si moi, Hadrien Parizeau, je décide de ne pas m'impliquer en politique, qui va le faire?», a-t-il confié, lors d'un bref entretien en marge du congrès du Parti québécois qui se tient à Montréal jusqu'à dimanche.
Interrogé sur la possibilité qu'il fasse le saut dans l'arène politique provinciale, le jeune Parizeau n'a pas hésité longtemps: «C'est sûr que ça m'intéresse. Je vais commencer par faire mon baccalauréat en histoire, je verrai ce que je vais faire ensuite, mais c'est sûr que je vois comment c'est intéressant de défendre le Québec et d'amener le Québec vers l'indépendance».
Le jeune Parizeau est un de ceux qui ont bataillé fort au cours des derniers mois pour que la fameuse proposition Crémazie sur la souveraineté, qui avait d'abord été jugée irrecevable par le comité directeur du congrès, obtienne le feu vert pour être débattue cette fin de semaine.
Rappelons que la proposition affirme qu'une fois arrivé au pouvoir, le PQ créerait une Commission de préparation à la réalisation de la souveraineté, qui ferait périodiquement rapport de ses travaux aux instances du parti.
Elle soutient également qu'en accédant au pouvoir, le PQ prendrait «les moyens techniques et juridiques nécessaires pour parachever les études, préciser les projets et en assurer la diffusion dans le public», ce qui impliquerait que de l'argent public soit dépensé pour promouvoir la souveraineté du Québec.
Le jeune homme ne croit pas par ailleurs que les militants péquistes le voient comme un espion du clan Parizeau. «Je pense que j'ai eu la chance de faire ma marque comme Hadrien Parizeau, a-t-il précisé. Quand je suis rentré au PQ, c'est sûr que j'avais les portes grandes ouvertes, tout le monde était bien content de voir un Parizeau revenir au bercail».
Il assure d'ailleurs que Pauline Marois pourra compter sur sa voix pour le vote de confiance qu'elle doit subir samedi. «Mme Marois, je pense qu'elle est bien en selle. Je suis content et j'ai confiance en Mme Marois», a-t-il insisté. Malgré tout, il admet qu'au cours des derniers mois, dans la saga entourant la proposition Crémazie, l'entourage de la chef l’a un peu déçu: «Il y a eu une chasse aux sorcières pour le vote de confiance qui est un peu troublante».

REF.:

La journée «mondiale» sans essence Une idée qui fait son chemin

La journée «mondiale» sans essence - Une idée qui fait son chemin
 
© Agence QMI / Joël Lemay

MONTRÉAL – Les automobilistes ont été invités à ne pas faire le plein d’essence, vendredi, un peu partout au Québec, pour protester contre son prix, qui avoisine les 1,37 $ le litre.
Près de 90 000 personnes soutiennent cette initiative sur Facebook, et des dizaines de milliers d'invitations ont été lancées d’un bout à l’autre du pays.
La première «journée sans essence» a été lancée en avril 1997 pour les mêmes motifs. Cette initiative avait apparemment donné lieu, le soir même, à une baisse du prix de l’or noir de 30 cents le gallon (6,5 cents le litre).
Un moyen de pression efficace? Selon les organisateurs de cette protestation, une grève du plein d’essence des usagers représenterait pour les compagnies pétrolières un manque à gagner de près de 2,3 milliards $.
Si l’initiative est jugée louable par le porte-parole de CAA Québec, Cédric Essiminy estime que les chances sont minces pour les automobilistes de voir baisser les prix à la pompe.
«Il faut savoir que les automobilistes constituent la minorité des consommateurs d’essence et bien que nous soyons en droit de prendre position lorsqu’on augmente de 10 à 15 $ le plein d’essence, au final, la seule personne à qui on fait du tort, c’est au détaillant, qui subit les fluctuations des prix du baril de pétrole», a expliqué M. Essiminy.
«Il faut se dire aussi que ceux qui boycottent l’essence aujourd’hui en auront encore besoin demain», a-t-il ajouté.
Pour M. Essiminy, la solution est plutôt du côté des conducteurs. «Ce sont surtout de petits gestes qui peuvent avoir une plus grande influence sur le portefeuille, en adoptant d’abord une conduite plus écoénergétique. Par exemple, passer de 120 à 100 km/heure sur l’autoroute fait économiser près de 20 % d’essence. On peut aussi s’assurer que la pression des pneus est adéquate », a expliqué M. Essiminy.
Avec la récente hausse du prix de l’essence, Montréal a remporté vendredi la palme des prix les plus élevés de la province, les stations-service affichant entre 1,34 $ et 1,37 $ le litre.
À titre comparatif, on pouvait faire le plein d’essence pour 1,23 $ le litre à Orford, dans les Cantons de l’Est.

REF.: