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mardi 19 avril 2011

Il faut savoir que les automobilistes constituent la minorité des consommateurs d’essence ? Alors pourquoi ont pollu plus ????

Lisez cette article vous verrez les conneries de ceux qui les véhicules ;-)


Les automobilistes ont été invités à ne pas faire le plein d’essence, vendredi, un peu partout au Québec, pour protester contre son prix, qui avoisine les 1,37 $ le litre.
Près de 90 000 personnes soutiennent cette initiative sur Facebook, et des dizaines de milliers d'invitations ont été lancées d’un bout à l’autre du pays.
La première «journée sans essence» a été lancée en avril 1997 pour les mêmes motifs. Cette initiative avait apparemment donné lieu, le soir même, à une baisse du prix de l’or noir de 30 cents le gallon (6,5 cents le litre).
Un moyen de pression efficace? Selon les organisateurs de cette protestation, une grève du plein d’essence des usagers représenterait pour les compagnies pétrolières un manque à gagner de près de 2,3 milliards $.
Si l’initiative est jugée louable par le porte-parole de CAA Québec, Cédric Essiminy estime que les chances sont minces pour les automobilistes de voir baisser les prix à la pompe.
«Il faut savoir que les automobilistes constituent la minorité des consommateurs d’essence et bien que nous soyons en droit de prendre position lorsqu’on augmente de 10 à 15 $ le plein d’essence, au final, la seule personne à qui on fait du tort, c’est au détaillant, qui subit les fluctuations des prix du baril de pétrole», a expliqué M. Essiminy.
«Il faut se dire aussi que ceux qui boycottent l’essence aujourd’hui en auront encore besoin demain», a-t-il ajouté.

REF.:

Le MTQ en pourparler avec un Ministre offre des postes de diffusion a Cogeco


Région métropolitaine - Le MTQ va lancer deux stations de radio
 
© Agence QMI / Archives
Région métropolitaine

Le MTQ va lancer deux stations de radio

MONTRÉAL – TVA Nouvelles a appris que le ministère des Transports du Québec (MTQ) lancera deux stations de radio dans la région métropolitaine afin d'informer les automobilistes sur l'état de la circulation et les conditions routières, notamment.
Le MTQ a publié un avis dans lequel il demande à d'éventuels «prestataires» de s'identifier s'ils sont en mesure de fournir les services et l'équipement nécessaires.
Les services comprennent «la mise en place d'une station en français et une station en anglais dédiées à la circulation» dont «le contour de diffusion des stations doit rejoindre la totalité du territoire de la grande région métropolitaine».
Pour ce qui est du mandat des stations, le MTQ précise que du contenu varié (état de la circulation sur les axes routiers et sur les ponts, conditions routières, informations sur les chantiers routiers, conseils de sécurité routière, etc.) devra être diffusé en direct, 365 jours par année, de 4 h 30 le matin à 1 h dans la nuit les jours de semaine et de 6 h à 1 h les fins de semaine.
Toujours selon le document, les stations doivent être mises en œuvre au plus tard le 1er octobre 2011. Le chroniqueur à la circulation Pierre Lacasse n'a eu qu'un seul mot pour réagir à cette nouvelle : «C'est génial ! Il était temps que ça se fasse. [...] Depuis la fermeture d'INFO 690, il y a eu un recul de 25 ans.» Le MTQ précise que le montant approximatif du contrat est de 1,5 million $ par année pour chacune des stations et qu'il s'agit d'un contrat de trois ans avec possibilité de réévaluation.
Pour l'instant, le MTQ a identifié COGECO Diffusion comme étant «le seul prestataire au Québec à posséder un équipement répondant aux exigences [...] de même qu'une expertise technique pour assurer un bon fonctionnement».
Le MTQ n'a pas voulu accorder d'entrevue à TVA Nouvelles concernant ce projet.

REF.:

M. Côté serait intéressé par un 3ième emploi ?

Contacté M. Côté au numéro : (1-514-999-9999) après 17:00 Hrs s.v.p.
ou par eMail ,.............ICI !

A côté de Mame Paillé, M. Côté ,c'est celui qui est pas a côté de la traque

Après Mme Paillé: M. Côté, un citoyen qui s'appauvrit

Fédérales 2011 - Après Mme Paillé: M. Côté, un citoyen qui s'appauvritQUÉBEC – Bruno Côté est demeuré convaincu que la classe moyenne continuera à s’appauvrir, après avoir entendu les réponses que lui ont données les quatre chefs politiques à l'occasion du débat en français présenté sur les grandes chaînes de télévision cette semaine.
M. Côté a été l’un des citoyens qui, comme Muguette Paillé, ont participé au débat des chefs en leur posant des questions. Il a expliqué que son salaire de fonctionnaire ne permettait pas à sa famille de joindre les deux bouts et qu’il a dû se trouver un deuxième emploi. Il travaille donc à temps partiel depuis 10 ans comme chauffeur d’autocars. Il a demandé aux politiciens ce qu’ils comptent faire pour la classe moyenne qui s’appauvrit.
«C’est une question que je porte depuis des années, explique-t-il en entrevue. On s’appauvrit tout le temps. Le chèque de paie n’augmente pas, le coût de la vie augmente, il y a le prix de l’essence... À l’épicerie, les contenants diminuent et les prix augmentent. Puis il y a les études des enfants. Je ne vois pas comment le gouvernement fédéral nous a aidés. Il n’y a rien pour la famille.»
«Éviter les réponses»
Les chefs politiques n’ont pas répondu à sa question, affirme Bruno Côté. «L’art de tout politicien est d’éviter les réponses. Mais j’ai accueilli celle de [Jack] Layton (plafonner à 5 % les taux d’intérêt sur les soldes de cartes de crédit). Ce fut la réponse la plus concrète.»
M. Côté ira tout de même voter, le 2 mai, pour accomplir son devoir de citoyen. Il souhaite que le prochain gouvernement soit minoritaire pour qu’il demeure à l’écoute des autres partis et des citoyens, dit-il.
Bruno Côté ne se fait pas d’illusion. Les réductions d’impôts aux grandes entreprises demeureront. «Les politiciens savent que c’est du suicide politique s’ils enlèvent les abris fiscaux, dit-il. Les caisses électorales en dépendent. Les riches continueront à s’enrichir, la classe moyenne et les pauvres s’appauvriront. Il n’y a aucune volonté de changement. Les promesses de politiciens, c’est comme écrire sur la glace au printemps, ça fond comme neige au soleil.»
Bruno Côté ne cache pas son penchant pour le NPD, le parti le plus proche des citoyens, croit-il. Il se dit sympathique à la cause du Bloc québécois, mais «commence à trouver qu’ils font du surplace à Ottawa».
REF.:

Quand la main du médecin vieillit ,la machine le remplace et évite des accidents d'incision involontaire

Santé - Intubés par un robot
Une équipe de l’Hôpital général de Montréal s’affaire autour d’un patient intubé par le nouveau robot. C’est la première fois au monde qu’on utilise un système robotisé pour l’intubation. 
© Courtoisie CUSM

Au cours des dernières semaines, trois patients de l'Hôpital général de Montréal ont été intubés par un robot. Une première mondiale qui risque de faire des petits.
Votre opinion: Seriez-vous inquiets de subir une intubation avec un système robotisé ?
L'appareil en question, baptisé «kepler intubation system» (KIS), a été mis au point par le Dr Thomas Hemmerling et son équipe. Selon les premiers résultats, il permet de faciliter l'intubation et réduire les risques associés à la procédure.
«C'est un robot qu'on contrôle avec un joystick comme un jeu vidéo avec un écran comme centre de contrôle» illustre le spécialiste en anesthésie du Centre universitaire de santé McGill.
Il s'est inspiré d'une autre de ses inventions, le McSleepy, qui permet l'administration automatique de médicaments d'anesthésie. Le robot est aussi le petit frère du robot Da Vinci utilisé par les chirurgiens depuis quelques années.
Les patients ne sont pas trop inquiets de subir une intervention robotisée ? «À l'Hôpital général de Montréal, les patients ont de plus en plus l'habitude des robots. Il y a même des patients qui veulent être opérés par un robot. Il y a donc un grand degré d'acceptation», dit-il.
Avant de procéder à des interventions, l'équipe a fait plusieurs tests sur des mannequins aux caractéristiques humaines.
Une intervention délicate
Selon le Dr Hemmerling, l'utilisation du robot permettra d'être plus efficace. L'intubation est une procédure complexe que les médecins non expérimentés ont souvent de la misère à faire. Il faut insérer un gros tube par la bouche tout en évitant de causer des blessures dans la bouche ou les voies respiratoires.
«C'est pas facile. Il y en a beaucoup (de médecins) qui n'en font pas souvent. Il y a aussi la barrière psychologique puisqu'il faut insérer quelque chose de gros dans la gorge du patient», explique-t-il.
«Nous pensons que KIS peut aider les anesthésistes à utiliser leurs bras et leurs mains avec moins de force, mais avec une plus haute précision et plus sûrement.»
L'intubation doit aussi être faite rapidement puisque la vie du patient peut être en danger au bout de quelques minutes seulement. Cette pression crée aussi des difficultés pour les spécialistes qui doivent intervenir.
Pour éviter que les patients ne soient blessés par le robot, on a limité l'amplitude des mouvements. Au cours des prochains mois, on va ajouter des détecteurs de pression et des éléments pour redonner du feedback au médecin qui manipule les manettes de contrôle. «On veut que ce soit le plus automatique possible. Le chirurgien va être comme le conducteur dans une voiture», soutient le spécialiste.
Intubation à distance
Selon lui, l'appareil pourrait permettre des interventions à distance sous peu. «Grâce à la fibre optique, on peut envisager de faire des intubations à distance dans les domaines militaires ou ambulanciers par exemple. Les gens qui ne font pas ça souvent ne sont pas aussi précis.»
Le Dr Hemmerling voit grand pour la récente invention et il espère que son nouveau robot sera utilisé un peu partout à travers le monde au cours des prochaines années. «C'est toujours le fun de voir votre produit prendre la plus grande place dans le monde. On veut faire un plus petit prototype et on espère en faire un produit commercial », dit-il.
Au cours des prochaines semaines, on souhaite intuber plusieurs patients de façon hebdomadaire. On en profitera pour ajouter de nouvelles applications à l'appareil pour le rendre plus performant et maniable.

L'insertion d'une sonde endotrachéale permet une ventilation artificielle, utilisée dans la majorité des cas d'anesthésie générale.
Le Dr Hemmerling et son laboratoire avaient présenté le McSleepy en 2008. Depuis, il est utilisé sur une base régulière dans les installations du Centre universitaire de santé McGill.

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Les gros exclus des écoles ?

Sorel-Tracy - Transformer l'intimidation en positif
 
© TVA Nouvelles
Sorel-Tracy

Transformer l'intimidation en positif

SOREL-TRACY – Agacés par l'intimidation dans les écoles québécoises, un jeune et sa mère ont décidé de prendre les choses en main et d’organiser une marche qui se déroulera samedi à Sorel-Tracy.
C'est le jeune Maxime Collard, lui-même victime d'intimidation depuis qu'il est à l'école primaire, qui a pris cette initiative. «On me traitait de gros, a-t-il résumé. Moi et mon ami, on se promène, et des fois, on se fait écoeurer.»
Face à l'engouement sur Facebook pour le projet de son fils, Isabelle Marchand a décidé d’y contribuer en contactant de nombreuses personnalités publiques pour les inviter à prendre la parole.
La ministre de l'Éducation Line Beauchamp, l'animateur Jasmin Roy et l'humoriste Jean-Marie Corbeil prendront part à cette manifestation.
«Il ne faut pas laisser aller ça, a soutenu Isabelle Marchand. Trop d'années, on a toléré l'intimidation. Il faut que ça change dans les commissions scolaires, parce qu'il y a beaucoup de décrochage, beaucoup de suicides.»
Elle se promet également de poursuivre sa lutte contre l'intimidation après le rassemblement de samedi. «Ça ne finit pas là, a-t-elle affirmé. On va nous voir partout au Québec.»
Une pétition sera d'ailleurs lancée samedi. Isabelle Marchand invite les citoyens intéressés par cette initiative à la contacter à l'adresse papillon03@tva.ca.

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Le Québec devra devenir des végétarien$


Faillite

400 fermes porcines pourraient disparaître

SANS INDICATIF - Quelque 400 fermes porcines risquent d’être acculées à la faillite d’ici deux ans si les gouvernements ne les épaulent pas davantage financièrement. Des centaines de producteurs ne seront pas en mesure d’amorcer, en mars 2012, le remboursement d’avances de fonds qu’ils ont obtenu d’un programme fédéral pour redorer leur bilan.
Ils sont près de 900 producteurs québécois à s’être partagé 130 millions $ provenant du Programme de paiement anticipé (PPA) d’Ottawa.
La Fédération des producteurs de porcs du Québec indique que la presque totalité de ces agriculteurs ne seraient pas en mesure de rembourser ces prêts si les paiements devaient s’amorcer dès aujourd’hui.
En coulisse, des acteurs du monde agricole affirment que jusqu’à 400 fermes risquent de devoir lancer la serviette en 2012 lorsqu’ils devront commencer à rembourser ces dettes. C’est une ferme sur cinq qui risque d’écoper ou 22 % des 1800 que compte le Québec.
Des fermes fragiles
« Les producteurs ne font pas leurs frais parce que le coût des intrants (NDLR : grain, médicaments) est très élevé et que leur situation est précaire depuis plusieurs années », a expliqué Jean-Guy Vincent, président de la Fédération des producteurs de porcs du Québec.
Après avoir été frappée par la chute des prix du porc, la vigueur du dollar canadien et la grippe AH1N1, voilà que l’industrie porcine est victime de la restructuration de la Financière agricole du Québec.
L’institution a réduit les compensations versées aux éleveurs de porcs l’an dernier afin de résorber le déficit de son Fonds d'assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA).
Ce Fonds dédommage les agriculteurs lorsqu’ils vendent leurs produits à perte en raison d’un écart entre leurs coûts de production et les prix en vigueur sur le marché. Au 31 mars 2010, le déficit de l’ASRA s’élevait à près de 760 millions $.
Le bilan 2010-2011 de la Financière ne sera publié que dans quelques mois, mais le milieu agricole estime qu’un surplus d’une centaine de millions devrait permettre à l’institution de résorber une part du déficit de l’ASRA. Effort collectif
« On s’est amélioré. On a réduit nos coûts de production, mais ce n’est pas uniquement à nous de soutenir la présence de l’agriculture dans l’économie. Nos gouvernements doivent se commettre », a lancé Jean-Guy Vincent.
La Fédération veut que la Financière agricole réduise de 10 $ à 7 $ la prime d’assurance payée par ses membres pour financer le Fonds ASRA.
« Il faut que la prime d’assurance soit alignée aux compensations. On a versé des compensations très importantes depuis quelques années. On a donné 1,8 milliard $ entre 2006 et 2010 aux producteurs de porcs alors qu’ils ont payé 440 millions $ en primes », a précisé Mélanie Fiset, porte-parole de la Financière agricole.
La Fédération des producteurs de porcs souhaite aussi que Québec bonifie le programme d’adaptation qu’elle a lancé l’automne dernier pour aider les producteurs à redresser leur entreprise.
« Il y a 135 millions $ dans cette stratégie là. Il est certain qu’on va sauver des producteurs, mais on ne va pas arriver à tous les sauver », a affirmé Hélène Doddridge, directrice au ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.
L’industrie porcine entraîne des retombées de 1,5 milliard $ par année au Québec en plus de générer 24 000 emplois. Plus de 50 % des porcs produits dans la province sont exportés.

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