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lundi 10 décembre 2012

Film a voir: We Are Legion - The Story of the Hacktivists

Durée

1h33

Genre

Documentaire

Origine

  • États-Unis

Date de sortie au Québec

19 octobre 2012

Synopsis

Ils viennent de partout à travers le monde. Ils se sont rencontrés sur Internet, où ils ont lentement pris conscience du pouvoir que leur confèrent leurs habiletés informatiques. Ils n'ont pas d'objectif politique précis, sinon de lutter contre les visages multiples du totalitarisme moderne. Leur arme? L'information. Cachés derrière leur masque de Guy Fawkes, ils s'agitent dans l'ombre afin de lutter contre les cibles du moment, tantôt une secte, tantôt une multinationale, tantôt un gouvernement... Ils sont des activistes modernes, des passionnés d'informatique prêts à mettre leur talent aux services de leurs semblables... Ils sont légion. Ils ne pardonnent pas. Ils sont Anonymous.


 http://www.cinoche.com/films/we-arelegion-the-story-of-the-hacktivists/bandes-annonces/90917/index.html

REF.:

dimanche 9 décembre 2012

Vers une réforme en profondeur de la gouvernance mondiale de l'Internet ?


Un bras de fer s'engage entre les Etats-Unis, qui contrôlent de facto l'Internet via l'ICANN et l'IANA, et d'autres pays, dont la Russie et la Chine, qui veulent voir ce rôle dévolu à l'ONU via l'Union Internationale des Télécommunications. Un certain nombre d'associations militantes et d'acteurs de l'Internet ont récemment pris position sur le sujet. Le sujet est brûlant, car tout va se jouer début décembre 2012 à la Conférence Mondiale des Télécommunications Internationales...

Tout vient du télégraphe

Revenons plus de 150 ans en arrière, au tout début de l'industrie des télécommunications : en 1840 Samuel Morse a inventé le télégraphe électrique qui permet de transporter de l'information très rapidement et sur de longues distances. En 1843 il déploie la première ligne télégraphique qui relie Baltimore et Washington, sur la côte est des USA, puis lance la « Western Union Telegraph Company» qui existe toujours aujourd'hui.
La télégraphie connaît un formidable développement : le premier câble télégraphique transmanche est mis en service en 1851 entre Douvres et Calai et la première ligne transatlantique est inaugurée entre la Grande-Bretagne et les États-Unis en 1866.

L'Union Internationale des Télécommunications

Afin de coordonner le déploiement international du télégraphe autour de normes permettant son interopérabilité a été créée en 1865 l'Union Internationale du Télégraphe, devenue depuis l'Union Internationale des Télécommunications (UIT ou ITU en anglais). Placée sous l'autorité des Nations Unies, cette institution est en charge des télécommunications, et regroupe aujourd'hui 193 pays et plus de 700 organismes du secteur privé, associatif et universitaire.
C'est l'UIT qui a accompagné, en édictant des normes techniques, le déploiement international du téléphone, puis des télécommunications au sens large, durant le dernier siècle.

Le Règlement des Télécommunications Internationales de 1988

En 1988, donc bien avant l'essor de l'Internet et de sa diffusion massive dans le grand public, a été adopté le Règlement des Télécommunications Internationales (RTI). Ce traité international, qui a force obligatoire, régit « la façon dont les pays relient entre eux toutes sortes de réseaux d'information et de communication, qu'il s'agisse de réseaux à fils de cuivre ou de liaisons par satellite ou encore de technologies de données sans fil ». Le RTI « facilite l'interopérabilité et encourage le développement harmonisé des communications dans le monde. Il constitue le cadre de l'infrastructure internationale des communications téléphoniques et, sans lui, le réseau mondial Internet ne serait pas aussi efficace ».
Depuis, l'Internet a connu l'énorme croissance que l'on connaît, tant sur les réseaux fixes que mobiles, et la question de la mise à jour du RTI a été régulièrement posée.  Cette remise à plat du traité sera finalement à l'ordre du jour de la prochaine Conférence Mondiale des Télécommunications Internationales qui se tiendra à Dubaï du 3 au 14 décembre 2012.
Cette conférence pourrait amener une modification en profondeur du cadre réglementaire actuel pour l'industrie des télécoms et de l'Internet. Et c'est très compliqué, parce que l'UIT elle-même, ainsi que ses pays membres, ne partagent pas les mêmes attentes quant au résultat de la Conférence sur le RTI.

Les positions antagonistes de certains pays

D'un côté, de nombreux pays souhaitent que la conférence étende l'autorité de l'UIT, notamment sur la gouvernance de l'Internet. On retrouve dans ce camp la Russie et la Chine, qui ont rallié à leur cause de nombreux pays, notamment des pays émergents ou en voie de développement. Le Secrétaire Général de l'UIT, M. Hamadoun Touré, milite pour l'élargissement du champ d'application du traité : « Nous avons besoin de mettre à jour le RTI, car sans cela, les réseaux des TIC qui étayent toutes les technologies des communications, y compris l'Internet, risquent de s'effondrer », a-t-il déclaré.
En face, d'autre pays, au premier rang desquelles les Etats-Unis qui ont la main sur une partie de la régulation mondiale de l'Internet via l'ICANN où il a un droit de veto et l'IANA qu'il contrôle directement, estiment qu'une simple modernisation du traité est suffisante, sans nécessité de revisiter de fond en comble la régulation es télécommunications, et surtout de l'Internet.
Sur la table ont été posées un certain nombre de propositions pour la révision du RTI. Ces propositions concernent des sujets comme la gestion et les coûts d'accès et d'interconnexion à l'Internet, la réglementation de l'itinérance, la cybersécurité, ainsi que l'obligation d'appliquer les recommandations de L'UIT. D'autres propositions ont été faites, concernant la réglementation internationale de l'Internet.
L'enjeu est de taille, car certains des changements proposés par le groupe en faveur d'une révision en profondeur du RTI pourraient transformer l'UIT en un « régulateur supranational » et les recommandations de l'UIT en de véritables lois. Une telle évolution est jugée comme favorable pour les pays émergents, qui désapprouvent la façon dont les questions de télécommunications sont traitées actuellement, car elle ne prend pas suffisamment en compte leur besoins économiques et privilégie les grandes groupes internationaux de télécommunications.

Réactions de la société civile, d'acteurs de l'Internet et d'une parlementaire  française

La Confédération Syndicale Internationale a pris position cette semaine, par un communiqué titré « Internet menacé ». Pour la plus importante organisation syndicale internationale, une révision  en profondeur du RTI fait courir un vrai risque : « certains gouvernements vont tenter, à huis clos et en dehors de toute transparence, de saper cette approche à multiples parties prenantes. Ce qui est en jeu est très important, c'est pourquoi nous avons décidé d'écrire au Secrétaire général des Nations Unies afin de l'alerter des risques encourus. »
Considérant que « les changements proposés permettraient  que les gouvernements restreignent ou bloquent l'information qui est diffusée via l'internet , qu'un régime mondial de surveillance des communications par internet soit mis sur pied, y compris l'obligation de s'identifier imposée à ceux qui envoient et reçoivent des informations , que l'on autorise seulement une utilisation « rationnelle » d'internet , que les gouvernements imposent une fermeture d'Internet s'il est estimé que celui-ci peut interférer dans les affaires intérieures d'autres États ou encore que des informations « sensibles » par nature pourraient être échangées, qu'un nouveau régime de fixation des prix soit introduit, ce qui ralentirait la croissance de l'internet, en particulier dans les pays les plus pauvres. » la CSI a écrit à M. Ban Ki Moon, Secrétaire Général de l'ONU, et lancé une campagne « Stop the Net grab » avec des actions de communication et de signature de pétitions.
Le gouvernement français a lancé une consultation sur ce sujet, pilotée par le ministère du redressement Productif.
Les résultats de cette consultation, qui s'est terminée il y a une semaine, ne sont pas encore connus. Pour autant, des acteurs de la société civile ont tenu à exprimer leur position :
L'AFNIC s'est exprimée par un communiqué du 13 novembre. Pour le registre en charges des noms de domaines français, le RTI « a eu un rôle positif dans l'essor de l'Internet tel que nous le connaissons aujourd'hui ». Mais l'AFNIC « met en garde contre une extension du caractère obligatoire des normes et standards techniques élaborés dans le cadre de l'UIT. Elle appelle en revanche à une meilleure coordination ent re cette institution spécialisée des Nations-Unies et les organismes techniques de l'Internet, ainsi qu'à un renforcement de son action de lutte contre la fracture numérique internationale. »
La réponse de l'AFNIC à la consultation gouvernementale est publiée ici.
La Quadrature du Net a également fait valoir ses positions. Pour cette association militante en faveur d'un Internet libre et ouvert, « Les propositions de certains pays relatives à la lutte contre la cybercriminalité, l'adressage et le routage IP, voire la rétention des données et à la traçabilité des communications Internet au niveau international, affecteraient les politiques nationales et internationales relatives à Internet. Elles pourraient motiver, directement ou indirectement, des législations totalement contraires à la protection des droits fondamentaux sur Internet ». Et la Quadrature du Net enfonce le clou : « Dans un contexte où nombre d'États de par le monde tentent dans les forums internationaux que sont l'ICANN ou les Nations-Unies de remettre en cause le modèle de gouvernance technique décentralisée et « multipartite », essentiellement fondé sur la coordination au travers de groupes comme l'IETF ou le W3C, ces craintes pourraient être justifiées. Elles doivent appeler de la part des autorités françaises et européennes une opposition ferme. »
La réponse de la Quadrature du NET à la consultation gouvernementale est publiée ici.
L'ASIC, Association des Services Internet Communautaires qui regroupe des acteurs de l'Internet français comme , rappelle que : « Dans le monde entier, des régimes non-coopératifs mettent en place ou proposent des mesures pour contrôler l'Internet ou restreindre la liberté d'expression. Aujourd'hui, pas moins de 40 gouvernements censurent Internet. Ils étaient 4 en 2002. Les chiffres ne sont pas encourageants ». « Attachée au principe d'un Internet ouvert et à une gouvernance multi-acteurs de ce dernier, l'Association des Services Internet Communautaires (ASIC) souhaite faire part de ses vives inquiétudes au sujet de la menace que pourrait constituer la révision du RTI pour l'avenir de l'Internet ».  La conclusion de l'ASIC est aussi ferme que claire : « L'ASIC reste convaincue que l'approche multi-acteurs de la gouvernance d'Internet a contribué à sa croissance fructueuse et devrait être encouragée à l'avenir. Plutôt que d'utiliser des organisations intergouvernementales comme l'UIT, qui manquent de transparence, pour développer une politique destinée à encadrer Internet, nous devrions nous concentrer sur la réforme de structures comme l'ICANN afin qu'elles soient plus ouvertes. Nous croyons également que l'UIT devrait entreprendre simultanément un plan de réforme structurelle pour améliorer sa propre transparence. »
La réponse de l'ASIC à la consultation gouvernementale est publiée ici.
Laure de La Raudière - Twitter : @lauredlrEt bien que, comme on l'a vu, la France n'a pas encore officiellement pris position, la député Laure de la Raudière a interpellé le gouvernement dans une question écrite lui demandant de préciser sa vision des choses, notamment au regard de la défense de la neutralité de l'Internet : « Plusieurs États membres ont fait des propositions d'amendements, visant à étendre les compétences de l'UIT jusqu'à présent essentiellement techniques, à des sujets tels que la cybercriminalité, l'adressage et le routage IP, la rétention des données et à la traçabilité des communications Internet au niveau international... Il semble donc que les négociations prennent un tournant très politique et s'avèrent cruciales pour l'avenir de l'Internet. Elle souhaiterait savoir si le Gouvernement défendra une position favorable à la neutralité d'Internet et qu'elle sera la définition de neutralité d'Internet dont il assurera la promotion. »

Quelle position adopter dans ce débat complexe ?

J'avais naguère évoqué le sujet dans un de mes tout premiers billets.
Aujourd'hui, je considère qu'il ne faudrait pas que des organisations internationales où des jeux politiques opaques s'exercent en viennent à réguler Internet de façon trop étroite. Quand on voit que la Chine et la Russie sont les plus en pointe pour inclure le contrôle d'Internet dans la révision du RTI, et quand on constate les positions de ces pays dans les instances internationales, particulièrement à l'ONU et à son Conseil de Sécurité, il me semble qu'on doit faire preuve de la plus grande prudence.
Pour autant, j'estime qu'on ne peut pas non plus se satisfaire d'une situation où un seul pays, les USA, via des instances peu démocratiques comme l'ICANN ou sous son contrôle direct comme l'IANA, a la haute main sur l'Internet, devenu en moins de 20 ans un « bien commun de l'humanité ». Une révision des statuts controversés de l'ICANN et de l'IANA menant à plus d'ouverture internationale et à plus d'indépendance vis-à-vis des USA, à l'image de ce qu'est déjà le W3C, serait déjà à mes yeux une évolution très positive, et peut-être suffisante, pour améliorer la gouvernance de l'Internet.
Et vous, lecteurs, que pensez-vous de la régulation de l'Internet au niveau mondial ?
Ne serait-il pas important que l'Union Européenne exprime une position commune sur ce sujet majeur ?


mercredi 5 décembre 2012

Google implanter une puce ,dans votre cerveau ?


Peut-être,........mais votre carte d´identité sera-t-elle bientôt une micro puce implantée sous votre épiderme ?

Reproduction autorisée pour les bloggers à condition de CITER CLAIREMENT  SpreadTheTruth.fr
Reproduction strictement interdite pour tous les médias, tous supports(Alterinfo, Agoravox, presse écrite ou radiophonique, forums de discussions…etc)
Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr


Voilà une autre étape importante de la science fiction: des micro puces implantées sous votre peau et utilisées pour vous identifier.
VeriChip est la première micropuce d´identification par radio fréquence (RFID) autorisée par la Food and Drug Administration à être utilisé sur les hommes. La puce a la taille d´un long grain de riz et peut être implantée dans n´importe quelle partie du corps (habituellement le long du triceps). En fonction du mode d´utilisation, la puce peut faire beaucoup de choses telles que renseigner le médecin sur votre état de santé, etc…
En dehors du corps humain, le RFID est déjà utilisé dans de nombreuses applications. Si vous achetez des tickets de péage de manière électronique, sachez que cette petite boite qui se trouve dans votre voiture contient une balise RFID. La plupart des gens font implanter des puces sur les animaux de compagnie pour être en, mesure de les retrouver s´ils s´égarent.
Car de plus en plus de Société Protectrice des Animaux analysent les bêtes pour scanner les puces et les restituer à leurs propriétaires. Wal-Mart surveille ses cargaisons de marchandises grâce à la RFID qui a apparemment révolutionné la gestion de la chaîne logistique. Bon Dieu! Il y en a même une dans votre passeport.
Mais pourquoi en inserer une dans votre corps? la plupart des personnes préfèrent supporter de faire la queue à la DMW plutôt que d´accepter l´injection de la graine de riz. Pour sûr, ce pourrait être un bon sujet de conversation au cours d´une fête. Mais cela en vaut-il la chandelle? Quelles sont les conditions requises pour accepter de se faire implanter une puce?
VeriChip Corp. commercialise ses produits pour répondre à ce qu´elle appelle « une impérieuse nécessité d´identifier et d´informer le personnel dans les situations d´urgence. » Au cours des deux derniers années, cette entreprise a testé son produit sur 200 patients souffrant de la maladie d´Alzheimer dans les institutions sanitaires de la Floride. Du fait de leur état, la plupart des patients sont incapables de communiquer efficacement s´ils sont admis dans les hôpitaux sans la presence de gardes-malade.
La puce VeriChip contient un numéro de 16 chiffres qui constitue un lien entre le récepteur et une base de données sécurisée, contenue dans un ordinateur, où les informations médicales sont stockées. Les puces sont utilisées à la place des bracelets électroniques MedicAlert, qui peuvent être enlevées ou endommagées.
La plupart des autres applications des implants RFID sont d´ordre médical : Fournir immédiatement aux médecins le dossier médical du patient, permettre d´identifier ces derniers s´ils sont inconscients ou incapable de parler. Toujours est-il que ces applications nécessitent que chaque hôpital dispose d´une base de données stockée dans un ordinateur auquel est connectée la balise contenant les informations individuelles de chaque patient.
De ce point de vue, il y a encore un long chemin à parcourir.
Heureusement, les hôpitaux ne constituent par le seul terrain pour le test des puces RFID implantées sous la peau. Dans une boite de nuit de Barcelone, appelée Baja Beach, l´on a commencé à offrir des implants aux clients, ce qui leur permet d´avoir accès au salon VIP et d´acheter les boissons comme s´il s´agissait de compte de débit. Personne ne veut s´encombrer d´un portefeuille ou d´un porte-monnaie alors que la mode est aux maillots de bains et bikinis.
Baja Beach a signé un contrat avec VeriChip Corp. afin qu´elle fabrique leurs cartes de membres sous-cutanées via une puce RFID.
Par le passé, VeriChip Corp. a affirmé que les puces qu´elle produit sont infalsifiables et impiratables: Si votre carte d´identité est logée sous votre peau, elle ne peut être facilement volée et difficilement piratable.
C´est faux. Au cours d´une conférence regroupant les pirates informatiques en 2006, Annalee Newitz et Jonathan Westhues ont montré qu´ils avaient cloné avec succès une puce RFID implantée dans le corps de Newitz. Une antenne construite par un amateur permet aux pirates informatiques de voler l´unique identité contenue dans la puce qui n’est pas protégé.
Si les puces RFID ne sont pas vraiment sécurisées, la plupart des personnes n´accepteront pas de voir intégrer leur numéro de sécurité sociale dans cette puce. Apres tout, si un médecin peut extraire votre dossier médical de la puce (un pirate peut aussi le faire), qu´est-ce qui empêche votre assureur? Ou les voleurs d´identité?
Toutes ces données restreignent l´utilisation des numéros aléatoires, correspondant aux informations utiles stockées dans une base de données distincte et sécurisée. En attendant que l´utilisation de ces bases de données soit standardisé et répandues, la possession d´une puce électronique n´amènera pas le médecin à vous rendre visite le plus souvent.
Comme vous l´imaginez déjà, les puces insérées dans le corps ont suscité de fortes réactions de protestation. L’association AntiChips qualifie la puce VeriChip d´ « étiquetage de l´homme », surtout dans le cas des « volontaires » du programme relatif à la maladie d´ Alzheimer. Il affirme aussi que les puces provoquent des cancers (il cite un certain nombre d´études réalisées sur les animaux) et estiment que le FDA(Federal Drug Administration) doit retirer son approbation. Il existe également un certain nombre de risques supplémentaires que le FDA reconnaît déjà : les réaction des tissues, la migration de la puce, et même la possibilité que la puce soit conductrice d´un courant issu des aimants IRM susceptible de brûler le patient.
Et ce n´est que le début. Les puces ont été qualifiées de précurseurs d´un parfait Etat totalitaire qui permet à l´Oncle Sam (ou Illuminati ou quelqu´un d´autre) de surveiller chacun de vos mouvements. D´autre part, certains groupe religieux estiment que la puce VeriChip fait partie d´un complot impliquant la marque de la bête (666), élément d´une théorie du complot visant à rivaliser le plus créatif des hommes de gauche.
Mais si je peux exprimer mon opinion, je dirais qu´il y a trop de battage médiatique autour de cette histoire. Honnêtement, il n´y a véritablement pas de bonnes applications pour un implant RFID.
Certainement, ils pourraient contribuer à l´amélioration des soins de santé (si et seulement si le patient est inconscient), mais pour que ce système soit efficace, il faudrait que chaque hôpital intègre les puces dans ses procédures établies.
Considérez le manque d’applications pratiques, les inquiétudes légitimes sur le piratage d´informations sur l´identité et les risques liés à la santé et pouf! Voilà la révolution.
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http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=2204

Coupable : Les grandes corporations ou Obama ? .....Devine !


Cette semaine aux Francs-Tireurs, Patrick Lagacé s'entretient avec le journaliste et essayiste John R. MacArthur qui dirige depuis 1983, le Harper’s Magazine, le plus ancien mensuel des États-Unis. Alors que ses écrits sont fortement marqués à gauche, il s’avère être l’un des critiques les plus virulents de l’administration Obama, qu’il accuse d’avoir déçu les espoirs de réformes qu’avait suscités son élection en 2008 et d’être, comme d’autres Présidents avant lui, à la solde des grandes corporations. Suite à la réélection d’Obama et du ton conciliant de son discours de victoire, doit-on s’attendre à un glissement de plus en plus marqué de son administration vers la droite? MacArthur, de son bureau new-yorkais, analyse la situation sans ménagement : «Obama est un démocrate... vendu !»Obama comme tous les autres ne feront rien sans l'$ des grandes corporations,qui dirige la Maison Blanche! Comme on ne peut pas éliminer l'argent,alors les corpos reigne en Roi et Maîtres ! Tous les présidents courbe l'échine face a eux ;-)


Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh! t'es pas assez Franc pour dire que c'est les grandes Corporations qui dirige les pantins de la Maison Blanche ,......Obama ...............Pantin,regarder donc les ficelles ;-) au bout c'est eux $$$$666$$$$

REF.:  Émission 381,

Le CRDI l'Estrie,qui chapeaute le Centre Notre-Dame de l'enfant et l'Envol sont dans l'eau chaude


La mort d'un homme de 33 ans atteint d'une lourde déficience intellectuelle dans une maison de répit de Sherbrooke soulève de sérieuses questions quant à l'encadrement qui est offert aux personnes vulnérables dans les résidences spécialisées du Québec.

Mort d'un déficient intellectuel: poursuite contre la résidence Envol

La mère de Sébastien Roy, Diane Roy, en... (Photo: ANdré Pichette, La Presse)
La mère de Sébastien Roy, Diane Roy, en conférence de presse mercredi à Montréal.
PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE


























Lorsque Diane et Christian Roy sont allés reconduire leur fils Sébastien à la résidence Envol, à Sherbrooke, pour un répit de deux semaines, ils étaient persuadés qu'il y serait en parfaite sécurité. Ils se trompaient. Après la première semaine, Diane Roy a reçu un appel de la résidence. Son fils, atteint d'une grave déficience intellectuelle, d'épilepsie et d'hyperactivité, s'était noyé dans son bain. On a tenté de le réanimer. Le décès a été constaté à l'hôpital.
Selon la famille, les employés auraient omis de donner à Sébastien ses médicaments contre l'épilepsie. Ils l'auraient ensuite laissé seul dans son bain. «Il aura fait une crise», croit sa mère. Plus de deux ans après la tragédie, la blessure est encore vive. «On leur faisait confiance», dit la femme. «J'ai baissé ma garde. Je n'aurais pas dû.»
Elle, son conjoint et leur fille ont intenté mercredi une poursuite contre le Centre Notre-Dame de l'Enfant, qui gère l'Envol. «Il faut dénoncer le manque de contrôle du réseau de la santé et des services sociaux sur les ressources offrant du répit pour les proches des personnes vulnérables, estime leur avocat, Me Jean-Pierre Ménard, spécialiste en droit médical. Les services dans le réseau sont très inégaux. Ça manque de structure.»
L'histoire de Sébastien Roy n'en est qu'une parmi d'autres. «Les incidents sont nombreux. On entend des histoires de fractures, de brûlures et de toutes sortes de blessures, dénonce Diane Milliard, de l'Association du Québec pour l'intégration sociale (AQIS). Ce n'est pas le premier cas. Il y a déjà eu des rapports du coroner. Pourtant, rien ne change.»
Au centre de réadaptation en déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement (CRDI) de l'Estrie, qui chapeaute le Centre Notre-Dame de l'enfant et l'Envol, on assure que le décès de Sébastien Roy est un «incident de parcours». «Notre personnel est formé et nous sommes accrédités pour la qualité, martèle la directrice générale, Danielle Lareau. Il ne faudrait pas que cet événement ébranle la confiance de nos clients.» Depuis le décès du patient, le CRDI s'est acquitté des recommandations de la coroner Morin, dont celle de mettre en place un protocole de contrôle des médicaments. «Nous avons aussi décidé d'instaurer de notre propre chef un protocole d'assistance au bain adapté à chaque client», dit Mme Lareau.

mardi 4 décembre 2012

C ki l'cave ?

Si vous travaillez comme gérant ou gardien de sécurité dans un centre commercial, et que votre patron découvre que vous avez profité de votre position privilégiée pour faire des vols à l’étalage pendant trois ans, croyez-vous que vous allez partir avec une prime de départ ?
Non : il va vous sacrer dehors à coups de pieds dans le cul, et vous l’aurez bien mérité.

LE GOUDRON ET LES PLUMES

Mais dans les postes de haute direction, c’est différent.
Vous pouvez mettre votre entreprise dans le rouge, et arnaquer sans vergogne vos patrons et vos actionnaires pendant dix ans, vous allez partir avec une enveloppe bourrée d’argent.
Idem pour les élus.
C’est écrit en toutes lettres dans votre contrat : quelles que soient les conditions de votre départ — même si on vous sort de force de votre bureau à cheval sur un rail de chemin de fer avec du goudron et des plumes, dans le déshonneur et dans la honte, comme dans les albums de Lucky Luke —, vous avez droit à votre bonus, histoire de vous aider à « faire la transition » vers votre prochain boulot.
(…)

L’ex-maire de Laval Gilles Vaillancourt a reçu 250 000 $ en prime de départ, l’ex-maire de Mascouche Richard Marcotte, 160 000 $, et Frank Zampino, l’ancien bras droit de Gérald Tremblay, 168 000 $.
Quant à Pierre Duhaime de SNC Lavalin, il a empoché 4,9 millions quand on l’a relevé de ses fonctions.
Faites-vous montrer la porte, passez Go sous les huées et recevez un joli magot. C’est ce qu’on appelle être en business.

Le blogue de Richard Martineau

Les parachutistes (extrait)

- 3 décembre 2012 REF.: Texte au complet sur le site du Journal de Montréal

Voir l'action à 360 degrés en temps réel

Insolite - Un casque pour voir l'action à 360 degrés en temps réel
 
Photo Miguel Medina / AFP

Insolite

Un casque pour voir l'action à 360 degrés en temps réel


PARIS - Plus fort que les lunettes d'agent secret à rétroviseurs intégrés, des chercheurs français ont conçu le premier casque qui permet à son porteur de voir à 360 degrés en temps réel.
Ce prototype, baptisé FlyViz et présenté mardi à l'Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria, Paris), «propose pour la première fois une vision panoramique instantanée, à la fois sur les côtés et le dos, comme une mouche ou un caméléon», résume Anatole Lécuyer, directeur du projet.
Il ne s'agit pas de «réalité virtuelle» mais bien «d'augmenter le champ de vision naturel de l'être humain à 360 degrés latéralement», souligne M. Lécuyer.
Breveté, le système s'appuie pour l'instant sur des éléments disponibles dans le commerce: une caméra numérique classique, un ordinateur portable et un visiocasque grand public.
Fixée au sommet du casque, la caméra est braquée en l'air, vers un miroir hémisphérique qui lui permet d'acquérir des images sur 360 degrés. C'est comme filmer une «boule de Noël», l'observateur voit tout ce qui se passe autour de lui mais l'image est déformée, explique Jérôme Ardouin, enseignant, à l'origine du prototype dans le cadre de sa thèse de doctorat.
L'image doit donc être traitée pour la rendre intelligible et utilisable. Le procédé retenu par les chercheurs est une simple projection sphérique, similaire à celle utilisée par les cartographes pour restituer à plat le globe terrestre.
La scène n'a alors plus qu'à être retransmise sur l'écran du casque: ce qui fait face à l'utilisateur figure au centre de l'écran, sa périphérie s'étalant progressivement vers la gauche et la droite.
La scène située immédiatement derrière lui est, quant à elle, projetée sur les bords externes de l'image. Le visage d'un individu se tenant dans le dos du porteur du casque est ainsi divisé en deux, moitié gauche sur le bord gauche de l'écran, moitié droite à l'extrémité droite.
Les angles morts disparaissent totalement, avec un délai de transmission de seulement 83 millisecondes, largement suffisant pour permettre à Jérôme Ardouin de franchir une porte à reculons.
Mais «l'image est assez curieuse, il y a évidemment un apprentissage nécessaire pour l'utilisateur», précise Anatole Lécuyer, qui souhaite s'associer à des laboratoires de neurosciences et de psychologie pour tester ce système, avant de développer d'éventuelles applications.
Il pourrait certes être utile dans les domaines de la surveillance ou de la sécurité, permettant par exemple à des sauveteurs de localiser des dangers potentiels. Mais FlyViz est avant tout conçu comme un outil de recherche sur la perception humaine.



REF.: