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jeudi 16 août 2012

Opinon commanditée,Lobby du transport ou Taxé$ les incrédules ?

Le Lobby du transport existe,et existera toujours.Il exerce actuellement par ses représentants ,(avec Jippy Cailloux "La garnotte" La pierre)et ses opinions pour avoir la voix a des routes exempte le plus possible d'automobilistes pour éviter du trafic additionnel a leurs voix de transport.Le secteur St-Patrick en est un ,et un vrai(vous savez,la ou les 26 roues se park en double)! Car ,toutes les industries incluant la STM, y transite !


Actuellement les voix de détour du ministère du Transport(en cohésion avec les Lobbies,et la Ville de Mourialllle) ,concernant le détour 15 Nord et 20 Ouest ,occasionne un rallongement de parcours de plusieurs kylomètres pour la 20 Ouest (tunnel St-Rémi) au Montréalais.
Les camionneurs sont contant contant,la STM va bien et le Maire Fourra$ de la ville de Mouriallle perçoit ses taxe$ (environ de 1,5 a 3 cents/L)sur l'essence tout comme Chare$t  le fait (environ 16,2 cents/L soit 6 cents de plus que M. Big Mac Harper),c'est cool ,....................ont va moins payer d'impôt cette année ? ;-) ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,peut-être,................ LOL !



REF.: le Maire Fourra$,Charette Charette et Cie,Wharper and Co. , Ti-noir "the Gold Barrel"Lebrun ,

mercredi 15 août 2012

Marchés boursiers: les règles du jeu ont changé

«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment»,... (PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE)
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment», dit André Marsan, président de la firme Sigma Alpha Capital.
Des marchés boursiers toujours plus volatils. Des taux d'intérêt si bas qu'ils justifient de moins en moins l'achat d'obligations. Rien pour faciliter la gestion du portefeuille.
C'est sans compter la crainte pour les particuliers de voir un jour les gouvernements ou leurs employeurs être incapables de leur verser les rentes de retraite promises.
Pas surprenant alors que les bons stratèges boursiers soient de plus en plus recherchés. Et heureusement, le Québec en possède plusieurs. La Presse Affaires a discuté avec certains d'entre eux, et une constante se dégage. La gestion de portefeuille doit faire appel aux outils les plus modernes et ne doit pas hésiter à se métamorphoser.
«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment», avoue d'entrée de jeu André Marsan, président de Sigma Alpha Capital. «C'est devenu une affaire planétaire, et les moyens d'hier ne suffisent plus», dit-il.
Période de transition
Pour bien juger de la pertinence d'un placement aujourd'hui, il faut être conscient que la dynamique du monde de l'investissement est en pleine période de transition et que les notions qui l'ont guidé au cours des générations précédentes doivent être réévaluées, explique Stéfane Marion, économiste en chef et stratège à la Financière Banque Nationale.
Comme les taux d'intérêt sont plus bas que jamais et que les grands indices boursiers s'échangent à un multiple cours/bénéfices d'à peine 13 fois, les notions traditionnelles nous amèneraient à conclure que les actions constituent actuellement l'aubaine d'une génération. Mais attention, car des changements structurels importants modifient substantiellement la toile de fond.
On s'est habitué à vivre avec des multiples cours/bénéfices de 15 fois et plus, mais la croissance économique était alors de 4% et plus, explique le stratège de la Financière.
Depuis la crise financière, bien des règles ont changé. Les politiciens ont introduit beaucoup de volatilité dans les marchés. Et cela pourrait se poursuivre. «Nous sommes entrés dans une période de transition», dit M. Marion.
L'endettement des gouvernements
Pour combattre la crise financière et la récession qui a suivi, les gouvernements se sont endettés comme jamais auparavant. La croissance économique ne sera plus la même. Elle sera sûrement plus faible. Et les actions en Bourse pourraient fort bien commander un multiple cours/bénéfices nettement inférieur dans l'avenir.
De plus, le vieillissement de la population modifie la répartition globale des actifs. Les investisseurs sont à la recherche de rendement constant. Le concept de titres à dividendes est devenu une réalité. Les actions comme on les connaît pourraient être de moins en moins demandées.
De plus, comme les taux d'intérêt sont si bas, on est incité à prendre plus de risque, constate M. Marion. «Mais cela ne doit pas devenir la base de la gestion du portefeuille», dit-il.
Il faut se tourner vers d'autres classes d'actifs moins traditionnels, comme secteur agricole et l'immobilier. «L'industrie des services financiers n'aura d'autres choix que d'offrir aux particuliers toutes ces classes d'actifs», affirme-t-il.


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Auto a essence: Les Fabricants ont déja décidé pour nous ?

Le moteur à essence va nous enterrer

Le  président de Ford, Alan Mulally, embrasse le moteur Ford Écoboost de 1  litre, 3 cylindres qui a gagné le prix du moteur de l'année 2012 en  Europe.
Le président de Ford, Alan Mulally, embrasse le moteur Ford Écoboost de 1 litre, 3 cylindres qui a gagné le prix du moteur de l'année 2012 en Europe.
Photo fournie par Ford
Denis Arcand | La Presse
Publié le 15 août 2012 | Mise à jour le 15 août 2012 à 07h10
Ce graphique montre le ratio de la pression d'air à l'entrée et à la sortie d'un turbocompresseur Garrett GT-20.
Ce graphique montre le ratio de la pression d'air à l'entrée et à la sortie d'un turbocompresseur Garrett GT-20.
Non seulement le moteur à explosion n'est pas mort, il est là pour durer encore des décennies. En fait, quand tous les baby-boomers seront assez gagas pour avoir perdu leurs permis de conduire, dans 30 ou 40 ans, le moteur à explosion sera probablement encore le moteur de prédilection dans l'automobile.
Les ingénieurs essaient ces jours-ci toutes sortes de petites modifications qui, ensemble, vont presser plus de performance et de kilométrage de chaque goutte d'essence et, plus tard, de diesel. Le micro-perfectionnement du moteur à essence une des tendances fortes qui se dégagent d'un congrès de gestionnaires et d'ingénieurs automobiles qui s'est tenu ce mois-ci à Traverse City, dans le Nord du Michigan.

Par exemple, les ingénieurs planchent actuellement sur une modification grâce à laquelle la chaleur excessive générée par la combustion servirait utilisée pour chauffer plus rapidement les lubrifiants de la voiture, écrit le columniste Erik Vellequette, du magazine Automotive News, qui a assisté au congrès . Cela réduirait la friction dans le moteur et un peu partout, surtout durant l'hiver. La consommation d'essence des premiers kilomètres serait réduite.

«Pour atteindre nos objectifs, il faut qu'on améliore toutes sortes de petites choses, comme les athlètes olympiques», dit le PDG de la firme d'ingénierie FEV, cité par Automotive News lors du Séminaire du Center for Automotive Research, un colloque annuel.

C'est surtout un congrès où les grandes questions de production sont abordées. Mais on parle cette année des micro-perfectionnements envisagés parce qu'ils doivent être fabriqués pour pas trop cher et intégrés dans les méthodes de fabrication à la chaîne. En dernière analyse, toutes les améliorations proposées aux moteurs vont finir entre les mains d'ingénieurs en production. Si on peut les fabriquer sans être obligé de hausser beaucoup le prix des autos, elles auront le feu vert.

Voici les sujets qui intéressent les ingénieurs automobiles et qui pourraient prolonger la vie du moteur à explosion. On vous la présente en unités de mesure.

Centimètres cubes : les moteurs rapetissent; moins de volume, moins de cylindres. Les jours du V8 - et même du V6 -  sont comptés, mais le 4-cylindres est là pour très longtemps. Et les constructeurs préparent déjà des trois et deux cylindres qui auront la puissance des quatre-cylindres d'aujourd'hui. Les moteurs à un cylindre, qui s'en viennent en Europe, traverseront aussi l'Atlantique un de ces jours. Pour compenser, les moteurs vont finir par être dotés de turbos.

Kilopascals : en Amérique du Nord, environ 10 % des moteurs d'autos étaient munis d'un turbo en 2010. En 2016, 40 % des voitures neuves nord-américaines en auront un. Un turbo augmente la pression (de plus de 200 kilopascals, souvent) d'air dans la chambre de combustion des cylindres et permet un mélange air-essence plus efficace. En Europe, 85 % des voitures seront turbocompressées en 2015. On peut imaginer un avenir proche où toutes les voitures seront construites avec un moteur turbo.

Volts : la voiture tout électrique demeurera un petit marché jusqu'au milieu du XXIe siècle, selon un rapport récent du Département de l'Énergie. Indépendamment des vraies voitures hybrides, des composantes hybrides seront généralisées, comme le e-Assist (ou Mild Hybrid) de GM, où de petits moteurs électriques aident le moteur à explosion à basse vitesse. Cela permettra de rentabiliser le développement de systèmes comme le freinage régénératif, qui captent de l'énergie autrement perdue.

Degrés centigrades : la gestion thermique deviendra un sujet d'importance accrue. Les futurs moteurs réchaufferont leurs lubrifiants plus vite, pour réduire la friction. Le refroidissement à l'eau des gaz d'échappement sera généralisé, pour protéger les turbocompresseurs de la surchauffe.

Octanes : le moteur à explosion ne sera pas qu'à essence. Le diesel et l'éthanol vont continuer à se répandre et le gaz naturel aura un impact majeur sur notre continent bien avant l'auto électrique. Chrysler vient de commencer à produire un moteur HEMI de 5,7 litres au gaz naturel, pour le gros pick-up Ram. Cette camionnette, qui aura deux réservoirs de 130 litres pouvant tenir du gaz naturel comprimé à 25 000 kilopascals. Son coût d'exploitation par kilomètre sera trois fois moindre que celui du Ram à essence.

Newtons-mètre(ou livres-pied) : l'adaptation du moteur à explosion à un monde où l'essence est chère sera aidée par des transmissions plus sophistiquées, qui amélioreront le couple transmis aux roues par des moteurs plus petits.


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mardi 14 août 2012

Les Cons de la 55 ième de Dorval et les Cons dla STM ?

Dorval - Un autobus de la STM se renverse: deux morts
Une automobile a été lourdement endommagée lors de cette collision. 
Photo Michel Desbiens / Agence QMI

DORVAL – Deux personnes sont mortes, deux ont été blessées gravement et douze autres ont été transportées à l'hôpital à la suite d'une collision impliquant un autobus de la Société de transport de Montréal (STM) à Dorval. L'accident s'est produit vers 18h sur la 55e avenue à l'intersection de l'avenue Lindsay ,selon le Service de police de la Ville de Montréal.
Une automobile a été lourdement endommagée lors de cette collision qui a aussi impliqué une autre voiture en plus de l'autobus qui s'est renversé sur le côté.
Les pompiers tentaient toujours de dégager une personne qui était coincée dans ou sous l'autobus.

Deux personnes sont mortes et deux autres ont été blessés gravement, mardi soir, à la suite d'une violente collision impliquant un autobus de la Société de transport de Montréal (STM) et deux voitures à Dorval, dans l'ouest de l'île de Montréal.

EN IMAGES:
Accident à Dorval
L'accident est survenu vers 18 h sur la 55e avenue, à l'intersection de l'avenue Lindsay, dans un secteur industriel.
L'impact a été violent puisqu'une voiture de marque BMW a été lourdement endommagée lors de la collision avec l'autobus de la STM qui s'est par la suite renversé sur le côté.
Les circonstances exactes de l'accident étaient toujours inconnues quelques heures après le drame, mais tout porte à croire que le feu de circulation était vert pour l'autobus de la STM qui roulait en direction ouest sur l'avenue Lindsay.
«D'après moi, conducteur de la BMW n'a pas fait son arrêt obligatoire», a indiqué Danny Forbes, un passager de l'autobus.
Deux décès
Au total, trois véhicules ont été impliqués et deux personnes ont perdu la vie, selon le porte-parole de la police de Montréal, Daniel Fortier.
«Leurs décès ont été constatés sur place», a confirmé Robert Lamle d'Urgences-Santé, qui a mentionné avoir rarement vu, en trente ans de carrière, un accident avec un autobus de transport en commun d'une aussi grande brutalité.
La conducteur de l'autobus a péri tout comme la passagère du véhicule qui a heurté l'autobus.
Les pompiers ont dégagé vers 21h le chauffeur d'autobus qui était coincée sous l'autobus renversé.
Cinq autres personnes ont également été transportées à l'hôpital pour traiter des blessures mineures.
Des passagers sous le choc
À l'arrivée d'Urgences-Santé, la quinzaine de passagers qui siégeaient dans l'autobus avait évacué le véhicule.
«Les passagers de l'autobus étaient paniqués à l'arrivée des pompiers», a mentionné Luc Robillard, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Montréal.
Une mère de famille est arrivée morte d'inquiétude sur la scène de l'accident en cherchant sa fille qui était passagère.
«Ma fille m'a appelé en pleurant parce qu'elle venait d'être projetée dans l'autobus. Elle a vu le chauffeur aussi. Il est passé par la fenêtre et il est resté coincé en dessous de l'autobus», a-t-elle dit.
La vitesse en cause?
Des témoins rencontrés sont convaincus que le chauffeur roulait au-dessus des limites permises.
«Ça s'est passé très vite. D'après moi, l'autobus roulait trop vite», a dit Danny Forbes.
Jean-Robert Turgeon, un passager qui emprunte à l'occasion la ligne 196, a également soutenu que le chauffeur avait le pied pesant.
«L'autobus se dirigeait vers l'ouest à une bonne vitesse. Le chauffeur d'autobus allait beaucoup trop vite pour aucune raison», a-t-il indiqué quelques minutes après l'accident dans lequel il n'a pas été blessé.
«Personne dans l'autobus n'a vu ce qui s'est passé. On a seulement senti l'impact», a-t-il ajouté.
Les enquêteurs en scène de collision de la police de Montréal tentaient toujours de comprendre les circonstances exactes de l'accident tard en soirée mardi.
«Un gros périmètre de sécurité a été érigé dans le secteur. Nos enquêteurs évaluent la position des voitures afin de comprendre ce qui a pu se passer», a indiqué le porte-parole du SPVM.


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samedi 11 août 2012

Corruption au fisc : Confiance ébranlée des payeurs de taxes ?

Confiance ébranlée
Photo d’archives
En l’espace de trois mois, des accusations de fraude et d’abus de confiance ont été déposées contre quatre ex-fonctionnaires du bureau des services fiscaux de Montréal.


La Ligue des contribuables du Québec craint que les cas de fonctionnaires corrompus mis au jour à Montréal par la GRC, au sein de Revenu Canada, viennent miner la confiance de la population et favoriser les tentatives d’évasion fiscale.
« Plus les cas de corruption d’employés se multiplient, plus les contribuables ont l’impression que le système fiscal n’est pas équitable, parce que certains ne paient pas leur juste part d’impôts. De plus, ce genre de nouvelle est de nature à encourager la petite évasion fiscale sous toutes ses formes » a réagi la présidente de la Ligue, Claire Joly, hier.
Elle a toutefois salué le travail des policiers qui ont arrêté les hommes d’affaires Tony Accurso et Frank Bruno, le comptable Frank Fiorino et l’ex-chef d’équipe de l’Agence du revenu du Canada (ARC), Adriano Furgiuele, jeudi. Furgiuele et deux autres collègues de l’ARC contre lesquels aucune accusation n’a encore été portée, auraient aidé ces entrepreneurs à déjouer et à truquer les inspections fiscales de leurs compagnies pour éluder 3 M$ en impôts.
Inquiétant
En l’espace de trois mois, des accusations de fraude et d’abus de confiance ont été déposées contre quatre ex-fonctionnaires du bureau des services fiscaux de l’ARC à Montréal. La GRC a rappelé que d’autres arrestations pourraient s’ajouter. L’ARC a déclaré au Journal qu’elle « prend la situation très au sérieux ». « Les arrestations démontrent que des mesures énergiques ont été prises », a dit Noël Carisse, sans préciser le nombre d’employés congédiés ou suspendus pour corruption.
Une situation que le député néo-démocrate Hoang Mai, critique de l’opposition en la matière, qualifie de « très inquiétante. La réaction du gouvernement a été de couper 200 emplois au sein des vérificateurs et des inspecteurs du Revenu fédéral au Québec, alors qu’on manque déjà de ressources », a-t-il dénoncé.


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mardi 7 août 2012

Laissez passer les ambulances,towing,et la police clisse !

Routes du Québec - La Loi sur le corridor de sécurité est en vigueur
 
Photo Imagegami - Fotolia

La nouvelle Loi sur le corridor de sécurité est en vigueur depuis dimanche sur les routes du Québec.
Les conducteurs doivent maintenant laisser un espace de sécurité raisonnable lorsqu'une ambulance, une auto-patrouille, une dépanneuse ou une voiture de surveillance se trouve en bordure de la route.
Les automobilistes doivent ralentir et changer de voie à la vue de l'un ou l'autre de ces véhicules d'urgence. Ceux qui ne respecteront pas cette nouvelle loi pourraient recevoir des amendes salées allant jusqu'à 300 $ et quatre points d'inaptitude.
Le but premier de cette mesure est de protéger les policiers, pompiers et ambulanciers, qui ont souvent à intervenir en bordure des voies rapides. Depuis 2009, 214 auto-patrouilles de la Sûreté du Québec ont été embouties dans des accidents lorsqu'elles étaient rangées sur le côté de la route. De plus, 13 patrouilleurs ont été blessés et quatre policiers ont perdu la vie.
Le cas qui a retenu davantage l'attention est celui d'un policier de Bromont, Vincent Roy, qui est mort en service en décembre 2011. Le policier de 37 ans avait été heurté de plein fouet par un camion alors qu'il venait tout juste d'intercepter un véhicule et s'en allait rendre les papiers de l'automobiliste.
Quelques mois plus tard, en juin 2012, le gouvernement a déposé le projet de loi concernant les corridors de sécurité.
Des lois semblables sont en vigueur dans 49 états américains et sept provinces canadiennes.
Au Québec, 9000 personnes avaient signé une pétition réclamant des mesures semblables.


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83 millions d'utilisateurs fantômes sur Facebook

Doutes - Facebook estime à 83 millions le nombre d'utilisateurs fantômes
Capture d'écran d'un compte Facebook du chat Felix. 
Photo courtoisie Facebook

WASHINGTON - Le site internet communautaire Facebook évalue à 83 millions, soit 8,6 % de ses utilisateurs, le nombre d'internautes inscrits plus ou moins douteux, qu'il s'agisse de comptes dupliqués, de pages ouvertes au nom d'animaux de compagnie, ou d'émetteurs de pourriels.
Dans un document boursier officialisant ses résultats trimestriels communiqués une semaine plus tôt, Facebook explique qu'il y a «des difficultés inhérentes» à mesurer le nombre d'utilisateurs fantômes de son site, «en dépit de nos efforts pour repérer et arrêter ce genre de comportement».
La semaine dernière, Facebook avait revendiqué 955 millions d'utilisateurs actifs par mois, un chiffre en progression de 29% sur un an.
Facebook estime que 4,8 % des utilisateurs actifs repérés pourraient être des comptes dupliqués par une même personne. Quelque 2,4 % seraient des comptes ouverts pour une société ou «une entité non humaine comme un animal domestique», et 1,5 % probablement des «comptes indésirables» susceptibles de fonctionner avec des intentions malveillantes.
«Nous pensons que le pourcentage de comptes faux ou dupliqués est nettement plus bas dans les marchés développés comme les États-Unis ou l'Australie et plus élevés dans des marchés en développement comme l'Indonésie ou la Turquie», a précisé Facebook.
Le calcul du nombre d'utilisateurs est un élément crucial pour mesurer la popularité d'un site internet et son attractivité pour des annonceurs.
L'action Facebook chutait de 4,55 % à 19,93 $, s'approchant d'un cours qui ne représenterait que 50 % de celui de son introduction en Bourse le 18 mai, à 38 $.


REF.: