Rechercher sur ce blogue

jeudi 18 août 2011

Aucun viaduc du CN défectueux a Montrèal,ils sont bons pour 100 ans


Montréal - Le morceau de béton n'était pas une pièce du viaduc
Sylvain Smith a eu toute une surprise, alors qu'il conduisait sa voiture sur l'avenue Papineau et qu'un bloc de béton est tombé sur son pare-brise, blessant la personne sur son côté droit.  
© Maxime Deland / Agence QMI


MONTRÉAL - La Ville de Montréal a rendu publics lundi les rapports d’intervention qui confirment que le morceau de béton ayant percuté le pare-brise d’un automobiliste, jeudi dernier, sur l’avenue Papineau, ne provient ni du viaduc appartenant au Canadien Pacifique (CP), situé au nord de la rue Saint-Grégoire, ni de celui des Carrières.
Le soir de l’incident, tous croyaient alors que le morceau de béton s'était détaché du viaduc appartenant au CP. Appelés sur les lieux, les ingénieurs de la Ville de Montréal avaient non seulement inspecté le viaduc ferroviaire, mais également celui de la rue des Carrières, situé plus loin.
Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, avait plus tard confirmé que «la pierre qui a causé l'incident n'a rien à voir avec les deux structures existantes». «On voudrait dire aux citoyens de Montréal que [...] la structure est saine, c'est une infrastructure qui est sécuritaire», avait indiqué le maire Tremblay lors d’une brève allocution.
Selon la Ville de Montréal, les conclusions des rapports rendus publics lundi «démontrent clairement que le fragment de béton n'est pas constitué de la même nature que le béton des deux ouvrages».
«La forme du morceau de béton qui a heurté la voiture ne correspond pas à l'un des éclatements de béton observé sur l'un ou l'autre de ces deux viaducs», a précisé la Ville, dans un communiqué.
Jeudi dernier, la chute du morceau de béton dont on ignore toujours la provenance a fait un blessé. La victime, un homme de 29 ans, a subi des lacérations aux deux bras et a dû être transportée à l'hôpital.
Le Service de police de la Ville de Montréal a ouvert une enquête criminelle pour élucider les circonstances entourant cet incident. L'hypothèse voulant qu'une personne mal intentionnée ait lancé l'objet du haut du viaduc est actuellement privilégiée par les enquêteurs.




REF.:

2 moutons Blanc ou 2 moutons Noir ?


Ottawa - Enquête sur deux agents pour brutalité policière
 
©Shutterstock/Agence QMI
Ottawa

Enquête sur deux agents pour brutalité policière

M.Net a été appelé pour nettoyer les 2 policiers ,pour les rendre plus blanc que blanc ;-)


OTTAWA – L'Unité des enquêtes spéciales de l'Ontario a entamé une enquête sur deux policiers d’Ottawa pour faire suite à des allégations de brutalité policière.
Tasha Doucette et sa fille ont composé le 911, vers 6 h, samedi, pour rapporter aux autorités la présence d’un homme qui dormait sur le trottoir en position fœtale, près du centre-ville.
À leur arrivée, quatre minutes plus tard, les policiers ont remercié la mère et l’adolescente.
Elles se sont éloignées de la scène, tout en continuant d'observer discrètement le travail des policiers.
Mais à leur grande surprise, les policiers ont commencé à tabasser l'individu. Selon Tasha Doucette, les policiers ont poussé l’homme à trois occasions avant qu'il ne s'affaisse au sol comme un arbre et qu'il se cogne violemment la tête contre l'asphalte.
En voyant cette scène, Mme Doucette a tout de suite composé le 911 pour dénoncer le comportement des policiers. Mme Doucette a indiqué que l'homme n'était pas violent et qu’il n'avait fait aucun bruit.
Le porte-parole de l’Unité des enquêtes spéciales de l’Ontario, Frank Phillips, a indiqué que la victime a subi des fractures, et qu'il a été accusé d'agression.

Buffett veut taxer les méga-riches, comme lui


États-Unis - Warren Buffett veut taxer les méga-riches, comme lui
Warren Buffett 
© SCOTT OLSON/ AFP


WASHINGTON - L'investisseur milliardaire Warren Buffett a appelé lundi les parlementaires américains à augmenter les impôts pour les plus riches afin de réduire l'énorme déficit budgétaire du pays, affirmant que cela ne nuira ni aux investissements, ni aux emplois.
Dans une tribune publiée par le New York Times, le patron du fonds d'investissement Berkshire Hathaway propose une hausse d'impôts pour les Américains dont les revenus dépassent au moins un million de dollars par an, et une hausse encore plus élevée pour ceux qui gagnent plus de 10 millions de dollars annuels.
«Nos dirigeants ont appelé à "un sacrifice partagé". Mais quand ils ont fait cette demande, ils m'ont épargné. J'ai vérifié auprès de mes amis méga-riches pour savoir à quels sacrifices ils s'attendaient. Eux non plus n'avaient pas été touchés», écrit le milliardaire.
«Pendant que les pauvres et les classes moyennes combattent pour nous en Afghanistan, et pendant que de nombreux Américains luttent pour joindre les deux bouts, nous, les méga-riches, continuons à bénéficier d'exemptions fiscales extraordinaires», poursuit-il.
M. Buffet explique que son taux d'imposition par l'État fédéral représentait 17,4% de ses revenus imposables l'an dernier, alors que celui des 20 personnes travaillant dans son bureau était compris entre 33 et 41%.
Le taux d'imposition des riches était «beaucoup plus élevé» dans les années 1980 et 1990, et pourtant près de 40 millions d'emplois ont été créés entre 1980 et 2000, rappelle M. Buffett.
«Vous savez ce qui s'est passé depuis: des impôts plus bas et beaucoup moins de créations d'emplois».
«Les gens investissent pour gagner de l'argent, et une imposition potentielle ne les a jamais fait fuir», écrit-il encore.
Le Congrès américain est parvenu à un accord de dernière minute le 2 août sur le relèvement du plafond de la dette, alors que le pays était à deux doigts du défaut de paiement et après des semaines de bras de fer entre républicains et démocrates. Le texte prévoit des coupes budgétaires mais aucune hausse d'impôts.

Un programme informatique prévient la police avant que le crime ne soit commis


image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/minorityreport.jpg
Le film Rapport minoritaire (Minority Report) de Steven Spielberg mettait à l'avant une société capable d'arrêter des criminels avant que ne soit commis le crime. Voilà que la police de Santa Cruz en Californie fait l'expérience de la prédiction des crimes depuis début juillet grâce à un programme informatique qui indique aux officiers où des délits sont susceptibles d'avoir lieu.
Ainsi, alors que deux femmes étaient sur le point de voler des voitures, la police a pu les arrêter prise sur le fait. L'une d'elles avait en plus des amendes impayées tandis que l'autre avait de la drogue sur elle.
Le programme est développé par un groupe de chercheurs comprenant deux mathématiciens, un anthropologue et un criminologue. Le logiciel est pour l'instant utilisé dans la prévention des vols de voitures et des cambriolages de maisons, mais devrait être étendu à d'autres crimes et notamment les crimes dits «violents» (agressions, meurtres...).
Une unité de prédiction existait déjà auparavant. Elle a été créée à Chicago l'an dernier. Mais le logiciel de la police de Santa Cruz est le plus sophistiqué jamais utilisé. Il se base en effet sur les modèles de prédiction des répliques de séismes. Fort d'une base de données recensant tous les délits commis par le passé, il génère ainsi des projections sur les lieux et les horaires où les risques de futurs crimes sont les plus forts.
La police de Santa Cruz a recensé une baisse de 27% de cambriolages en un mois par rapport à juillet 2010, mais le vrai premier bilan aura lieu dans six mois. À l'origine, le programme devait équiper la police de Los Angeles qui suit de près l'expérience de Santa Cruz. Elle a annoncé qu'elle devrait finalement s'en servir un peu plus tard dans le courant de l'année avec l'idée d'y intégrer la prédiction des crimes violents.
(Source: New York Timessmartplanet et Globe and Mail)


samedi 13 août 2011

vols à l'étalage éclair au pays («flash robberies»)


«Flash Robberies» - Un phénomène en croissance
Des jeunes se donnent rendez-vous dans un commerce, par les médias sociaux, pour y voler le plus d'articles possible en quelques secondes. 
© Capture d'écran / Youtube.com

TORONTO – La recherche de sensations fortes pourrait motiver des jeunes à commettre d'autres vols à l'étalage éclair au pays («flash robberies»), comme ceux perpétrés dans deux commerces d'Ottawa le mois dernier, croit un spécialiste en criminologie.
Ross Hastings, professeur au département de criminologie à l'Université d'Ottawa, affirme que la difficulté qu'éprouvent les jeunes à trouver de l’emploi est l'un des facteurs qui les poussent à cette forme de rébellion.
«Non seulement n'ont-ils pas d'emploi, mais ils n'ont pas d'espoir de décrocher un emploi. Ils n'ont pas l'espoir d'une insertion sociale en bonne et due forme comme vous et moi», a expliqué M. Hastings.
«Parce que certains jeunes se sentent exclus, j'anticipe qu'on verra d'autres de ces vols», a-t-il ajouté.
Mais ce n’est pas le seul facteur en cause. «Il y a aussi le côté imitatif, a poursuivi M. Hastings. Ce ne sont pas des choses longuement planifiées où tout est calculé.»
Le modus operandi d'un «flash rob» n'est pas nouveau, a rappelé M. Hastings. Pendant des années, des duos ou des petits groupes ont commis des vols avec une personne qui distrayait l'employé pendant que les autres s'emparaient de biens.
La méthode des «flash robberies» semble donc rodée, bien qu'ils soient récents. Un groupe de jeunes se donne rendez-vous dans un commerce, par les médias sociaux, pour y voler le plus d'articles possible en quelques secondes, puis ils quittent le magasin, ne laissant aucune chance aux employés de les arrêter.
De son côté, la police d'Ottawa rappelle que les jeunes contrevenants ne réalisent pas l'ampleur des conséquences auxquelles ils s'exposent. Elle craint d'ailleurs que les vols commis en groupe survenus le 16 juillet dans une épicerie et un dépanneur marquent le début d'une tendance dans la capitale fédérale.
«Je crois qu'ils pensent que c'est comme un simple vol à l'étalage ou une farce. Pour eux, la gravité du geste, dans leur esprit, n'est pas élevée», a expliqué le sergent Paul Batista de la police d'Ottawa.
Les accusations peuvent aller du vol, à la participation au crime organisé en passant par la conspiration.
Les États-Unis sont frappés par une vague de «flash robberies». Un professeur de criminologie de l'Université Arizona State a indiqué à FoxNews.com que certains jeunes commettent ces actes parce qu'ils recherchent la célébrité. Se voir à la télévision ou sur YouTube après avoir été filmé commettant leur crime peut procurer des sensations fortes, a indiqué Scott Decker à FoxNews.com.


Comment faire pour avoir un poste tablet du gouvernement ?


L'affaire Jean Renaud - Du déjà vu à Québec
Jean Renaud 
© Agence QMI
Facile,liser la recette !
QUÉBEC - L’histoire singulière de Jean Renaud, fonctionnaire du ministère des Finances suspendu avec plein salaire, n’est pas sans rappeler celle de Marc-André Bouliane.
La saga judiciaire de cet ancien flamboyant coroner avait duré dix ans et coûté pas moins de 2,6 millions de dollars, dont plus d’un million en salaire, aux contribuables québécois.
Me Bouliane, décédé d’une tumeur au cerveau en septembre 2009 à 59 ans, a été au cœur de cette affaire, entre 1995 et 2005.
Comme on peut lire dans un article nécrologique publié au moment du décès du coroner, M. Bouliane a été suspendu de ses fonctions avec salaire à la suite de l’ouverture d’une enquête sur ses agissements controversés.
« On le soupçonnait alors (en 1995) de s’être placé en conflit d’intérêts puisqu’il travaillait pour une entreprise qui vendait des autobus à Cuba, alors qu’il avait rendu une décision dans ce même domaine, relatait le collègue Jean LaRoche. La première enquête, qui le déclarait coupable, avait été annulée, mais la seconde l’avait incriminé. En 2005, il avait remis sa démission et avait reçu une indemnité de 175 000 $. En tout, cette saga avait coûté 2,6 millions aux contribuables. »
Durant toute l’histoire, Marc-André Bouliane a continué à percevoir un salaire annuel de 102 000 $. Un accord à l’amiable avec le gouvernement du Québec est intervenu en 2005 dans le but de mettre fin à ce feuilleton politico-judiciaire aux multiples rebondissements qui a coûté 1,4 million de dollars en frais d’avocats.
En août 2006, alors qu’il s’était converti au métier d’avocat, Me Bouliane avait affirmé au réseau TVA que toute l’affaire aurait dû et pu se terminer au bout d’un an au lieu de dix. « Ça aurait pu se régler beaucoup plus rapidement que ça, si le gouvernement n’avait pas insisté», avait-il déclaré.
Le cas Renaud
Un arbitre du tribunal d’arbitrage en griefs a récemment ordonné au gouvernement du Québec de rembourser trois années de salaire à Jean Renaud, un fonctionnaire acquitté des accusations criminelles qui pesaient sur lui dans le cadre du scandale financier Norbourg. Poursuivi par Revenu Québec, il est toujours en attente d’un procès dans une autre affaire de fraude fiscale.
M. Renaud continue à être payé, même si le ministère lui demande de demeurer chez lui à ne rien faire. « On doit lui trouver un poste qui n’entachera pas la confiance de la population face au ministère », a fait savoir André Sormany, directeur du cabinet du ministre Raymond Bachand.
Les sommes en jeu dans le cas de Jean Renaud n’ont pas été dévoilées.

Comment se tuer avec un cric ,NOnnnnnnnn !

Non,ça tout le monde des cons, le savent! Au monde a l'envers, on vous montre comment se servir d'un cric sans trop se fatiquer (ou se tuer) !


Avec un cric et des chandelles !
Quand l'auto est trop rouillé utiliser un bout de planche 2 par 4 comme soutient entre le cric et le frame de l'auto !



Tout est dans l'endroit ou vous allez mettre les chandelles ! Car si vous utilisez un cric correspondant au poid de la voiture vous n'aurez pas de problêmes !

Alors metter les chandelles sous le frame(le chasis)de la voiture ,qui est situer a environ 10 pouces des roues avant ou arrière. Si vous mettez vos chandelles sous les essieux ,et si le cric lâche,votre voiture redescendra a son niveau original et vos chandelles ne serviront a rien et ne vous protégerons pas ! D'ou les nombreuses accidents vues et lues dans le jounalede mouriale !


REF.: Google est encore ton n'ami,