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mardi 26 avril 2011

Selon les fonctionnaires de Revenu Canada: "Un mauvais emploi c'est pire que le chômage"

Santé - Un mauvais emploi : pire que le chômage
Les scientifiques ont longtemps cru qu’avoir un emploi rend une personne plus heureuse que si elle était sans emploi.  
©REUTERS

NEW YORK — Avoir un mauvais emploi peut être bien plus néfaste pour la santé mentale qu’être au chômage, selon une récente étude rapportée par le site internet du « Time ». Les scientifiques ont longtemps cru qu’avoir un emploi rend une personne plus heureuse que si elle était sans emploi.
Cette théorie s’avère exacte si le poste en question est de qualité. Dans le cas contraire, cela pourrait s’avérer néfaste pour la santé mentale.
Des chercheurs de l’Australian National University ont examiné la façon dont certains éléments psychosociaux relatifs au travail influent sur le bien-être de l’individu.
Ils ont découvert que les emplois de piètre qualité, exigeants, peu rémunérateurs et instables, ont des effets dévastateurs sur la santé mentale.
Les auteurs de l’étude ont analysé les données relatives à 7000 participants sur une période de sept ans. Ils ont constaté que les personnes sans emploi avaient une santé mentale aussi bonne, voire meilleure, que celles qui occupaient un emploi de piètre qualité.
Par ailleurs, ils ont aussi constaté que passer du chômage à un emploi de qualité, améliore grandement la santé mentale de l’individu. De plus, la santé mentale de ceux qui occupent un emploi peu satisfaisant a tendance à empirer avec le temps.
« La dégradation des conditions de travail peut avoir un coût pour la santé mentale, ce qui, à long terme, a des effets contre-productifs à la fois sur le plan économique et social », soulignent les auteurs de l’étude.
REF.:

Registre d'infestation de Punaises de lit: Gare aux faux experts

Punaises de lit - Gare aux faux experts
Le propriétaire de Maheu extermination, Harold Leavey, réclame depuis longtemps un registre des infestations. 
© Pierre-Paul Poulin

La prolifération des punaises de lit à Montréal et la psychose collective qu'elle entraîne représentent une manne à exploiter pour certains exterminateurs peu scrupuleux. Méfiez-vous des experts improvisés.
Rachel Guillemette a vécu la pénible expérience de devoir lutter contre une infestation de punaises de lit dans son petit logement du quartier Rosemont.
«Je me levais le matin couverte de piqûres. À l'hôpital, on ne savait pas ce que j'avais. C'est finalement à l'école que j'ai appris ce que c'était. Une punaise est tombée de mon sac et mon prof l'a identifiée», raconte cette ex-étudiante en biotechnologie.
Une inspection minutieuse de son appartement et du matelas a permis à Rachel et à son conjoint de découvrir plusieurs centaines de punaises de lit en activité. «J'étais horrifiée, lancet-elle. J'ai foncé chez le premier exterminateur que j'ai trouvé. Comme une cinglée, j'ai mis de la poudre partout chez moi, même le chat marchait dans la poudre. On a fini par développer des problèmes respiratoires. Le stress a mis mon couple et mes études en péril. L'enfer...»
Avec le recul, la jeune femme estime avoir été mal conseillée. «Certains exterminateurs ne sont pas nécessairement malhonnêtes, mais ils n'ont pas l'expertise pour bien traiter les punaises», explique Rachel, qui, trois mois après sa mésaventure, se dénichait un emploi... chez un exterminateur.
Quelques appels logés par Le Journal ont permis de constater qu'effectivement certaines entreprises d'extermination tour nent les coins ronds.
Sans visite
Dans plusieurs cas, on se risque même à poser des diagnostics de punaises sans même se rendre sur les lieux. "Si vous avez des rougeurs sur les bras et que vous vous grattez, vous avez probablement des punaises ", s'est avancé l'un d'eux. "Désolé, Madame, il ne faut pas trop attendre ou penser régler ça vous-même !", a insisté un autre qui proposait une visite sur-le-champ.
L'an dernier, 40 000 Montréalais ont affirmé avoir hébergé des punaises de lit, selon un sondage mené par la Direction de la santé publique de Montréal (DSP). Ces gens ne font pas toujours appel aux bonnes ressources, ce qui inquiète les autorités.
«La cacophonie d'informations que l'on retrouve sur Internet alimente l'hystérie collective. Seul un médecin peut identifier une piqûre de punaise de lit, pas un exterminateur», rappelle Dr Stéphane Perron, de la DSP.

Les bonnes sources d'information :
www.santepub-mtl.qc.ca/Environnement/punaisedelit/pdf/punaisedelit_depliant.pdf
www.santepub-mtl.qc.ca/Environnement/punaisedelit/


Portrait type de l'exterminateur amateur...

Il n'a aucun numéro de certification émis par le ministère de l'Environnement.
Il pose un diagnostic de punaises de lit simplement en regardant vos piqûres.
Il ne vous offre pas la possibilité de traiter votre matelas à la vapeur.
Il ne vous offre pas d'installer une housse antipunaises.
Il vous conseille de jeter votre matelas.
Il vous offre un traitement à moins de 100 $.
Il vous promet de régler le problème en une seule intervention.
SOURCE : Direction de la Santé publique de 

REF.:

lundi 25 avril 2011

Pire que Tchernobyl ?.......Fukushima ,....Non , il y aura pire encore !

Le réacteur n° 4 de la centrale de Fukushima (à droite sur cette photo) est l’objet de toutes les attentions après le séisme dévastateur qui a ébranlé le Japon le 11 mars © Tepco / -
La France a abandonné toute prudence oratoire face à l’ampleur de la menace nucléaire au Japon et reconnaît désormais la gravité d’une catastrophe potentiellement pire que celle de Tchernobyl en 1986. Accusé dans un premier temps par l’opposition, écologistes en tête, de sous-évaluer son appréciation des événements, le gouvernement français a commencé à modifier son discours après l’augmentation des émissions radioactives consécutive aux accidents en série dans la centrale de Fukushima-Daiichi. « Dans le pire des scénarios, l’impact sera supérieur à Tchernobyl », a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, François Baroin. « C’est une hypothèse qu’on ne peut pas écarter aujourd’hui. »


*Si un jour des terroristes lance un avion sur un site d'entreposage de déchets nucléaire,les effets dévastateur seront de 10 a 50 fois plus important que Tchernobyl ,selon les spécialistes !
On n'exclus pas Israel !

De plus si c'est un site avec entreposage au sol,les répercussion seraient plus domageable par temps pluvieux,car les retombés radioactives seraient rapidement ramenées au sol sur la population locale et non vers les pays voisins!!!

Les effets seront des cancers au niveau de la thyroide,des malformations,des problêmes au coeur,foie, etc......pour des années et des années ,en incluant les générations futures occupant ce territoire contaminé.


REF.:

Transport adapté ou inadapté




 Déplacement pour traitement
 Transfert inter établissement 
 Rendez-vous à la clinique
 Visite chez un parent, un ami
 Course à l’épicerie, magasinage
 Sortie de groupe



Cette entreprise ( MÉDICAR )qui a la plus grosse part du marché en transport d'handicapé,a beaucoup de problêmes de personnel actuellement.Il y aurait encore des vieux employés syndiqués,qui serait encore a la solde de Médicar et qui auraient un casier judiciaire.Les nouveaux employés recrutés seraient soumis a des tests et vérifications concernant leurs antécédants judiciaires par contre !

REF.:

Canpages.ca une entreprise en ligne du web 2,0

Beaucoup d'entreprise répertorier et ou l'ont peut lire et relire les opinions des lecteurs internautes.


Vous chercher une bonne entreprise regarder dans les annuaires en ligne


et vous verrez que certaines entreprises n'ont pas la cote de qualité et service que vous pensiez,en regard de l'appréciation ou de la dépréciation par ses clients.
Comme ceux-ci:



Taxi Champlain:

5775 Rue Saint-Andre
Montreal
, QC  H2S 2K2

(514) 273-2435

La politesse,courtoisie,le respect, et la qualité des répartitions des transport est vraiment pourrie !
Pour avoir utiliser leurs services,comme bien du monde cette cie la ,dirigée par des grecs montre une image négative aux publique.
Voici l'histoire:
Bonjour ,mon nom est Mme Boudreau de la rue Sanfaçond,.............J'ai appelé votre téléphoniste le 21 Avril a 9:15 pour un transport et elle m'a coupée la ligne,j'ai rappelé pour redonner ma demande et elle m'a dit que le taxi sera la; un peu plus tard je rappel et encore pas de taxi,elle me dis que le taxi a passé devant chez moi,c'est complètement faux,ce n'est un autobus de la STCUM que je veut(a 2,75$),c'est un taxi ! Elle m'a envoyer un autre taxi,très mauvais service sans courtoisie.
Au prix sa coûte faut faire quelque chose,........cette employé-la occasionne des erreurs ,les chauffeurs de taxi perdent leurs temps,gaspille du gaz pour rien ,perdent des clients,et il faudra peut-être engager une autre personne en surplus pour corriger les erreurs de cette employée-la!
Je suis d'accord que ça cré de l'emploi,mais la ça va coûter plus chère a l'employeur ,Ça prend pas des comptables pour savoir ça !

Alors oubliez cette cie de Taxi la s.v.p. :
κατάρα κάνετε σκληρά,C'est complètement NUL !$!





Téléphone :
(514) 631-2978
Adresse :
9553 Ch de la Côte de Liesse Dorval, Lachine, QC
*Liser le commentaire d'un usager ici:
Je peut vous dire que L'Agence d'inspection Canadienne des Viandes et le Service d'Hygiène de la Ville de Mtl sont déja aller a quelque reprise pour des corrections en regard de la qualité des aliments et de la manière que ceux-ci sont préparés. Beaucoup de lacune pour la manipulation hygiénique des aliments,comme les salades et sandwichs sont vraiment a surveillier.Si vous voulez pas revenir de voyage malade ne mangé pas dans l'avion.Les contrats des vols Hydro-Québec et de la cie Sunwing sont concernés,ainsi que AirInuit du grand-nord.Pour vérification appelé l'agence d'inspection des aliments du Canada,Merci!

Médicar: (transport d'Handicapé)
5020, rue Angers, Montréal H4E 3Z7, QC 514-766-3342
 
Confidence pour confidence cette entreprise a encore des employés syndiqués ayant un casier judiciaires et a beaucoup de problêmes de qualité de ses services.Les C3S ,Clsc,CHSLD se plaîgnent beaucoup du service ,courtoisie,ponctualité,politesse,le roulement du personnel,sont des choses a améliorer!

*Note: on espère que la qualité et services seront améliorés prochainement !

Les Agences Privées de Préposé aux malades engage des criminels

L'agence de soins aux malades, "Humatech", était d’ailleurs bien au courant des antécédents criminels de son préposé aux malades.
Handicapé ébouillantée dans son bain - Un ex-préposé aux bénéficiaires accusé d'homicide involontaire
Marc Laquerre 
© BENOIT GARIEPY/ Agence QMI
Handicapé ébouillantée dans son bain

Un ex-préposé aux bénéficiaires accusé d'homicide involontaire

QUÉBEC – Marc Laquerre, un ancien préposé aux bénéficiaires de 56 ans, a été formellement accusé, hier, d’homicide involontaire sur la personne de Réjean Simoneau, qui a été ébouillanté dans son bain. Les faits reprochés à l’individu se sont déroulés en 2008, alors que Laquerre travaillait comme préposé au pavillon Saint-Charles, à Québec, au profit de Humatech, une agence privée qui offre des services et des soins de santé à domicile et en institution à travers la grande région de Québec.
Selon ce qu’il avait été rapporté, à l’époque, l’accusé aurait omis de vérifier la température de l’eau du bain avant d’y asseoir la victime de 38 ans, restée lourdement handicapé à la suite d'un accident vasculaire cérébral. Réjean Simoneau avait alors subi de graves brûlures et avait été transporté à l’Unité des grands brûlés de l’hôpital de l’Enfant-Jésus. L’homme y était finalement décédé, trois semaines plus tard. Laquerre avait été congédié immédiatement après les tristes événements.
L’enquête avait été amorcée en 2008 par le service de police de la ville de Québec pour finalement en arriver à l’émission d’un mandat d’arrestation contre l’individu, en février 2011.
Humatech se défend Rappelons que Marc Laquerre détient un lourd passé judiciaire constitué de vols, de voies de fait et d’introduction par effraction s’étalant entre 1991 et 2010. Son employeur de l’époque, Humatech, était d’ailleurs bien au courant de ses antécédents criminels. « À l’époque, les vérifications qu’on a faites ne nous permettaient pas de croire qu’il y avait des dangers pour l’intégrité physique des patients. Il semblait s’être réhabilité depuis plusieurs années », a confié, hier, Jean-Philippe Trudel, porte-parole de l’entreprise qui emploie 200 personnes.
Sans vouloir minimiser les tristes événements, M. Trudel a tenu à souligner qu’il s’agissait là d’un cas « isolé », qui s’est produit dans le cadre d’une situation « exceptionnelle ». « On parle d’un accident. Je ne pense pas que les antécédents aient un lien avec l’accident comme tel. Monsieur avait suivi des cours, il avait une formation, les autres critères avaient été respectés. Il faut relativiser », se défend-il.
À la suite du décès de M. Simoneau, des rencontres entre Humatech et le Centre de santé et des services sociaux (CSSS) de la Vieille Capitale avaient été planifiées afin de revoir, s’il y avait lieu, leur façon de faire. Selon M. Trudel, le protocole est sensiblement demeuré le même.
Sous les verrous
La procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Mélanie Ducharme, s’est opposée à la remise en liberté du prévenu, qui devra patienter au pénitencier jusqu’à mardi, date à laquelle devrait se tenir son enquête sur remise en liberté. Si Laquerre est reconnu coupable sur une des accusations de négligence criminelle ayant entraîné la mort ou d’homicide involontaire, il risque l’emprisonnement à perpétuité.
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