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mercredi 3 juin 2009

Pourquoi GM est en faillite ?

GM est en faillite. Mais, contrairement aux individus et aux petites entreprises qui se retrouvent sur la paille quand ils ont mal géré leurs finances, le géant de l'automobile, qui s'est entêté à produire des monstres énergivores alors que la plupart des automobilistes se tournaient vers les petites japonaises), va avoir droit à un BS de luxe.

C'est ce qui s'appelle être en voiture.

Tu te pètes la gueule par TA PROPRE faute, et le gouvernement ramasse TES dégâts, éponge TES dettes et paie pour TON hospitalisation.

UN PUITS SANS FOND

On critique beaucoup la cupidité des directeurs d'entreprises ces temps-ci, et avec raison. Mais qu'en est-il des gros syndicats ?

Pour David Lewis, historien à l'Université du Michigan, l'un des principaux responsables de la crise qui frappe Détroit est le puissant syndicat des travailleurs de l'automobile, le United Auto Workers Union (UAW).

«Le UAW était très gourmand, et les constructeurs automobiles lui donnaient tout ce qu'il voulait de peur d'être paralysés par une grève», a expliqué l'historien au magazine Maclean's en novembre 2008.

Année après année, les demandes de l'UAW augmentaient, et année après année, les constructeurs automobiles capitulaient.

DES COÛTS ASTRONOMIQUES

Selon Maclean's, seulement en frais d'assurance santé pour ses employés, GM dépense sept milliards de dollars par année.

C'est plus que son budget annuel pour acheter de l'acier !

Et qui paie pour ça? Le consommateur. On a calculé que le coût des programmes d'assurance santé des employés de l'entreprise ajoute 1 500 $ au prix de chaque automobile GM. Comment pouvez-vous rester compétitif dans de telles conditions?

La situation est telle qu'on pourrait dire que GM n'est pas un constructeur automobile, mais une machine qui paie des avantages sociaux et des caisses de retraite (de 1993 à 2007, GM a déboursé 103 milliards $ pour payer les pensions de ses employés retraités).

Vous trouvez ça normal?

DES VERS SOLITAIRES

Je ne veux pas passer pour un antisyndicaliste primaire, mais à ce que je sache, les syndicats ne sont pas au-dessus de toute critique.

On a parfois l'impression que certains gros syndicats se comportent comme des vers solitaires. Ils bouffent les entreprises de l'intérieur, jusqu'à ce qu'elles crèvent.

Le hic, c'est que, lorsque l'entreprise meurt, ses employés meurent itou.

Mais bon, qu'est-ce que ça fait aux gros syndicats, hein? Il y a d'autres entreprises à infiltrer, d'autres luttes à mener...

Le ver abandonne le cadavre de son hôte défunt et part à la recherche d'un autre corps chaud où se lover...

Actuellement, GM doit 27 milliards de dollars à ses actionnaires, et 10 milliards au syndicat. Or, les actionnaires recevront 10%des actions de la «nouvelle GM restructurée», et le syndicat, 39%.

Comme je disais, c'est ce qu'on appelle être en voiture.


REF.:Richard Martineau,canoe

Cet animal vous doit $100,000.00


Benoît Corbeil, ancien directeur général de l'aile québécoise du Parti libéral du Canada (PLC), est disposé à plaider coupable à des accusations de fraude, de complot pour fraude et de trafic d'influence pour lesquelles il avait été arrêté en avril 2008.

C'est ce qu'a indiqué son avocat, aujourd'hui, devant la juge Elizabeth Corte de la Cour du Québec. Se rendant à sa suggestion, M. Corbeil, âgé de 45 ans, a accepté de réfléchir encore quelques jours à son plaidoyer, a relaté Me Michel Grenier.

C'est à la suite d'un examen serré de la preuve montée par des policiers de la Gendarmerie royale du Canada que Benoît Corbeil a pris sa décision qui devrait être annoncée le 6 mai. Suivront les plaidoiries visant à déterminer la sentence.

Les accusations de fraude et de complot pour fraude visant Benoît Corbeil concernent directement ses activités au Parti libéral, où il occupait le poste de directeur général de l'aile québécoise de 1997 à 2001.

Il est accusé d'avoir comploté, en 1999 et 2000, avec Giuseppe Morselli (militant du PLC et proche de l'ex-ministre Alfonso Gagliano) et Alain Renaud (militant très actif du Parti libéral et démarcheur au profit de Jean Brault auprès du fédéral) pour autoriser des fausses factures d'une valeur de près de 100 000 $.

L'accusation de trafic d'influence a trait à des représentations faites auprès d'un propriétaire d'une carrière désireux d'agrandir ses activités en achetant un terrain de propriété fédérale.

* Ostie d'Crosseur !


REF.:Canoe

vendredi 22 mai 2009

3 jeunes de Montreal-Nord,chercheraient une Mini-van ou une RAV4, pas chère ???

Aînés - Violence - Une victime marquée à vie
Mme Taylor-Gregory, 69 ans, se remet péniblement de l’attentat sauvage dont elle a été victime en 2005.


«Ces jeunes-là n'ont pas d'âme. Ils n'ont pas appris le Bien et le Mal. Avant de m'attaquer, ils riaient. Celui qui avait 13 ans m'a dit : 'Bonjour, madame !' Et son ami m'a poignardée trois fois...»

Au lendemain de la mort d'une femme sauvagement battue par trois adolescents à Montréal-Nord, une autre victime de la violence des jeunes a raconté, hier, avoir été très ébranlée par ce drame humain.

Martha Taylor-Gregory aura très bientôt 69 ans. Et quatre ans après avoir été attaquée, elle aussi, à Montréal-Nord par quatre adolescents, elle n'arrive toujours pas à oublier.

«Je serais morte comme cette pauvre femme, si j'avais bougé après être tombée. Mais ils ont dû croire que j'étais déjà morte. C'est ce qui m'a sauvée», dit-elle, les larmes aux yeux.

Un discret petit crucifix pendu à son cou, Martha Taylor-Gregory se déplace difficilement, appuyée à une marchette.

Ce jour-là du 5 janvier 2005, «je déglaçais les vitres de l'automobile de mon fils, parti en vacances, quand j'ai remarqué ces jeunes dans une camionnette.»

«C'est le plus jeune qui était au volant. Il est descendu et m'a saluée.»

«Le petit m'a dit bonjour encore; je lui ai répondu encore, en riant. Aussitôt un plus grand m'a pris au cou et m'a poignardée une fois, deux fois, trois fois!»

«Ma marchette est tombée. Ils m'ont jetée à terre et ils m'ont donné un coup de pied au visage. Puis ils ont volé l'auto et sont partis en me passant à ça de la tête.»

C'est toute cette histoire qui a rejailli, raconte Mme Taylor-Gregory, quand elle a appris à la télé l'attaque contre une nouvelle victime. Elle a aussitôt éteint le poste.



REF.: Canoe

Jean-Guy Chaput chercherais sur Facebook ou Twitter,des pitounnes qui veulent partager sa chambre d'Hôtel a Canne

Développement culturel - Un train de vie somptueux avec votre argent

Jean-Guy Chaput, le pdg de la SODEC, a flambé 48 000 $ en hôtels et billets d’avion.Un peu blême,.....c'est surement dû aux vins!

Un train de vie somptueux avec votre argent $$$, un autre crosseur ;o)



Le président directeur général de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) a donné le mauvais exemple en se permettant des frais de déplacement somptuaires pour des chambres avec vue sur la mer à Cannes, a déclaré aujourd'hui le vérificateur général, Renaud Lachance.

L'an dernier, Jean-Guy Chaput a engagé des dépenses totalisant 48 000 $ pour des hôtels et billets d'avion lors de ses déplacements, a indiqué le vérificateur général après avoir déposé son plus récent rapport à l'Assemblée nationale.

Lors d'une conférence de presse, M. Lachance a estimé que ces frais étaient disproportionnés par rapport à la nature des activités. Outre des billets d'avion au prix plus élevé, il a notamment souligné une facture de 1300 $ pour une chambre avec vue sur la Méditerranée, à Cannes, durant le célèbre festival français de cinéma.

Selon lui, M. Chaput, qui quittera ses fonctions en octobre prochain, aurait dû faire preuve de plus de retenue avec les fonds publics qui composent le budget de l'agence gouvernementale.

«Il n'était pas nécessaire d'avoir ce genre de train de vie, a-t-il dit. Il faut comprendre que la SODEC, c'est là pour donner des subventions aux gens du milieu culturel. Plus vous dépensez des sous pour vos déplacements et vos activités de représentation, moins vous en avez pour en donner aux autres.»



Lors de leurs déplacements au Québec, des employés de la SODEC ont facturé, dans plus de 60 pour cent des cas, des frais d'hôtel dépassant le montant prévu par les politiques de gestion.

De 2006 à 2008, la SODEC a aussi payé 22 750 $ pour 181 factures de repas qui réunissaient seulement des employés de la société.

M. Lachance a aussi constaté que, pour l'année en cours, 200 000 $ en frais de déplacement ont été comptabilisés dans la colonne d'un programme de subventions dont l'objectif est d'aider le milieu culturel.

«Un frais de représentation, ce n'est pas une subvention, a-t-il dit. Ce n'est pas un problème de colonne. C'est un problème de transparence.»

Pour l'année 2008-2009, les frais de déplacement de la SODEC se sont élevés à 389 000 $.



REF.:

jeudi 21 mai 2009

Le monde ne lisent pas les petits caractères des cartes de crédits

Désormais, les cartes de crédit seront régies par de nouvelles règles au Canada.

Les nouveaux règlements, annoncés jeudi par le ministre des Finances Jim Flaherty, incluent un délai de grâce minimal de 21 jours pour les consommateurs. Ce délai de grâce s'appliquera à tous les nouveaux achats effectués à l'intérieur d'une période de facturation donnée, même si un solde antérieur a été reporté. Cette mesure existe déjà au Québec.

Autrement dit, un consommateur qui ajoute une dépense de 50 $ à sa carte et qui traînait déjà un solde à rembourser de 300 $ ne paiera des intérêts que sur ce solde, et non sur ses nouveaux achats, pendant 21 jours, s'il acquitte totalement sa dette à la fin du mois.

D'autres règles à l'intention des institutions émettrices de cartes:

  • annoncer tous les renseignements importants, soit les taux d'intérêt, les délais de grâce et les frais de service, de manière bien visible dans le contrat de crédit;
  • avertir d'une augmentation des taux d'intérêt dans la prochaine période de facturation, avant leur entrée en vigueur. Cette information devra être fournie même si elle figurait dans le contrat de crédit;
  • fournir aux consommateurs l'information sur le temps qu'il faudra pour rembourser tout leur solde, s'ils ne versent que le paiement minimum requis à chaque mois;
  • toujours exiger le consentement explicite des consommateurs avant d'augmenter leur limite de crédit;
  • interdire aux institutions financières de communiquer avec les consommateurs en dehors de certaines heures, à des fins de recouvrement;
  • empêcher que des frais de dépassement de limite de crédit soient imposés lorsque l'excédent de dépenses est dû uniquement aux montants retenus par des commerçants.

Certaines dispositions dans les nouveaux règlements imposés s'appliqueront aussi aux prêts à intérêt fixe ou variable et aux marges de crédit.

Toutefois, le ministre Flaherty n'impose pas de mesures plus sévères, comme une limite aux taux d'intérêt.

Une initiative critiquée

Les organismes de protection des consommateurs et des partis d'opposition dénoncent les choix du gouvernement conservateur.


Jack Layton, en a contre la décision d'Ottawa de ne pas forcer les banques à établir un taux maximum d'intérêt pour les cartes de crédit.


Les banques avaient averti le gouvernement que toute nouvelle réglementation ayant pour effet d'augmenter leurs charges pourrait se traduire par des coûts plus élevés pour les détenteurs de cartes. Elles ont également précisé que les consommateurs canadiens obtiendraient les cartes de crédit plus difficilement.

L'annonce de M. Flaherty survient au lendemain de nouvelles règles établies par les États-Unis, qui restreignent, entre autres, la fourniture de cartes de crédit aux mineurs. Les détenteurs de carte doivent être informés 45 jours avant une hausse de taux d'intérêt, selon les nouvelles règles.


Carte de crédit 101

Pour pas se faire fourrer par les banques !

REF.:

mercredi 20 mai 2009

Rappel en photo, sur la tendance a l'anéantissement du NWO












Et oui,avec la lutte nwo,les films sur les Illulinatis "d'Anges et Démons",les livres Dan Brown,le déclins des Républicains de George W. Bush , ce sera le NWD !

Le seul bon point de ça,c'est la guerre du pétrole qui a fait exploser l'économie baser sur l'or noir,et par le fait même l'industrie de l'automobile qui en fait les frais.Mais surtout du marché des emprunts de cartes de crédits et des hypothèques de maisons.Le piège des Banques était til planifier ? La Maison Blanche ,laissait faire les choses ,par un Bush devenu un pantin ,des illuminatis, des Francs-maçons,devenu des Dirigeants de Multinationales et membre du Groupe Bildeberg ? Ça ce dit pas,ça ce pense ! On réfléchira plus tard,dans 50 ans !
L'histoire ne fait que se répéter ,rien de plus ,car l'essentiel est invisible ;o)

Tout ça a premis de faire baisser les salaires devenu trop haut,de certains secteurs ,de l'auto entre-autres ,a cause des revendictions trop gourmandes des syndicats de l'automobile.Et maintenant l'état doit rendre des comptes sur les profits faramineux des dirigeants d'entreprises,qui volent les salariés et fraude la société.

Pourquoi ? La majorité du konde ne lisent pas ! ,.....le RTFM ! ,............il ne savent même pas programmer un micro-onde !
Alors,une carte de crédit ou un emprunt,un papier commerciale,c'est tout du pareil au même !
Le haut de la pyramide de notre société (secrète ou non),ou une poignée de personnes planifient pour eux-même, un systême économique qui favorise le gain $$$ et la gloire de leurs égo.Si vous possédez la flamme,vous savez très bien que les valeurs sont faussées et ne valent rien de plus qu'un grain de sable.


C'est tout le système économique qui est en redéfinition,pour enfin laisser venir l'essentiel ,le service et l'entraide,le partage des richesses.Et c'est temps mieux.

Nos politichiens sont propres ? ......La propreté des agissements des politiciens :

Nous n'en finissons plus comme société de devoir ajouter des mécanismes pour protéger les citoyens-contribuables contre les politiciens et leurs amis.

La confiance de la population canadienne en l'intégrité des élus est près de zéro. Les dossiers malodorants se sont empilés ces dernières années : l'enquête Gomery, celle sur l'affaire Mulroney-Schreiber, les apparences de conflit d'intérêts à la fin du dernier régime péquiste (Oxygène 9) qui ont conduit à l'adoption d'une loi sur le lobbyisme et à la création d'un poste de Commissaire au lobbyisme, sorte de chien de garde de cette pratique, etc.

En 2003, le Parti libéral, pour ajouter une ceinture aux bretelles, s'engageait à faire adopter un code d'éthique pour les élus et à créer un Commissaire à l'éthique. Six ans plus tard, ce n'est pas encore fait. Des cas litigieux ont pourtant surgi : le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a négocié son embauche dans une firme privée de ce secteur alors qu'il était encore ministre; le président de la Caisse de dépôt et placement, Henri-Paul Rousseau, est passé chez Power Corporation sur une passerelle dorée, en pleine tempête à la CDPQ.

Il y a quelques jours a éclaté à Montréal une profonde crise politique autour de l'octroi du gigantesque contrat de 355 millions $ pour l'installation de compteurs d'eau à un consortium dont l'un des partenaires est Tony Accurso. M. Accurso a entre autres parmi ses nombreux amis l'ex-président du comité exécutif de la ville, Frank Zampino, qu'il a déjà invité sur son luxueux yacht, tout comme le président de la FTQ, Michel Arsenault.

Le maire Tremblay, paniqué, a fait appel à Jean Charest pour que son gouvernement donne suite à ses engagements de 2003 sur les questions d'éthique à l'intention des élus.

Il n'est donc pas étonnant que, dans ce contexte, le maire de Québec, Régis Labeaume, avec le tempérament bouillant qu'on lui connaît, ait lancé à la poubelle le dossier du promoteur Jean Pilote, propriétaire du Capitole, lorsqu'il a appris que ce dernier avait retenu comme lobbyiste pour faire avancer rondement son projet d'agrandissement, Jean Lemay, un ex-chef de cabinet de son prédécesseur Jean-Paul L'Allier et également beau-frère de son propre chef de cabinet, Louis Côté.

Le nouveau maire de Québec, qui clame fort son préjugé favorable pour les gens d'affaires, ne peut donner aucune prise à la moindre apparence de possible trafic d'influence ou de favoritisme. M. Pilote devra reprendre le processus à zéro et sans intermédiaire, a prévenu M. Labeaume.

LOIS POREUSES

La loi québécoise sur le lobbyisme a été adoptée en catastrophe à la suite d'un scandale, par un gouvernement qui voulait se refaire une virginité. Elle est une véritable passoire.

Les députés à l'Assemblée nationale ne parviennent maintenant pas à s'entendre sur une loi sur l'éthique pour les élus des différents paliers. Ils réussissent à voter de multiples lois pour régir tous les gestes de nos vies, mais ils sont incapables de convenir d'une sur la propreté des agissements des politiciens.

Le niveau municipal est souvent pointé comme le plus vulnérable. Les médias ont publié des séries sur les commandites des congrès des élus municipaux par des firmes de professionnels et de fournisseurs. C'est aussi au niveau municipal que le trafic d'influence et le patronage seraient les plus faciles. L'attribution des contrats y est moins encadrée, l'emprise des élus sur la machine est plus forte et la reddition de comptes est moins serrée, parce que les oppositions sont moins stables.

Les maires propres ont besoin d'aide et le gouvernement Charest tarde depuis six ans à la leur fournir. Pourquoi ?


REF.: La chronique de J. Jacques Samson