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lundi 16 septembre 2013

Prism : surveillance sans limite ? Non !

Prism : surveillance sans limite ? Non, affirme un cryptanalyste de la NSA

Tribune : La NSA a-t-elle violé la loi et surveille-t-elle massivement les communications ? ZDNet publie en exclusivité la tribune de Roger Barkan, un spécialiste du chiffrement employé par la NSA depuis plus de 10 ans.
ZDNet.com a recueilli en exclusivité l’avis d’un mathématicien américain, Roger Barkan, employé comme cryptanalyste par la NSA depuis 2002. Les vues et opinions exprimées dans cet avis sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement celles de la NSA.
« De nombreuses voix – aussi bien au sein de la Maison Blanche qu’à mon café du coin – ont pris position sur les programmes de surveillance de la NSA récemment dévoilés par la presse. 
Comme quelqu'un en profondeur dans les tranchées de la NSA, où je travaille au quotidien avec des données acquises au travers de ces programmes, moi aussi je me sens obligé de faire entendre ma voix. En tant qu’Américain, suis-je inquiet du fait que la NSA puisse illégalement et subrepticement cibler ou suivre les communications d’autres Américains ?
La réponse est sans équivoque : non.
La NSA produit du renseignement extérieur au profit et pour la défense de notre nation. Les analystes ne sont pas libres de se promener à travers l'ensemble des données recueillies par la NSA, et bon gré mal gré, de fouiner dans les communications comme bon leur plait. Au contraire, l’activité des analystes est soigneusement surveillée, enregistrée et examinée afin de s'assurer que chaque utilisation de données répond à un objectif légitime de renseignement extérieur.
Nous ne vous surveillons pas. C'est nous qui le sommes.
En outre, les systèmes de la NSA sont construits avec plusieurs couches de contrôle et de redondance pour garantir que les données ne sont pas accessibles par les analystes en dehors des canaux agréés et supervisés. En cas d’erreur, même de la part du plus mineur des analystes, celle-ci est immédiatement et rigoureusement signalée en interne, puis aux superviseurs extérieurs de la NSA. Compte tenu des montagnes de paperasse que le processus de signalement d'incident entraîne, vous pouvez être assuré que ceux d'entre nous qui conçoivent et exploitent ces systèmes sont extrêmement motivés pour faire en sorte que des erreurs se produisent le plus rarement possible !
Un mythe qui me déconcerte vraiment, c’est l’idée selon laquelle la NSA pourrait ou voudrait perdre du temps à surveiller les communications des Américains ordinaires. Même si une telle surveillance n’était pas illégale et très dangereuse à réaliser au sein de nos systèmes, et compte tenu de la supervision de nos activités, cela ne ferait en aucune façon progresser notre mission. Nous avons déjà bien assez à faire pour pister les individus projetant activement de porter atteinte aux citoyens américains et à nos intérêts pour ne pas même envisager de consacrer du temps à la lecture des recettes de cuisine que vous envoie votre mère par email.
Il n’y a pas de doute à ce sujet. Nous vivons tous dans un nouveau monde du Big Data.
Le débat public s’est jusqu’à présent focalisé sur le volume de données auquel la NSA a accès, ce qui selon moi n’est pas le point essentiel. Dans la société numérique d’aujourd’hui, le génie du Big Data est sorti de la lampe. Chaque jour, toujours plus de données personnelles sont disponibles pour les individus, les entreprises et les gouvernements. Ce qui importe, ce sont les règles qui gouvernent la façon dont la NSA utilise ces données, et les multiples efforts de contrôle et de conformité qui nous maintiennent en conformité avec ces règles.
Je n'ai pas seulement vu, mais aussi expérimenté directement, au jour le jour, que ces règles et les pratiques en matière de supervision et de conformité sont strictes. Et cela travaille à protéger les droits de tous les Américains à la vie privée.
Comme le président Obama, mon commandant en chef, je me réjouis de la vigilance accrue du public quant aux activités de renseignement de la NSA. Le président a dit que nous pouvons et irons plus loin en matière de transparence sur les principes de fonctionnement de la NSA et les méthodologies de surveillance. J'ai toute confiance que lorsque cela sera fait, le peuple américain verra ce que j'ai constaté : que la NSA effectue son travail avec un respect absolu des règles - les lois, les décrets et les ordonnances judiciaires dans le cadre desquels nous opérons.
Alors que ce dialogue national se poursuit, je fais appel au peuple américain pour parvenir à un consensus sur le périmètre souhaité des activités US de renseignement. S'il était établi que les règles devaient être modifiées ou mises à jour, nous saurions à la NSA nous y adapter fidèlement et efficacement. Mes collègues de la NSA et moi sommes prêts à continuer de défendre cette nation en utilisant uniquement les outils que nous sommes autorisés à utiliser et les moyens spécifiques que nous sommes autorisés à utiliser. Nous ne voudrions pas qu'il en soit autrement.
Nous n’oublions jamais que nous aussi, nous sommes Américains. »


mardi 9 juillet 2013

Vos gadgets vous épient sans cesse

Vie privée - Attention! Vos gadgets vous épient sans cesse
 
Photo ktsdesign / Fotolia

Depuis les révélations au sujet de PRISM, ce vaste projet de cybersurveillance des internautes par le gouvernement américain, les gens se sentent soudainement épiés, croient leur vie privée violée par de l'écoute électronique ou l'interception de messages textes.

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Or, les appareils et logiciels que l'on utilise au quotidien dévoilent tout autant d'information à votre sujet aux fabricants (dans le meilleur cas) ou à des bidouilleurs ayant réussi à exploiter une faille de sécurité (dans le pire cas).
Les téléphones et tablettes sont équipés d'un module GPS et d'une antenne Wi-Fi, qui peuvent servir à connaître votre emplacement en tout temps. On se souviendra du casApple, où le stockage des données de localisation s'effectuait dans un fichier facilement accessible et non chiffré avait soulevé bien des questions, en 2011.
Les téléviseurs intelligents et récepteurs numériques personnels aussi peuvent servir à connaître beaucoup de choses à votre sujet: les sites visités et services utilisés dans un cas, les émissions que vous écoutez dans l'autre.
De plus, des téléviseurs vulnérables permettraient à des gens malveillants non seulement de s'introduire dans le système et accéder aux informations qui y sont stockées, mais aussi de propager des virus ou espiogiciels par l'entremise des ports USB dont ces appareils sont équipés.
Les consoles de jeu n'y échappent pas. On pense immédiatement au module Kinect de Microsoft, que l'on soupçonne de rester en veille pour épier nos moindres faits et gestes. La nouvelle version, intégrée à même la nouvelle Xbox One dont la sortie est prévue à l'automne 2013, est même fortement soupçonnée d'être un espion à la solde de la NSA et de PRISM, selon Inquisitr (en anglais).
Enfin, le logiciel de téléphonie IP Skype ferait, lui aussi, partie intégrante du réseau d'espionnage gouvernemental avec son «Project Chess», mis sur pied il y a déjà 5 ans de cela et exploité par la NSA et le FBI depuis février 2011, alors que Skype appartenait encore à eBay.

Pas que les États-Unis...

On apprenait aussi récemment que les services de renseignement français, la DGSE, possède aussi un système permettant de collecter les «signaux électroniques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l'étranger».

Bref, que «l'ensemble des courriels, des messages textes, des relevés d'appels téléphoniques, des accès à Facebook, Twitter et autres réseaux sont ensuite stockés pendant des années», selon le quotidien Le Monde.
On note toutefois que la surveillance cible surtout «qui parle à qui», plutôt que le contenu des conversations en soi - probablement la deuxième étape, une fois une conversation ciblée.

Étiqueté «terroriste potentiel»

Une fois les informations recueillies, il ne reste plus qu'à les jumeler aux données publiques (caméras dans les transports ou lieux publics) et surveiller les comportements jugés suspects, comme l'a appris à ses dépens David Mery, en 2005, alors que la police de Londres était sur les dents, peu de temps après un attentat dans le métro.

Le problème, c'est qu'une fois une personne étiquetée « terroriste potentiel », on interprète tout geste, tout acte comme étant suspect. Une fois la personne arrêtée, même si une erreur est admise par la suite, son nom demeure dans les registres pendant un bon bout de temps (9 à 10 ans, dans ce cas-ci), l'empêchant de voyager ou, simplement, de vivre une vie normale.

Si vous n'avez rien à cacher...


Le fameux prétexte voulant que « si vous ne faites rien de mal, vous n'avez alors rien à cacher » est plutôt douteux, à la lumière de l'histoire de David Mery (et probablement de plusieurs autres).
Que dire alors, si l'on suit cette logique, de ceux qui décident de ne pas avoir de compte Facebook? Ceux qui ne publient jamais de photo d'eux ou ne font jamais de «check-in» sur les réseaux sociaux? Est-ce que désirer conserver un peu de vie privée serait devenu un comportement suspect?

On est en droit de se demander où la logique Big Brother va nous mener...


REF.:

mardi 2 juillet 2013

Espionnage: La règle de la NSA, tu m'espionne sur mon territoire et je fait de même,si tu m'échange les donnés récoltés !

Tout le monde connaît cette règle,sauf les journalistes !
Toutes les ambassades possède des radômes a l'intérieur.

La France a été la cible d’une cybersurveillance massive par la NSA


Les agents américains récoltent des millions de données de connexion téléphonique par jour sur les citoyens français. Des ambassades et missions diplomatiques françaises et européennes ont également été espionnées.

On..................... s’en doutait un peu, mais c’est désormais confirmé : la France a été, à son tour, la cible de la stratégie mondiale de surveillance téléphonique et informatique des agents de la NSA (National Security Agency).........Bla-Bla,bla,bla,blaaaaaaaa. 







Une surveillance......................... qui, apprend-on dans des documents révélés par le fugitif Edward Snowden, ne se limite pas seulement à la lutte contre le terrorisme, mais se met également au service d’un espionnage purement politique.
Ainsi, selon le quotidien britannique The Guardian, la France figure dans une liste de 38 ambassades et missions diplomatiques qui étaient la cible d’une surveillance électronique de la part du redoutable service secret américain. La liste en question date de 2010. La surveillance qu’elle révèle s’appuyait à la fois sur des méthodes classiques (micros dans les locaux) et sur des interceptions informatiques. Les agents de la NSA font aussi preuve d’une certaine imagination : l’opération de surveillance de la représentation française à l’ONU a été baptisée « Blackfoot » et celle visant l’ambassade de France à Washington « Wabash ». Le premier terme désigne une tribu indienne, le second une rivière dans l’état de l’Ohio.

Des pics de 7 millions de données le 24 décembre et le 7 janvier

En parallèle de cette surveillance ultraciblée, la NSA ne s’interdisait pas de réaliser des opérations de surveillance de masse sur le territoire français. Selon le magazine allemand Der Spiegel, le service secret américain a intercepté, en décembre 2012 et début janvier 2013, chaque jour en moyenne deux millions de données de connexion relatives à des communications téléphoniques. Certains jours, le zèle des agents secrets est même monté jusqu’à 7 millions de données de connexion interceptées. Ce fut le cas pour le 24 décembre 2012 et le 7 janvier 2013. Ces écoutes se sont fait dans le cadre d’un programme baptisé « Boundless Informant ».
Mais les Français peuvent se réjouir un peu: ils ne figurent pas parmi les citoyens européens les plus surveillés. En Allemagne, la NSA a capté, sur la même période, entre 10 et 20 millions de données de connexion téléphonique par jour, avec un pic de 49 millions le 7 janvier, qui était visiblement une journée particulièrement active. L’agence a, par ailleurs, récolté entre 5 et 15 millions de données de connexion Internet par jour. L’Allemagne est, selon le Spiegel, le pays le plus surveillé en Europe par les Américains.

Des micros pour écouter l'Europe

Les institutions européennes ont également été dans la ligne de mire de la NSA. Selon un document datant de 2010 et révélé par le Spiegel, des micros ont été posés dans des missions diplomatiques de l’Union européenne à Washington et à New York. Leurs réseaux informatiques auraient également été piratés, pour lire les courriers électroniques et les documents internes. Les réactions politiques ne se sont pas fait attendre. L'Union européenne a indiqué dimanche qu'elle avait interrogé les autorités américaines sur les allégations d'espionnage des institutions européennes, et qu'elle attendait leur réponse. « Nous sommes au courant des informations de presse. Nous avons immédiatement pris contact avec les autorités américaines à Washington et à Bruxelles et les avons mis face aux informations de presse », a indiqué la Commission européenne dans un communiqué. « Elles nous ont dit qu'elles vérifiaient l'exactitude des informations publiées hier et qu'elles reviendraient vers nous », a ajouté la Commission, précisant qu'elle ne ferait « pas plus de commentaires à ce stade ».
Dès samedi, le président du Parlement européen, Martin Schulz, s'était dit « profondément inquiet et choqué par les allégations d'espionnage des autorités américaines dans les bureaux de l'UE »« Si ces allégations sont avérées, ce serait un problème extrêmement grave qui nuirait considérablement aux relations entre l'UE et les Etats-Unis », avait-il ajouté en réclamant « une pleine clarification et des informations complémentaires rapides » de la part des autorités américaines.

Laurent Fabius demande des explications...

Le gouvernement français a embrayé le pas. « La France a demandé aujourd'hui des explications aux autorités américaines au sujet des informations dévoilées par l'hebdomadaire allemand Der Spiegel selon lesquelles La National Security Agency (NSA) aurait espionné les institutions de l'Union européenne », a indiqué M. Fabius dans un communiqué. « Ces faits, s'ils étaient confirmés, seraient tout à fait inacceptables », a-t-il ajouté. « Nous attendons des autorités américaines qu'elles lèvent dans les plus brefs délais les inquiétudes légitimes suscitées par les révélations de la presse », poursuit le ministre.
Cette demande de Paris a été transmise par l'ambassade de France à Washington à la Maison-Blanche et au Département d'Etat, a-t-on précisé de source diplomatique française. La ministre de la Justice, Christiane Taubira, a pour sa part estimé sur la chaîne de télévision BFMTV que les allégations d'espionnage des institutions européennes par Washington seraient « un acte d'hostilité inqualifiable » si elles étaient avérées.

...alors que Fleur Pellerin relativise

De son côté, la ministre française de l'Economie numérique Fleur Pellerin a relativisé l'importance de l'affaire d'espionnage par la NSA de « cibles » institutionnelles, dont ferait partie l'Union européenne, estimant néanmoins « très choquante » la surveillance de millions de particuliers dans le monde. « Il faut distinguer deux choses: il y a l'affaire d'espionnage de l'Union européenne et des postes diplomatiques et ça, ce n'est pas vraiment la première fois que ça arrive dans l'Histoire », a commenté Mme Pellerin lundi sur BFMTV, évoquant « ce même type d'événement pendant la guerre en Irak »« Même si ce n'est pas vraiment un acte amical de la part d'une puissance amie, ce n'est pas une nouveauté », a-t-elle fait valoir.
Il faut souligner que les réactions politiques en France se limitent à la surveillance des institutions européennes. Aucun politique français n’a abordé, pour l’instant, la surveillance américaine effectuée sur les ambassades et la population françaises.


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lundi 18 mars 2013

téléphone portable capable de mesurer le pouls


Japon - Mesurer le pouls par un simple regard
 
Photo Yoshikazu Tsuno / AFP


Une entreprise japonaise a présenté lundi un téléphone portable capable de mesurer le pouls de son utilisateur d'un simple regard.

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La firme Fujitsu prévoit de commercialiser dans l'année à venir cette invention qui permettra de collecter des données utiles sur sa santé depuis son travail ou de chez soi, sans avoir à utiliser d'instruments de mesure particuliers.
L'appareil fonctionne en mesurant les variations de brillance du visage d'une personne causée par le flux sanguin. En pointant ce téléphone sur un visage pendant cinq secondes, l'appareil peut mesurer le taux d'hémoglobine, tirant parti de la caractéristique de cette protéine d'absorber la lumière verte du spectre visible.
Le système est capable d'évacuer de ses calculs les mouvements de la tête et autres perturbations pour fournir une estimation précise du rythme cardiaque, ont assuré les chercheurs de Fujitsu.
L'entreprise a précisé qu'il pouvait être installé sur d'autres supports qu'un téléphone, comme sur un écran de télévision ou un miroir.
«Des applications sont possibles dans le secteur de la sécurité, par exemple dans des lieux publics ou des points de contrôle d'un aéroport, pour détecter les gens malades ou qui agissent de façon suspecte», a souligné Fujitsu dans un communiqué.


dimanche 17 mars 2013

Des laboratoires chargés de faire des expériences sur la production de maladies

Des laboratoires chargés de faire des expériences sur la production de maladies.



Enquête sur un possible empoisonnement

CARACAS | (Reuters) Le Venezuela va ouvrir une enquête sur le cancer de son défunt président Hugo Chavez, soupçonné d’avoir été provoqué par un empoisonnement orchestré par ses ennemis à l’étranger, a annoncé le gouvernement hier.
Hugo Chavez, président du Venezuela pendant quatorze ans et chef de file de la gauche anticapitaliste latino-américaine, est mort le 5 mars après des mois de lutte contre un cancer dans la région pelvienne, diagnostiqué à la mi-2011.
Le soupçon d’un empoisonnement, régulièrement soulevé par le camp chaviste, fait l’objet de railleries dans l’opposition. Elle l’assimile aux théories du complot, qui, ditelle, ont fleuri sous Chavez pour alimenter la peur de la population face aux menaces «impérialistes» et la détourner de ses préoccupations quotidiennes.
Le président intérimaire Nicolas Maduro a néanmoins promis de mener une enquête sérieuse sur cette hypothèse, émise la première fois par Hugo Chavez lui-même quand son cancer lui a été diagnostiqué.
«Nous chercherons la vérité», a déclaré lundi soir Nicolas Maduro au réseau de télévision régional Telesur. «Nous avons l’intuition que notre commandant Chavez a été empoisonné par des forces obscures qui ont voulu l’écarter.»
Des scientifiques étrangers seront invités à faire partie de la commission gouvernementale qui sera mise en place.
S’il considère qu’il est trop tôt pour identifier un responsable, Nicolas Maduro relève par exemple qu’il existe aux États-Unis des laboratoires chargés de faire des expériences sur la production de maladies.


vendredi 29 juin 2012

Non au piège internet

Stop The Trap!
En ce moment même, un groupe de 600 « conseillers » lobbyistes et représentants commerciaux non élus sont en négociation à huis clos1,2 pour mettre au point un traité international appelé Partenariat transpacifique (TPP).
Pourquoi les secrets? Nous savons grâce à des documents divulgués3 que le TPP inclut ce qui se résume à un piège Internet, qui pourrait :
  1. criminaliser4 certains de vos usages quotidiens d'Internet,
  2. forcer les fournisseurs d'accès à recueillir et transmettre vos données privées sans protection de votre confidentialité5, et
  3. donner davantage de pouvoir aux conglomérats médiatiques pour vous imposer des amendes pour votre utilisation d'Internet6retirer du contenu en ligne — incluant des sites Web entiers — et même mettre fin7 à votre accès à Internet.
Le TPP créerait un système judiciaire parallèle de tribunaux internationaux qui brimerait la souveraineté nationale et permettrait aux conglomérats de poursuivre des pays pour des lois minant leurs profits.
Le piège Internet du TPP est secret, extrême et pourrait criminaliser votre utilisation quotidienne d'Internet. Nous avons le droit de savoir ce qui sera bloqué, ce pourquoi nos familles et nous devrons payer des amendes
Si nous sommes assez nombreux à nous soulever maintenant, nous pouvons forcer les gouvernements impliqués à jouer franc jeu. Votre signature portera un message aux dirigeants et représentants commerciaux de chaque pays.8 S'il vous plaît, signez la pétition et partagez-la avec tout le monde >>>
Je m'oppose aux dispositions du traité sur le Partenariat transpacifique (TPP) qui accroîtraient le pouvoir des conglomérats, y compris en ce qui a trait à la criminalisation ou la restriction de l'utilisation d'Internet. Je m'oppose à un environnement en ligne qui laisse les grands conglomérats médiatiques envahir ma vie privée, retirer du contenu à la demande, m'imposer des amendes salées ou mettre fin à mon accès à Internet. 

J'enjoins les gouvernements impliqués dans le TPP à rendre le processus transparent, responsable et ouvert à la participation du public et de tous les acteurs concernés.

Attn: Prime Minister Stephen Harper

Attn: Ed Fast, Minister of International Trade

Attn: Dr. Craig Emerson, Minister for Trade

Attn: Prime Minister John Key

Attn: Trade Minister Tim Groser

Attn: Ministry of Foreign Affairs, Brunei

YB Dato' Sri Ismail Sabri bin Yaakob

Brody Sinclair, Coordinator Trans-Pacific Partnership

Ministry of Foreign Affairs, Peru

Ministry of Trade and Industry, Singapore

Ministry of Foreign Affairs, Vietnam

President Barack Obama



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lundi 14 mai 2012

Big Brothers sur Google ?

Google et les services secrets

Google et les services secrets - Leur relation restera confidentielleLeur relation restera confidentielle


WASHINGTON - L'agence de renseignement ultra-secrète américaine NSA n'a pas l'obligation de révéler la nature de ses liens avec Google, conclus pour protéger la firme californienne de cyberattaques, a confirmé vendredi la justice américaine.Tout ça pour lutter contre les pirates Russes et Chinois !
La cour d'appel de Washington a jugé que les statuts spéciaux de l'Agence de sécurité nationale (NSA) lui permettaient de garder secret tout arrangement avec le géant de l'internet.
«Toute information se rapportant à la relation entre Google et la NSA révèlerait des informations protégées sur la NSA», a tranché la juge Janice Rogers Brown.
Cette décision répond à une requête d'une association qui défend la confidentialité des données privées sur internet. Le Centre d'information sur les données privées électroniques (EPIC) souhaitait que les accords entre Google et la NSA soient rendus publics, au nom du droit des citoyens de savoir s'ils sont surveillés.
Cette requête faisait suite à une série d'attaques informatiques dirigées contre des militants des droits de l'homme en Chine en janvier 2010. Ces militants avaient subi des attaques contre leur compte Gmail, la fonction courrier électronique de Google.
Le géant de Mountain View, pour protéger ses usagers, avait alors eu recours aux services de la NSA, selon le Washington Post et le Wall Street Journal. L'alliance des deux entités a pour but de repérer les faiblesses de Google face aux pirates et d'évaluer leur degré de sophistication, pour déterminer si les défenses mises en place sont adéquates.
Mais les défenseurs du respect de la vie privée craignent que cette union secrète expose les internautes à des violations de leurs données personnelles.


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mercredi 9 mai 2012

Drones à Alma

Craintes dissipées - Les drones sont populaires à Alma
Drone dérivé d’un Diamond AD42, à l'aéroport d'Alma. 
Jean-Luc Doumont / Agence QMI

ALMA – Depuis mars dernier, les drones - ces petits avions téléguidés -, réalisent plusieurs vols à Alma. Des résidents avaient des craintes, mais elles se sont à présent dissipées. L'engouement est tel, que plusieurs souhaitent désormais se faire photographier à côté de l'engin.
«L'aspect que nous développons est le commercial», mentionne Marc Moffatt, gestionnaire en recherche et développement au Centre d'Excellence des Drones (CED). «Nous offrons nos services aux divers paliers du gouvernement, mais aussi aux agriculteurs, la SOPFEU, Hydro-Québec ou encore Rio Tinto Alcan».
Dans les prochaines semaines, le CED souhaite avoir accès à l'espace aérien d'entraînement militaire de Bagotville ou encore dans le nord pour le développement du Plan Nord.
Les partenaires sont nombreux: le Centre de recherches de Val-Cartier ou encore les universités de Chicoutimi et de Laval qui travaillent sur des recherches au développement des drones.
«Le drone que l'on voit dans les journaux, c'est pour des applications militaires en Afghanistan ou en Libye. Nous mettons l'accent sur l'aspect commercial», a précisé M. Moffat.
Le marché du drone est en pleine expansion selon ce dernier: «Nous essayons d'être à l'avant-garde des autres établissements. Débloquer l'espace aérien demande une autorisation de Transport Canada. Quand cet espace sera ouvert, les applications commerciales seront infinies».
Stuart Gilmartin et Christian Larouche, sont tous deux pilotes de drones à Alma.
Pour le moment, les certificats émis au CED limitent les vols des drones à l'aéroport d'Alma pour réaliser des entraînements. «Il faut gagner la confiance de Transport Canada pour démontrer que nous sommes sécuritaires et que nous respectons le territoire. Lorsque la confiance sera établie, l'espace aérien s'ouvrira», a expliqué Marc Moffatt.
Les compagnies minières, les gouvernements ou encore les compagnies forestières qui souhaiteraient visionner leurs installations dans le processus du Plan Nord pourraient avoir besoin d'un drone.
Les drones
Les pilotes, grâce à leurs manettes de contrôle, pilotent à distance cet engin que certaines personnes appellent «l'oiseau blanc». L'appareil est un avion civil commercial, dérivé d'un Diamond DA42.
Pour les opérations nord-américaines, un système de dégivrage a été installé dans le drone et le fait d'avoir deux moteurs permet de voler en haute altitude jusqu'à 30 000 pieds. À l'heure actuelle, le CED a été jusqu'à 20 000 pieds pour les essais autour de l'aéroport d'Alma.


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vendredi 10 février 2012

Vidéosurveillance : Des Caméras dans le transport public


Vidéosurveillance - Capitale «protégée»
La présence des caméras dans les autobus a permis de réduire considérablement les actes de violence envers les chauffeurs. 
© Annie T Roussel / Agence QMI

QUÉBEC - Les caméras de surveillance prolifèrent à Québec depuis les fêtes du 400e anniversaire, en 2008. Les voies publiques sont scrutées comme jamais. Sur un kilomètre de marche, on compte jusqu'à dix caméras dans les secteurs les plus «hot» de la ville.
C'est le cas de la colline Parlementaire, qui abrite l'Assemblée nationale. Du parc de l'Amérique-Française jusqu'à la côte de la Potasse, en passant par l'avenue Honoré-Mercier, il y a une caméra aux 100 mètres!
Toutes ces caméras appartiennent à la division des transports de la Ville de Québec qui en possède 70 au total pour couvrir l'ensemble de son territoire. Avant les fêtes du 400e, on en comptait à peine une vingtaine. Ce réseau s'est développé indépendamment des autres systèmes de surveillance des édifices et des garages municipaux.
D'ailleurs, un groupe de chercheurs de l'Université Laval fait actuellement un inventaire plus poussé à ce sujet. On estime que les rues, les parcs et les stationnements représentent approximativement 1 % du nombre total de caméras répertoriées.
Place au spectacle!
La Ville de Québec justifie ces acquisitions par l'augmentation du nombre de spectacles de grande envergure présentés chaque été dans ses murs. Les caméras auraient pour objectif de faciliter la gestion des feux de circulation à distance.
«C'est très utile. Après le spectacle d'Elton John, l'année dernière, les gens ont pu quitter la colline Parlementaire en une heure et demie, alors qu'il y avait plus de 100 000 personnes sur place», a expliqué Jacques Perron, porte-parole.
Les images sont visionnées «au besoin» dans un centre opérationnel situé qui a été inauguré l'automne dernier dans l'arrondissement Beauport. Seul un cercle restreint d'employés municipaux constitué de policiers, de pompiers, d'ingénieurs, etc., ont accès à cet endroit névralgique.
«On peut suivre une trentaine de scènes en même temps», a laissé tomber M. Perron.
Des zooms super puissants
Ces caméras dernier cri installées à des poteaux d'éclairage ou de signalisation sont si puissantes, selon nos sources, qu'elles permettent de zoomer sur un enfant pour détecter la couleur de sa crème glacée.
Malheureusement, la demande du «Journal» pour visiter ces installations est demeurée lettre morte. Aucune nouvelle acquisition ne serait prévue pour 2012. La Ville considère que le territoire est assez bien couvert pour l'instant. L'achat des caméras fait suite à des décisions administratives.
Dans l'ensemble, l'industrie de la vidéosurveillance croît à un rythme de 10 % par année.


La Ville de Québec, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) ainsi que l'Université Laval ont dépensé des centaines de milliers de dollars en fonds publics pour acheter des dispositifs de surveillance. Il suffit d'être le moindrement aux aguets pour les détecter. Sur le campus de l'Université Laval par exemple, où il existe un réseau de tunnels souterrains, on est passé de 2 à 50 caméras en cinq ans. Pour quels motifs?
«Je ne suis pas en mesure de vous répondre», a rétorqué Sylvain Gagné, porte-parole de l'établissement, se référant à la Loi sur l'accès aux documents d'organismes publics et la protection des renseignements personnels pour expliquer son silence.
Avec un taux de criminalité parmi les plus bas au pays — deux meurtres en 2011 —, comment se fait-il que les caméras de surveillance poussent comme des champignons?
Selon le RTC, la présence des caméras dans les autobus a permis de réduire considérablement les actes de violence envers les chauffeurs.
«C'est dur à dire si c'est juste ça, mais on est très satisfaits de l'expérience. On a combiné d'autres moyens pour faire de la prévention. On a ajouté des boutons de panique et introduit les cartes à puce pour minimiser l'interaction avec les chauffeurs», a fait savoir Carole Brousseau, porte-parole du RTC. Les autobus articulés des lignes 800 et 801 sont équipés de six caméras et de deux micros. Le coût de ces dispositifs est évalué entre 8000 $ et 10 000 $ par véhicule.
Pour des raisons de sécurité
La politique sur l'utilisation de la vidéosurveillance a été adoptée par le RTC en 2008. Au dire de Mme Brousseau, le nombre d'événements liés à des agressions physiques ou verbales est passé de 113 au moment de l'adoption de la politique à 67, en 2010. Il s'agit d'une baisse de 41 %.
«On peut voir une nette diminution. Pour nous, la vidéosurveillance contribue à réduire le risque pour nos chauffeurs. On sait que c'est rentable.» Pour des raisons de sécurité, le RTC ne veut pas préciser le nombre exact d'autobus munis d'un dispositif de vidéosurveillance.
«C'est confidentiel», a ajouté Mme Brousseau.
Concernant la présence des caméras, la société de transport n'a jamais reçu de plaintes de la part de la clientèle.
Comme dans du beurre
En novembre 2011, l'équipe du professeur Stéphane Leman-Langlois, criminologue et titulaire de la Chaire du Canada en surveillance et construction sociale du risque de l'Université Laval, a fait un sondage auprès de 625 usagers du RTC. Les résultats sont pour le moins surprenants.
«L'immense majorité des gens ne voit aucun problème de violation de leur vie privée. En même temps, ils disent qu'ils ne sont pas suffisamment informés des raisons de la présence des caméras», a expliqué M. Langlois.
À plusieurs endroits, des messages très visibles ont été installés à l'intérieur des autobus pour prévenir les usagers qu'ils peuvent être filmés. Les images sont effacées après 14 jours.


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vendredi 30 septembre 2011

Des bactéries E.Coli dans le but de faciliter l'encodage de messages secrets.


image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/ecoli_1.jpg
Des chercheurs de l'université américaine Tuftsont réussi à modifier génétiquement des bactéries E.Coli dans le but de faciliter l'encodage de messages secrets.
Radio-Canada rapporte que les bactéries ont été modifiées pour «produire des protéines fluorescentes de différentes couleurs», permettant ainsi de faciliter les communications dites secrètes et de lutter contre la contrefaçon.
Les protéines ainsi créés se présentent sous diverses couleurs lorsqu'elles se trouvent exposées à des ondes lumineuses de différentes longueurs, indique l'article.
À partir de là, l'équipe du docteur Manuel Palacios a pu construire un code de lecture en associant les couleurs à une lettre. «Ces informations sont ensuite imprimées sur un support de nitrocellulose qui fige l'organisation des bactéries, qui pourront être lues sous un éclairage particulier».
Ironiquement, cette méthode de cryptage a pour nom SPAM - qui indique dans ce cas-ci Steganography by Printed Arrays of Microbes.
REF.: Source: Radio-Canada/BBC


mercredi 8 juin 2011

Une mission d'observation,appeler "ciel ouvert",pour enrayer le terrorisme


Un avion d'observation russe dans le ciel du Canada

 Un avion provenant de la Russie effectuera, à compter de mardi, une mission d'observation de trois jours au-dessus du Canada.
L'avion en question, un Tupolev TU-154M, est arrivé samedi à la base des Forces canadiennes de Trenton, en Ontario.
Ottawa a autorisé cette mission pour se conformer à ses obligations en vertu du traité « Ciel ouvert », a souligné le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
Ce traité, ratifié en janvier 2002 par le Canada et 33 autres États, vise notamment à encourager l'ouverture et la transparence entre les nations, afin de renforcer la confiance et la sécurité et ainsi « abaisser le seuil des conflits armés ».
Il permet aux États membres d’effectuer un certain nombre de vols d'observation au-dessus du territoire d'autres États, parmi lesquels se trouvent la Russie, la Croatie, la Géorgie et l'Ukraine.
Ce vol marquera la septième fois qu'un avion d'un autre pays signataire du traité effectue un vol d'observation au Canada.Les trente-quatre États parties au traité Ciel ouvert sont l'Allemagne, la Biélorussie, la Belgique, la Bosnie-Herzégovine, la Bulgarie, leCanada, la Croatie, le Danemark, l'Espagne, l'Estonie, les États-Unis, la Finlande, la France, la Géorgie, la Grèce, la Hongrie, l'Islande, l'Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la Roumanie, le Royaume-Uni, laFédération de Russie, la Slovaquie, la Slovénie, la Suède, la République tchèque, la Turquie et l'Ukraine. Le Kirghizistan a signé le traité mais ne l'a pas encore ratifié. Le Canada et la Hongrie sont les dépositaires du traité, en reconnaissance de leur contribution aux négociations en vue de la signature du traité.