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mardi 9 janvier 2018

Inondation planétaire, ou et quand ?



D’après l’ONU, 250 millions d’humains vont être concernés par la montée des eaux dans les prochaines années soit en 2050 environ !

Ce sont les Naufragés de l’île Jean-Charles en Louisiane en premier !

Une île de Louisiane, l’Île de Jean Charles, est en train de disparaître. La cause, ou plutôt les causes, la montée des eaux mais aussi l’érosion provoquée par l’exploitation pétrolière. Comme l’Île de Jean Charles, la Louisiane est en train de couler. L’équivalent de la surface d’un terrain de foot disparaît toutes les heures dans la mer…
Les habitants de l’île de Jean Charles sont des indiens. Depuis que le gouvernement leur a alloué 48 millions de dollars pour s’installer ailleurs, ils sont devenus les premiers réfugiés climatiques américains. Le gouvernement reconnaît enfin être victime du réchauffement climatique. Un événement aux États Unis. Mais tout ne se déroule pas comme prévu, l’argent tarde à venir. Trouver un nouveau territoire pour toute la tribu n’est pas si simple.Dans ce secteur le Port fourchon situer a Galliano possède des digues pour protéger son terminal pétrolier ou transite 90% du pétrole off shore et 20% du pétrole et du gaz consommé par les USA.

 « Cette montée des océans inondera les côtes du monde entier et affectera environ 70 % de la population mondiale » dit H. Richard Lane (Directeur de programme à la division Géologie de la National Science Foundation, qui finance cette recherche). Shanghai, Le Caire, Londres ou La Nouvelle-Orléans seraient alors totalement englouties sous les eaux, et une partie de la Floride, le Bangladesh, le Cambodge ou les Pays-Bas, une grande partie de la Belgique et du nord de la France effacée des cartes. La réalisation de ce scénario (qui, avec + 2 °C n'est pas le plus alarmant) obligerait l’humanité à densifier ses populations sur des territoires toujours plus petits.


  • Pour l'instant l'arctique fond plus vite que l'antarctique. Les glaciers continentaux pourraient apporter assez d'eau pour faire monter les mers d'environ 40 cm. La fonte du Groenland apporterait assez d'eau pour élever la mer de 6 à 8 mètres (tout en privant les terres d'eau douce). L'Antarctique-Ouest (qui s'érode aussi37) contient assez d'eau pour une élévation de 5-6 m, alors que l'Antarctique-Est s'il fondait élèverait la mer de 70 mètres supplémentaire. Les modèles ne permettent pas encore de prédire à quelles vitesse et dans quelle proportion ces fontes se feront. Les courbes ont été relativement linéaires au XXe siècle, mais des effets d'albédo et de libération massives de méthane pourraient accélérer le réchauffement, et donc la montée des mers38.
  • Enfin, les prédictions régionales sont rendues difficiles par le caractère non uniforme de l'élévation marine39 (détails ci-dessous). Certaines régions subissent une élévation plus importante que la moyenne (souvent, plus que deux fois la moyenne), et d'autres une chute40. Les modèles divergent encore quant aux probabilités de changement du niveau marin41.


Les mégapoles côtières sont de plus en plus exposées aux inondations. 
 Comment faire face ? 
De New York à Bangkok en passant par Tokyo, une ambitieuse enquête.
29 octobre 2012 : la moitié de New York, envahie par les eaux, est plongée dans le noir à la suite du passage de l’ouragan Sandy. Après Katrina et ses 1 800 morts, ce nouveau cataclysme alerte sur la vulnérabilité des mégapoles côtières face aux ondes de tempête (raz-de-marée) et aux inondations. Dans le monde, quelque 136 villes portuaires, riches ou pauvres, sont menacées, en particulier celles situées sur des deltas. À l’origine de ce phénomène : le réchauffement climatique et la montée des eaux bien sûr, mais aussi l’affaissement des sols (la subsidence) et leur liquéfaction, liés à l’urbanisation chaotique et au pompage excessif des nappes phréatiques, ainsi que la multiplication des barrages (45 000 à la surface du globe). Shanghai, Bangkok, Tokyo, Dacca ou Djakarta... : les cités asiatiques, à la croissance foudroyante, sont les plus exposées.
"Résilience urbaine"
Comment prévenir ces catastrophes, aux conséquences humaines et économiques désastreuses ? Faudra-t-il un jour abandonner ces grandes métropoles qui sombrent inexorablement ? Aujourd’hui, les habitants du littoral fuient ou s’adaptent, en surélevant leurs maisons, tandis que des digues édifiées dans l’urgence tendent à protéger les quartiers des nantis, au détriment des plus démunis. À Tokyo, le pompage des eaux souterraines est interdit et des zones rurales tampons ont été aménagées. Shanghai, dont les gratte-ciel ne cessent de s’élever toujours plus haut, met en œuvre un ambitieux programme de surveillance de la subsidence. Mais la prise en compte du phénomène relève en réalité du choix de société. Repenser l’urbanisme et vivre avec l’eau plutôt que la combattre : le modèle séculaire des Pays-Bas inspire désormais d’autres démarches de "résilience urbaine". Ainsi, à Hambourg, l'audacieuse "HafenCity" revisite le concept de pilotis, tandis qu'à New York un programme collaboratif, "Rebuild by design", reconstruit dans le respect de la nature. À travers témoignages sur le terrain et avis d’experts, cette passionnante enquête fait le point sur les inondations et les solutions qui s’ébauchent pour y répondre.

 Le phénomène des migrations climatiques est susceptible de causer des conflits dans les régions déjà sensibles de la planète. Ainsi, au Bangladesh, des conflits externes ont explosé à cause de la migration élevée vers l'Inde qui aggrave la concurrence pour l’accaparement de ressources déjà rares. Cette concurrence entraine le déclenchement de tensions ethniques à la frontière et a l’intérieur des terres118.


REF.:

mercredi 27 juillet 2016

Le monde en 2050 ?



Il y aura, selon l'ONU, 250 millions de réfugiés climatiques en 2050, si rien n'est fait.
Il est fort probable que d’ici environ un siècle, le monde soit en moyenne plus chaud de quatre degrés qu’à la fin du 19ème siècle". Mais alors justement, à quoi ressemblerait le Monde si le réchauffement climatique dépasse deux degrés Celsius ? 

Des îles pourraient disparaître. La température moyenne à la surface du globe a augmenté d’environ 1°C au cours de la période 1901–2012.
La conséquence directe de la récurrence de ces phénomènes climatiques extrêmes est la montée du niveau de la mer et donc la disparition de certaines îles. Le niveau des océans s’est élevé de dix centimètres ces 50 dernières années et cela n’est pas prêt de s’arrêter. En effet, une augmentation de deux degrés en moyenne sur le globe ne signifie pas que le thermomètre grimpera de deux degrés partout, uniformément. La hausse de température sera donc beaucoup plus forte dans l’Arctique que sur l'Équateur et la température aux pôles pourrait grimper de huit à dix degrés. Cette forte augmentation va accélérer la fonte des calottes glaciaires qui, conjuguée à la fonte des petits glaciers de montagne et la dilatation des molécules d’eau à cause de la chaleur, entraînera une montée du niveau des océans de 30 à 80 centimètres pour deux degrés de plus. A titre d’exemple, d’ici 2100, la dune du Pyla pourrait perdre 80% de sa surface. Et selon une étude du CNRS, 10.000 à 20.000 îles et archipels pourraient totalement disparaître avant la fin du siècle.

 Des écosystèmes disparaîtront. Selon les spécialistes, une augmentation de température de trois degrés Celsius entraînera une migration des espèces de 500 kilomètres vers le Nord. Et c’est d’ailleurs pour cela, que les frelons asiatiques ou les chenilles processionnaires ont fait leur apparition chez nous. Plus grave encore, en analysant les résultats d’une centaine d’études qui portent sur l’impact du réchauffement climatique sur la faune et la flore, des chercheurs américains ont établi qu’une espèce animale sur six pourrait disparaître si le rythme actuel des émissions de gaz à effets de serre se poursuit.

L'essayiste américain Jeremy Rifkin prédit un changement de paradigme de notre époque. Le passage de la verticalité de l’ère charbon-pétrole à l’horizontalité de l’ère internet qui pourrait nous mener vers un monde plus écologique, plus durable et plus démocratique.Si le monde décrit par Rifkin prenait complètement corps dans la réalité, cela donnerait une planète où tout le monde serait connecté, où l’énergie (solaire, éolienne, géothermique…) serait propre, infinie et peu coûteuse, où le monopole des multinationales serait mangé par les individus et petites structures qui seraient en situation de produire eux-mêmes une partie de leur biens.Et comme il le dit, personne n’a d’autres plans alternatifs pour sortir de la crise économique, écologique et sociale dans laquelle nous sommes plongés.


 Le cycle du charbon-pétrole a déjà atteint son pic et redescend. Une économie basée sur ce type d’énergie ne peut plus croître. Presque tous les produits sont faits à partir du pétrole. La raréfaction du pétrole va faire grimper les prix de toutes les marchandises, ce qui va ralentir encore plus l’économie. On touche aux dernières années de ce cycle, et c’est convulsif, comme le montrent les diverses crises.

L'objectif de notre société est de sortir de l'économie du carbone d'ici 2030,ce qui implique un changement radical de notre façon de vivre !
Ce futur c'est la 3ième révolution industrielle.Comme pour la 2ième révolution ,il y aura un nouveau régime énergétique associé a un nouveau moyen de communication.Soit le charbon et l'imprimerie,et après l'électricité et l'essence puis maintenant l'énergie renouvelable et l'internet !


 Au XIXe siècle, révolution industrielle : on est passé des presses manuelles aux presses à vapeur, on a inventé le télégraphe, la production de charbon a augmenté, les prix du charbon ont baissé. Charbon, vapeur, ont amené la création des chemins de fer. On est passé d’une économie locale à une économie nationale. Ensuite sont venus dans la foulée les Etats-nations, les grosses firmes, les sociétés anonymes, parce que les réseaux de chemin de fer ou de télégraphie demandaient de gros investissements. Ce capitalisme industriel était structuré par de grosses entités verticales afin de gérer ces nouvelles énergies et nouveaux transports à l’échelle nationale. Puis au XXe siècle, on a inventé le téléphone, la télévision, le pétrole, tout cela a amené la voiture, les camions, l’infrastructure routière, etc. Que se passe-t-il maintenant, en Chine, en Allemagne ? La troisième révolution industrielle. La nouvelle technologie de la communication, internet, va bientôt devenir l’internet des objets. L’internet bouleverse les communications : téléphones mobiles, GPS, voitures intelligentes, etc. Les grandes sociétés comme IBM, Cisco, GEC, sont en train de créer l’infrastructure informatique en installant des capteurs partout : champs, usines, routes intelligentes, boutiques, maisons intelligentes, etc. Si on part de l’hypothèse que les grosses multinationales vont rester neutres et ne pas s’arroger un monopole (et je suis conscient que cette hypothèse est fragile), ce réseau informatique va permettre des choses immenses. Aujourd’hui, 40 % de l’humanité est connectée à internet. Dans vingt ans, presque toute l’humanité sera connectée. Chacun d’entre nous aura la possibilité d’aller vers l’internet des objets, chacun d’entre nous pourra potentiellement devenir producteur d’information, de culture, d’objets… Chacun pourra devenir prosommateur, à la fois consommateur et producteur.

 Un watt solaire coûte aujourd’hui 66 cents, ce n’est rien. Bref, une fois payés les coûts fixes d’installation, l’énergie solaire ne coûte rien. Je vais vous livrer un scoop : le soleil, le vent, la géothermie n’envoient pas de facture !On pourra stocker cette énergie supplémentaire dans l'eau pour ensuite faire de l'hydrogène par électrolyse ;parce lorsqu'il n'y a pas assez de soleil on transforme l'hydrogène en électricité,dans une pile a combustible.

Les grandes compagnies allemandes de l’énergie ont connu la même situation que les multinationales du disque ou de l’édition, elles ont perdu des parts de marchés au profit des individus qui produisent et échangent leur énergie. Qui aurait cru cela possible ? Pourtant, c’est en marche. L’Allemagne n’est pas seule, la Californie s’y met aussi. Les choses sont en train de bouger.

 Un ancien dirigeant de General Motors est maintenant prof à l’université du Michigan : selon lui, si l’internet et la culture du partage continuent à se développer, on pourra réduire de 80 % la production de voitures dans le monde. Il y a un milliard de véhicules sur terre, on pourra en supprimer 800 millions, les 200 millions restants seront électriques et partagés, comme avec autolib.


Les 5 piliers pour (re)construire une économie durable;

Tirer parti de ces nouvelles forces, plutôt que subir leur avènement désordonné, suppose d’agir de manière concertée, en partageant les perspectives. Pour y parvenir, Jeremy Rifkin identifie 5 piliers qui doivent être mis en œuvre simultanément :

1-Le développement des énergies renouvelables à grande échelle (champs éoliens, centrales photovoltaïques, énergies marines … )
2-La généralisation des énergies renouvelables à l’échelle de chaque bâtiment transformé en mini-centrales électriques(191 millions d'immeubles gouvernementale en Europe)
3-Le déploiement des technologies de stockage, par le biais de l’hydrogène ou d’autres moyens, dans chaque bâtiment et dans toute l’infrastructure, pour emmagasiner et réguler la production de ces énergies intermittentes
4-L’utilisation de la technologie de l’Internet pour transformer le réseau électrique en système intelligent de distribution décentralisée de l’énergie
5-La transformation de la flotte de transport en véhicules électriques rechargeables ou à piles à combustible, pouvant acheter ou vendre de l’électricité sur un réseau électrique intelligent
Lorsque les 5 piliers entrent en synergie et sont couplés à des progrès significatifs en termes d’efficacité énergétique, ils forment une nouvelle plateforme technologique indivisible qui permet d’augmenter considérablement la productivité des entreprises et des industries, de créer de nouvelles opportunités commerciales, de développer la création d’emplois, et d’atteindre des objectifs de développement durable ambitieux.

 Un individu pourra stocker de l'énergie, produire des biens et services, les consommer et jusqu'à les recycler. Il pourra par exemple créer facilement sa propre application. La productivité va grandement s'améliorer tout en réduisant de manière importante le coût marginal. Un nombre important de biens et de services vont même s'approcher d'un coût marginal zéro. Ils deviendront gratuits et sortiront donc du circuit économique classique. C'est ce qu'on appelle l'économie collaborative. Il s'agit du premier nouveau système économique à émerger depuis l'avènement du capitalisme et du socialisme dans les années 1970. Même si cette économie collaborative peut paraître encore balbutiante, elle n'en demeure pas moins importante car elle oblige le système capitaliste à changer. En effet, ce que nous observons c'est l'émergence d'un système hybride avec d'un côté l'économie de marché, dit capitalistique, et de l'autre l'économie de partage, fondée sur les biens et services quasi-gratuits. Je considère que d'ici 35 ans, ce système dual sera arrivé complètement à maturité.


L'Allemagne,en l'espace de 10 ans, le pays produit lui-même sa propre énergie avec l'installation de milliers de mini-centres de production d'énergie solaire et éolienne sur les bâtiments et habitations. Nous en sommes à 27% d'énergies renouvelables, et l'objectif est de passer à 35% d'ici 2020, et même 100% en 2040! Nous n'utiliserons alors plus de pétrole ni de nucléaire. Et tout ça avec l'idée de partager, pas de faire des profits.
 Si on se maintient dans la 2e révolution industrielle, on aura beau faire toutes les réformes que l’on veut ça ne marchera pas. C’est vraiment le passage à la 3e révolution industrielle qui nous sauvera.





Source.:

Les réfugiés climatiques sera la norme en 2050

Les réfugiés climatiques trois fois plus nombreux que les réfugiés de guerre

Il y a 22 millions de personnes qui ont dû fuir leurs foyers pour des raisons climatiques en 2013.
Le problème des réfugiés climatiques pourrait bien être le défi majeur du XXIème siècle. D'après le rapport annuel Global Estimates du Conseil norvégien pour les réfugiés publié mercredi, 22 millions de personnes ont dû abandonner leur domicile en 2013 à la suite d'une catastrophe naturelle, soit trois fois plus que de personnes déplacées à cause d'un conflit. Sur ces 22 millions, 31% ont été déplacées à cause de désastres hydrologiques (inondations) et 69% à cause de catastrophes météorologiques (tempêtes, ouragans, typhons).A cause du réchauffement climatique,nous aurons pire que ça bientôt !

L'Asie, région du monde de loin la plus touchée

Si aucune région du monde n'est épargnée, l'Asie reste de loin la plus touchée avec 19 millions de déplacés à cause d'inondations, de tempêtes ou de séismes. La surpopulation et la fréquence des cataclysmes font du continent asiatique le théâtre privilégié de l'exode climatique: entre 2008 et 2013, 80% des réfugiés climatiques venaient d'Asie. Le typhon Haiyan qui s'est déchaîné aux Phillipines en novembre 2013 a battu tous les records, provoquant le déplacement de 4,1 millions de personnes.
Durant les six dernières années, les pays où l'on trouve le plus de réfugiés environnementaux sont les Philippines, la Chine, le Pakistan, le Bangladesh, le Nigeria, et les Etats-Unis, seul pays riche, avec le Japon, dans le cortège de tête des pays régulièrement touchés par des catastrophes climatiques. Selon le rapport, huit des 20 catastrophes les plus graves ont eu lieu en Afrique subsaharienne. Le continent risque à l'avenir d'être de plus en plus touché en raison de la croissance plus forte qu'ailleurs de sa population.
Ces 22 millions de personnes déplacées peuvent paraître exceptionnels mais ils sont en réalité en dessous de la moyenne de ces six dernières années située à 27,5 millions, avec un pic en 2010 à 42,4 millions de réfugiés (dont 17 millions pour les inondations au Pakistan - du jamais vu). Mais sur le long terme, on observe une augmentation linéaire du nombre de réfugiés sur quarante ans: il y a aujourd'hui deux fois plus de déplacés dans le monde que dans les années 1970.

«Une tendance indubitablement liée au réchauffement climatique»

La raison principale de cet afflux toujours croissant de réfugiés? La démographie. S'il y a plus de réfugiés climatiques, c'est tout simplement parce que la population a énormément augmenté et qu'elle s'est concentrée dans des villes situées dans des zones à risque. La population mondiale a augmenté de près de 100% depuis les années 1970, la population urbaine de plus de 300%!
Néanmoins la surpopulation n'est pas seule en cause, il y a aussi plus de catastrophes naturelles qu'auparavant. Pour François Gemenne, chercheur spécialiste des migrations environnementales, «cette tendance à la hausse est indubitablement liée au réchauffement climatique». Si les typhons et les ouragans ont toujours existé, ils sont aujourd'hui «plus violents, plus fréquents, et suivent des trajectoires inattendues».
Le chercheur, qui a participé à la relecture du rapport, rappelle que celui-ci ne mentionne que les déplacés de catastrophes, et pas les «réfugiés climatiques ayant subi une dégradation lente de leur environnement», comme c'est le cas des habitants des Iles du Pacifique, condamnés à quitter leur habitat à cause de la montée des eaux, un phénomène directement lié au changement climatique.

Quelles solutions?

Une catastrophe naturelle, rappelle le chercheur, c'est d'abord une «catastrophe sociale». «Un tremblement de terre dans un désert n'est pas une catastrophe, il faut qu'il y ait la conjonction d'un risque naturel avec des facteurs de vulnérabilité humaine». A long terme, l'exigence d'une planification de la répartition des populations sera inévitable: il faudra déplacer de manière préventive les habitants des zones à risque.
Le rapport préconise de développer également la planification urbaine, des digues anti-crues ou des normes de construction pouvant aider à réduire l'impact des désastres naturels sur les populations. Ainsi les Pays-Bas, dont les deux tiers du pays sont placés sous le niveau de la mer, viennent d'annoncer un investissement de 20 milliards d'euros pour lutter contre la montée des eaux. «Des mesures que seuls peuvent se permettre les pays riches» souligne le chercheur, et dans des zones limitées: «On ne peut pas entourer toute une île de digues!».
Enfin une troisième solution consiste en l'amélioration des systèmes d'alerte aux populations. En cette matière, il y a encore «énormément de progrès à faire», selon François Gemenne.


Source.:

vendredi 14 novembre 2014

Les derniers orangs-outangs de Sumatra



Les victimes de la déforestation sont nombreuses et le coût de cette exploitation effrénée des dernières forêts tropicales indonésiennes se calcule dorénavant en vies. Si les coupes à blanc affectent toutes les espèces de la forêt(pour exploiter l'huile de palme), il existe une espèce qui représente l’un des symboles forts de cette lutte contre la déforestation : l’orang-outang. Les orangs-outans de Sumatra sont considérés en danger critique d’extinction et des scientifiques se mobilisent pour tenter de sauver les derniers survivants d’une lutte acharnée contre le pouvoir des multinationales qui bafouent trop souvent les lois(plusieurs tuent et blesse les Orang-outang ,genre 18 balles pour les blesser ou battu a mort ). Le Sumatran Orangutan Conservation Program (SOCP) se spécialise dans la réhabilitation et la réintroduction des orangs-outangs confisqués à leurs propriétaires. L’équipage du Sedna IV a partagé le quotidien de ces biologistes et vétérinaires dévoués qui tentent de sauver les derniers survivants d’une lutte inégale et sans merci.

Ici la preuve que les travailleurs sur les plantations,blesse a mort les Orang-outang(ça deviens un jeux ,et un malin plaisir de blesser a mort des animaux en voie d'extinction ,maintenant) !


REF.:

jeudi 26 décembre 2013

L'Agrément avant l'Environnement ?

Les déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE, D3E ou PEEFV - produits électriques et électroniques en fin de vie - en anglais Waste Electronic and Electrical Equipment WEEE) sont une catégorie de déchets constituée des équipements en fin de vie, fonctionnant à l'électricité ou via des champs électromagnétiques, ainsi que les équipements de production, de transfert et de mesure de ces courants et champs (ce sont surtout des ordinateurs, imprimantes, téléphones portables, appareils photos numériques, réfrigérateurs, jeux électroniques ou télévisions).
En Europe, une directive1 visant un meilleur recyclage des produits électriques et électroniques limite cette catégorie aux matériels fonctionnant avec des tensions inférieures à 1 000 V en courant alternatif et 1 500 V en courant continu. Au-delà, ils sont considérés comme des déchets industriels.
Diverses lois et taxes sont mises en place dans les années 2000 pour gérer ces déchets et limiter l'utilisation des substances dangereuses (RoHS et DEEE en Europe, en Californie, China RoHS en Chine).

Ces déchets ont une empreinte écologique très élevée en raison des importantes quantités de ressources en eau, métaux, et énergies mobilisées par la conception, la fabrication, le transport, l'utilisation et le recyclage des composants et objets électriques et électroniques.
Les DEEE contiennent des métaux précieux (argentorpalladiumcuivre et indium en particulier), source potentielle d'emplois, mais d'emplois dangereux s'ils ne sont pas associés à des législations et pratiques prenant en compte que certains composants des DEE sont aussi des déchets toxiques ou dangereux (cf teneur en aluminiumcuivreplombzincmétaux du groupe du platineargent, et des polluants persistants tels qu'arsenicmercurecadmiumlithium…)), ainsi que du verre, du plastique et de la céramique. Ils doivent théoriquement être traités conformément aux conventions internationales et réglementations nationales ou régionales, mais de nombreux pays envoient leurs déchets dans des pays pauvres où ils sont retraités sans précautions, et parfois par des enfants.
En électronique, de nombreux produits, sans danger lors d'une utilisation normale, sont utilisés dans un ordinateur personnel. Cependant lorsque ces produits sont abandonnés, les substances composant un ordinateur peuvent devenir toxique par le manque de stabilité. Ainsi, un moniteur à tube cathodique est constitué de verre plombé et de PVC produisant des toxines toxiques lors de son incinération. Chaque moniteur contient jusqu'à 4 kg de plomb au niveau de l'entonnoir et dans ses composants électroniques. Un moniteur contient également du baryum et du phosphore des éléments toxiques pour l'environnement et la santé humaine. L'unité centrale est également composée de produits comme le béryllium, leplomb et le chrome hexavalent2. le matériel électrique et informatique contient aussi des Agents ignifuges bromés dont certains sont en laboratoire des perturbateurs endocriniens avérés, qui affectent l'environnement, mais auxquels les personnes qui démontent ou cassent du matériel électronique sont particulièrement exposées (Une étude suédoise a mesuré les taux de PBDE dans l'organisme de différentes catégories de travailleurs, montrant que les recycleurs de déchets électriques et électronique étaient particulièrement touchés3).
En France, par « composants dangereux provenant d'équipements électriques et électroniques », on entend les composants électroniques eux-mêmes mais aussi « des piles et accumulateurs visés (...) considérés comme dangereux, descommutateurs au mercure, du verre (plombé et traité avec des terres rares) provenant de tubes cathodiques et autres verres activés, etc. »
Terra nova parle de « mine urbaine » et met en place en 2010 un procédé nouveau de recyclage des cartes électroniques (extraction mécanique du fer et de l'aluminium, pyrolyse de la résine époxy, et envoi en fonderie de l'agglomérat résiduel de cuivre et métaux précieux. Le gisement européen serait de 200 000 tonnes de cartes électroniques par an dont 130 000 tonnes pourraient être traitées par les fonderies4.

Les DEEE devraient d'abord être réutilisés avant d'être recyclés : C'est une logique de "priorité de traitement" Voir: http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?catid=14688&cid=96&m=3&sort=-1 La remise en état et la réutilisation d'un EEE est bien plus efficace pour protéger l'environnement car elle allonge la durée d'utilisation. Paradoxalement, en France, la filière de retraitement des DEEE est financée par les particuliers (via la contribution visible nommée aussi éco-contribution ou éco participation), mais ce sont les fabricants de matériels qui pilotent les 4 éco-organismes agréés. Les fabricants n'ont pas intérêt à privilégier le reconditionnement car les produits d'occasions font concurrence aux produits neufs qu'ils vendent.

Recyclage en Europe : L'ensemble des pays de l'Union Européenne a récolté en 2005-2006 en moyenne 5,1 kg/hab/an8.
La Norvège, la Suède, la Suisse, le Royaume-Uni sont les pays européens qui ont collecté le plus de déchets par habitant(>= 10 kg/hab/an).

Aux États-Unis, les déchets électroniques sont pour la plupart stockés dans des décharges, une infime quantité est incinérée et une petite quantité est recyclée. Ainsi, l’Agence de protection de l'environnement (APE) estime que 70 % des ordinateurs et des écrans et 80 % des téléviseurs sont déposés dans des décharges. Et seulement, 20 % des déchets électroniques sont recyclés9

Il est plus rentable d'envoyer à l'étranger ses déchets électroniques que de les faire traiter sur le territoire des États-Unis. Pour l'instant, l'Agence de protection de l'environnement n'impose pas aux fabricants et aux exportateurs de respecter des normes de traitement. Mais, elle étudie plusieurs solutions à mettre en œuvre11.

La Chine était l'un des premiers pays à récupérer les déchets électroniques pour en récupérer les métaux. Malgré l'interdiction par la Chine d'importation de déchets électroniques, le commerce n'a pas baissé. De nombreux villages sont des décharges de déchets électroniques12, par exemple la décharge de Guiyu13.






Conscient que les déchets électroniques sont une source de pollution et de danger pour l'Homme, le recyclage s'organise peu à peu dans de nombreux pays afin de récupérer notamment les métaux précieux contenus dans ces déchets. Aux États-Unis ou en France, le recyclage devient obligatoire et les déchets doivent être pris en charge par des filières et entreprises spéciales. Une règlementation internationale, la convention de Bâle, impose aux pays exportateurs de déchets dangereux à signaler au destinataire la nature des déchets. L'union européenne impose aux fabricants de produits électroniques de prendre en charge le traitement de leurs propres déchets14.
Malgré cela, de nombreux déchets électroniques quittent les pays développés vers les pays en sous-développement où toute une filière s'est mise en place comme à Accra au Ghana. Dans les années 2000, une partie des déchets exportés le sont plus facilement en étant présenté comme matériel d'occasion réutilisable, mais en réalité souvent inutilisable (dans les 3/4 des cas selon le BAN15. De nombreux enfants démontent, trient et brulent des déchets électroniques afin de récupérer les métaux comme le cuivre. Les autres débris non valorisés sont rejetés dans l'environnement ou brulés dégageant de nombreux produits dans l'air, l'eau et le sol, toxiques pour l'environnement et l'homme16. La Chine est également devenue depuis les années 1980 un cimetière pour les déchets électroniques.



Les tablettes électroniques :

Les Amis de la Terre parlent d’un « effroyable gaspillage de matières premières » et soulignent que cet appareil est loin d’être sans danger pour l’environnement.
Le premier sujet critiqué par les écologistes est l’extraction des métaux et de minerais nécessaires à la fabrication de l’objet. Ceux-ci sont contenus à 95 % dans ce que l’on appelle les terres rares, extraites des mines chinoises. Seulement, les terres rares se présentent dans un état brut, mélangé à d’autres minerais. Inutiles, ceux-ci sont rejetés et dégagent de nombreux déchets toxiques autour des usines. L’impact environnemental et social de tels procédés est colossal. Les Amis de la Terre ont également pointé l’iPad du doigt à cause de son caractère éphémère. Le dysfonctionnement de la batterie soudée à l’appareil, marque en effet la fin de vie de cette tablette high-tech.

Faut-il totalement rejeter l’iPad ? .....Non,juste la politique environnementale internationnale !


Voyons l’intérieur de l’iPad à la loupe pour en évaluer le degré d’écologie. Le verre utilisé ne contient pas d’arsenic, un élément chimique toxique. L’écran LED ne contient pas de mercure et consomme moins d’énergie. L’ensemble de l’appareil est dépourvu de BFR et de PVC, des composants ennemis de l’environnement. La coque est en aluminium et la surface de l’écran en verre. L’extérieur de l’iPad est de ce fait entièrement recyclable. L’iPad séduit aussi parce qu’il permet la lecture de livres électroniques, réduisant ainsi l’utilisation de papiers. Bref, les avis divergent et ils sont fondés.




Le problême est que : 
Ces Produits toxiques doivent théoriquement être traités conformément aux conventions internationales et réglementations nationales ou régionales, mais de nombreux pays riches envoient leurs déchets dans des pays pauvres où ils sont retraités sans précautions, et parfois par des enfants.C'est souvent l'irresponsabilité du pays sous-développés  ,surexploités par les grosses cie qui ne font rien pour les guider dans le chemin de la protection environnementale et de la santé humaine.

Les conséquences environnementales:

Les trois régions présentent des caractéristiques au niveau de la pollution environnementale. Le stockage des déchets pollue les sols, les sous-sols, l’air et l’eau (nappe phréatique, cours d’eau) et rend impropre à la consommation les aliments issus de la chaine alimentaire (lait, produits issus de l’agriculture,…). L’atteinte à l’environnement40 s’avère nocif lors des phases de démantèlement, de récupération et d’élimination finale des matériaux dangereux car les substances toxiques sont directement déchargées dans les sols. Le brûlage des fils électriques contribue à polluer l’air ambiant et à former des amas de cendres polluants. Les combustibles (pneus, mousse isolante) toxiques polluent les sites d’incinération par le rejet de substances qui appauvrissent la couche d’ozone et qui contribuent à produire des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Les matériaux qui ne sont pas utiles sont enfuient sous terre ou abandonnés ce qui contribue à polluer l’environnement A Guiyu (Chine) a pour particularité d’avoir des niveaux particulièrement élevés de dioxines et furanes atmosphériques. Cette pollution de l’air entraine a posteriori des impacts sur l’écosystème local, principale source de vivres des autochtones41. Les méthodes de recyclage qui y sont pratiquées s’avèrent extrêmement polluantes pour le sol, et donc entrainent sa contamination et donc, celle des nappes phréatiques33. La pHmétrie nous renseigne sur l’acidité du sol (pH = 6,4 environ) et donc de la présence de certains métaux. C’est grâce à la spectrométrie de masse que ceux-ci seront identifiés (Cd, Co, Cu, Ni, Pb, V, Zn) avec les concentrations suivantes : « 4.09 ± 3.92, 15.5 ± 5.40, 1070 ± 1210, 181 ± 156, 230 ± 169, 54.3 ± 5.92 and 324 ± 143 mg/kg ». La certitude est au millième près42. C’est ainsi que la population se voit obligée d’obtenir de l’eau potable par camions.
En 2010, une étude sur les effets des substances toxiques libérées par les DEEE lors du recyclage en Chine et en Inde a été menée par des scientifiques. Il en ressort que les biens faits du recyclage des DEEE sont annulés par la pollution causée par les méthodes de recyclage. Ces méthodes de recyclage émettent des fumées toxiques directement libérées dans la nature, qui polluent ainsi l’eau, l’air, la biosphère 43.

Les conséquences humaines:

La santé44 de la population est mise à rude épreuve. Les travailleurs ne disposent pas de protection adéquate lorsqu’ils sont en contact direct avec les produits chimiques. Ils inhalent de la poussière ce qui porte atteinte à leur système respiratoire (toux, infection, suffocation, asthme) et ils souffrent d’irritation des yeux. Leur peau est fortement endommagée. Ils sont exposés à des métaux lourds45 qui sont cancérigènes (plomb, mercure, cadmium, PVC) et qui endommagent le système nerveux, sanguin, reproductif, respiratoire, les reins et les os. Ils peuvent recevoir des chocs électriques lors du démantèlement des objets. Les enfants et les femmes enceintes sont une catégorie particulièrement vulnérable parmi laquelle on constate un taux de mortalité élevé et des anomalies au niveau du système reproducteur. Beaucoup d’enfants sont recrutés pour collecter, démanteler et brûler les matériaux. Face à un travail non adapté ils sont victimes d’accidents de travail et travaillent dans de mauvaises conditions, ils sont stigmatisés, harcelés et exploités par les employeurs.

En février 2010 l'ONU alertait51,52 sur l’explosion prévisible de la quantité de déchets électroniques de 2010 à 2020 dans les pays émergents, qui pourrait avoir de graves impacts environnementaux, en particulier en IndeBrésil, au Mexique et surtout en Chine (second producteur de déchets électroniques après les Etats-Unis). Dans ces pays, l'incinération ou le traitement sommaire de grandes quantités de déchets électroniques et électriques 2,3 millions de t/an rien qu'en Chine) par le secteur de l'économie informelle entraîne déjà une pollution (toxique, grave et diffuse)51.
  • En Afrique du Sud et en Chine, le rapport prévoit une augmentation des déchets d'ordinateurs de 200 à 400 % d'ici à 2020.
  • En Inde, l'ONU prévoit une augmentation de 500 %51.
  • Les déchets issus de la téléphonie mobile devraient être multipliés par sept entre 2007 et 2020 rien qu'en Chine, et l'ONU prévoit une augmentation dix-huit fois plus importante en Inde entre 2007 et 202051
  • Le taux de téléviseurs en fin de vie devrait doubler dans ces deux pays entre 2007 et 202051
  • le nombre des réfrigérateurs à traiter devrait tripler en Inde entre 2007 et 202051

samedi 21 décembre 2013

Enchères d'émissions de Carbone : Payer pour avoir le droit de Polluer ?

La première vente aux enchères d’unités d’émission de carbone organisée par le ministère du Développement durable et de l’Environnement  du Québec a rapporté plus de 29M$.
Au total, pour l’année 2013, un peu plus d’un million d’unités d’émission ont été vendues, sur les 2,97 millions mises en vente. Pour les unités de l’année 2016, plus de 1,7 million d’unités ont trouvé preneurs, sur les 6,3 mililons offertes.
Dans les deux cas, chaque unité d’une tonne a été acquise au prix de 10,75$  chacune, le prix plancher fixé par le gouvernement.
Lors de la dernière vente aux enchères de la Californie, qui s’est tenue le 5 novembre, le prix unitaire avait été de 11,48$ US.(oui on doit suivre les USA et son économie Mondial)
Selon le ministre Yves-François Blanchet, les revenus de cette première enchère pour le Québec est conforme aux attentes du gouvernement.
«Le marché fonctionne, et il fonctionne bien», a-t-il dit vendredi.
Dès l’an prochain, le gouvernement du Québec tiendra quatre enchères par année. Le nombre d'unités qui sera mis en vente lors des enchères subséquentes sera quatre fois moins( 250,000 ? ) important qu'il l'a été pour celle-ci. Il était donc prévisible à ce moment-ci que le gouvernement n'écoule pas la totalité des unités d'émission disponibles(stratégie de marché = l'offre et la demande par rapport aux grosses Cie avec pouvoir d'achat ? ), explique-t-on.(On achète tu des UC pour se conformer plus tardivement aux normes environnementales du futur,en se réservant le droit de pollueur/payeur ? )
Le ministre s’est dit confiant que les unités restantes seront écoulées lors des prochaines ventes. À compter du 1er janvier 2014, le marché du carbone du Québec sera lié à celui de la Californie, ce qui devrait stimuler l’intérêt.(oui c'est sûr)
Dix-neuf sociétés, dont Hydro-Québec, Lantic, Suncor et Valero, avaient été qualifiées(? + groupe sélecte ? ) pour participer aux enchères.
Au Québec, les revenus tirés des ventes aux enchères seront consacrés à des mesures permettant notamment de réduire les émissions de gaz à effet de serre. (Ah oui la toundra se réchauffe aussi et le méthane du grand Nord est plus domageable que le CO2 !)
Québec s’attend à ce que le marché du carbone génère des revenus de plus de 3G$  d'ici 2020.


Les gros cargo qui transporte votre pétrole pour votre auto émettent autant de soufre que 50 millions de voiture et les 20 plus grands navires émettent a eux seul plus que toutes les voitures de la planète,mais c'est environ 60,000 navires qui sillonnent nos océans. L'O.M.I. légifère ça !
Un navire dure 3 ans ,mais la planète peut pas attendre 3 ans !


lundi 25 novembre 2013

La Terre se réchauffe à une vitesse jamais vue





Les cris d’alarme des scientifiques sur les changements climatiques se font de plus en plus 

pressants. La Terre se réchauffe à une vitesse jamais vue dans sa longue histoire. La 

banquise s’étiole rapidement. Les océans vont se gonfler de plusieurs mètres. Les tempêtes

 vont gagner en violence. Selon les prévisions, la demande en énergie va doubler d’ici 2050.

 Si l’humanité ne modère pas son appétit, la température de la planète pourrait augmenter de 

6 °C d’ici l’an 2100(le point crucial serait de 2 degrés).Le courant-jet ou le jet 

stream,pourrait faire varier  les températures(car son trajet sera imprévisible et variable) en

 chaboulant les écarts de température des zones froides et des zones chaudes ,en créant un

 chaos momentané des températures !Certaines zones des Indes actuel,deviendraient trop 

chaude pour la survie de l'être humain et forcerait la population a s'expatrier ,tandis que la Russie(et une partie de l'Europe) a déja eut plusieurs morts causé par des froid record ! 





Le CO2 est plus que jamais en expansion dans notre atmosphère,la toundra nous libère son méthane(qui a un effet plus marquant que le CO2 sur les GES),l'industrie du charbon en désuétude est exporté des USA(car ça produit du CO2 américain appelé les GES) vers la Chine et l'inde(les pays émergeants) pour faire de l'électricité,rien ne va plus avec l'exploitation du gaz de schistes actuellement,les réserves sont gigantesques,l'économie mondial basé sur l'or noir est pas prêt d'être abondonné par nos politichiens !

À l’occasion de la sortie du cinquième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur 

l’évolution du climat (GIEC), Découverte(radio-canada-TV) dresse un état des lieux.


REF.: