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vendredi 23 mars 2012

Une solution contre la somnolence au volant

Coyote - Une solution contre la somnolence au volant
Les conducteurs auront bientôt un nouvel outil pour éviter de s'endormir au volant. 
© Shutterstock

Le fabricant français de systèmes «d'avertissement de zones dangereuses» (ex-«détecteurs de radars») Coyote annonce l'arrivée prochaine d'une solution, permettant d'analyser le comportement des conducteurs pour prévenir les risques de somnolence. Elle a fait l'objet d'un dépôt de brevet et sera prochainement intégrée à toute la gamme Coyote.
Dès lors qu'il est allumé, le système Coyote enregistre en permanence quatre des principales données susceptibles d'indiquer un risque accru de somnolence: les variations de vitesse et de direction, l'heure et la durée du trajet.
Ces informations servent après analyse à prévenir tout risque de somnolence, en interrogeant le conducteur pour vérifier la véracité ou non de ce risque. En cas de réponse positive, l'appareil conseille immédiatement une pause en indiquant par exemple la prochaine aire d'autoroute disponible.
Chaque profil est ensuite actualisé afin de déterminer une fréquence de renouvellement de la question: «Ressentez-vous des symptômes de somnolence?».
Selon l'Institut d'étude des accidents de la route, émanation de l'association française 40 millions d'automobilistes, la somnolence au volant est désormais la première cause de mortalité sur autoroute.

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Un tatouage qui vibre à la sonnerie du téléphone!

Nokia veut le brevet - Avoir son téléphone dans la peau
Un tatouage qui vibre à la sonnerie du téléphone! 
© Shutterstock

SAN FRANCISCO - C'est ce qui s'appelle avoir le téléphone dans la peau. Le groupe finlandais Nokia cherche à faire breveter une technologie pour le moins innovante: un tatouage qui apparaît ou vibre quand une personne reçoit un appel entrant sur son téléphone portable.
La technologie est décrite dans une demande de brevet disponible en ligne mercredi. L'idée est de concevoir un tatouage qui apparaîtrait seulement quand un appel entre dans le téléphone, quand un texto est arrivé ou quand la batterie est en fin d'autonomie.
Une encre magnétique serait ainsi stimulée par les signaux envoyés par le téléphone, laissant apparaître une image sur la peau, selon le texte de la demande de brevet déposée l'année dernière au US Patent Office, l'administration américaine des brevets.
«Le stimulus perceptible» résultant de ce signal «pourrait être une oscillation d'une image sur la peau de l'utilisateur par exemple», est-il écrit dans la requête.
En fonction des signaux reçus, le tatouage prendrait des formes et apparences différentes, est-il précisé.
Les utilisateurs de cette technologie pourraient recharger leur tatouages en utilisant de puissants aimants.


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Tué dans la dignité ?




L'Euthanasie,une pomme empoisonnée ,par un païenne Politichienne.  
Le Québec devrait légaliser l'euthanasie, à condition hahahahaaaaaaaaa,qu'elle s'exerce dans des circonstances exceptionnelles Hahahahaaaaaaaaaaaaaa, et bien balisées Hahahahahaaaaaaaaaaa mémé nowelle. Voilà l'une des principales recommandations de la commission spéciale «Mourir dans la dignité».Qui vivra verra!

Les membres de cette commission parlementaire, issus de tous les partis politiques,  ont dévoilé le fruit attendu de leurs travaux, jeudi, à l'Assemblée nationale, après deux ans de labeur, de réflexion commune et une tournée provinciale de consultation.
Ils y vont de 24 recommandations unanimes, incluant la modification des lois pertinentes (Loi sur les services de santé et les services sociaux et le Code civil du Québec), afin de permettre l'euthanasie, rebaptisée «aide médicale à mourir» par les parlementaires. «C'est la même chose», a convenu la présidente de la Commission, Maryse Gaudreault, insistant toutefois sur la notion d'encadrement médical.
Même si code criminel canadien interdit formellement l'euthanasie, la Commission s'appuie sur le Barreau du Québec et soutient que ce n'est pas un obstacle pour aller de l'avant.  La députée péquiste Véronique Hivon croit que le Procureur général pourrait émettre une directive au Directeur des poursuites criminelles et pénales afin de s'assurer qu'un médecin, qui se conforme aux lois québécoises, ne puisse faire l'objet de poursuites.
Critères essentiels
Seul un médecin pourrait injecter une dose mortelle afin d'abréger les souffrances d'une personne malade. Le patient, majeur, devrait exprimer lui-même ce souhait. La Commission a prévu d'autres critères essentiels : la personne devrait être atteinte d'une maladie grave et incurable. Ses souffrances «physiques ou psychologiques constantes, insupportables, ne pourraient être apaisées» et sa condition ne devrait présenter «aucune perspective d'amélioration».
«Nous sommes convaincus que la société québécoise souhaite ce changement. Une nouvelle option est en effet nécessaire dans le continuum de soins de fin de vie, car les soins palliatifs ne peuvent soulager toutes les souffrances physiques et psychologiques des personnes malades», peut-on lire dans le rapport.
La Commision s'est aussi inspirée des expériences à l'étranger, notamment la Belgique et les Pays-Bas. Ainsi, ils disent avoir l'assurance, étude à l'appui, que «l'aide médicale à mourir ne portera pas préjudice aux personnes les plus vulnérables, puisqu'il est possible de bien la circonscrire et la baliser afin d'éviter tout risque d'abus».
Soins palliatifs
La Commission recommande aussi de développer les soins palliatifs à domicile au Québe et de de dispenser une formation en soins palliatifs à tous les intervenants du réseau de la santé. Elle espère le dépôt d'un projet de loi d'ici juin 2013.
Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, a réitéré son «ouverture» mais a déclaré qu'il préférait étudier le rapport avant de le commenter.

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666?

666 minus 0ne !
Ref.: cherchestie!