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jeudi 1 mars 2012

Maintenir le taux d’imposition maximal pour encourager le travail et maximiser les entrées fiscales

On entend dire régulièrement qu’il suffit de taxer les riches pour financer les projets de l’État. Pauline Marois, par exemple, tentait récemment de nous convaincre qu’une hausse du taux d’imposition des plus fortunés contribuerait au financement de la santé.

Le problème avec cette idée de génie, c’est qu’elle ne fonctionne pas. L’expérience récente du Royaume-Uni, laquelle s’ajoute à une longue liste d’expériences similaires, le confirme.

L’an dernier, le Trésor britannique a relevé de 40 à 50 % le taux d’imposition des contribuables touchant un revenu annuel de 150 000 £ ou plus (environ 235 000 $ CA). À la suite de cette initiative, qui devait rapporter 2,5 milliards £ à l’État, on a plutôt observé une chute des recettes fiscales de 500 millions £.

Ces chiffres ont semé la consternation. Pourtant, voilà près de cinq siècles que les économistes ont compris qu’il existe une relation inverse entre les taux d’imposition élevés et les entrées fiscales.

Au XVIe siècle, l’économiste français et conseiller de Henri IV, Barthélémy de Laffemas, avait déjà constaté que plus on taxe les riches, moins ils paient d’impôts. C’est d’ailleurs lui qui serait l’auteur de la formule « les hauts taux tuent les totaux ». Puis, en 1844, ce fut au tour de Jules Dupuit, ingénieur et économiste français, d’observer le même phénomène. Plus récemment, pendant les années Reagan, l’économiste américain Arthur Laffer s’est fait connaître pour sa formule « trop d’impôt tue l’impôt ».

Quand la classe politique préconise une hausse du fardeau fiscal, elle part de l’hypothèse que pareille mesure sera sans effet sur le comportement des contribuables. Or, si on peut soumettre les gens à un taux d’imposition plus élevé, on ne peut les forcer ni à travailler ni à investir. On ne peut non plus empêcher les riches de placer leur argent ailleurs dans le monde. En pratique, trop d’impôt tue le travail et fait fuir les riches.

À cet égard, l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), en vigueur en France, est instructif. Depuis les années 1990, plusieurs dizaines de milliers de fortunes françaises ont été expatriées, privant ainsi le Trésor public de 12 à 15 milliards d'euros de recettes par an. En revanche, quand les taux ont été allégés et que 300 000 contribuables ont été exonérés, les recettes de l’ISF ont moins diminué que prévu. Simple coïncidence?

Nos dirigeants tirent-ils des leçons des enseignements de l’Histoire? Évitent-ils de reproduire les erreurs du passé? Pas du tout! Ils continuent de nous servir de vieux clichés sans fondements économiques et de nier une réalité connue depuis fort longtemps. Pourquoi? Tout simplement parce que faire la chasse aux riches est politiquement très vendeur.

Comprenons-nous bien. S’il faut maintenir le taux d’imposition maximal à un niveau raisonnable, ce n’est pas pour accorder un privilège aux riches. C’est pour encourager le travail et maximiser les entrées fiscales, et ainsi épargner la classe moyenne. Pensez-y bien, si les riches se sauvent pour éviter un impôt confiscatoire, dans les poches de qui l’État pigera-t-il sinon dans celles de la classe moyenne?

REF.: Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.


Le cowboy de la construction ou des commandites ?


 L'arrivé du cowboy au Palais de justice de Jocelyn Dupuis, pas de chapeau,ni cheval,ressemble étrangement a celle de Charles Guité  !
 L’ancien dirigeant de la FTQ-Construction Jocelyn Dupuis est ­revenu en cour pour la première fois hier depuis son arrestation en 2010, alors que l’ex-syndicaliste a ­commencé à subir son enquête ­préliminaire à Montréal.
Dupuis est accusé de fraude, fabrication de faux documents et incitation à ­commettre une infraction.
Il est soupçonné d’avoir floué la FTQ de plusieurs dizaines de milliers de dollars en 2007 et 2008 en présentant notamment de fausses factures de restaurant.
Il aurait également incité le comptable de la FTQ-Construction à fabriquer une fausse facture pour rembourser des ­fenêtres installées chez un autre dirigeant de la centrale syndicale.

 REF,:










OU


L’ancien responsable du programme des commandites, Charles Guité portait son chapeau de cowboy, hier, en quittant le Palais de justice de Montréal où il a comparu en compagnie du président de Groupaction, Jean Brault .Ils avait plaidé non coupables de complot et de fraudes totalisant 1,9 million dans les affaires des commandites et des armes à feu

Ref.:  Le Devoir,

Autres cowboys morts au combat :
Des firmes coupables, Les As d’amusement, Camping terrasse St-Marc et Camping de la Diable, sont liées à une seule et même personne, Stéphane ­Lefebvre, un homme d’affaires qui possède une luxueuse résidence à Terrebonne.

 Garage Lefebvre (1994) enr., 9085-7913 Québec inc., Les Couvertures Nationales inc. et Les Peintres Aljomax inc., ainsi qu’un ­individu, Sébastien Quiet, se sont aussi ­reconnus coupables d’évasion fiscale.

 Le principal coup de filet a été l’arrestation de Ronald Chicoine, 58 ans, considéré par les enquêteurs comme la tête dirigeante d’un réseau de fraude. Il a été condamné, en décembre dernier, à passer 45 mois derrière les barreaux.

 Un autre individu, Jean-François Cantin, administrait à lui seul 65 entreprises qui n’étaient en fait que des « coquilles vides » destinées à émettre des fausses factures. Il a été condamné, le 16 juin 2010, à purger trois ans d’emprisonnement.


En octobre 2010, trois entreprises et trois personnes ont plaidé coupable pour avoir produit de fausses déclarations de ­revenus. Elles ont écopé d’amendes ­totalisant près de 138 000 $.
Auparavant, le 8 juin 2010, l’entreprise Isolation Y.G. Ippersiel inc., de Mirabel, a reconnu avoir trompé le fisc. Elle a dû payer des amendes de presque 50 000 $.
Aussi, en janvier 2010, trois autres firmes se sont vu imposer des amendes de 63 000 $.


REF.:




mercredi 29 février 2012

Agir localement pour avoir un impact globalement

CONTRIBUER À CHANGER LE MONDE. Changer le monde est un projet pour le moins ambitieux et il n’est possible d’y rêver que si on est prêt à le faire un geste à la fois. De plus en plus de gens s’entendent sur le fait qu’il faut agir localement pour avoir un impact globalement. Mais, pour espérer changer les mentalités et les habitudes, il faut d'abord des idées qui sortent des sentiers battus, des idées visionnaires. C'est ce que démontrent, chaque jour, Harvey Locke (Banff), Pierre Morency (Sherbrooke) et Sidney Ribaux (Montréal).


REF.:

mardi 28 février 2012

WikiLeaks : comment sont menées les attaques de "l'Opération Riposte" et pourquoi elles ont cessé

Sécurité - Les instigateurs des attaques contre des sites Internet menées depuis plusieurs jours au nom de la défense de Wikileaks utilisent un logiciel d’une grande simplicité, LOIC, qui permet à n’importe quel internaute de participer à un assaut.
Depuis le début de la semaine, les sites Internet de Paypal, MasterCard, Visa, de la banque suisse Post Finance ou encore ceux du procureur général de Suède, de Sarah Palin et du sénateur Joe Liberman sont les cibles d’attaques distribuées en déni de service (DDoS) menées par les Anonymous. Ce rassemblement de hackers qui a ses quartiers sur le forum /b/ de 4Chan a décidé de prendre la défense de Wikileaks en déclenchant des représailles contre tous les protagonistes qui cherchent à réduire le site au silence.
Baptisée « Opération Payback » (ou Opération Riposte en français), la cyber vendetta s’appuie sur l’application LOIC (Low Orbit Ion Cannon) qui était à l’origine conçue pour tester la résistance des réseaux. Écrit en langage C#. Ce programme Open Source est un outil préconfiguré qui permet à tout internaute de lancer un attaque DDoS contre n’importe quel site en indiquant simplement son adresse. Une option baptisée « Hive Mind » transforme l’ordinateur en « botnet volontaire » pour qu’il puisse être contrôlé à distance afin de lancer des attaques coordonnées.
Un clic sur un bouton pour lancer une attaque !
LOIC fonctionne sous Windows, Mac et Linux. Anonymous a conçu une page Internet délivrant toutes les instructions et les liens pour l’installer. Les attaques de l’Opération Payback sont annoncées à l’avance et orchestrées depuis le compte Twitter et différents canaux de discussion IRC. Les Anonymous invitent tous les internautes volontaires à rejoindre leur lutte.
Et pour faciliter encore un peu plus la chose, ils ont créé une version JavaScript de LOIC ou « JS LOIC » qui tourne sur une simple page Web. L’utilisateur n’a pas besoin d’installer le logiciel, il clique juste sur un lien qui le mène sur la page HTML qui affiche l’interface de LOIC. Il n’a plus qu’à taper l’url du site à attaquer et cliquer sur le bouton.
Wikileaks prend ses distances
On imagine le succès d’un tel outil auprès d’internautes désireux d’apporter leur contribution à la défense de Wikileaks. Il ne faut pourtant pas perdre de vue que participer à une attaque DDoS est illégal. Mercredi, le nouveau porte-parole de Wikileaks déclarait en parlant des attaques « nous n'encourageons ni ne condamnons cela. Il s'agit d'une réflexion publique ».
Le site publiait dans la foulée un communiqué dans lequel il prend encore un peu plus ses distances. « Ces attaques de déni de service sont considérées comme ayant pour origine un rassemblement Internet connu sous le nom d’Anonymous. Ce groupe n'est pas affilié à Wikileaks. Il n'y a eu aucun contact entre les membres de Wikileaks et quiconque appartenant à Anonymous. Wikileaks n'a reçu aucun préavis d'aucune de leurs actions ».
L’Opération Payback à bout de souffle ?
La croisade menée par le groupe Anonymous est-elle en train de tourner court ? Hier, les attaques lancées contre Amazon puis Paypal se sont soldées par des échecs. Malgré les appels répétés lancés sur Twitter depuis le compte @Op_Payback, aucun des deux sites n’est « tombé ».Ce que confirme Paypal sur son site officiel.
Quant à MasterCard et Visa dont les sites ont été pris d’assaut mercredi, ils ont rapidement repris le contrôle de la situation. « L’attaque ciblait la marque Visa et notre site visa.com, mais le cœur de notre infrastructure n’a pas été touché et les données des titulaires de cartes ne courent aucune risque », a déclaré à ZDNet.fr Peter Cohen, le porte-parole de Visa à San Francisco. James Issokson, responsable des relations presse de MasterCard nous a tenu un discours identique.
L'anarchie au sein des "hackers"
De fait, au fil des heures hier, une certaine confusion semblait s’installer. Le serveur IRC créé pour coordonner les attaques était indisponible puis déplacé. Des instructions contradictoires circulaient quant aux cibles (Amazon, Paypal) et quelques échanges musclés laissaient entrevoir une querelle interne quant à savoir qui pilotait le navire.
En effet, depuis la fermeture la veille du compte Twitter officiel d’Opération Payback, plusieurs comptes se réclamant de la cause étaient apparus. Dave Legg du site Neowin dit avoir suivi les conversations au sein du groupe et constaté que la « structure de commandement s’est effondrée, entraînant l'anarchie complète sur leurs serveurs IRC, et même une tentative de mutinerie par certains participants ».
Un article qui lui a valu une bordée d’insultes sur la page Twitter @AnonyWatcher sur laquelle on pouvait enfin lire le message suivant : « Anonymous n’a pas besoin de leaders, mais les opérations nécessitent une direction et un conseil. Sans cela les opérations échoueront. Les opérations précédentes le prouvent ». Les attaques ont depuis cessé …


REF.: (Marc Zaffagni pour Eureka Presse)

Un service de renseignement privé, mais qui fournit des services de renseignement confidentiels à de grandes entreprises ?

Wikileaks publie les courriels d'un think tank américain avec l'aide d'AntiSec


image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/branchezvous/wikileaksglobaintelligence.jpg
Plus de 5 millions de courriels confidentiels de la firme de renseignements privés Stratfor ont été volés par le groupe de hackers AntiSec. Wikileaks débute la publication de ces messages aujourd'hui dans un dossier intitulé The Global Intelligence Files.
Le groupuscule de pirates proche d'Anonymous a attaqué Stratfor en décembre 2011 et a mis la main sur 200 Go de courriels et 75 000 numéros de cartes de crédit. Alors que les numéros ont été simplement donnés sur le web, Wikileaks s'est chargé de dévoiler au compte-goutte le contenu des courriels téléchargés par AntiSec (Operation Anti-Security).
Dans cette opération, Wikileaks désire dévoiler « le fonctionnement interne d'une entreprise qui annonce être un service de renseignement privé, mais qui fournit des services de renseignement confidentiels à de grandes entreprises. » Des informations confidentielles à propos des attaques du gouvernement des États-Unis contre Julian Assange et WikiLeaks, ainsi que les efforts de Stratfor pour renverser WikiLeaks. Plus de 4 000 emails font mention de WikiLeaks ou de Julian Assange. Les emails révèlent également le système de « porte tambour » en place dans les sociétés de renseignement privées aux États-Unis. Les gouvernements et sources diplomatiques du monde entier offrent à Stratfor un accès anticipé à la politique et aux événements mondiaux en échange d’argent. Les « Global Intelligence Files » révèlent la façon dont Stratfor a recruté un réseau mondial d’informateurs, payés via des comptes bancaires en Suisse et des cartes de crédit pré-payées. Stratfor dispose à la fois d’informateurs déclarés et secrets, incluant notamment des employés gouvernementaux, du personnel travaillant dans les ambassades ainsi que des journalistes du monde entier.Selon George Friedman, PDG, à Reva Bhalla, analyste chez Stratfor, le 6 décembre 2011, à propos de la façon de tirer parti d’un informateur Israélien fournissant des informations sur l’état de santé d’Hugo Chavez, président du Venezuela: « Vous devez réussir à le contrôler. Ce contrôle pourra être d’ordre financier, sexuel ou psychologique… Cela est destiné à lancer notre discussion sur la prochaine étape vous concernant. » !

Dans un communiqué disponible sur leur site web, on avance également que « les emails dévoilent le réseau d'informateurs de Stratfor, sa structure de financement, les techniques de blanchiment d'argent et les méthodes psychologiques employées (...) ».
Les courriels couvrent une large période, soit de juillet 2004 à décembre 2011. Parmi les clients de Stratfor touchés, on retrouve Dow Chemical Corporation à Bhopal (Inde), Lokheed Martin, Northrop Grumman, Raytheon, ainsi qu’à des agences gouvernementales, telles que le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS), les « Marines » et l’Agence du renseignement pour la défense (DIA).

Stratfor est une société privée de renseignement basée au Texas. À travers une analyse géopolitique du monde, elle offre à ses abonnés « une compréhension des affaires internationales », peut-on lire sur le site de la compagnie. Stratfor a condamné la « violation déplorable, malheureuse et illégale de la confidentialité » dont elle a été victime, via communiqué lundi.

 L’utilisation des employés des entreprises ou États ciblés, à des fins de renseignements, par Stratfor, s’est rapidement transformée en un système de génération de profits d’une légalité douteuse. D’après les emails, en 2009, Shea Morenz, alors Directeur Général de Goldman Sachs, et George Friedman, PDG de Stratfor, ont eu l’idée d’« utiliser les renseignements » que Stratfor récupérait de son réseau d’employés des entreprises ou États ciblés, pour créer un fonds d’investissement stratégique captif. Dans un document confidentiel d’août 2011, marqué « DO NOT SHARE OR DISCUSS », George Friedman explique : « Le but de StratCap est d’utiliser les renseignements et les analyses de Stratfor pour faire du trading dans toute une gamme d’instruments géopolitiques, incluant les obligations gouvernementales, les devises, etc… ». Les emails montrent qu’en 2011, Morenz, de Goldman Sachs, a investi « substantiellement » plus de 4 millions de dollars et a rejoint le conseil d’administration de Stratfor. Au cours de l’année 2011, une structure complexe d’actions offshore a été montée, s’étendant jusqu’en Afrique du Sud, destinée à faire en sorte que StratCap semble légalement indépendant. Mais, en privé, Friedman a annoncé au personnel de Stratfor : « Ne voyez pas StratCap comme une organisation indépendante. Cela vous sera utile de le penser comme une autre facette de Stratfor, et Shea comme un autre directeur de Stratfor… Nous nous occupons déjà des portefeuilles et des échanges fictifs. » StratCap devrait être lancé en 2012.
 WikiLeaks a également obtenu la liste des informateurs de Stratfor et — dans beaucoup de cas — des archives de ses transactions bancaires, incluant un paiement mensuel de 1200 $ à un informateur nommé « Geronimo », géré chez Stratfor par l’ex-agent fédéral Fred Burdon.WikiLeaks a construit un partenariat d’investigation avec plus de 25 médias ou groupes d’activistes, afin d’informer le public à propos de cet important corpus de documents. Ces organisations ont eu accès à une base de données d’investigation sophistiquée, développée par Wikileaks, et ont, avec Wikileaks, analysé ces emails. D’importantes informations découvertes grâce à ce système seront révélées dans les médias dans les prochaines semaines, au fil de la publication des documents sources.




REF.: Sources : The Guardian, AFP, Wikileaks

lundi 27 février 2012

Guantanamo syndrome ?


Privation sensorielle


La privation sensorielle est une technique de torture psychologique que la CIA a amplement expérimentée à Guantanamo. Elle est directement issue des travaux du neuropsychologue canadien Donald Hebb, et notamment d'une expérience menée au début des années 50. Son principe : réduire autant que possible les perceptions sensorielles d'un sujet. Hebb testa cette privation sur des étudiants volontaires de l'université McGill de Montréal. Au bout de quelques jours, il constata chez eux l'apparition d'hallucinations comparables à celles provoquées par la prise de drogues. Ces travaux, très controversés, sont aujourd'hui en passe d'être réhabilités. D'instrument de torture, la privation sensorielle est même en train de devenir une technique de soin. Pour comprendre les changements qui affectent le cerveau lorsqu'on le prive des informations livrées par les sens, le professeur Ian Robbins, du St George's Hospital de Tooting, a décidé de rééditer l'expérience de Donald Hebb. Six personnes se sont portées volontaires!
Déja après la première journée ils sont désorientés, ne savent pas quand c'est le jours,font les 100 pas dans leurs cellules et commence a avoir des visions ou allucination sensoriels au 2 jrs.Ils perdront facilement 36% de leurs capacités mentale ,par rapport a leurs test pré-admission,qu'ils ne pouvaient pas reprendre sans commettre des erreurs de jugement.Alors,facile d'imaginer un prisonnier qui va avouer n'importe quoi,pour être en accord avec son bourreau! Ou bien pensez a la douleur de vous enlever un poiul du nez avec une picette,et vous allez vous imaginer que certains prisonniers on eut les ongles arrachés!


REF.:

dimanche 26 février 2012

Bisbille policière: Pommes pourrites ou intimidation ?

 Harcèlement

Les policiers ne sont pas à l'abri de l'intimidation ?

L'intimidation a lieu partout, même à l'intérieur des postes de police. Un rapport de la police d'Ottawa révèle 22 cas de harcèlement au sein du service de police d'Ottawa en 2011.
Le document fait mention de 21 plaintes venant de membres du personnel qui disent avoir été la cible d'intimidation, de langages orduriers, de rumeurs et de conflits.
Un autre dossier concernait un groupe de cinq employés qui avait un problème d'intimidation. Une solution a été trouvée concernant la plainte à la suite d'un processus de résolution de conflit entre les employés et leurs supérieurs, précise le rapport.(a t'on le même problême entre le  SPVM et leur chef ?.....ou a la SQ ? des officiers se transforme en taupes ou en informateur pour les journalistes ? )
Tous les cas soulevés ont été vécus lors des heures de travail, à l'intérieur d'un poste de police ou d'un palais de justice.Ça se passe tu ailleurs ? C'est pas répertorier encore !

REF.: