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vendredi 3 février 2012

Réchauffement climatique,"GES" , une farce de Capitali$te !

CA_NathalieElgrablyLevy

Nathalie Elgrably-Lévy

Journal de Montréal, Publié le: | Mise à jour:
La classe politique québécoise prend très à cœur la question du réchauffement climatique et ne manque pas une occasion de réitérer la nécessité de se conformer au protocole de Kyoto.
Tout récemment, Mme Marois déclarait : « Un gouvernement du PQ va continuer dans la voie (du protocole de) Kyoto. […] Et Kyoto, nous, on y croit. » Peu de temps avant, le ministre de l’Environnement, Pierre Arcand, annonçait la mise en place d’une bourse du carbone afin de réduire de 20 %, d’ici à 2020, les émissions de GES par rapport au niveau de 1990.
Leurs intentions sont certainement louables, mais leurs positions catégoriques deviennent absurdes à la lumière des dissensions scientifiques qui minent chaque jour davantage la théorie du réchauffement anthropique. À écouter leurs propos tranchés et leur dévotion à la cause, on pourrait croire qu’ils ignorent totalement les séismes qui secouent à répétition la science du climat. Ne s’informent-ils donc pas ?
Il y a quelques jours à peine, un autre collectif, celui-ci composé de 16 chercheurs de réputation mondiale, a signé un texte nous invitant à ne pas paniquer à propos du réchauffement climatique. Selon eux, il n’existe aucun argument scientifique irré­futable pour justifier l’adoption de mesures radicales de décar­bonisation de la planète.
La vérité triomphe
L’impact de ce texte est toutefois marginal à côté du coup de grâce porté, presque simultanément, par l’unité de recherche sur le climat de la University of East Anglia (UEA), située au Royaume-Uni. On se souvient que ce sont principalement des chercheurs de cette université qui ont influencé le GIEC, les décisions de nos gouvernements et les propos apocalyptiques d’Al Gore. L’un d’eux, David Viner, avait même affirmé que les enfants britanniques ne connaîtraient pas la neige. On se souvient également que ce sont les chercheurs de ce même établissement qui ont été au centre du scandale des courriels (Climategate). On leur reprochait, entre autres, d’avoir dissimulé l’absence de réchauffement au cours de la dernière décennie.
Heureusement, la vérité finit toujours par triompher. Des chercheurs de la UEA viennent de dévoiler leurs dernières conclusions à la suite de l’analyse de données provenant de 30 000 stations. Le verdict est simple : il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis 1997 ! Vous avez bien lu, le berceau de la théorie du réchauffement climatique confirme que sa thèse était fausse. Son discours alarmiste était donc non fondé. L’édifice climato-catastrophiste était lézardé depuis plusieurs années. Avec les révélations de la UEA, il s’est complètement écroulé.
Quelques questions
J’adresse donc quelques questions élémentaires à nos politiciens encore déterminés à sauver l’humanité : maintenant que vous savez que les chercheurs qui sont à l’origine de la thèse du réchauffement climatique sont revenus sur leurs affirmations et qu’ils confirment que la température n’a pas bougé depuis 15 ans, allez-vous à votre tour réviser vos politiques environnementales ?
Êtes-vous toujours résolus à saboter notre économie avec une bourse du carbone destinée à corriger un problème que vous êtes maintenant seuls à voir ?
La thèse du réchauffement climatique est morte… Un véritable leader ne pourra feindre de l’ignorer !

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mercredi 1 février 2012

Les voitures a essence réduiront 4,1 fois plus les "GES" que les auto électriques

Voiture électrique - Pas la panacée pour l'environnement
Une voiture électrique conçue par TATA est présentée au Salon international de l'auto de Détroit, en janvier 2012. 
© STAN HONDA / AFP
Voiture électrique

Pas la panacée pour l'environnement !

BERLIN - Le développement des voitures électriques en Allemagne peut permettre de réduire les émissions de CO2 mais dans une moindre mesure que celle de voitures traditionnelles moins gourmandes en carburant, selon une étude publiée lundi par l'Institut allemand d'écologie appliquée.
(quoi,c'est tu le Lobby du pétrole que parle pour les voitures a essence ? )
L'institut, qui estime que d'ici 2030 les voitures électriques, hybrides compris, représenteront 14% du parc allemand, a calculé que grâce à elles, les émissions de gaz à effet de serre devraient baisser de 6%, selon une étude commandée par le ministère de l'Environnement.
«Mais il ne s'agit pas d'oublier les voitures conventionnelles. Si les voitures à essence gagnent fortement en efficacité énergétique d'ici 2030, elles peuvent faire baisser de 25% les émissions de gaz à effet de serre» dues à la circulation automobile,(4,1 fois plus que les autos électriques) beaucoup plus donc que les voitures électriques, relève Florian Hacker, chercheur, dans un communiqué de presse accompagnant l'étude.
Par ailleurs l'institut met en garde contre d'éventuels effets pervers pour l'environnement qui pourraient apparaître si toutes les voitures électriques sont rechargées au même moment, en soirée après une journée de travail, occasionnant «des pics de consommation à des moments défavorables».
Cela pourrait «renforcer le recours à des centrales à charbon polluantes, qui sont surtout mises à contribution pendant la nuit en Allemagne».
«La condition décisive pour que les voitures électriques soient un succès est le développement des énergies renouvelables», de manière à ce que toute la consommation supplémentaire occasionnée par ces véhicules soit couverte par des sources «vertes», conclut Charlotte Loreck, experte des questions du marché de l'électricité de l'institut.
Ce dernier a calculé qu'en 2030 les voitures électriques consommeront 11 térawattheures, soit 2% de la consommation actuelle de l'Allemagne.

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samedi 28 janvier 2012

Financer un véhicule,au-delà de quatre ans, ça peut être vraiment exagéré

Financement d'une voiture - Quatre ans c'est assez
Le CAA-Québec dénonce les offres jusqu’à huit ans offertes aux consommateurs par certains constructeurs. 
© JEAN-FRANCOIS DESGAGNES / ARCHIVES AGENCE QMI

Quatre ans c'est assez

QUÉBEC - Financer l'achat d'une voiture avec intérêts au-delà de quatre ou cinq ans est vraiment déraisonnable selon le CAA-Québec, qui dénonce les offres jusqu'à huit ans offertes aux consommateurs par certains constructeurs. «On ne veut pas jouer à la mère avec les consommateurs, mais on leur demande d'être vigilants. Une voiture est un bien qui se déprécie extrêmement rapidement et surtout après quatre ans», explique M. Philippe St-Pierre, responsable des communications au sein de l'organisme.
Par exemple, acheter une Impala Chevrolet au prix de détail, avec taxes, de 34 756$ coûtera, en bout de ligne, 41 251$ si elle est financée sur 84 mois à un taux d'intérêts de 4,99%.
Mais là où le CAA-Québec s'inquiète davantage, c'est l'argent que perdra le consommateur s'il décide de vendre sa voiture après quatre ans. Dans le même exemple, la valeur résiduelle de l'Impala sera de 7700$ alors qu'il restera des versements de 17 679$ à faire, soit une perte nette de 9979$ pour le consommateur. «On voit donc qu'au-delà de quatre ou de cinq ans, ça peut être vraiment exagéré de financer un véhicule», ajoute M. St-Pierre.
Intérêts
Mais tout est dans la notion d'intérêts sur le financement à long terme. Comme plusieurs constructeurs proposent 0% à l'achat, il faut donc réfléchir pour une voiture neuve, dit-il.
«À l'opposé, quand on voit des offres jusqu'à 96 mois à 4% ou 5% d'intérêts, c'est huit ans. On se retrouve en 2020 et c'est long pour un propriétaire de voitures qui aime changer régulièrement», dit le porte-parole du CAA.


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Mercantilisation de la vie ou entraide économique ?


Forum social - «Les peuples ne doivent pas continuer à payer pour cette crise»
 
©CHRISTOPHE SIMON / AFP

«Les peuples ne doivent pas continuer à payer pour cette crise»

PORTO ALEGRE - «Les peuples ne doivent pas continuer à payer pour cette crise», ont déclaré samedi les mouvements présents au Forum social, principal rassemblement anticapitaliste de la planète, qui achevait ses travaux ce week-end à Porto Alegre (sud du Brésil).
Le Forum a rejeté dans le relevé de conclusions de ses travaux «les mesures d'austérité» contenus dans «des trains de mesures économiques qui privatisent les biens, baissent les salaires, réduisent les droits, aggravent le chômage et exploitent les ressources naturelles».
Il a appelé de ses voeux «un État libéré des multinationales et au service des peuples».
Le Forum a vu la forte résurgence du thème lancé par le mouvement «Occupy Wall Street» à la fin de l'an dernier au cours duquel les citoyens ont fait savoir aux élites politiques et économiques qu'ils ne se sentaient pas représentés, affirmant: «Nous sommes les 99% et vous n'êtes que le 1%».
Quelque 40 000 personnes ont participé à cette édition extraordinaire du Forum social mondial, convoquée pour définir la position des organisations sociales au prochain sommet de l'ONU Rio+20, une rencontre qui a pour objectif de faire que les dirigeants de la planète s'engagent dans une nouvelle «économie verte» et sociale.
Le Forum a appelé à une journée mondiale de manifestations le 5 juin prochain.
Il a également lancé «Le Sommet des Peuples» qui sera installé en juin à Rio de Janeiro et appellera des dizaines de milliers de personnes à exercer une pression effective sur les dirigeants présents à Rio+20 qui se tiendra dans le courant du même mois.
Les mouvements sociaux ont vivement critiqué le concept d'«économie verte» que ce sommet, le quatrième que l'ONU convoque pour le développement durable depuis 1972, prétend instituer.
«Ils essaient d'imposer l'économie verte comme solution à la crise de environnementale et alimentaire», mais «en plus d'aggraver le problème, on aboutit à une mercantilisation de la vie», ont estimé samedi les mouvements sociaux au cours d'une assemblée qui était le principal événement des cérémonies de clôture du Forum.
Le Forum social mondial vise à opposer la position des citoyens au Forum économique mondial qui réunit à la même période de l'année à Davos, en Suisse, les dirigeants politiques et les grands chefs d'entreprises de la planète.


REF.:

L'erreur de la Génération X, est de ne pas avoir fait assez d'enfants

 Si voulez faire chXXXX l'État,faîtes des enfants,...........pendant que votre société ,que vous avez créé,va vous faire accroire que l'euthanasie est un choix humain,au nom de l'économie $ !
Ce seront eux (les "X","Y" , ...) qui travailleront ,pour payer vos rentes,..........dirait un boomers,qui a fait sa vasectomie, a cause que tout commençait a coûter trop cher  ! C'est pour ça que les X sont laisser a eux-même et que les Y sont encore pire ! La seul génération qui devrait faire la différence serait la génération C (internet),qui pense avoir des enfants,pendant qu'ils sont dans l'âge de le faire ,alors.............aller s'y !
Vivre au dessus de ses  moyens ? ...................c'est peut-être vivre au présent ,pleinement,avec le peu que l'état voudait nous laisser;c'est ce que les "X" se rendent compte.Les "Y" eux,savent que l'État ne pourra subvenir a leurs besoin,ils devrons inventé leurs propres liberté ,s'autosatisfaire,au risque de détruire l'État ou de vous séparer de la mammelle Fédérale qui vous a jamais assez assouvi.



J'accuse les boomers ? .................« hold-up intergénérationnel » ,.......foutaise ?


Éric Duhaime dédie son essai à ses boomers de parents, Ginette et Henri. Mais c'est à peu près la seule fleur qu'il lance à cette génération.
Santé, éducation, immigration et surtout, fonds de pension... Tout doit être revu et corrigé en dehors du carcan idéologique qu'impose depuis des décennies cette génération.
Son poids démographique est si pesant, écrit Éric Duhaime dans son essai, L'État contre les jeunes, qu'elle dicte aux Québécois leur manière d'agir et de penser.
Et elle a sérieusement hypothéqué les générations qui la suivent.
« La Révolution tranquille a été un idéal d'une société plus juste. Mais elle a créé de grandes inégalités intergénérationnelles », dit l'essayiste et chroniqueur de 42 ans - membre de la génération X -qui a été conseiller des politiciens Stockwell Day et Mario Dumont.
Il se considère aujourd'hui comme un libertarien. Un mouvement qu'on associe à la droite économique et à la gauche sociale, dit-il. « En gros, je suis en faveur de plus de libertés individuelles et de moins d'interventions de l'État. »
Éric Duhaime avance dans son essai une série de statistiques troublantes : les jeunes générations paieront plus d'impôts et de taxes pour moins de services. Lorsqu'ils arriveront à l'âge de la retraite et à celui où leur santé commencera à décliner, les caisses de l'État seront vides et le système de santé, dans un état lamentable.

Qu'est-ce qui s'est passé ?

« Les boomers pensaient, à tort, que la croissance était éternelle. »
L'État a gonflé, les dépenses publiques aussi, la dette a explosé. Le Québec vit à crédit et la facture passera de sa génération la plus dépensière aux suivantes, moins nombreuses et surtout, moins riches.

Il y a des solutions

Éric Duhaime ne croit pas que la solution aux inégalités intergénérationnelles viendra des partis politiques, trop occupés à se faire élire... par les boomers.
Mais des solutions, il y en a. Notamment pour le problème sans doute le plus urgent à régler : la dette. « Sa réduction doit devenir une priorité, pour ne pas dire une obsession. »
Il faut réformer le Régime des rentes du Québec. La caisse sera vide en 2037. Il cite les modèles chilien et suédois et croit à la transformation des régimes de retraite publics en super REER au nom de chaque travailleur. « On est dans une spirale. Le système de pension n'est pas viable à moyen et long terme. »
Le système de santé doit s'ouvrir au privé, comme partout dans le monde, l'éducation doit être débureaucratisée et plus adaptée aux avancées technologiques.
L'environnement doit rester une préoccupation, certes, mais on ne doit pas, en son nom, empêcher de développer notre potentiel énergétique comme c'est le cas actuellement. « Les boomers, qui ont été la génération la plus pollueuse, veulent se reposer, dit-il, mais les jeunes, eux, ont besoin de travailler. »
Même en immigration, les boomers ont erré, dit-il, en favorisant une immigration francophone (lire maghrébine) au détriment de groupes qui s'assimileraient plus facilement. « Leur discours sur l'indépendance a teinté le choix des candidats. »
Ont-ils fait de bonnes choses, les boomers ?
Bien sûr. « On leur doit de grandes avancées sociales, notamment pour les femmes, une société ouverte envers les minorités, comme les homosexuels, et sur le monde. Mais du côté économique et financier, je n'ai pas de fleurs à leur lancer. »

Plus pauvres, les jeunes

Éric Duhaime n'y va pas avec le dos de la cuillère lorsqu'il dénonce ce qu'il qualifie de « hold-up intergénérationnel ».
« Pour la première fois depuis que nos ancêtres ont foulé le sol du continent nord-américain, une génération s'apprête à laisser moins à ses enfants que ce dont elle a hérité. (...) Cet appauvrissement relatif de la jeune génération n'est pas le fruit du hasard. C'est le résultat d'une planification étatique centralisée à l'oeuvre depuis la Révolution tranquille (...)

Faire le ménage

« Au terme d'un demi-siècle de politiques irresponsables, le Québec vit au-dessus de ses moyens. Un électrochoc s'impose et il sera brutal, que les politiciens de toutes allégeances le veuillent ou non. (...) Nous sommes collectivement obligés de faire le ménage dans le désordre laissé par la gabegie de l'endettement public, de l'État providence obèse et de la sous-capitalisation des fonds de retraite des années 1970. Le « début d'un temps nouveau » n'était qu'une illusion, qui aujourd'hui est parvenue à la fin de son potentiel d'artifice ».

Sur l'environnement

« Voir les boomers verdir en vieillissant a de quoi surprendre. Ils auront été, et de loin, la génération la plus pollueuse. Ils ont inventé la société de surconsommation (...) Les boomers ont agi avec l'environnement comme avec les finances publiques : ils se sont servis sans trop se soucier des générations suivantes, et à présent ils crient que les jeunes doivent faire quelque chose. Maintenant que le travail est pour eux chose du passé, ils réclament la quiétude, un environnement bucolique et l'élimination des risques de catastrophes écologiques. (...) Il est indécent de vouloir profiter des ressources albertaines grâce à la péréquation tout en refusant de développer nos propres ressources. »


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