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vendredi 20 janvier 2012

Qu'arrive-t'il lorsqu'ont bureaucratise ? Plus de chef que d'indien ?

Nathalie Elgrably-Lévy 
 

Les vieux ont le dos large

Lorsque les employés des compagnies ou du gouvernement deviennent âgés,leurs syndicat leurs donnent des pensions en or ! Et présentement le contexte économique mondiale,avec le déclin du nombre d'employé,donc les ex-baby boomers n'auront plus jamais leurs american dream ,et leurs pensions promises ! Trop de cadres dans le fonctionnariat,au Sénat ou chez Jo Banana inc,souffle ,la masse salariale et encrasse le système économique,en créant un fossé grandissant entre riche et pauvre.Lorsque l'économie se porte bien ,il y a une classe moyenne qui se crée et la pauvreté disparait !


- Quand rien ne va plus, on cherche un coupable. Aujourd'hui, le vieillissement de la population semble être responsable de plusieurs problèmes. Qu'il soit question de l'état des finances publiques, des coûts du système de santé, des déficits des régimes de retraite ou de l'immobilisme, ne cherchez pas: ce serait parce que la population prend de l'âge.
Certes, à l'instar de la population de la plupart des pays occidentaux, celle du Québec vieillit rapidement, particulièrement depuis les 20 dernières années. Toutefois, y voir la cause de tous nos maux est une erreur.
Rappelons que les changements démographiques ont toujours existé. L'espérance de vie augmente presque partout depuis plusieurs siècles et surtout depuis la révolution industrielle. Au Québec, les données démographiques montrent que la population vieillit depuis maintenant plus d'un siècle, alors que l'âge médian a doublé de 1901 à aujourd'hui.
Alors, pourquoi des changements démographiques jadis sans conséquence sont-ils maintenant si problématiques ? Tout simplement en raison du mode de financement et de fonctionnement de nos programmes étatiques.
Les régimes de retraite, par exemple, ne sont pas déficitaires parce que la population vieillit, mais bien parce qu'ils fonctionnent selon le principe d'une chaîne de Ponzi, cette escroquerie pyramidale qui a valu à Bernard Madoff 150 ans de prison. Plusieurs régimes de retraite, y compris celui de la Régie des rentes du Québec, sont financés par répartition avec, au mieux, une capitalisation partielle. Cela signifie que les cotisations perçues aujourd'hui servent immédiatement à payer les prestations des retraités actuels. Le système survit tant que les contributions des nouveaux arrivants sont supérieures aux sommes versées aux plus anciens. Sinon, il s'effondre. Dans un régime par répartition, chacun paie pour les vieux jours de l'autre. Voilà pourquoi la démographie est si importante! Si nous avions des comptes d'épargne-retraite individuels, la démographie n'aurait aucun impact, car chacun épargnerait pour sa propre retraite.
SYSTÈME DE SANTÉ
En ce qui concerne le système de santé, le vieillissement de la population ne peut être tenu entièrement responsable de l'explosion des coûts. D'abord, parce qu'il semble généralement admis que les dépenses les plus importantes ont lieu six mois avant la mort, indépendamment de l'âge de la personne. Le vieillissement ne ferait donc que repousser certaines dépenses sans nécessairement les augmenter. Ensuite, parce que les gains d'efficacité réalisés grâce à l'amélioration des technologies médicales ne peuvent être ignorés.
Par exemple, certaines interventions chirurgicales ne requièrent plus aucune hospitalisation alors que le patient devait autrefois passer plusieurs jours à l'hôpital. En revanche, au fil du temps, le système de santé s'est hyperbureaucratisé, ce qui occasionne aujourd'hui une pléthore de coûts inutiles. Ça, la classe politique ne l'admettra jamais !
Cessons donc de faire porter à nos aînés l'odieux de la facture stratosphérique de notre système de santé et les dérapages des régimes de retraite. Nous ne faisons que payer le prix des mauvais choix posés autrefois.
Pouvoir vivre plus longtemps est une excellente nouvelle. N'en faisons pas une crise nationale!


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mercredi 18 janvier 2012

corruption contre cinq anciens membres de l'escouade antidrogue de Toronto

Début du procès de cinq anciens policiers de l'escouade antidrogue

TORONTO – Le procès pour corruption contre cinq anciens membres de l'escouade antidrogue de Toronto, reporté à plusieurs reprises au cours des dernières années, devait finalement commencer lundi. Les accusés, John Schertzer, Steve Correia, Joe Miched, Ned Maodus et Ray Pollard, sont soupçonnés d'avoir falsifiés des notes, d'avoir agressé puis volé des revendeurs de drogues et d'avoir effectué des perquisitions illégales. Les actes reprochés se seraient produits entre 1997 et 2002.
L'un des accusés, John Schertzer, qui est aujourd'hui retraité de la police de Toronto, était sergent et chef de l'escouade antidrogue à la fin des années 1990.
Lui et d'autres policiers ont fait l'objet d'enquêtes des affaires internes du Service de police de Toronto en 1998 à la suite d'une vérification des livres comptables du fonds pour les informateurs de police.
Des accusations criminelles avaient été déposées en 2000, mais elles avaient été suspendues pendant deux ans. À ce moment, l'ancien chef de police, Julian Fantino, avait demandé à la GRC de conduire une enquête plus large qui portait sur des allégations voulant que les policiers agressaient puis dérobaient des revendeurs de drogues.
L'enquête avait mené au dépôt d'accusations en 2004, mais elles avaient été rejetées par un tribunal en 2008 en raison de délais dans les procédures.
En 2009, la Cour d'appel de l'Ontario a redonné un souffle à la cause en déboutant la décision de 2008, et en ordonnant aux policiers de subir leur procès.

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STM: Projet de changement de la ligne électrique du Méto ligne orange en 2014

En même temps - Les lignes verte et orange du métro interrompues
 
© Agence QMI / Archives
Secret bien garder,plusieurs spéçialistes en parlent déja,et prévoient faire un changement majeur sur la ligne électrique du Métro,de la  ligne orange bientôt,cette ligne est devenue désuette!


MONTRÉAL – La présence de fumée à l'intérieur de la station de métro Guy-Concordia a forcé l'interruption du service pendant plusieurs minutes, mercredi soir, à Montréal.
Les pompiers ont été appelés sur les lieux vers 18 h et ont immédiatement procédé à l'évacuation de la station, par mesure préventive. Ils ont fait de même aux stations Atwater et Peel.
De son côté, la Société de transport de Montréal (STM) a ordonné une interruption du service sur la ligne orange entre les stations Snowdon et Berri-UQAM, de même que sur une bonne partie de la ligne verte.
«La fumée provenait d'un problème électrique», a indiqué la porte-parole de la STM, Isabelle Tremblay.
Cette dernière n'était toutefois pas en mesure de donner davantage de détails quant à la nature exacte du problème.
Si le service a été rétabli rapidement sur la ligne orange, il aura fallu environ 40 minutes pour que la situation revienne à la normale sur la ligne verte.

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Occupy Wall Street Un premier documentaire,le miroir de la société


Occupy Wall Street - Un premier documentaire
Un des protestataires qui se moque de Fox News.  
© Marie-Joëlle Parent

NEW YORK – Quatre mois après le début d'Occupy Wall Street (OWS), un documentaire dresse un portrait peu reluisant de la police de New York et des médias généralistes. Entretien avec le réalisateur new-yorkais Kevin Breslin.
Kevin Breslin a passé des centaines d'heures dans les coulisses du mouvement Occupy Wall Street, des premiers jours jusqu'à l'éviction de Zuccotti Park, le 15 novembre dernier.
Son documentaire #WhileWeWatch commence à faire le tour des festivals, dont celui de Sundance. Breslin a décidé de braquer sa caméra sur les journalistes citoyens au sein du mouvement. Ce sont eux les vedettes de son film. Grâce aux réseaux sociaux, ils ont réussi à faire des émules un peu partout dans le monde. «J'ai été témoin d'une révolution médiatique aux États-Unis», dit-il.
Le réalisateur avoue qu'il a eu du mal au début à trouver le fil conducteur de son documentaire. Les revendications des protestataires allaient dans tous les sens et ils n'avaient pas de leader. «Puis, j'ai réalisé qu'OWS racontait sa propre histoire en direct grâce à Twitter, Facebook, YouTube et Livestream. Ils n'avaient plus besoin des grands médias. C'est incroyable de voir comment ils se sont organisés pour propager leur message dans un parc sans électricité et même par mauvais temps.»
Il raconte que les premiers 25 000$ de dons ont été utilisés pour l'achat d'équipements vidéo, d'ordinateurs portables et une connexion internet sans fil.
Ignorés au début par les médias, «les protestataires ont commencé à raconter leur propre histoire. C'était aussi une riposte à la couverture négative des médias nationaux américains», explique-t-il, faisant référence entre autres au New York Post et à Fox News.
Il existait, et j'en ai été témoin, une palpable rivalité à Zuccotti Park entre les journalistes citoyens d'OWS et les journalistes des grands réseaux. La méfiance régnait. Les journalistes des pays étrangers étaient par contre mieux accueillis par les manifestants.
«Malheureusement, la plupart des journalistes ont centré leurs reportages sur les quelques fous qui dérangeaient le parc. Ils ont été un peu trop rapides à juger. Je pense que ça a nourri l'envie des protestataires de devenir leur propre média», poursuit Breslin, dont le père est un vétéran journaliste new-yorkais.
Le village de tentes maintenant démantelé, les protestataires ont disparu des premières pages des journaux. Occupy Wall Street n'est plus un lieu physique, mais le mouvement est encore très présent dans le vocabulaire collectif.
L'Occupied Wall Street Journal est toujours vivant, OWS a un bureau permanent dans le secteur financier et un site internet. Par contre, les dons diminuent. Ils ont récolté 28 000$ ce mois-ci, comparativement au 330 000$ du mois d'octobre. Il reste près de 300 000$ dans leurs coffres, a rapporté le New York Times.
Le film montre plusieurs scènes de brutalité policière, certaines difficiles à regarder. Breslin a été victime comme d'autres du fameux «blackout» policier la nuit où le parc a été vidé par le NYPD. «Deux de mes cameramen se sont fait expulser de la zone, il n'y avait plus d'accès», raconte-t-il.
«Je ne suis pas fier de ce que j'ai vu. Oui, il y avait quelques agitateurs, mais le mouvement est toujours demeuré pacifique. Dans certains cas, la police n'a pas respecté nos droits fondamentaux. C'est une triste nouvelle pour la liberté de presse». Surtout dans une ville comme New York, où elle est née.
Des centaines de militants anticapitalistes ont manifesté mardi devant le Congrès à Washington pour dénoncer la «corruption» politique, au jour de la reprise des travaux parlementaires, a constaté l'AFP.
Les manifestants venus de tous les États-Unis, qui entendaient mener une «journée d'action contre une institution politique corrompue», ont occupé toute la journée la grande pelouse détrempée par la pluie devant le Capitole, où siègent les deux chambres du Congrès, gardé par des dizaines de policiers.
Plusieurs centaines d'entre eux sont entrés dans l'après-midi, sans incidents, dans des bâtiments adjacents abritant des bureaux de parlementaires, chantant à l'extérieur ou à l'intérieur leur slogan «Nous sommes les 99%» et tentant en vain la plupart du temps de rencontrer des élus.

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Supposons mettons: La Police avec un courtier tend un piège a un comédien ?

C'est ti le piège ,par une plus grosse livraison,pour lui faire accoire que c'est un gros poisson ?
Si la loi vise la vente ? On vise Sandoval,le gars avec le diplôme de Courtier en Stupéfiant,un suppo Mexicain incognito ? Mais cognito des gars qui tend le piège ? Donc,on dira jamais son nom ? Son vrai nom ? J'sais pas ,c't'une suppositoire !

-Tony Conte était présent lors de la transaction de 30 kg de cocaïne dans la chambre de l'hôtel des Gouverneurs, le 29 octobre 2008, mais s'est-elle faite à son insu? Les deux parties ont tenu des positions contraires, lundi, lors des plaidoiries finales au procès du comédien, accusé de complot et possession de cocaïne.
Après plus d'un mois de relâche, le procès de l'acteur de 48 ans a repris lundi au palais de justice de Montréal, avec les plaidoiries finales des deux parties. Tony Conte, rendu célèbre pour ses rôles au petit écran, est accusé de complot et possession de stupéfiant en vue d'en faire le trafic.
Le 29 octobre 2008, il a été arrêté dans une chambre d'hôtel au centre-ville de Montréal, en plein milieu d'une transaction de 30 kg de cocaïne pour 500 000 $.Deux mexicains,Miguel Sandoval un ressortissant mexicain identifié par la police comme étant un intermédiaire disant agir pour le compte d'un acheteur de cocaïne et Guillermo Tobon- Gonzalez,  ainsi que deux Italo-Québécois, Paul Maravita et Anthony Riccio. Tous ont été arrêtés à la suite d'une transaction pour acheter de la cocaïne à laquelle deux agents doubles de la police de Montréal ont également pris part. Il était donc, en compagnie d'un courtier mexicain en stupéfiant(offert dans quel Université ? Tehotiouacan? ), Miguel Sandoval(c'est peut être pas son vra nom ? ), ainsi que d'agents doubles(ceux qui organise tout et engage des courtiers en stup ? j'pense que c'est pas le vra mot ?) se faisant passer pour des vendeurs de drogue(c'est pas l'inverse ?).L'histoire aurait commencé avec l'expulsion du pays d'un homme d'origine mexicaine avec qui Conte s'est lié d'amitié. Une nuit, en octobre 2008, Conte reçoit un appel de son ami mexicain qui lui demande de prendre soin du parrain de son fils, qui serait bientôt de passage à Montréal pour voir des proches.Sandoval et Conte vont déjeuner a un moment donner dans un Tim Hortons du centre-ville. Entre alors en scène un dénommé «Chris»(agent double), qui est en fait un agent d'infiltration du SPVM.
Lorsque Conte se présente à Chris, ce dernier lui répond qu'il n'est «qu'un simple soldat qui fait des commissions». Mal à l'aise, selon ses propres dires, Conte change de table et laisse Sandoval et Chris discuter(Conte avait compris,mais trop tard).

La défense veut l'acquittement

Tony Conte a témoigné lors de son procès, jurant que sa présence dans cette chambre était le fruit du hasard. Il croyait que Sandoval, rencontré deux jours plus tôt, était un accompagnateur de «compadre», le parrain du fils d'un ami(c'est loin ça?   Riccio?), fraîchement débarqué à Montréal.
Il voulait visiter ce parrain et, pensant rentrer dans sa chambre, s'était retrouvé en plein milieu de la transaction de drogue, a-t-il juré(le piège!). S'appuyant sur le témoignage de son client et remettant en doute les versions des témoins de la Couronne, la défense a ainsi demandé au jury d'acquitter Tony Conte.
«Il devrait être acquitté s'il n'était pas un acheteur [de cocaïne]», a déclaré l'avocate à la défense, Me Annie Émond, qui a rappelé que son client était rentré dans la chambre à la demande de l'agent double, selon Tony Conte.
Au cours de sa plaidoirie, qui a duré tout l'avant-midi, Me Émond a soulevé des doutes sur la crédibilité du témoignage de «Chris», l'agent double qui s'était fait passer pour un vendeur de drogue.
Plutôt que de sauvegarder ses échanges de messages texte, Chris avait plutôt pris des notes. Mais sur les 70 messages, seuls 20 avaient été pris en note, dont certains plusieurs heures après les faits(louche un  peu), a souligné Me Émond.

Pas un «concours de circonstances»

Selon le procureur à la Couronne, Me David Simon, la présence de Tony Conte dans la chambre d'hôtel n'est pas le fruit du hasard.Lors de leurs arrestations:Conte et Sandoval se trouvaient dans une même chambre, tandis que Riccio et Maravita étaient dans une autre. Des sacs de cocaïne ont d'ailleurs été saisis dans la chambre de ces derniers.
Il a pour sa part estimé que «quelques erreurs», qu'il attribue à la fatigue, ne suffisaient pas à écarter le témoignage de l'agent double, arguant qu'il concordait avec le reste de la preuve, dont des filatures et des registres d'appels téléphoniques.
«Est-ce simplement un concours de circonstances?» a demandé au jury Me Simon, rappelant que Conte avait reçu un message texte lui rappelant que «le "deal" est pour 30», et que Sandoval(on lui a dit quoi faire ? a la mexicaine ou a l'américaine?) avait affirmé à Chris avoir trouvé un nouveau client, «un artiste qui a de l'argent».Le registre du cellulaire de Miguel Sandoval démontre par ailleurs que celui-ci a aussi communiqué par textos avec un certain Chris, qui était en fait un agent d'infiltration de la police chargé de jouer le rôle du vendeur de stupéfiants(Bizarre).
Me Simon devrait continuer sa plaidoirie mardi, devant la juge Sophie Bourque et les 11 membres du jury.
Tony Conte n'est plus accusé de trafic de stupéfiants. La loi prévoit que cette accusation vise la vente, alors que le comédien aurait été acheteur, selon la poursuite. 
-Le jury, composé de six hommes et cinq femmes, a finalement cru la version de l'agent double.La version de Conte n'a pas été pris en compte !


Le jugement:
Tony Conte devra purger trois ans et demi en prison pour complot et possession de cocaïne en vue d'en faire le trafic.Compte tenu de la détention préventive, il lui reste 39 mois et 20 jours derrière les barreaux. Il lui sera également interdit de posséder des armes pendant 10 ans après sa sortie, tandis que l'argent saisi lors de son arrestation sera confisqué au profit du Procureur général.Il sera donc illigible a sortir de prison dans seulement 14 mois environ !


Le 23 Fev 2012,
Tony Conte va en appel:
Les policiers n’avaient pas gardé certains messages textes que s’étaient échangés un agent double et les trafiquants.
Lors du procès, la défense avait présenté une requête en arrêt des procédures, affirmant que Conte ne pouvait ainsi pas bénéficier d’une défense pleine et entière. « L’honorable juge du procès a erré en droit en rejetant la requête en arrêt des procédures », peut-on lire dans le document de cour.


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Cours de courtier en stupéfiant,offert par le Prof. Miguel Sandoval

Tony Conte était présent lors de la transaction de 30 kg de cocaïne dans la chambre de l'hôtel des Gouverneurs, le 29 octobre 2008, mais s'est-elle faite à son insu? Les deux parties ont tenu des positions contraires, lundi, lors des plaidoiries finales au procès du comédien, accusé de complot et possession de cocaïne.
Après plus d'un mois de relâche, le procès de l'acteur de 48 ans a repris lundi au palais de justice de Montréal, avec les plaidoiries finales des deux parties. Tony Conte, rendu célèbre pour ses rôles au petit écran, est accusé de complot et possession de stupéfiant en vue d'en faire le trafic.
Le 29 octobre 2008, il a été arrêté dans une chambre d'hôtel au centre-ville de Montréal, en plein milieu d'une transaction de 30 kg de cocaïne pour 500 000 $. Il était en compagnie d'un courtier mexicain en stupéfiant(offert dans quel Université ? Tehotiouacan? ), Miguel Sandoval(c'est peut être pas son vra nom ? ), ainsi que d'agents doubles(ceux qui organise tout et engage des courtiers en stup ? j'pense que c'est pas le vra mot ?) se faisant passer pour des vendeurs de drogue(c'est pas l'inverse ?).

La défense veut l'acquittement

Tony Conte a témoigné lors de son procès, jurant que sa présence dans cette chambre était le fruit du hasard. Il croyait que Sandoval, rencontré deux jours plus tôt, était un accompagnateur de «compadre», le parrain du fils d'un ami(c'est loin ça?), fraîchement débarqué à Montréal.
Il voulait visiter ce parrain et, pensant rentrer dans sa chambre, s'était retrouvé en plein milieu de la transaction de drogue, a-t-il juré(le piège!). S'appuyant sur le témoignage de son client et remettant en doute les versions des témoins de la Couronne, la défense a ainsi demandé au jury d'acquitter Tony Conte.
«Il devrait être acquitté s'il n'était pas un acheteur [de cocaïne]», a déclaré l'avocate à la défense, Me Annie Émond, qui a rappelé que son client était rentré dans la chambre à la demande de l'agent double, selon Tony Conte.
Au cours de sa plaidoirie, qui a duré tout l'avant-midi, Me Émond a soulevé des doutes sur la crédibilité du témoignage de «Chris», l'agent double qui s'était fait passer pour un vendeur de drogue.
Plutôt que de sauvegarder ses échanges de messages texte, Chris avait plutôt pris des notes. Mais sur les 70 messages, seuls 20 avaient été pris en note, dont certains plusieurs heures après les faits(louche un  peu), a souligné Me Émond.

Pas un «concours de circonstances»

Selon le procureur à la Couronne, Me David Simon, la présence de Tony Conte dans la chambre d'hôtel n'est pas le fruit du hasard.
Il a pour sa part estimé que «quelques erreurs», qu'il attribue à la fatigue, ne suffisaient pas à écarter le témoignage de l'agent double, arguant qu'il concordait avec le reste de la preuve, dont des filatures et des registres d'appels téléphoniques.
«Est-ce simplement un concours de circonstances?» a demandé au jury Me Simon, rappelant que Conte avait reçu un message texte lui rappelant que «le "deal" est pour 30», et que Sandoval(on lui a dit quoi faire ? a la mexicaine ou a l'américaine?) avait affirmé à Chris avoir trouvé un nouveau client, «un artiste qui a de l'argent».
Me Simon devrait continuer sa plaidoirie mardi, devant la juge Sophie Bourque et les 11 membres du jury.
Tony Conte n'est plus accusé de trafic de stupéfiants. La loi prévoit que cette accusation vise la vente, alors que le comédien aurait été acheteur, selon la poursuite.


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Supposons mettons: La police tend un piège a un policier ?

 Et il tombe dedans,.........et prend sa retraite ,...............mais...?

À vendre: une liste de 2000 informateurs ?


Un policier expérimenté au sein de l'unité des renseignements du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a récemment pris sa retraite, fait l'objet d'une enquête depuis l'automne dernier pour avoir tenté de vendre des informations hautement confidentielles à la mafia sicilienne, a rapporté TVA Nouvelles hier.
Des informations hautement confidentielles, notamment des listes contenant le nom d'informateurs de police et d'agents-sources, sont gardées à la Place Versailles, au siège du SPVM.
Le policier aurait offert au crime organisé italien des renseignements qui figuraient sur ces listes hautement secrètes, plus spécifiquement à un membre important de la mafia sicilienne(qui aurait coulé l'information,........parce qui n'avait pas le choix ?..........ou parce qu'il ne voulait pas tomber dans ce prétendu piège,.........on ne vend pas,on donne et on s'en sert ,comme les Hells qui vol un portable qui contenait ,le/les noms de certaines taupes du SPVM ,dont Claude De Serres,il y a deux ans,qui était un agent-source ,un agent civil d'infiltration, un ACI,et qui fut liquider)
Radio-Canada a précisé, hier, qu'il aurait soumis quatre noms de sources à un contact du côté de la mafia pour montrer qu'il était sérieux et pour entamer des négociations. La société d'État a ajouté que «son stratagème aurait échoué».
Des sources ont affirmé à TVA Nouvelles que lorsque le policier, un sergent-détective, aurait eu accès à ces informations «sensibles», il était encore au service du SPVM. Toutefois, quand il aurait tenté de fournir les informations aux criminels, il avait déjà pris sa retraite.

Écoute électronique
Ces mêmes sources affirment que c'est une écoute électronique qui aurait permis de découvrir que la taupe présumée aurait offert des informations au crime organisé en échange de plusieurs centaines de milliers de dollars. C'est à la suite de cette écoute que l'enquête aurait été déclenchée.
Le policier était apparemment l'un des rares à avoir accès à la base de données. Le policier était même l'un des responsables de celle-ci parmi une petite équipe.
Cette liste pourrait contenir plus de 2000 noms d'individus qui fournissent de l'information aux policiers lors d'enquêtes, notamment sur le crime organisé.
Il y aurait deux façons de consulter ces documents, en version papier ou encore sur un support informatique.
«C'est toujours décevant de voir des choses comme celles-là qui se produisent. Mais, bien entendu, je peux vous assurer que nous prenons toutes ces informations et toutes ces allégations au sérieux», affirme Didier Deramond, du Service des enquêtes spécialisées du SPVM. «Ce n'est pas une question de faille de système informatique, loin de là. C'est une question personnelle, d'individu qui a porté certaines actions.»
Employé discret
Selon les informations obtenues par TVA Nouvelles, le policier est décrit comme un employé discret et de confiance. Il avait été embauché au SPVM en 1978 et il était affecté à la section des renseignements depuis 1992.
Pendant 20 ans, il a eu accès aux renseignements les plus confidentiels du service de police de la plus grande ville du Québec.
Les enquêteurs des crimes majeurs du SPVM n'ayant pas terminé leur enquête, il n'y a aucune accusation criminelle déposée contre lui.(donc il ne sera pas protégé et est exposé a un règlement de compte)
«Un effet épouvantable»
Richard Dupuis, ancien enquêteur au service des enquêtes criminelles du SPVM, a travaillé auprès de ce policier pendant trois ans. En entrevue à TVA Nouvelles, il se dit très surpris de ces allégations, croyant que cet individu était «au-dessus de tout soupçon».
«C'était une personne à son affaire, plutôt calme. Je suis très surpris de voir que la cupidité a pu l'amener à commettre un tel geste», dit M. Dupuis.
La divulgation de la liste comprenant le nom de tous les informateurs est un geste très grave, affirme M. Dupuis. «C'est la base du renseignement criminel. Lorsqu'on recrute un informateur, on lui garantit que son identité ne sera pas dévoilée. Là, on a tenté de vendre les informations, ça a un effet épouvantable.»
Il ajoute que le SPVM tentera de se dissocier des gestes de cet ex-policier. «On se souviendra, dans d'autres cas de policiers corrompus, qu'on a rapidement sorti ça de façon publique», ajoute M. Dupuis.
Le SPVM, la Fraternité des policiers de Montréal, la Fédération des policiers municipaux du Québec et le ministère de la Sécurité publique ont tous refusé d'accorder une entrevue au Journal à ce sujet. Le porte-parole du Parti québécois en matière de sécurité publique, Bertrand Saint-Arnaud, ne nous a pas rappelé, tandis que la porte-parole du deuxième groupe d'opposition, Sylvie Roy, n'était pas disponible pour commenter.


Le 18 janvier 2012, Ian Davidson( cet ex-policier,retraité,côtoyant la mafia),s'est suicidé(lui-même apparament ?),son corps a été retrouvé dans une chambre de l'hôtel Best Western Châteauneuf, en bordure de l'autoroute 15, à Laval.Le secret de toute cette histoire sera bien garder,ou comme dirait la mafia , coulé dans le ciment ,l'honneur est sauvé pour les deux camps !

 L'appât du gain reste le mobile soupçonné derrière cette tentative(on sait pas ? peut-être que noui? peut-être que non?) de monnayer une liste de plusieurs centaines d'informateurs. On croit que Davidson avait l'intention de vendre la liste au plus offrant, d'empocher le magot et de s'installer au Costa Rica, où il aurait des assises. Son frère Alexander J. Davidson y posséderait une luxueuse résidence.Selon des sources policières, plusieurs membres de la mafia montréalaise y auraient élu domicile.Pour le Costa Rica: On estime que 4,5 milliards $ sont perdus annuellement en évasion fiscale venant du crime et de la corruption. Concernant l'argent blanchi, on parle de 1,6 milliard $, l'équivalent de 20 % du produit intérieur brut (PIB) de l'économie du pays.

Mais en Octobre Davidson, n'a pu se rendre au Costa Rica avec un autre policier(Taupe du SPVM ? ou ami de Davidson ?),car on l'a intercepté a l'aéroport Trudeau!
Était-t'il payer pour la liste ou pour les noms divulgués ou laisser sur support informatique chez eux ,comme ceux trouvés dans sa jeep ou on a confisqué son ordinateur portable avec une liste de noms d'informateurs civils (la nuit de son suicide, a l'arme blanche)? Était-il a la recherche de contacts d'ex-informateurs ,déja rendu au Costa Rica,son Frère,......... ? Le Costa Rica était la récompense et l'asile
Selon Claude Poirier ,Davidson il aurait eut des entrés ou des contacts (de policiers mafieux) pour être en contact avec la mafia.Et il est certain,que les nombreux messages dans les répondeurs qu'a laissés  Davidson a de nombreux Mafieux sont rester la et que la Police savaient ce que tramait Davidson depuis longtemps.Toujours est-il que le premier qui a dénoncé Davidson (message répondeur)était surveillé et copain avec la police.
Tout comme l'ex-président des USA , George W. Bush ,père, avait des contacts avec Ben Laden et sa famille.Tout le monde saient ça,car la CIA après avoir formé Ben Laden au terrorisme,il l'ont laissé a lui-même!Donc,quand sa sert plus a rien ,et plus aucune information sur l'ennemi vous reviens,on l'élimine,ou il s'élimine lui-même.
Pour Davidson,si sa chambre d'Hotel fut réserver par une femme (et non lui) et qu'il a laisser une lettre a sa mort, a son Hotel,c'est qu'il se rendait la pour en finir,car plus personne ne voulaient dealer avec lui. Parce qu'abandonner par ceux avec qui il faisait affaire ? Ou que Davidson même s'il avait les entrés pour cotoyer le milieu de la mafia,ceux-ci (dont Tony Mucci par l'entremise de son avocat)n'ont pas accepter la liste d'informateurs(car c'est mieux une liste d'infiltrateurs),par peur du risque que ça représente.Tony Mucci ? (Celui qui avait tiré sur le journaliste Jean-Pierre Charbonneau)Et que Davidson ,ex-SPVM n'aurait jamais eut la chance de quitter le pays incognito.Il était un lien ,rien de moins.Le Costa Rica c'était du vent ,que laissait miroiter ces supposés amis.


Le 20 Fev. 2012:
Il préparait son coup depuis un an, selon les informations obtenues par Claude Poirier, de TVA Nouvelles.
Alors qu'il travaillait toujours aux renseignements criminels du SPVM, il aurait téléphoné en personne à des membres du crime organisé, de la mafia italienne, des gangs de rue, ainsi qu'à des motards, pour leur proposer d'acheter sa liste de noms. Grâce à son emploi de policier, la présumée taupe du SPVM avait accès aux contacts des individus surveillés de près par le service dans lequel il travaillait.(mais ne savait pas qui étaient des taupes au seins de ces groupes)

Ian Davidson, qui avait pris sa retraite en janvier 2011 après 33 ans de service au SPVM, serait même allé jusqu'à laisser des messages sur les messageries vocales de certains de ses clients potentiels.
Une technique bien rodée
Le plan d'action de la présumée taupe du SPVM était très réfléchi. Il se rendait en taxi à ses rendez-vous et possédait deux ordinateurs portables. Sur l'un d'entre eux, il branchait une clé USB contenant quelques noms susceptibles d'intéresser son client.
Lors des rendez-vous, il n'avait jamais sur lui la liste complète des 2000 noms qu'il avait compilés, mais seulement une partie, sélectionnée en fonction du client qu'il allait rencontrer.
Selon les informations recueillies par Claude Poirier, la présumée taupe du SPVM s'est rendue à des rendez-vous dans la Couronne Sud de Montréal, la Couronne Nord et dans certains endroits de l'est de l'île.
Le sergent-détective se serait notamment rendu une fois dans un bar de danseuses, situé dans la Couronne Nord.
«Je vais être millionnaire»
Persuadé d'arriver à ses fins, Ian Davidson aurait affirmé : «Je vais être millionnaire, mais je ne gagnerai pas à Loto-Québec.»
Au début de ses démarches, il aurait en effet demandé 1 million $ au Calabrais Tony Mucci en l'échange d'une dizaine de noms d'individus appartenant au crime organisé.

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