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mardi 16 novembre 2010

Vous avez une MTS ? Il y a une application pour ça


Le buzz du jour - Vous avez une ITS? Il y existe une application pour ça


Une clinique de recherche du Royaume-Uni a présenté cette semaine une trousse qui fonctionne autant sur les téléphones intelligents que sur un ordinateur personnel et qui permet à son utilisateur de passer un test pour les infections transmises sexuellement (ITS).

Cette trousse serait destinée à rejoindre les jeunes technophiles, considérant que c’est le groupe des adultes en bas de 25 ans qui est le plus à risque à développer de nouvelles infections.

Le docteur Tariq Sadiq, qui est à la tête de ce projet, a affirmé dans une entrevue accordée à The Guardian, qu’il espère que cet outil aidera à réduire le nombre d’infections.

Le test mobile sera facile d’utilisation. Les gens suspectant avoir été infectés pourront appliquer un échantillon d’urine ou de salive sur une puce électronique.

Muni d’un port USB la puce sera branchée soit dans un téléphone intelligent ou soit dans un ordinateur. Le diagnostic sera alors émis dans les minutes qui suivent, en plus de préciser, s’il y a lieu, de quelle infection il s’agit.

La trousse de dépistage permet de diagnostiquer des infections comme la chlamydia et la gonorrhée en plus de suggérer des options de traitement.

Dr Sadiq n’a pas apporté de précisions techniques quant à la puce électronique en question. Cependant il affirme qu’il s’agit d’un produit abordable qui sera potentiellement disponible dans les machines distributrices.


REF.:

mercredi 10 novembre 2010

depuis que les USA veulent s'émisser dans les comptes de paradis fiscaux de la Suisse,rien ne va plus

WikiLeaks - D'autres documents confidentiels seraient publiés
Le fondateur du site WikiLeaks Julian Assange.
© AFP

GENEVE - Le fondateur du site WikiLeaks Julian Assange a assuré jeudi à Genève qu'il comptait poursuivre dans les prochains mois la publication de documents confidentiels «sur plusieurs pays dont les États-Unis».

À la suite de la diffusion sur son site de documents confidentiels sur la guerre en Irak présentés comme la «fuite la plus importante de documents militaires confidentiels de l'Histoire», il a estimé qu'il était temps pour les États-Unis de «s'ouvrir» plutôt que de chercher à «dissimuler».

«Les États-Unis sont en danger de faillir à leur tradition» a-t-il ajouté, faisant référence à la «fière» liberté d'expression dans ce pays.

«La loi n'a aucun sens si elle n'est pas respectée par le gouvernement» a ajouté M. Assange lors d'une conférence de presse entourée de mesures de sécurité exceptionnelles.

Le fondateur de WikiLeaks, qui se déplace avec des gardes du corps, a été invité à Genève par une organisation non-gouvernementale à la veille d'une réunion du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU qui passera en revue la situation des droits de l'Homme aux États-Unis, dans le cadre de l'Examen Périodique Universel.

Le site d'informations WikiLeaks a publié le mois dernier quelque 400 000 rapports d'incidents, écrits de janvier 2004 à fin 2009 par des soldats américains, qui montrent notamment que l'armée américaine n'aurait «rien fait» pour empêcher des tortures commises par les forces irakiennes.

Julian Assange a indiqué que malgré «les demandes d'organisations de défense des droits de l'Homme et de l'ONU», le gouvernement des États-Unis n'a pas encore ouvert d'enquête sur ces révélations, contrairement à d'autres pays dont la Grande-Bretagne et le Danemark.

«Au contraire, a-t-il dit, je me trouve avec mon organisation dans la situation plutôt inhabituelle d'être à la fois un expert des violations des droits de l'Homme commis par le gouvernement des États-Unis et à la fois victime de certains de ces abus».

Il a ajouté que son équipe et des personnes «affiliées à son organisation» ont été soumises à des pressions et «se sentaient menacées» par le Pentagone.

Par ailleurs, M. Assange a indiqué que les abus dénoncés en Irak, de 2004 à 2009, ne datent pas tous de l'administration de George W. Bush.

«L'administration Obama a aussi violé la loi en transférant des prisonniers à des groupes connus pour pratiquer la torture» a-t-il dit.

Julian Assange a indiqué que le financement de son site relève «seulement de donateurs défenseurs des droits de l'Homme» dont les deux tiers paient en ligne par carte de crédit et ne provenait d'aucun «financement institutionnel».

Il a ajouté que près de 70% des ressources collectées pour le fonctionnement de son site sont désormais consacrées à en assurer la sécurité, de même que celle de ses membres ainsi que sa défense sur le plan juridique.

L'Islande et la Suède, où il bénéficie de soutiens et de législations favorables, sont des escales privilégiées du voyage permanent d'Assange autour du globe.

Mais la Suède lui ayant refusé en octobre un permis de résidence, l'Australien a indiqué jeudi dans une interview à la télévision suisse qu'il envisageait de demander l'asile politique en Suisse et d'y créer une fondation.

«C'est une possibilité que nous envisageons sérieusement», déclare-t-il, estimant que la Suisse est un des très rares pays où Wikileaks serait en sécurité.

«Il semblerait qu'il n'y a que trois pays au monde dans lesquels nous serions vraiment en sécurité: la Suisse, peut-être l'Islande et éventuellement Cuba, tant que nous ne publions rien sur Cuba», a-t-il indiqué.

P.S. La Suisse se defend a coup de documents ,avec Wikileaks !

REF.:

C'est tu une mode d'envoyer un vieux en prison ,si seul Dieu peut nous juger ?

Un présumé prêtre pédophile de retour en cour


QUÉBEC - Un prêtre qui fait face à de multiples accusations pour des crimes sexuels sera de retour en cour lundi matin au palais de justice de Québec.

Raymond-Marie Lavoie, un père rédemptoriste âgé de 70 ans, doit répondre à 18 chefs d'accusation pour des crimes sexuels commis sur 11 jeunes garçons, tous des anciens étudiants du Séminaire Saint-Alphonse, de Saint-Tite-des-Caps, qui a fermé ses portes au début des années 2000.

Une école secondaire privée mixte, le Collège Saint-Alphonse, occupe maintenant les lieux.

Les crimes auraient été commis entre 1973 et 1985.

Le prêtre a été arrêté en décembre 2009. D'autres présumées victimes se sont manifestées par la suite.

L'accusé pourrait plaider coupable. Son avocat a déjà déclaré qu'il ne voulait pas aller inutilement en procès.

REF.:

La Pédophilie,c'est une maladie ,faut l'envoyer a l'hôpital LOL !!!

Pis le pardon ,...............c'est pour les poules avec des dents ;-)

La Cour suprême s’immisce dans la chambre à coucher

Pratiques sexuelles inusitées - Quand la Cour suprême s’immisce dans la chambre à coucher


OTTAWA — Une personne peut-elle consentir à l’avance à une activité sexuelle durant laquelle elle sera inconsciente? Si la question peut sembler farfelue, la Cour suprême a néanmoins dû en discuter, lundi.

Le débat a été amené par un couple d’Ottawa — identifié uniquement par les initiales J.A. et K.D. en raison d’une ordonnance de non-publication —, dont les pratiques sexuelles débridées ont mal tourné, à un point tel qu’un des deux partenaires a décidé de porter l’affaire devant les tribunaux.

Selon des documents judiciaires, K.D. avait convenu avec J.A. que celui-ci l’attache, l’étrangle jusqu’à ce qu’elle tombe inconsciente et lui insère un godemiché dans l’anus.

K. D. a admis au procès qu’elle avait consenti à ce scénario. Elle a également précisé qu’elle avait porté plainte contre son ex-partenaire environ six semaines après les événements en raison d’une dispute avec celui-ci.

Dans un premier temps, un tribunal de l’Ontario avait jugé qu’une personne inconsciente ne pouvait consentir à l’avance à une telle activité sexuelle et avait condamné J.A.

La Cour d’appel de l’Ontario a toutefois infirmé cette décision et a statué que K.D. pouvait consentir à l’avance à une activité sexuelle durant laquelle elle serait inconsciente.

La Cour suprême doit maintenant déterminer quand et comment les adultes peuvent souscrire à une activité sexuelle qui se produit alors qu’ils sont inconscients.


OK,et "la semaine prochaine,quand la personne dort" ;-)

dimanche 7 novembre 2010

Voulez-vous faire de l'internet et avoir du sexe ? Travailler pour le Gouvernement Fédéral


Enquête - Relations non professionnelles

Relations non professionnelles

Deux fonctionnaires fédéraux qui entretenaient une relation extraconjugale et qui mentaient à leurs patrons pour pouvoir se rencontrer lors de faux meetings, se sont fait pincer, trahis par les traces qu'ils ont laissées sur leurs ordinateurs.

À LIRE:

L'employeur a tous les droits

L'histoire abracadabrante de ces deux collègues du Centre de Service Canada figure parmi les nombreux cas d'enquêtes réalisées par le gouvernement pour surveiller le comportement de ses employés sur Internet. Comme dans bien d'autres cas, ces employés qui se croyaient à l'abri des regards ont vu leur vie privée, et même sexuelle, oscultée par leur employeur.

Pendant deux ans et demi, les deux fonctionnaires, qui travaillaient dans deux villes différentes, ont entretenu une relation amoureuse. Leur idylle les a poussés à mentir à leurs patrons pour se fixer des rendez-vous et à solliciter des congés de maladie sous de faux prétextes. L'un des deux tourtereaux a même consulté des banques de données gouvernementales confidentielles pour en apprendre plus sur le mari de sa nouvelle flamme.

La double-vie de ces deux fonctionnaires a été révélée au grand jour, lorsqu'un gestionnaire a constaté que l'un de ses employés passait beaucoup de temps à écrire des messages personnels sur ses heures de travail.

Un temps «considérable»

Le rapport d'enquête, qui fait plusieurs centaines de pages, montre que les deux fonctionnaires passaient «un temps considérable» dans leurs journées de travail à s'écrire de longs courriels amoureux, à parler au téléphone en utilisant des lignes téléphoniques du gouvernement.

Selon les enquêteurs, ils auraient passé un total de 140 heures de travail au téléphone à se parler. Tous ces appels interurbains avaient une valeur de plus de 3 700 $, même s'ils n'ont coûté que 235 $ à Service Canada, en raison de tarifs préférentiels gouvernementaux.

Le couple a poussé l'audace jusqu'à organiser un rendez-vous au sous-sol d'un édifice fédéral où l'un d'entre eux travail-lait afin d'y avoir des relations sexuelles.

«Le 9 mars 2007, alors que XXXX [...était] en congé de maladie, [...] ils sont allés au sous-sol de l'immeuble afin de pouvoir se rapprocher. Cette visite était planifiée. Nous comprenons que des échanges sexuels ont eu lieu», écrit l'enquêteur Benoît Guérard, qui a rédigé le rapport.

Stratagèmes

L'analyse des quelque 1 786 éléments de courriel échangés entre les collègues a permis de comprendre tous les stratagèmes qu'ils avaient montés à l'insu de leurs conjoints et de leurs patrons.

«Certains courriels faisaient référence à des congés que les deux employés voulaient demander à la gestion afin de pouvoir se rencontrer pendant la journée afin de ne pas susciter de doute auprès de leurs conjoints respectifs.»

Les deux amoureux ont même tenté de convaincre leurs patrons de les envoyer en formation à Régina, sous de faux prétextes, afin de pouvoir profiter d'une semaine ensemble.

Au terme de l'enquête, l'un des deux employés a été suspendu sans solde pour une durée indéterminée. Il a admis ses torts et promis de se faire soigner pour des problèmes de «comportement compulsif ».

* En avril dernier, Le Journal avait révélé que des fonctionnaires de Santé Canada avaient perdu jusqu'à trois semaines par mois à consulter des vidéos, effectuer des recherches personnelles, jouer à des jeux vidéos ou s'adonner à d'autres activités inappropriées en «travaillant ».

* * *

Trois autres cas

Des rendez-vous avec des transsexuels

Un employé de Service Canada passait une heure et demie par jour à fureter sur des sites de rencontres sexuelles et des sites pornographiques. Il utilisait son adresse de courriel du gouvernement pour fixer des rendez-vous avec des transsexuels (she-males).

Extrait d'un courriel envoyé par le fonctionnaire à un correspondant avec qui il échangeait des photos à caractère sexuel: «Bon, regarde, je suis très discret dans mes démarches, tu sais, je suis marié et à mon travail, je suis très prudent: j'ai des mots de passe et pas de problème.»

Il a été suspendu sans solde.

La douanière se fait livrer du valium

Pendant au moins deux ans, une employée de l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) s'est commandé illégalement du Valium. Elle tentait de se le faire livrer directement dans les bureaux de l'agence responsable de garder nos douanes.

Le rapport des enquêteurs internes de l'AFSC indique même qu'elle communiquait à l'aide de son compte courriel professionnel - indiquant clairement qu'elle travaille pour cette agence - afin de mettre de la pression sur ses exportateurs.

À quatre reprises, les commandes ont été saisies au moment où elles arrivaient en sol canadien.

Il gère son entreprise du bureau

Un employé de Revenu Canada, qui disposait d'un bureau fermé et d'un ordinateur portable, croyait pouvoir gérer son entreprise privée de vente de matériel de piratage d'ondes satellites. L'employé, identifié comme un fonctionnaire modèle par ses collègues, passait des heures sur Internet à vendre et acheter du matériel en plus de gérer ses comptes bancaires personnels.

-Avec la collaboration de Jonatan Larochelle.

REF.: Journal de Mtl.Mathieu Turbide

samedi 23 octobre 2010

si voulez vous faire fourrer, faîtes affaire avec eux :

prix du billet d'avion:

Selon des informations obtenues par le quotidien Le Devoir, les compagnies visées sont Air Canada, Porter Airlines, WestJet et Air Transat.

L’Office de protection du consommateur (OPC) les accuse d’extraire du prix de leurs billets certaines taxes, et les frais pour les bagages et la réservation. Au final, les acheteurs se trouveraient à payer de 15 à 30 % plus cher que ce qui était prévu.



prix en épicerie:

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/10/20101019-041106.html

Maude Lafleur avait acheté une bouteille d'huile au marché Provigo du 5220, rue Verdun, à Montréal. Le produit était offert à moins de 10 $, cette semaine-là d'octobre 2008, dans la circulaire. Mais elle s'est rendu compte qu'à la caisse, on lui avait chargé le prix régulier.

On a refusé, alors, de lui offrir le produit gratuitement, comme le veut la politique de prix.


agents de voyages, commerçants de l'automobile, du crédit, des studios de santé:

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/10/20101019-041107.html




PRIX DE L'ESSENCE:

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/10/20101020-065243.html

L'essence a fait un bond de 14 cents dans la région de Montréal, ce qui fait en sorte que le litre se vend maintenant 1,18 $ dans les stations-service.





jeudi 14 octobre 2010

Une tite bière a 27 % d'alcool

Pour la saison des Fêtes, le brasseurt Koch... (Photo Charles Krupa, Associated Press)

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Photo Charles Krupa, Associated Press

Pour la saison des Fêtes, le brasseurt Koch ne met en marché que 10 000 bouteilles à un prix au détail de 150 $ US chacune.

Le brasseur américain Koch and Boston Beer vient de mettre en marché une nouvelle version d'une bière «extrême» qui n'est disponible qu'aux deux ans, l'Utopia - et qui cette année contient 27% d'alcool.

En guise de comparaison, la bière «Terrible», du brasseur québécois Unibroue, contient 10% d'alcool.

Koch, qui produit aussi la bière Samuel Adams, a tiré profit de percées scientifiques et de nouvelles variétés de levures pour pulvériser la barrière traditionnelle de 14% d'alcool par volume.

La bière Utopia est vieillie pendant 15 ans dans les locaux du brasseur, à Boston. La finition se fait dans des tonneaux de bois similaires à ceux utilisés pour la production du scotch ou du xérès.

Le goût de la bière ressemble à celui du cognac, avec des arômes de vanille, de miel et d'érable.

La longueur du cycle de production explique pourquoi elle n'est disponible qu'à tous les deux ans. Pour la saison des Fêtes, par exemple, Koch ne met en marché que 10 000 bouteilles à un prix au détail de 150 $ US chacune.

La bière est présentée dans une bouteille de céramique et de cuivre qui ressemble à une petite chaudière à bière. Sa vente est toutefois interdite dans 13 Etats américains, dont le Vermont et le New Hampshire.REF.: