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dimanche 30 octobre 2011

Selon Charest: Les «taupes» du P.Q. sont 'rouge" !

Crise au PQ : - Les «taupes» sèment la zizanie
Le député de Blainville, Daniel Ratthé. 
© Assemblée nationale

QUÉBEC - Des péquistes tentent de saborder le parti de l'intérieur, mais ces «taupes» ne perdent rien pour attendre, prévient le député Daniel Ratthé.

EN VIDÉO:
Les porte-panier dénoncés Une autre voix pour le départ de Marois
Pauline Marois s'accroche
Le député de Blainville est au nombre des députés qui ont contesté le leadership de Pauline Marois en caucus mercredi. Qu'à cela ne tienne, il est choqué que les discussions à l'interne soient sans cesse étalées sur la place publique,et sont les contes-actions du parti Libéral,face a la controverse du dossier de la collusion du monde de la construction.


«Je suis insulté, c'est un manque de respect, je n'ai aucun respect pour eux et le jour où je vais apprendre c'est qui, je vais les dénoncer», a-t-il pesté jeudi, après avoir constaté que ses interventions au caucus avaient été rapportées aux médias.
Le député Ratthé promet d'être discret à l'avenir en caucus: «Mes discussions vont être très, très limitées parce que je n'ai plus confiance».
Des gens à l'interne (les taupes rouges)tentent de saborder le Parti québécois, croit-il fermement. «Il y a quelqu'un ou des personnes actuellement qui ont intérêt à ce que les crises se multiplient parce que si les discussions du caucus restaient au caucus, on n’alimenterait pas les crises et on pourrait avoir des discussions franches et animées et on règlerait les problèmes entre nous!» s'est-il indigné.
Pour son collègue de Bourget, Maka Kotto, ce sont les mutins qui méritent d'être dénoncés,ont veut des noms. «93,8% lors d'un vote de confiance, ça a une signification. Ceux qui ne comprennent pas ça ont un problème psychiatrique», a-t-il signalé, avant de s'engouffrer dans le caucus qui précède les périodes de questions.
Depuis le printemps dernier, les crises qui se succèdent au PQ ont été alimentées par des fuites dans les médias.
La débandade a commencé début juin par la publication d'un courriel envoyé par la députée Lisette Lapointe à ses collègues, qui jugeait «pathétique» que Pauline Marois force ses troupes à appuyer le projet de loi privé sur le futur amphithéâtre de Québec. Quelques jours plus tard, le caucus péquiste encaissait la démission de quatre députés - Lisette Lapointe, Pierre Curzi, Louise Beaudoin et Jean-Martin Aussant.
À la mi-juin, des enregistrements d'échanges privés entre Pauline Marois et les lieutenants péquistes de tout le Québec, où certaines critiques étaient cinglantes, avaient été rendus publics.
Marois rencontre les dissidents
Outre M, Ratthé, d'autres députés ont pris la parole pour critiquer vertement le leadership de leur chef. C'est le cas notamment du député de Masson, Guillaume Tremblay, et du député de Berthier, André Villeneuve ainsi que Guy Leclair, de Beauharnois.
Mercredi soir, au terme de plusieurs heures de discussions musclées, Pauline Marois a réussi tant bien que mal à contenir une mutinerie de certains de ses députés. Elle a affirmé haut et fort qu'elle serait aux commandes du parti lors des prochaines élections et que ceux qui l'avaient contesté ne quittaient pas.
Jeudi, elle a rencontré les députés récalcitrants. «On est toujours en discussion, je n'ai pas désavoué ma chef publiquement et je ne le ferai pas ce matin (jeudi)», a soutenu Daniel Ratthé.
Mme Marois s'est également entretenue avec le député Bernard Drainville, que plusieurs soupçonnent d'avoir un oeil sur la chefferie du parti. Le député de Marie-Victorin n'a pas participé aux dernières heures cruciales de caucus de son parti à cause d'un déplacement.
«Nous avons eu une discussion très franche, très humaine et je pense qu'on s'est bien compris. On a discuté des difficultés actuelles, on s'entend que ce n'est vraiment pas facile, mais mois je l'ai assuré de mon engagement et je lui ai dit que j'allais tout faire pour contribuer à recoller les pots cassés», a relaté M. Drainville.

REF.:

samedi 14 mai 2011

En 10 ans,elle n'a rien fait pour corriger la situation et lui n'a pas consulté un psychologue





Extrait du procès Turcotte :

Véritable histoire d'amour

Témoignant hier pour sa propre défense, Guy Turcotte s'est livré au récit d'une véritable histoire d'amour avec la mère des enfants qu'il est accusé d'avoir assassinés.
L'homme de 39 ans a été assermenté sur la Bible et a témoigné durant une heure, au premier jour de sa défense, après que sa mère et son frère Gilles eurent rendu témoignage.
Sans menottes et sans entrave aux pieds, Turcotte a pris place à la barre des témoins tout de noir vêtu. Il par-lait d'une voix plutôt lente, douce, parfois hésitante, peu assurée.
Lorsque la greffière lui a demandé quelle était sa profession, il a répondu : «J'étais cardiologue.»
Après avoir entretenu les sept femmes et cinq hommes du jury de son enfance et de ses études (voir autre texte), Turcotte a décrit en détail sa rencontre et ses premières années de vie avec Isabelle Gaston, celle qui a partagé sa vie pendant 10 ans et avec qui il a eu deux enfants.
C'est lorsqu'il étudiait en troisième année de médecine, à l'Université Laval, qu'il a rencontré par hasard Mme Gaston, dans un bar de Grande-Allée. Ils ont discuté toute la soirée.
Tombé en amour
«Je suis tombé en amour cette journée-là», résume-t-il.
Dans la salle d'audience, Turcotte prend des pauses et sanglote à certains moments, quand il est question de ces débuts amoureux.
«C'est une fille souriante, pleine d'énergie, une belle fille, une fille qui a du leadership, qui est intelligente, qui a de la facilité à communiquer, beaucoup d'entregent. Elle a beaucoup de charme.»
Contrairement à lui, elle a aussi beaucoup d'assurance.
«Je la trouve vraiment hot», dit-il, s'estimant chanceux d'être avec une telle fille.
«J'avais jamais été avec une fille aussi bien que ça», dira Turcotte.
Mais elle est difficile à conquérir et Turcotte mettra beaucoup d'énergie.
«Je veux que ça marche, dit-il. Cette fille-là, je suis en amour avec.»
Remise en question
Ils prennent un premier appartement ensemble en juillet 2000. Mais les disputes se font nombreuses.
Dans l'année qui suit, Turcotte part une semaine aux États-Unis, à un congrès au cours duquel il réfléchit sur son avenir et ne passe pas un seul coup de fil à son amoureuse.
À son retour, les choses dégénèrent en une dispute monstre.
«Elle est fâchée, mais vraiment fâchée. Je ne l'ai jamais vue fâchée comme ça», témoigne Turcotte.
Fiançailles romantiques
Il admet lui avoir donné une «claque au visage», ce à quoi elle a répliqué de la même façon.
«Je suis resté figé», se souvient-il.
Après une séparation de quelques mois, ils reprennent la vie commune et les affaires se replacent. Tellement que lors d'une randonnée au mont Washington, ils se fiancent.
Dans une belle auberge, ils ont bu une bouteille de champagne pour sceller ces fiançailles.
«C'est super-romantique, se souvient-il. C'est des beaux souvenirs, des moments magiques.»

REF.:
cyberpresse,