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jeudi 5 janvier 2012

Le FMI passe de l'argent et les USA finance le Monde entier, a la manière du Monopoly

Les sommes prêtées par le FMI ont augmenté de plus de 50% en 2011 

 

 

Économie mondiale - Les sommes prêtées par le FMI ont augmenté de plus de 50% en 2011
Le FMI a aujourd'hui des accords de prêt avec 52 États membres, soit plus d'un quart d'entre eux. 
© Archives/AFP photo

WASHINGTON - Le Fonds monétaire international a accru de plus de 50% en 2011 l'encours des prêts consentis à ses États membres, selon des chiffres publiés par l'institution mercredi.
Au 30 décembre, les sommes prêtés par le FMI à ses États membres se montaient à 142,2 milliards de dollars. Calculée en unités de compte du Fonds, les Droits de tirage spéciaux (DTS), la hausse est de 53%.
Ce total ne cesse gonfler: situé en 2007 sous 15 milliards de dollars, il a bondi en 2008 de 119%, en 2009 de 96% et en 2010 de 43%.
Le FMI a aujourd'hui des accords de prêt avec 52 États membres, soit plus d'un quart d'entre eux. Mais quatre membres de l'Union européenne, la Grèce, l'Irlande, le Portugal et la Roumanie, concentrent 55% des crédits qui seront à rembourser à l'organisation de Washington.
Le prêt à la Grèce est devenu en 2011 le plus grand jamais versé par le FMI, avec 20,3 milliards d'euros, dépassant en DTS les montants reçus par le Brésil en 2002-2003.
Mais le plus grand prêt accordé par le FMI reste celui au Mexique, une ligne de crédit dont le pays dispose depuis avril 2009 et qui se monte aujourd'hui à 73 milliards de dollars. Le pays ne s'en est pas servi jusqu'ici et ne compte pas le faire.
En 2011, le FMI a par ailleurs nettement augmenté ses ressources prêtables, grâce à l'entrée en vigueur des «Nouveaux accords d'emprunts (NAE) étendus», un réservoir alimenté par les prêts de 39 États membres.
Les ressources destinées aux pays à revenus moyens et élevés («compte des ressources générales») étaient au 30 décembre de 609 milliards de dollars, laissant au FMI la capacité d'engager encore 386 milliards de dollars pour ses États membres.

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jeudi 1 décembre 2011

Occupons Montréal Des clowns indignés au square Victoria

Occupons Montréal - Des clowns indignés au square Victoria
Tutoc la clown, assise dans une poubelle. 
©SARAH BÉLISLE/24 HEURES/AGENCE QMI

MONTRÉAL – Une poignée d’anciens occupants du square Victoria à Montréal sont retournés sur la Place des peuples déguisés en clowns, dimanche, pour présenter des sketchs et interpeller les gens sur le sort des indignés.
«Vous pensez que je suis un déchet?», a lancé à un passant Tutoc la clown, alors qu’elle était assise dans une poubelle du square, d’où les militants d’Occupons Montréal ont été expulsés vendredi matin.
«L’occupation est dans nos cœurs», a expliqué Tutoc, qui ne veut pas croire que l’indignation est terminée.
«On n’a plus de maison, on nous a cassé notre maison», a déploré l’un de ses amis, qui dormait sur le campement avant qu’il ne soit démantelé. La petite bande a dit espérer que, comme eux, d’autres indignés occuperont chaque jour le square Victoria désormais.


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dimanche 27 novembre 2011

L'Europe en avance sur les USA: Enfin la venue de la Monaie Mondiale qui se pointe a l'horizon

Sarkozy et Merkel à Monti - L'écroulement de l'Italie serait la «fin de l'euro»
Le chef du gouvernement italien Mario Monti 
© REUTERS/Yiorgos Karahalis

L'écroulement de l'Italie serait la «fin de l'euro»,et le début de ;-)

MILAN, Italie - Le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont dit jeudi à Strasbourg au chef du gouvernement italien Mario Monti qu'un «écroulement de l'Italie amènerait inévitablement à la fin de l'euro», a indiqué vendredi le gouvernement italien.
Le président français et la chancelière allemande ont «réaffirmé leur soutien à l'Italie, se disant conscients qu'un écroulement de l'Italie amènerait inévitablement la fin de l'euro, provoquant un arrêt du processus d'intégration européenne aux conséquences imprévisibles», selon un communiqué de la présidence du Conseil italien publié à l'issue d'un conseil des ministres.
Lors du mini-sommet qui a réuni jeudi les trois dirigeants à Strasbourg (est de la France), M. Sarkozy et Mme Merkel ont par ailleurs exprimé leur «confiance» en M. Monti et leur «conviction de l'engagement» de l'Italie «dans l'effort commun destiné à trouver des solutions à la grave crise financière et économique de la zone euro», a ajouté le gouvernement italien.
De son côté, M. Monti a confirmé l'objectif de l'Italie d'atteindre l'équilibre budgétaire en 2013, comme il l'a indiqué jeudi à la presse, et a assuré que Rome adopterait «rapidement» des mesures pour relancer une croissance en panne.
Le conseil des ministres a d'ailleurs déjà «entamé la discussion pour identifier le parcours à entreprendre, le plus rapidement possible, en vue de définir l'enveloppe de mesures à adopter», a encore indiqué le gouvernement.
L'Italie a payé cher vendredi l'enlisement de la crise dans la zone euro avec des taux d'emprunt qui ont bondi à des niveaux record lors d'une émission de dette, au lendemain du mini-sommet de Strasbourg qui a déçu les marchés, Angela Merkel n'ayant rien cédé sur la question d'une implication plus large de la Banque centrale européenne (BCE) pour tenter de juguler la crise.

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mardi 22 novembre 2011

La dette américaine est une chaine de Ponzi

Tout a commencé par le scandale du papier commercial,et les produits toxiques des banques offert a la Bourse de Wall Street(avant le Krach de 2008),et que maintenant la Chine est le plus grand détenteur de bons du Trésor américain avec un portefeuille de quelque 1150 milliards de dollars,agirait comme un créancier par rapport a la dette des USA !
Mais tout le monde le saient ,que les USA contrôle l'argent et le monde,par l'entremise des Faucons de la Maison Blanche ! C'est une chaine de Ponzi !

La prochaine crise économique ,impliquera le FMI et la Banque Mondiale!

ET peut-être qu'une monnaie mondial,naîtra de ce Krach mondial,mais pour cela une démocratie saine et équitabale doit s'installer!

 



Selon la Chine - La dette américaine, une «bombe à retardement»
Le Congrès n'a pas réussi à se mettre d'accord pour réduire de 1200 milliards de dollars le déficit budgétaire. 
© Archives / Reuters

SHANGHAI, Chine - Les médias officiels chinois ont vivement critiqué les États-Unis mardi, qualifiant leur dette de «bombe à retardement», et ont exhorté le Congrès américain à faire preuve d'un plus grand esprit de responsabilité.
Lundi, une commission du Congrès chargée de la réduction de la dette américaine n'avait pas réussi à se mettre d'accord pour réduire de 1200 milliards de dollars le déficit budgétaire, un échec dont le président Barack Obama a rendu responsables les républicains.
La Chine est le plus grand détenteur de bons du Trésor américain avec un portefeuille de quelque 1150 milliards de dollars, ce qui explique l'intérêt particulier qu'elle porte à l'état de l'économie américaine.
«Les élites politiques de Washington... doivent trouver le courage de désamorcer la bombe à retardement et de montrer au monde qu'ils ont la sagesse et la détermination de ne plus mettre en danger la fragile reprise économique globale», écrit dans un commentaire l'agence officielle Chine nouvelle.
L'agence attribue le blocage au Congrès aux querelles partisanes et estime que tant les républicains que les démocrates n'ont pas conscience de l'impact que pourrait avoir un éventuel défaut américain sur l'économie globale.
«Les hommes politiques américains n'ont jamais hésité à sermonner les autres pays sur la responsabilité globale et il est maintenant grand temps qu'ils manifestent un vrai sens des responsabilités mondiales», a ajouté l'agence.
Les médias chinois ont déjà vivement attaqué les États-Unis au sujet de ce qu'ils appellent leur «dépendance à la dette», un commentateur allant jusqu'à comparer la dette américaine à une «escroquerie pyramidale».


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lundi 21 novembre 2011

Les «indignés» américains anti-Wall Street devraient se déplacer contre la haute finance à Washington et non à New York

Déclaration - Oliver Stone: pas de démocratie même sous Obama
La réalisateur américain Oliver Stone lors du Festival International du Film à Alger le 19 novembre 2011. 
© AFP

Oliver Stone: pas de démocratie même sous Obama

ALGER - Le cinéaste et réalisateur américain Oliver Stone a déclaré samedi à Alger que les États-Unis ne vivent pas en démocratie même sous Barack Obama, élu en 2008, dénonçant pèle-mêle Wall Street, le bellicisme américain et l'indifférence de ses compatriotes envers le reste du monde.
Dans une conférence de presse en français, M. Stone a jugé que les «indignés» américains anti-Wall Street devraient plutôt déplacer leur mouvement de contestation contre la haute finance «à Washington et non pas à New York, pour avoir plus d'impact». C'est à ce prix que les pressions seront «efficaces» sur les politiques pour assainir le système financier, dit le réalisateur de Wall street (1987) et Wall street, l'argent ne dort jamais (2010).
Invité à l'occasion du «festival du film engagé» à partir du 29 novembre à Alger, ce fils d'ancien financier de Wall street et de mère française s'est dit «choqué de voir comment l'argent était vénéré par les Américains» et les effets de la crise.
Aujourd'hui «la classe moyenne (américaine) en est la plus grande victime, mais rien ne peut faire bouger le système» américain qu'il qualifie de «non-démocrate, même après l'arrivée d'Obama».
Le cinéaste a dénoncé «30 années de mensonges» avec la guerre du Vietnam qui lui a inspiré Platoon (1986). Les Américains ont vécu avec l'idée que «le communisme va dominer le monde», alors qu'il s'est écroulé en 1989, poursuit le cinéaste.
«Ma vie était déjà pervertie», a-t-il dit, lorsqu'il est allé faire la guerre et c'est après qu'il a découvert la réalité, notamment le pouvoir militaro-industriel qui a continué à dominer son pays pour mener ailleurs d'autres guerres. «C'est un système qui va détruire le monde», a-t-il affirmé.
Interrogé sur le soutien américain à Israël, M. Stone a affirmé qu'on «ne pouvait pas parler de cela en Amérique. Il y a une telle puissance, l'argent, les médias et le lobyying sont tels que les faits, la vérité ne sortent pas», a-t-il dit.
A 65 ans, il juge avec sévérité ses compatriotes. «Les Américains ne sont pas tellement intéressés dans les problèmes de l'étranger», a-t-il dit. «Il n'ont pas d'empathie pour eux».


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vendredi 18 novembre 2011

En 2011: chaque Américains doit $48 000 dollars

États-Unis - La dette publique dépasse 15 000 milliards
Wall Street à New York. 
©AFP/ Don Emmert

La dette publique dépasse 15 000 milliards

WASHINGTON - La dette de l'État fédéral américain dépasse 15 000 milliards de dollars depuis mardi, selon des chiffres publiés mercredi par le département du Trésor, au grand dam de nombre de républicains qui font porter toute la responsabilité à l'administration Obama. Elle atteignait ce jour-là 15 033,6 milliards de dollars à la clôture des comptes quotidiens du Trésor, soit 55,8 milliards de plus que la veille, a indiqué le ministère.
Cela correspond à 99% du PIB américain prévu par la Maison Blanche pour l'ensemble de l'année 2011.
Ces chiffres ont provoqué un déchaînement de réactions chez nombre d'élus républicains qui ont incriminé Barack Obama.
«Ce chiffre marque un jour infâmant pour l'histoire américaine. Vous méritez des dirigeants qui s'attaquent vraiment au problème», a déclaré sur Twitter Paul Ryan, président de la commission de la chambre sur le Budget.
Rick Perry, candidat à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle de novembre 2012, a dénoncé «la politique socialiste d'Obama qui ruine le pays». Le gouverneur du Texas a affirmé sur Twitter qu'«il était temps de réformer Washington».
«L'Amérique vient de passer un cap inimaginable: notre dette dépasse 15 000 milliards de dollars. Cela fait plus de 48 000 dollars par Américains», a tonné Reince Priebus, président du Comité national du parti républicain.
Le sénateur Mitch McConnell a ajouté dans un communiqué: «Nous avons une dette qui pèse autant que notre économie. Cela nous fait beaucoup ressembler à la Grèce», a-t-il déclaré.
Le franchissement à la hausse du seuil des 15 000 milliards de dollars a eu lieu alors que la Commission mixte du Congrès pour la réduction du déficit budgétaire peine à parvenir à un accord qui définirait des économies budgétaires d'au moins 1 200 milliards de dollars cumulés sur dix ans.
Faute d'accord d'ici au 23 novembre, la loi prévoit la mise en oeuvre automatique, à partir de 2013, de réductions des dépenses de l'État d'un total de 1 200 milliards de dollars sur dix ans, réparties à part égale entre les dépenses de défense et le reste des dépenses.
La dette publique américaine avait franchi à la hausse le cap des 10 000 milliards de dollars en septembre 2008. Depuis cette date, les États-Unis accumulent 1 000 milliards de dette supplémentaire tous les sept mois et demi en moyenne.
Dans son dernier «Moniteur des finances publiques» publié en septembre, le Fonds monétaire international (FMI) estime que la dette publique des États-unis devrait atteindre 100% du PIB à la fin de l'année, 105% en 2012, et continuer de progresser jusqu'à 115% en 2016.

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