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jeudi 12 septembre 2013

Sexe: les femmes de 40 ans et plus font l'amour 1 fois sur 5

Une sexualité forcée finit par se dégrader, par jeter de l’ombre entre les partenaires
En réalité elle sont bien 4 fois sur 5 ,si ont les entoure de tendresse!
Et les organes reproducteurs servent uniquement pour la reproduction de l'espèce,et non pour ;-)

Même si la situation – 40 ans après la révolution sexuelle – a beaucoup changé, il existe encore des moments où, sous la couverture, tout se joue comme un devoir conjugal… Les croyances ont la vie dure et l’impression de devoir avoir une vie sexuelle active (même si elle est vécue difficilement) pour préserver son bonheur de couple passe, pour de nombreuses femmes, par le «sacrifice» de soi. En 2013. Hé oui! Pourquoi? Que faire?
Avoir une vie sexuelle épanouie, divertissante et stimulante demande du temps, des efforts, une bonne connaissance de soi et de l’autre et une grosse dose de respect mutuel. Dans les cas où les femmes n’osent pas dire non sexuellement à leur partenaire, le respect mutuel se consomme à dose homéopathique… c’est-àdire, très peu à la fois.
On croit que l’amour est fort, que tous les couples font des compromis et que tout doit aller de soi: erreur monumentale! Les mondes si différents dans lesquels évoluent les hommes et les femmes les placent souvent devant des situations potentiellement problématiques. Le bonheur c’est de savoir se parler et conjuguer avec les différences, mais il faut être honnête, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire.
LA POSITION DE L’ÉTOILE
Alors pour « acheter » la paix, pour éviter les conflits ou les chicanes, plusieurs femmes acceptent de faire la position de l’étoile ( c’est- à- dire d’être passive et de se laisser faire) pour vivre une relation sexuelle.
Natalia, une femme de 34 ans, en relation avec son chum depuis six ans et nouvellement arrivée au Québec nous dit: «Je vis beaucoup d’anxiété depuis que j’habite Montréal. Ce n’est pas la ville, mais plutôt mon chum qui me met une pression. Je suis retournée aux études ici donc je ne travaille pas, j’en ai plein les bras et il le sait. L’adaptation n’est pas évidente. Il subvient à tous mes besoins financiers et en retour, il s’attend de moi à ce que je le “sexe” comme il me dit souvent. Ses paroles sont: la moindre des choses, c’est que tu me sexes deux ou trois fois par semaine, ça vaut au moins ça. Je sais, c’est complètement macho, mais j’ai l’impression que je lui dois du sexe. C’est vrai qu’il en fait beaucoup pour moi. Alors pour avoir la paix et surtout pour éviter les coups de gueule, je fais l’étoile et il se sert. Je vous l’écris et en l’écrivant je réalise l’horreur de mes paroles. Mais une chose est certaine, j’aime mon homme, c’est pour cette raison que j’accepte de le faire.»
Pour être tranquilles, pour éviter les conflits, les sautes d’humeur et pour éviter qu’il soit tenté d’aller voir ailleurs, plusieurs femmes sont prêtes à franchir cette limite: celle de s’oublier pour se conformer au diktat du plaisir de l’autre.
LA LIGNE EST MINCE
Certaines femmes interviewées m’ont avoué avoir l’impression d’être dans une relation «pute/client». Il pourvoit, elle livre le sexe. C’est du moins l’expression de Suzanne, une femme de 53 ans en couple avec son mari depuis 28 ans. «Je n’ai jamais osé lui dire non sexuellement. Sachez que je ne le fais pas toujours contre mon gré. Il m’arrive aussi d’en avoir envie. Mais il serait juste de mettre l’équation à une fois sur cinq. Donc une fois sur cinq, j’ai le goût et ça va super bien, mais les autres fois, je le fais pour lui, uniquement pour lui. Parce que je dois vous avouer, je n’ai jamais aimé lui faire des fellations ou me faire sodomiser. Mais ça l’excite et ensuite, les jours qui suivent, il est super attentionné et très disponible dans la maison, ça m’aide beaucoup. C’est un sacrifice que je suis prête à faire. Mais je réalise que ça n’a pas beaucoup de bon sens, ma fille de 29 ans m’a demandé conseil à ce sujet et je lui ai dit comment je fonctionnais avec son père et elle m’a dit: “la ligne est mince entre la prostitution et ce que tu fais m’man”. Un choc. Je l’ai donc encouragé à dire non à son mari dans ce cas-là. On va voir.»

Même si ce sont pour toutes les raisons invoquées ci- haut, aucune femme ( ni aucun homme) ne devrait en arriver à vivre des situations de contraintes sexuelles. Apprendre à dire non, c’est apprendre à se respecter et à s’affirmer. Aller chercher de l’aide professionnelle au besoin, car une sexualité forcée finit par se dégrader, par jeter de l’ombre entre les partenaires et à détruire les individus.


REF.:

Réduire la pauvreté et la dépendance alimentaire au maximum


La Tablée des Chefs de Jean-François ArchambaultJean-Francois Archambault


On lui a dit d'oublier son projet, mais il a persisté. Aujourd'hui, le fondateur de La Tablée des Chefs redistribue 100 000 portions de nourriture par an aux plus démunis.
11 novembre 2009. Pendant que le Canadien de Montréal lutte contre les Flames de Calgary pour éviter le blanchiment, desemployés des services alimentaires du Centre Bell s'activent à une tout autre tâche. En compagnie des bénévoles de la mission Bon Accueil, ils récupèrent les repas préparés pour les loges et qui n'ont pas été consommés pour les redistribuer à des gens dans le besoin.
N'eût été la ténacité de Jean-François Archambault, ces surplus frais et de bonne qualité auraient été jetés. Au lieu de cela, ils ont permis de nourrir quelque 700 personnes.
Ce jeune homme de 32 ans au visage juvénile dirige La Tabléedes Chefs, un organisme sans but lucratif qu'il a lui-même fondé en 2002. À l'aide de cinq autres employés permanents et d'une armée de chefs bénévoles, il redistribue plus de 100 000 portions de nourriture par an. Comment ? En servant d'agent de liaison entre des organisateurs d'événements majeurs et les 17 banques alimentaires du Québec.
En plus du Centre Bell, Jean-François Archambault compte des partenaires prestigieux comme le Mouvement Desjardins, l'Hôtel Windsor, le Fairmount, le Manoir Richelieu, le Hilton Bonaventure de Montréal, la Coop HEC Montréal et Tourisme Laval. Et dans tous les salons ou les foires alimentaires du Québec, vous trouverez les contenants de récupération au logo de La Tablée des Chefs.
Jean-François Archambault est allergique au gaspillage. Tout a commencé lors de ses études en gestion hôtelière à l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec (ITHQ). " Dans notre cours de cuisine, nous pouvions recommencer trois fois le même plat pour nous entraîner. Comme nous ne mangions jamais tout, nous jetions les restes. Déjà à l'époque, je me disais : pourquoi ne pas les récupérer ? On me répondait que c'était impossible pour des questions de sécurité alimentaire ", dit-il.
Mais impossible ne fait pas partie de son vocabulaire. Et cette idée de récupérer des denrées périssables ne le quitte pas. À sa sortie de l'ITHQ, à 22 ans, il décroche un poste de vendeur à l'Hôtel Fairmount. Parallèlement, avec l'aide de son père, un avocat de l'Association des hôteliers du Québec, il réunit autour de la même table les intervenants de l'industrie afin de les mobiliser pour son idée de redistribution alimentaire.
" À l'époque, les hôteliers avaient très peur de se retrouver dans les journaux à cause d'un empoisonnement alimentaire ", dit le jeune chef. Jean-Francois Archambault réplique à cette crainte en implantant une logistique à toute épreuve. Les repas doivent être consommés au plus tard dans les 48 heures qui suivent leur préparation. Les hôtels participants redistribuent généralement la nourriture àdes organismes situés à proximité. Certains, comme le Sheraton, congèlent les aliments avant de les redistribuer. Si les repas doivent faire un trajet de plus de trente minutes avant de parvenir àdestination, ils sont placés dans des glacières.
Les chefs ont des consignes claires : pas de vinaigrette mélangée à l'avance avec de la mayonnaise, pas de poissons crus ou cuits, pas de viande froide restée plusieurs heures à la température de la pièce, etc. Les organismes communautaires qui récupèrent la nourriture sont eux aussi mis au pas. En plus de manipuler les aliments avec un soin méticuleux, ils doivent être assidus à la cueillette. " Nous tolérons qu'ils ne se présentent pas pour récupérer les aliments une fois, mais si cela arrive une deuxième fois, il sont exclus du programme ", tranche le président de La Tablée des Chefs.
Ce projet aurait pu échouer pour plusieurs raisons. Cependant, ce ne sont pas celles auxquelles Jean-Francois Archambault avait songé qui lui ont donné le plus de fil à retordre. Au-delà des défis logistiques, c'est bien plus la question de l'image et de l'ego qu'il a fallu contourner. " Au début, leschefs refusaient de collaborer, car ils craignaient la réaction de leur directeur général. Ils ne voulaient pas se faire accuser de gaspiller et de mal gérer leurs stocks de nourriture. Car qui dit surplus, dit aussi coûts supplémentaires pour l'entreprise... " explique l'entrepreneur. Jean-François Archambault a vite compris qu'en voulant faire le bien, c'est tout le modèle d'affaires de la gestion hôtelière qu'il venait bousculer.
Pour surmonter cet obstacle, l'entrepreneur travaille actuellement avec la firme Samsom Bélair à donner une valeur à ces surplus alimentaires. Ainsi, La Tablée des Chefs pourra fournir aux hôtels participants des reçus de dons de charité qu'ils pourront déduire de leurs impôts. " Le problème vient du fait que la nourriture transite rapidement, explique le chef. Elle ne peut pas être pesée et évaluée au poids, comme c'est le cas pour des denrées non périssables. Nous devons alors lui donner une valeur à la portion. "
Une fois ce problème résolu, il pourra sans doute recruter davantage d'hôtels. Car la bonne volonté seule ne suffit pas toujours. Et cela, Jean-François Archambault le comprend depuis ses débuts. " N'oubliez pas que j'ai commencé ma carrière comme vendeur ! " Et que juste avant de prendre la direction de la Tablée, en 2006, il était directeur, ventes et marketing, pour les hôtels Marriott Courtyard et Residence Inn.
Ce jeune homme aurait pu faire fortune dans le secteur privé. Pendant qu'il planche sur son projet deTablée, certains proches ne manquent pas de le lui rappeler. Comme ce chef réputé, un ami de la famille, qui lui dit de ne pas suivre cette voie, lui " qui a un si bel avenir devant lui ". Mais ses convictions le poussent à garder le cap. Jean-François Archambault consacre ce talent si vanté par les autres à gérer La Ta-blée des Chefs comme une entreprise. En 2007, la Jeune Chambre de commerce de Montréal le nomme d'ailleurs " Jeune leader d'affaires du Québec socialement responsable de l'année ". " Mon but est de ne plus avoir besoin de dons pour fonctionner ", dit-il, fier d'ajouter qu' en 2010, il atteindra la rentabilité pour la première fois.
Aujourd'hui, il compte sur l'aide de cinq employés permanents, de 12 chefs pigistes et d'une quarantaine de chefs bénévoles. Il a quitté le sous-sol de ses débuts pour s'installer à Longueuil dans un nouveau développement commercial et reçoit Commerce dans la cuisine. Devant un clafoutis aux petits fruits, il explique les influences qui l'ont façonné. Fils d'un juge à la Cour supérieure, il n'a jamais manqué de rien. " Mes parents étaient du genre à s'engager dans tout ce qui touche à la vie communautaire. J'avais neuf ans quand mon père a organisé la première guignolée dans le quartier. J'ai appris très tôt que quand on vient d'une famille favorisée, on a le devoir de redonner à la société. "
La Tablée des Chefs s'inspire de City Harvest, un organisme de New York qui redistribue des surplus alimentaires depuis 25 ans. Cette année, City Harvest aura récupéré quelque 25 millions de livres de nourriture pour nourrir 260 000 New-Yorkais dans le besoin. Et bien que dans dix ans, Jean-FrançoisArchambault espère avoir plus d'espace et un entrepôt réfrigéré, son rêve n'est pas de croître. Au contraire. Il aimerait presque voir La Tablée disparaître...
" Au fond, ce qu'on souhaite, c'est réduire la pauvreté et la dépendance alimentaire au maximum. J'aimerais atteindre un point de saturation à partir duquel c'est nous qui commencerons à gaspiller ! " C'est pourquoi l'organisme offre aussi des ateliers de cuisine aux jeunes des milieux défavorisés, de même qu'un camp de vacances où chaque été 400 jeunes de sixième année préparent eux-mêmes leurs repas tous les jours.
Même si le fondateur de La Tablée des Chefs ne vise pas la croissance, celle-ci semble inévitable. Et il en est conscient. S'il le faut, il étendra son modèle de redistribution dans tout le Canada. " Je n'ai pas de limites, car je ne crains pas le refus. Pour parvenir à mes fins, je pourrais téléphoner à Barack Obama demain matin, parce que d'après moi, tout le monde doit faire sa part pour réduire la pauvreté. "
Près de 300 000 personnes au Québec dépendent de l'aide alimentaire. En 2010, la Tablée des Chefspassera donc en deuxième vitesse. On a mis sur pied un système de courtage en ligne. Il s'agit d'un site Internet où les établissements participants peuvent inscrire leurs événements. Les organismes membres peuvent consulter le site et accepter les cueillettes en ligne. " Cela nous permettra de nous concentrer à faire du développement et à trouver d'autres sources de financement. " Jean-FrançoisArchambault n'a pas fini de cuisiner les chefs québécois pour les inciter à passer à la Tablée.


samedi 7 septembre 2013

Une Baisse de 50% sur le réseau eDonkey en 2012, vive le Flux ?

Depuis leur apparition, les réseaux P2P ont révolutionnés la consommation de multimédia en permettant aux internautes d'échanger des fichiers en toute liberté, dans des proportions quasi industrielles. Il est donc rapidement devenu crucial pour l'industrie audiovisuelle d'obtenir une certaine forme de visibilité sur ce qui transite sur ce type de réseau, notamment dans le but d'estimer le nombre d'usagers, de quantifier le volume de fichiers échangés et si possible, d'en identifier formellement la nature.
Sur un réseau complexe tel que le réseau eDonkey, quantifier le nombre d'utilisateurs de manière exhaustive est difficile, voire même impossible du fait même de la technologie employée. Le principe du P2P implique en effet une certaine forme de décentralisation qui est a l'exacte opposée du modèle clients-serveur, qui prévalait depuis de nombreuses années et dont il est trivial d'estimer la popularité.
Si il est avéré que le P2P est très largement utilisés pour obtenir des contrefaçons numériques, il ne représente en 2012 qu'une très petite fraction du volume total des 'pirates' de l'internet. Ces derniers sont désormais bien plus nombreux a utiliser les plateformes de téléchargements directs ou de diffusion de flux, mais pour soutenir une telle assertion, encore faut il pouvoir la baser sur des indicateurs fiables.
Pour produire de tels indicateurs, certaines études se basent sur l'analyse de la bande passante. Selon l'une d'entre elles, un tiers du trafic internet est de nature P2P, le réseau eDonkey ne comptant lui même que pour environ un tiers de ce même trafic. Cette méthodologie ne permet pas de mettre en évidence autre chose que la réalité des proportions et il n'est pas possible d'avoir beaucoup plus d'informations. Par exemple, la bande passante n'évoluera pas énormément si le volume des utilisateurs P2P diminue mais qu'ils téléchargent plus. Et il n'est pas possible d'identifier la nature licite ou illicite, ou bien encore le type de contenu échangé.
Il devient alors évident que pour produire nos indicateurs P2P, nous avons besoin de plus que d'une simple analyse de la bande passante.
D'autres études se basent sur le contact direct avec un panel d'internautes, quelques milliers dans le meilleur des cas. Mais s'agissant d'estimer l'utilisation de réseaux comptants plusieurs millions d'individus répartis dans le monde entier, il est difficile d'obtenir un échantillon réellement représentatif de l'ensemble avec cette méthode et le caractère illicite du téléchargement n'incite pas les internautes à être toujours honnêtes dans leurs réponses.
Une autre méthode s'appuie sur l'analyse des écosystèmes P2P, par l'étude de la fréquentation des sites web dédiés aux échanges de liens P2P. Concernant le réseau eDonkey, la seule information qui se dégage alors c'est le degré de popularité du site étudié et même si cela peut être un bon indicateur indirect des tendances générales du réseau, ce n'est pas vraiment plus précis que d'analyser la bande passante.
En définitif, lorsque l'on cherche a évaluer précisément l'activité d'un réseau pairs à pairs, la meilleure méthode reste l'investigation directe, le contact technologique devenant alors incontournable.

Le fonctionnement du réseau eDonkey n'etant pas aussi trivial que son utilisation, pour être en mesure de fournir des données fiables il faut non seulement réaliser une veille permanente, mais aussi implémenter des processus dont l'efficacité est très largement dépendante de la maitrise technologique que l'on possède sur ce type d'infrastructure. Raison pour laquelle ces statistiques imposent de communiquer sur le mode opératoire qui les produits si l'on veut en avérer les résultats.
Dans ce domaine, notre positionnement nous place donc en première ligne et nous sommes toujours les seuls a publier des informations aussi précises et aussi complètes concernant le réseau P2P eDonkey, avec un recul sur plusieurs années tout en restant transparent sur nos modes opératoires.
Quelques chiffres
En novembre 2012, il y a encore plus d'un million d'utilisateurs qui se connectent chaque jour sur le réseau eDonkey et en comparaison avec novembre 2011, cela represente une baisse de 50%.

Environ la moitié des utilisateurs actuels se connectent depuis l'Europe, ou l'on constate aussi les baisses les plus importantes entre fin 2010 et fin 2012, notamment en Italie, en Espagne et en France. Parmi les pays ou l'activité augmente ou demeure assez stable, on trouve la Chine, l'Argentine, ou bien encore les USA et l'Angleterre.

Evolution since 2009




En 2013 seulement 697,000/jrs !
Quelques mots
Pour la France, la moyenne journalière en 2012 ne dépasse pas 90 000 utilisateurs simultanés, ce qui représente environ 0,25% de la totalité des internautes Français, qui sont aujourd'hui près de 40 millions.

Si l'on se base sur les volumes de bande passante, le réseau eDonkey représentant un tiers de toute l'activité P2P de l'internet, on peut extrapoler que le volume d'internautes Français qui utilisent un réseau P2P avoisine les 400 000 par jour, c'est a dire environ 1% du total.
Nous pouvons donc désormais affirmer sur la base d'indicateurs sérieux qu'en Novembre 2012, une très (très) petite fraction des internautes Français utilisent les réseaux p2p pour se procurer des contrefaçons commerciales.

Si petite qu'elle parait négligeable en comparaison de celle qui concerne le téléchargement direct, ou bien la diffusion de flux.



REF.:   Jean roger S.
Contestant pratiquant

jeudi 5 septembre 2013

Séries en streaming: souvent illégal et en toute impunité

Depuis lundi sur internet l'épisode 1 de la saison 3 de la série américaine Homeland, qui a été divulgué un mois avant son passage à la télévision: un exemple de plus du piratage massif des séries sur internet.
Plus besoin de télécharger des fichiers partagés entre internautes, ce qui nécessite un minimum de maîtrise de l'ordinateur. Le streaming (visionnage sans téléchargement) est devenu le moyen le plus répandu pour regarder une série gratuitement, légalement ou illégalement.
Et en toute impunité, car pour le streaming, Hadopi, l'autorité anti-piratage, explique n'avoir pas pour mission de contrôler ni les sites qui référencent les vidéos en streaming ni les internautes qui les regardent.
Que les séries soient ou non déjà diffusées en France, les épisodes circulent sur internet dès leur sortie à l'étranger : une recherche sur internet permet de voir des dizaines de sites, comme dpstream ou dpstreamiz, très fréquentés en France, qui affichent une liste de liens. Ces liens pointent vers l'oeuvre, diffusée en streaming depuis de gros sites de stockage de fichiers comme MixtureCloud, Youwatch ou Purevid. Ils ont pris le relais de MegaUpload, fermé par les autorités américaines début 2012.
La situation est d'autant plus confuse que sur un site majeur comme YouTube se côtoient contenus légaux et illégaux, et que parfois les ayants-droit décident de ne pas demander le retrait de leurs vidéos car ils profitent de leur notoriété.
Concrètement, surveiller les millions de fichiers que les internautes transmettent à ces plateformes est une tache sans fin.
Certains sites de stockage récompensent d'ailleurs les internautes qui envoient des fichiers, en les rémunérant si leurs vidéos sont très regardées. De quoi pousser beaucoup à leur envoyer des copies d'un DVD ou des enregistrements illégaux d'émission télé.
Ventes légales en recul
Côté utilisateur, les gros sites de stockage font souvent payer les internautes au bout d'une certaine durée de visionnage. Un gros site de streaming peut engranger environ 24 millions d'euros (33 millions de dollars canadiens) de chiffre d'affaires par an, selon une étude de l'Idate de l'an dernier.
Dès que les télés françaises annoncent la prochaine sortie d'une série américaine inédite en France, le nombre de recherches sur des sites de streaming augmente nettement sur Google.
Le piratage nuit aux ventes légales : au 1er semestre le chiffre d'affaires des DVD et Blu-Ray a baissé de 12,5% sur un an, selon le baromètre CNC-GFK. La VoD (vidéo à la demande) légale devrait progresser de 17% cette année mais son chiffre d'affaires ne pèse que 20% environ du chiffre d'affaires des ventes physiques.
Impossible de dire combien de copies d'un film sont vues en streaming : une récente étude d'Hadopi montre seulement que 37% des internautes regardent des séries, dont la moitié (46%) en streaming, une pratique désormais plus de deux fois supérieure au téléchargement. Ils regardent des séries internationales à 72% et, dans 37% des cas, illégalement, même si les usages légaux progressent via la télé de rattrapage.
L'internaute doit juger si le contenu semble «manifestement illicite» par «faisceau d'indice» mais Hadopi n'exercera pas de contraintes sur lui.
Quant aux sites de référencement des liens en streaming, ou de stockage de fichiers illégaux, Hadopi n'est tout simplement pas chargé de les contrôler. Seuls les ayants-droit peuvent agir en leur demandant le retrait de leur oeuvre, voire saisir la justice, mais les cas sont rares.
«La loi ne nous permet d'intervenir que sur les pratiques de partage de fichiers entre internautes, lorsqu'un fichier illégal est stocké par un internaute et mis à disposition des autres, on lui envoie un message», explique un porte-parole d'Hadopi.
L'institution est en sursis: le Parlement pourrait adopter très prochainement un amendement qui la supprime et transférera ses missions au CSA.


mercredi 4 septembre 2013

L'argent sale ,le poison de la Finance,.......ET c'est temps mieux ?

L'ARGENT SALE, LE POISON DE LA FINANCE ?

C'est un secret ..............,non mais c'est tout comme,la mafia est infilté dans la finance depuis les premiers cris des spécialistes des finances depuis environ 2009.
Autrefois la mafia courrait après les banques ,maintenant ce sont les banques qui courre après l'argent sale de la mafia.Tout le système du blanchiment d'argent se passe sous vos yeux et dans un aller retour du paradis fiscale vers l'origine de ceux qui dépose dans ces banques légales.On intimide ,et on s'arrange pour que vous obéissiez aux chantages de la mafia envers votre famille et vos proches.
La Mafia tout comme les Banques sont indestructibles dans notre système économique et voué a une mort certaine pour la venue de l'âge d'or des égalités sociales.


Les escros de Madoff : Les banques HSBC, JPMorgan Chase, UBS,UBP... !On disait: Le liquidateur de l'affaire Madoff a jusqu'à la fin de la semaine pour porter plainte contre des complices présumés et réclamer des fonds au bénéfice des victimes.

Ces derniers jours, il a donc accéléré ses démarches et a réclamé au moins 9 milliards de dollars à la banque britannique HSBC et diverses entités associées, 6,4 milliards de dollars à la banque américaine JPMorgan Chase, et 2 milliards de dollars à la banque suisse UBS, les accusant de complicité avec l'escroc.

Krach - Les dessous de la crise économique mondiale

R. Glenn Hubbard,ancien conseillier économique de G. W. Bush,qui avait été payé 100,000$ en échange d'un témoignage de 2 hrs,dans le procès de la Bear Stearns.Matthew Tannin, gestionnaire de fonds spéculatifs chez Bear Stearns,jugé non coupable par la commission,il fut protégé par les Bonzes de Wall streets !Ralph R. Cioffi, gestionnaire de fonds spéculatifs chez Bear Stearns,jugé non coupable par la commission,il faut aussi protégé par les Bonzes de Wall Streets !Gordon Brown, ancien Ministre des finances qui allégea les lois des banques,pour rivaliser la Bourse de Londres,contre celle de New-York.Richard Fuld,PDG de la 4ième grande Banque,la "Lehman Brothers" qui sera mit en faillite ! 
La Mafia est souvant derrière ces coquilles vides et prête-nom !


REF.:

jeudi 29 août 2013

UN MONDE À L'ENVERS ,bientôt .... le 26 avril 2013 ?

UN MONDE À L'ENVERS : Bande-annonce officielle

 Affiche du film  Upside Down
maginez un monde parallèle qui est comme notre, mais au lieu d'être dans une autre dimension, il se bloque juste au-dessus de nous. Pour rendre les choses plus intéressantes, il est illégal de croisement de l'une à l'autre, et ceux en bas sont pauvres, alors que ceux d'en haut sont riches. On dirait que la lutte des classes est sur le point d'éclater ... sauf que c'est une histoire d'amour.Dans une autre galaxie, les pôles de deux planètes se frôlent à un point tel que les rues de l'une composent le ciel de l'autre. Le champ gravitationnel de chaque astre attire vers lui la matière de l'autre, dont ses habitants, de sorte que ces derniers ne peuvent poser pied sur la surface qu'ils surplombent. Dans un tel univers, Adam et Eden n'aurait jamais dû se connaître, et encore moins tomber amoureux, eux qui se seront rencontrés au plus haut sommet de leur monde respectif. Eden ayant perdu tout souvenir du jeune homme suite à une chute, Adam tentera de reconquérir sa belle en défiant littéralement la gravité.


jeudi 15 août 2013

Des poubelles «intelligentes» capables de recueillir des données de passants

Londres - Scandale des poubelles collectant des données mobiles
Une «poubelle intelligente» de Renew 
Photo Renew

Scandale des poubelles collectant des données mobiles

LONDRES - Des poubelles «intelligentes» capables de recueillir des données de passants à partir de leurs téléphones provoquent un scandale à Londres, où les autorités ont exigé lundi que cette technologie soit désactivée.
La collecte de ces informations «doit cesser immédiatement» jusqu'à ce qu'il y ait un débat public sur le sujet, ont insisté les autorités de la City, quartier financier de Londres.
«Nous avons aussi saisi» l'autorité britannique de protection de défense des libertés, ont-elles ajouté.
Les poubelles, conçues pour résister à l'explosion d'une bombe, sont équipées d'un système Wi-Fi et d'écrans digitaux affichant des publicités ainsi que des informations financières et locales en temps réel, comme les perturbations dans le métro.
Cet été, elles ont aussi été testées pour collecter les données des téléphones de passants. En l'espace d'une semaine en juin, elles ont enregistré plus d'un demi-million de téléphones.
Selon son fabricant, la société Renew, ces poubelles «fournissent une vision sans précédent (...) - les points d'entrée et de sortie, le temps passé dans un endroit, les centres d'intérêt» des utilisateurs de téléphones.

Cette technologie pourrait, selon Renew, permettre de cibler des campagnes publicitaires en fonction par exemple du temps passé dans les commerces. Le client de tel café pourrait par exemple se voir proposer des publicités d'autres chaînes de boissons chaudes.
Devant le tollé provoqué par ce dispositif, le patron de Renew, Kaveh Memari, s'est défendu en expliquant que la technologie avait seulement été à l'essai en juin et qu'elle ne permettait que de comptabiliser le nombre de passants, sans obtenir leurs données personnelles.
Elle est comparable à la technologie utilisée par les sites internet qui comptent le nombre de visiteurs uniques, sans connaître leur identité, a-t-il expliqué.
«Nous ne pouvons pas vraiment suivre les gens, nous ne voyons pas les gens, tout ce que nous voyons est un dispositif», a-t-il déclaré.
«Peu importe ce que peut faire la technologie, a rétorqué un porte-parole de la City of London. Tout ce qui se passe dans les rues doit être fait avec précaution et avec le soutien d'un public informé.»
Kaveh Memari a insisté sur le fait que l'utilisation éventuelle des informations collectées par ces poubelles devrait se faire en accord avec des groupes de protection des données. «Les développements futurs (de ce dispositif) ne dépendront pas seulement de la technologie, mais surtout de la façon dont les gens réagissent vis-à-vis de cette technologie interactive», a-t-il affirmé.

Renew, qui a installé ces poubelles très sophistiqués dans la capitale britannique pendant les jeux Olympiques de Londres en 2012, compte vendre ce produit dans d'autres villes comme New York, Dubaï et Rio.


REF.: