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mardi 7 mai 2013

Le gouvernement fédéral a radié de ses livres près de 16 milliards $ en impôts impayés ?

De 2006 à mars 2012, le gouvernement fédéral a radié de ses livres près de 16 milliards $ en impôts et taxes impayés. Vous avez bien lu. Le fédéral a renoncé au recouvrement de cette montagne de dettes fiscales.

Une telle somme équivaut au montant total des prestations de chomageque le fédéral a versé l'an dernier aux chomeurs.
est-ce l'insouciance  des services de recouvrement de revenu canada qui se fait déjouer par les cie et particuliers qui ne peuvent payer leurs dettes fiscales?
On parle quand même de 242 millions $ de budget et 4000 employés des bureaux des services fiscaux et du centre national d'appels de la gestion des créances.
Les dettes irrécupérables identifié en 2006 déja,par le vérificateur  général du canada..
comment expliquer la radiation de cette dettes ? ...........perte de donnés ,piratage du centre de revenu canada a laval,manque de pertsonnel,etc............
les chiffres monte ? radiation de 1,9 milliard $ en 2006 a 2,9 milliards $ en 2012 !
revenu canada dit:
c'est dû a l'augmentation des taux de faillites personnelles et commerciales depuis le crash 2008,hausse des nouvelles cotisations de la planification fiscale abusive,augmentation des débiteurs,hausse des recettes fiscales,augmentation des frais d'intérêt sur la dette fiscale (on a passé de 6 a 10 ans) ,donc rev canada devra se concenter sur les gros soldes d'impôts et taxes impayés au lieux de perdre son temps a courir après les particuliers qui doivent des petits soldes d'impôts.Et pour ça,.............le Fédéral a mit moins d'agents de recouvrement pour faire la job,alors ça devra aider en plus en la faveur des petits salariés ?


REF.:

vendredi 3 mai 2013

Le juge Michel Déziel fait l'objet d'une enquête ?

Commission Charbonneau

Un juge de la Cour supérieure éclaboussé

Commission Charbonneau - Un juge de la Cour supérieure éclaboussé
Vas-y Gilles Cloutier  !
Photo Agence QMI / Archives


MONTRÉAL - Les jours se suivent et se ressemblent à la commission Charbonneau alors que Gilles Cloutier, qui témoigne pour une troisième journée, a lancé une nouvelle bombe jeudi matin.
L'ancien vice-président au développement des affaires pour les firmes de génie-conseil Roche et Dessau a affirmé sous serment que l'avocat Michel Déziel - désormais juge à la Cour supérieure du Québec - lui a demandé, en 1997, de blanchir 30 000 $ par le biais de prête-noms pour financer la campagne du maire de Blainville, Pierre Gingras.
Un juge de la Cour supérieure éclaboussé à  la commission Charbonneau - Le reportage de Mathieu Belhumeur

Aussi sur Canoe.ca:
Marois invite la Commission Charbonneau à la prudence

«Je suis allé le rencontrer dans son bureau et il m'a demandé si je pouvais changer 30 000 $ en [dons de] 750 $. M. Déziel savait que j'avais beaucoup de contacts dans Blainville, que je connaissais tout le monde et que ça allait être facile pour moi de le faire. Lui, comme avocat, aller blanchir des 750 $, ça paraît mal pour son code d'éthique, donc il me l'a demandé à moi», a-t-il expliqué.
Toujours selon Gilles Cloutier, Déziel lui aurait précisé que l'argent provenait de la firme Dessau, alors omniprésente à Blainville. Le témoin a d'ailleurs précisé que le maire de Blainville était «toujours en voyage de pêche avec Rosaire Sauriol».
De 1997 et 2006, Gilles Cloutier et sa conjointe de l'époque ont donné un total de 3900 $ aux partis politiques de Blainville. Cloutier espérait ainsi décrocher des contrats pour Roche, car c'est sa concurrente Dessau qui obtenait tout, a-t-il raconté. «Je payais tout le temps et je n'avais rien!»
En 2005, Gilles Cloutier a donc changé son fusil d'épaule et dit avoir investi 25 000 $ pour la campagne du candidat adverse, François Cantin, en concluant une entente pour obtenir des contrats. Cantin a remporté l'élection et Roche a par la suite eu sa part du gâteau.

Financement au provincial

La Commission a aussi voulu comprendre l'importance pour les firmes de génie-conseil de financer les partis politiques provinciaux.
Le témoin a alors expliqué que le fait d'avoir des liens avec le gouvernement permettait souvent de faire progresser les dossiers des clients de la firme sur la scène municipale
«On voulait aider nos clients municipaux. Il fallait faire affaire, souvent, avec des ministères», a affirmé Cloutier, spécifiant qu'il arrivait notamment à obtenir des subventions plus rapidement pour certains projets.
Même si Gilles Cloutier se décrit lui-même comme étant associé au Parti libéral du Québec (PLQ), les données déposées en preuve par la Commission permettent de constater que, de 1997 à 2007, le témoin et sa conjointe ont donné 11 150 $ au PLQ et 11 235 $ au PQ.
Le septuagénaire a toutefois précisé que ces données sont en deçà de la réalité puisqu'il utilisait fréquemment des prête-noms, notamment de la famille et d'amis, pour donner plus d'argent.
Autre façon de financer, Gilles Cloutier a expliqué que les entrepreneurs réclamaient des «extras bidons» dont 25% était par la suite remis aux firmes de génie-conseil pour faire du financement.
Crédibilité mise à l'épreuve
En contre-interrogatoire, l'avocat représentant la firme de génie-conseil Roche, Me Michel Massicotte, a longuement tenté de miner la crédibilité du témoin, soulignant de possibles contradictions ou invraisemblances dans son témoignage.
Me Massicotte a notamment fait admettre à Gilles Cloutier qu'il avait obtenu un remboursement de Roche pour des dépenses qu'il n'avait pas vraiment faites. L'avocat a soulevé le fait que Cloutier avait inclus 71 déjeuners à L'Académie dans son compte de dépenses, mais que le restaurant n'a jamais servi de déjeuners.
En guise de réponse, Gilles Cloutier a expliqué qu'«à l'occasion» et à la demande de son patron Marc-Yvan Côté il réclamait, dans son compte de dépenses et sous une autre rubrique, des dépenses qu'il n'avait «pas moyen de [se] faire rembourser» d'une autre façon.
En après-midi, le témoin a été longuement interrogé par Me Estelle Tremblay, représentant le Parti québécois (PQ). L'avocate s'est parfois lancé dans un débat linguistique tournant autour de l'«honnêteté» et de la «malhonnêteté» des méthodes employées par Gilles Cloutier.
Me Tremblay a très peu questionné le témoin sur les propos tenus hier au sujet de l'ancien ministre péquiste des Transports, Guy Chevrette.
C'est Gilles Cloutier lui-même qui a tenu à reprendre la parole à la fin du contre-interrogatoire pour rappeler qu'il y avait eu «deux magouilles» dans le cadre du contrat de la route entre Saint-Donat et Lac-Supérieur et que Chevrette y avait pris part. Le terme «magouille» n'a visiblement pas plu à l'avocate du PQ.
Les audiences sont maintenant ajournées et reprendront le lundi 13 mai. Le contre-interrogatoire de Gilles Cloutier sera alors terminé et la Commission doit aussi questionner le témoin au sujet du projet Fiche.
Cette portion sera toutefois faite sous ordonnance de non-publication préventive.

Le juge Michel Déziel faisait déjà l'objet d'une enquête

Les allégations de Gilles Cloutier devant la commission Charbonneau mettant directement en cause un juge de la Cour supérieure, Michel Déziel, ont rapidement fait réagir le juge en chef, François Rolland.
En entrevue à TVA Nouvelles, le magistrat a déclaré qu'une enquête était déjà en cours sur le juge Déziel, sans préciser quand celle-ci a été instituée, ni pour quelles raisons.
Jeudi matin, Gilles Cloutier a déclaré sous serment que l'avocat Michel Déziel - désormais juge à la Cour supérieure - lui a demandé, en 1997, de blanchir 30 000 $ par le biais de prête-noms pour financer la campagne du maire de Blainville, Pierre Gingras.
François Rolland a dit vouloir faire preuve de prudence dans ce dossier et a confirmé que le juge Déziel pourra continuer d'exercer.
Présentement en vacances, Michel Déziel poursuivra son travail à son retour. Si l'enquête prouve les faits qui lui sont reprochés, celui-ci pourrait être relevé de ses fonctions.
Michel Déziel a été nommé juge de la Cour supérieure du district de Laval le 5 novembre 2003.


REF.:

vendredi 26 avril 2013

Les GES c'est politique: S'il existe un consensus sur les causes des changements climatiques, il est strictement politique


Choisir ses batailles

Le Journal de Montréal, p. 25

Les ministres de l'environnement du G8, dont le Canada fait partie, viennent de clore trois jours de discussions pour préparer le sommet de juillet prochain et proposer des moyens pour lutter contre le réchauffement climatique.
À l'instar de toutes les initiatives qui s'attaquent aux GES, celle-ci a été bien accueillie. Encore une fois, on a invoqué le consensus qui existerait entre les scientifiques à l'effet que le réchauffement climatique serait causé par les émissions de CO2, et donc par l'activité humaine.
Or, l'existence d'un consensus est un leurre. Depuis 1992, des scientifiques de renom affirment que les changements climatiques dépendent davantage de l'activité solaire que des émissions de CO2. La semaine passée, la Oregon Institute of Science and Medicine a rendu publique une pétition de 32 000 scientifiques qui contestent le lien entre les CO2 et le climat.
32 000 scientifiques
Évidemment, aucun média n'a jugé bon de rapporter cette information. Manifestement, ils jugent que la parole de 32 000 scientifiques est insignifiante à côté de celle d'Al Gore ou d'un représentant de Greenpeace! Quand on pense à la couverture dont a bénéficié le rapport du GIEC signé par 2 500 experts, on s'explique mal le mutisme des médias face à la position prise par 32 000 scientifiques.
Or, croire aveuglément en un consensus qui n'existe pas est grave. Si c'est effectivement l'activité solaire qui perturbe le climat, cela signifie que les efforts que nous déployons pour lutter contre les GES sont inutiles, et que nous gaspillons notre argent.
Selon Bjorn Lomborg, professeur à la Copenhagen Business School et environnementaliste de renommée internationale, même si tous les pays, y compris les États- Unis et l'Australie, respectent le protocole de Kyoto pendant un siècle, nous aurons dépensé 180 milliards $ par année pour reporter les effets du réchauffement climatique d'à peine cinq ans. Ça fait beaucoup d'argent pour des résultats plutôt médiocres!
L'obsession des GES
Certes, la vie n'a pas de prix et il ne s'agit pas de regarder à la dépense. Il s'agit plutôt d'adopter les mesures qui permettront de sauver le maximum de vies. Si les CO2 ne sont pas en cause dans le réchauffement climatique, les mesures de réductions des GES se traduiront par l'appauvrissement de populations entières. La crise alimentaire actuelle, causée en partie par la culture intensive de maïs destiné à la production d'éthanol, est d'ailleurs un bel exemple de la misère que l'obsession des GES peut provoquer.
On nous dit qu'il faut lutter contre le réchauffement climatique, car il augmenterait, entre autres, les cas de malaria et l'incidence des inondations. Or, avec les sommes nécessaires pour sauver une vie grâce à la réduction des CO2, nous pourrions en sauver 36 000 en achetant des moustiquaires et des médicaments. Et si c'est la qualité de l'air qui nous préoccupe, mieux vaut alors allouer davantage de fonds à la recherche de sources d'énergie propres, sécuritaires et économiques plutôt que de dilapider notre argent dans une lutte stérile contre les GES.
S'il existe un consensus sur les causes des changements climatiques, il est strictement politique. En revanche, les scientifiques sont nettement partagés, et il est important que nous le sachions.
Il faut également permettre au débat de se poursuivre, car c'est le seul moyen de déterminer s'il faut lutter contre le réchauffement climatique, ou s'il vaut mieux trouver les moyens de réduire notre vulnérabilité face à ce phénomène. Vouloir améliorer le sort de monde est honorable, mais il faut savoir choisir intelligemment ses batailles!
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.
Nathalie Elgrably est chercheuse associée à l'Institut économique de Montréal et auteure du livreLa face cachée des politiques publiques.


jeudi 11 avril 2013

Confucius pensait a :





Je sème la confusion avec la connaisscience qui fusionne avec la religion de l'homme pour ressusciter sa particule lumière qui va et vague dans plusieurs endroits en même temps sans que je le sache.Vaut mieux que ce soit comme ça!
Car vos émotions envers les autres ne sont qu'envers vous-même !
Vous êtes la partie du tout ,et le tout sera toujours divisé par votre analyse et votre recherche a comprendre ce qu'il est.Alors soyez vous-même dans l'ici-maintenant,pour réaliser l'union de toutes les parties de votre univers.


REF.:Google?,

mercredi 10 avril 2013

Fuck You Alan Titchmarsh your the Beast


Au cours d'un échange houleux - avec toute la chaleur provenant de l'hôte - le Dog Whisperer défend désespérément ses méthodes.

Beaucoup de gens ne sont pas d'accord avec les méthodes de la Dog Whisperer, Cesar Millan.Daytime chat-animateur Alan Titchmarsh est l'un d'entre eux, d'une manière très importante.Jeudi dernier sur Londres  Le Salon Alan Titchmarsh , il a laissé Millan-il - et l'avoir, et le faire - ". barbares" émaillant le dresseur de chiens avec des accusations selon lesquelles il poinçons chiens et appeler ses méthodes
Millan savait sûrement ce qui allait arriver. Son apparition à l'émission a été vivement contestée à l'avance, avec Twitter campagnes contre son apparence et protestations sur Facebook. Le personnel de production a été inondé avec des centaines d'e-mails et appels, selon le Daily Mail . Pourtant, il a courageusement venus, mais il semblait un peu lancée par le questionnement.
Voici quelques-uns des moments les plus chaudes de l'échange:
Titchmarsh: . «Vous punissez les chiens, vous les frappez, je vous ai vu frapper un chien dans la gorge pour le faire se comporter et à la plupart des gens, comme moi-même, je dirais que c'est totalement inacceptable comme un moyen de formation d'un chien . "
Millan: «. Eh bien, évidemment, je suis en désaccord avec ce que ce n'est pas un coup de poing, c'est une touche."
Titchmarsh: "J'ai regardé la vidéo de celui-ci et si quelqu'un m'a touché comme ça je serais mal Tu es allé à la gorge. [Titchmarsh imite poinçons walloping grands] et vous a frappé le dos chien et le chien a mordu vous et tenu à la main . "
Millan: «C'est une touche ... C'est une touche ..."
Titchmarsh: ". Après avoir regardé beaucoup de matchs de boxe qu'il ressemblait à quelque chose de Henry Cooper livrerait"
Pause pour le rire la plupart du temps mal à l'aise partout. Millan explique ses méthodes un peu avant que l'hôte repart à l'offensive.
Titchmarsh: . "Mais il faut aussi travailler avec des chocs électriques et des colliers et des pointes sur les cols qui ont vraiment leur faire du mal Vous savez, c'est un traitement assez barbare Maintenant, nous ne serions pas traiter les enfants comme celui-ci, nous serions enfermés si nous le faisions.. . Maintenant, quel est votre raisonnement derrière le traitement des chiens comme ça? "
Millan: «Eh bien, il ya une certaine situation à cet effet, vous savez."
Millan poursuit en expliquant comment il est simplement enseigner aux gens comment utiliser correctement les outils controversés qu'ils utilisent déjà. Il dit qu'il recommande que les gens voient un professionnel lors de la formation d'un chien en utilisant ces méthodes, mais il reconnaît, lorsqu'il est pressé par la foule, que les gens finissent de les essayer par eux-mêmes à la maison, parce qu'ils voient à la télévision.
Titchmarsh ne faiblit jamais, demandant si Millan ne jamais abandonner ses méthodes, lui demandant s'il obtient le plaisir de blesser les chiens, la lutte contre l'affirmation Millan que les chiens sont des animaux de meute qui luttent pour la domination dans le ménage, et ainsi de suite.
"Nous n'avons pas battre nos enfants», a Titchmarsh dit à un moment, "et nous sommes un paquet."
Internet réaction a été rapide, mais divisée. Beaucoup soutenu l'hôte, mais certains utilisateurs de Twitter, comme ces deux, la pensée Titchmarsh allé sur le dessus:
@ Floatygoat: Alan Titchmarsh entrevue Cesar Millan était tellement frustrant. Moins d'une interview, plus d'une série d'accusations stupides.
@ BigGstacey: très frustrant, les gars n'a bien sûr jamais regardé chuchoteur chien .... I wana poinçon Titchmarsh maintenant. # Mynanwillhateme
Que pensez-vous de prendre, lecteurs Dogster? Est-Titchmarsh sur la bonne voie? Avez-Millan obtenir un traitement injuste? Avant de vous répondre, vous voudrez peut-être consulter une vidéo éditée de l'échange de quelques munitions:

« Je réhabilite les chiens et éduque les maîtres. » Cesar Millan


mardi 9 avril 2013

Un jour les Colonisés du Qc, sauront tout du Rapatriement de la Constitution ?


Rapatriement de la Constitution - Québec somme le fédéral de s'expliquer
Alexandre Cloutier 
Photo Agence QMI /Archives

Rapatriement de la Constitution

Québec somme le fédéral de s'expliquer

QUÉBEC - Le gouvernement Marois somme Ottawa de s'expliquer sur l'intervention alléguée du juge en chef Cour suprême dans les événements qui ont conduit au rapatriement de la Constitution canadienne.
«Ça pose et ça remet en question toute la légitimité de la Cour suprême du Canada au moment d'avoir entendu le renvoi de même que son indépendance devant le pouvoir politique», a affirmé mardi le ministre responsable des Affaires intergouvernementales canadiennes, Alexandre Cloutier.
La sortie du ministre survient au lendemain de la publication par l'historien Frédéric Bastien du livre La Bataille de Londres, qui revient sur les événements qui ont mené au rapatriement de la Constitution.
M. Bastien y affirme que l'ancien juge en chef du plus haut tribunal du pays, Bora Laskin, serait intervenu directement auprès du pouvoir politique, allant à l'encontre du principe de la séparation des pouvoirs entre le judiciaire et l'exécutif.
«Ça nous montre jusqu'où le premier ministre Pierre Elliott Trudeau était prêt à aller et quels moyens il était prêt à utiliser pour forcer et entrer dans la gorge des Québécois une constitution, des gestes qui sont extrêmement graves», a dit M. Cloutier.

Dévoiler les documents


M. Cloutier a invité le gouvernement fédéral à faire la lumière sur ces allégations en rendant public l'ensemble des documents reliés à cette période.
«Le premier ministre Stephen Harper doit ouvrir ses livres, doit ouvrir les archives pour que la lumière soit faite. Et on ne doit pas avoir peur de la vérité», a dit le ministre.
Le gouvernement Marois risque toutefois de rester sur sa faim, puisque les conservateurs ont annoncé mardi qu'ils n'avaient pas l'intention de rouvrir ce chapitre controversé de l'histoire canadienne.


mercredi 3 avril 2013

Hackers::// Intimidation et harcèlement informatique 2,0 : L'Attaque en réplique aux tactiques «d'intimidation» envers les Spammers Blacklisté par "Spamhaus"

Pourriels - Spamhaus: la cyberattaque venait de Russie

Photo Tan-Kian Khoon / Fotolia


MOSCOU - La puissante cyberattaque la semaine dernière contre une entreprise européenne recensant les spams, Spamhaus, venait de Russie,et non pas de la Chine, a affirmé lundi le responsable d'une société de sécuritéinternet au quotidien russe Vedomosti.
Des militants russes étaient derrière l'attaque menée par des pirates qui ont visé et attaqué Spamhaus, un groupe basé à Genève qui publie des «listes noires» d'adresses de pourriels dont se servent les messageries pour filtrer les courriels indésirables, a déclaré Alexandre Liamine directeur général du siteHighloadlab.com, basé en Russie.


Les organisateurs de l'attaque ,des Russes probablement,ont infecté les serveurs des noms de domaines (DNS) sur le web, surchargeant le réseau mondial.Mais est-ce que ce ne serait pas un test pour une attaque plus grosse,pour compromettre le plantage de tous les serveurs de DNS en attaquant les 13 gros backbones racine du web ? Ce n'est qu'un fantasme de Pirate ,probablement!

Selon Spamhaus, l'attaque avait commencé après que le groupe a placé sur sa liste noire un site internet néerlandais, Cyberbunker.
Spamhaus a mis clairement en cause Cyberbunker, qui aurait pu être aidé par des pirates informatiques issus de pays d'Europe de l'Est, selon des médias.
Dans une interview au site public d'information russe RT, une personne se présentant comme le porte-parole des pirates, Sven Olaf Kamphuis, a expliqué que Cyberbunker n'était qu'une des sociétés ayant participé à l'attaque en réplique aux tactiques «d'intimidation» de Spamhaus.
Ah ?................. Spamhaus intimide,les spammers,.....les hackers, qui font de l'argent avec le Spam ?$?

«Spamhaus a emmerdé des tas de gens ces dernières années en faisant du chantage aux fournisseurs d'accès à internet et aux opérateurs pour qu'ils déconnectent des clients(des hackers ?.........des newbies,......) sans la moindre décision de justice ou sans le moindre processus juridique», a-t-il notamment déclaré.


Nota:
Même si, en théorie, Internet peut fonctionner avec un seul serveur racine, son rendement ralentirait si plus de quatre serveurs racine étaient en panne pour une durée prolongée. En août 2000, quatre des 13 serveurs ont connu une brève panne à cause d'un problème technique. Cependant, la plus sérieuse panne jamais connue est survenue en juillet 1997, après que des experts eurent transféré une liste de répertoire tronquée à sept serveurs racine et mirent quatre heures à régler le problème. À ce moment, la plus grande partie de la circulation sur Internet avait été interrompue.on dit que ça ralenti de 6% le traffique des DNS. En 2008,Verisign en entretiens 2 serveurs racine. Le serveur racine F par exemple en 2008,répondait a 270 million de demande DNS par jour.Il y a 10 serveurs racines appartenant aux USA seulement et les autres ailleurs:comme the "G" server owned by the U.S. Department of Defense Network Information Center in Vienna, Va.; the "H" server at the U.S. Army Research Lab in Aberdeen, Md.; the "I" server, located in Stockholm; the "K" server, located in London; and the "M" server, located in Tokyo. C,est vraiment une grosse machine internet.Si l'attaque est passée relativement inaperçue, c'est en grande partie dû au fait que plusieurs fournisseurs Internet et entreprises entreposent, de façon systématique, une grande quantité d'information dans des caches. «Internet a été conçu pour pouvoir faire face à des pannes, mais quand vous éliminez les serveurs racine, vous ne savez pas combien de temps vous pourrez fonctionner sans eux» souligne Alan Paller, directeur de la recherche de l'Institut SANS, une organisation de sécurité de Bethesda, au Maryland. 

Et certains disent que le problême est post-backbone:

« Les DDOS et plus spécifiquement les DrDOS sont des attaques par amplification de trafic, ou pour faire simple, les attaquants utilisent des serveurs et des réseaux mal configurés comme des amplificateurs » précise ainsi NBS System.
Pour le cabinet de sécurité, il y a donc deux causes : le laxisme d’administrateurs dans la configuration des serveurs DNS. Selon Sophos, ce sont plus de 20 millions de ces serveurs qui ne sont pas correctement configurés et qui notamment vont répondre à des requêtes provenant d’adresses n’appartenant pas à leur réseau. C’est pourquoi il est recommandé de désactiver la récursivité sur un serveur DNS.
Mais pour NBS System, la responsabilité de certains acteurs des réseaux est également engagée : les opérateurs de niveau 2. « De très nombreux opérateurs (dont les plus grands Français, Allemands et US) ne filtrent pas les paquets transitant par leurs réseaux et acheminent des paquets qu'ils savent illégitimes » dénonce le cabinet de sécurité.
Des opérateurs de niveau 2 qui n'en feraient pas assez 
Et la motivation serait uniquement financière. « Les opérateurs de niveau 2 se facturent le trafic envoyés entres eux. En résumé, plus ils envoient de trafic, plus ils facturent le voisin qui reçoit ce trafic. C'est donc une raison très monétaire qui les motive plus qu'une très théorique impossibilité technique derrière laquelle ils se cachent pour ne pas résoudre le problème » enfonce NBS System.