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jeudi 12 juillet 2012

L’Agence de recouvrement F.D.R. écope d’une amende de 18 800 $


Devant une augmentation importante des plaintes contre des agences de recouvrement, l’Office de la protection du consommateur est passé en quatrième vitesse pour mettre de l’ordre dans cette industrie controversée. Déjà, l’une d’elles a reçu une amende salée de 18 800 $.
Les demandes d’informations sur les agences de recouvrement reçues à l’Office de la protection du consommateur (OPC) sont passées de 5 012 à 5 487 en un an, une hausse de près de 10 %.
Parmi ces demandes, 241 ont conduit à des plaintes en 2011-2012, comparativement à 206 l’année financière précédente.
« Tu lâches les agences de recouvrement une couple d’années et les plaintes recommencent à s’accumuler. Il faut constamment les avoir à l’œil », dit Réal Coallier, directeur régional à l’OPC.
« Il y a encore beaucoup d’abus et il y a peu de chance que la situation s’améliore rapidement », concluait en 2008 un rapport d’Option consommateur.
À ceux qui disent qu’après tout les endettés n’ont qu’à payer s’ils veulent éviter les problèmes, M. Coallier répond que « ce n’est pas parce qu’un consommateur est en retard dans ses paiements qu’il n’a pas de droits. »
Harcèlement
L’Office a intensifié ses actions depuis le début de l’année en imposant des amendes à quatre agences montréalaises.
La plus élevée a été décernée à l’Agence de recouvrement F.D.R. en mai dernier. L’entreprise a été condamnée à verser 18 800 $ pour avoir harcelé et menacé des clients, en avoir appelé certains à leur lieu de travail et avoir téléphoné à certains qui avaient exigé que les communications se fassent par écrit.
De son côté, l’Agence de recouvrement IQOR Canada, située rue Jean-Talon, a écopé d’une amende de 12 510 $, entre autres pour avoir continué de contacter un consommateur qui l’avait avisé qu’il n’était pas le débiteur visé par la réclamation.
AllianceOne, sur le boulevard Pie-IX, a quant à elle dû payer 3 780 $, entre autres pour avoir menacé le débiteur de poursuites s’il ne payait pas.
Ces façons de faire contreviennent toutes à un article de la Loi sur le recouvrement de certaines créances, qui encadre le travail de ces agences.
Travail difficile
« On est parfois bien rapide à lancer la pierre aux agents de recouvrement, a témoigné au Journal un agent sous le couvert de l’anonymat. Tu te fais envoyer ch... à tous les jours. Et tu dois continuer d’essayer de collecter le monde la semaine avant Noël. Je peux comprendre que certains pètent une coche une fois de temps en temps. »
La plupart des agents travaillent au salaire minimum, mais obtiennent des commissions après avoir recouvré 50 000 $ dans leur mois.

Victime d’une agence
Quand l’agence de recouvrement contacte Éric, il leur offre aussitôt de rembourser 100 $ par mois jusqu’à l’expiration de sa dette d’environ 5 600 $.
« Ce n’est pas comme si j’étais un Bougon qui essayait de fourrer le système », dit-il.
Le citoyen de l’Estrie, qui refuse d’être identifié pour ne pas étaler ses problèmes financiers sur la place publique, avait cessé de payer les mensualités de 268 $ de sa Chevrolet Cobalt en raison de problèmes personnels.
« La première agente a accepté ma proposition de remboursement, puis un deuxième m’a rappelé pour me dire que ça ne tenait plus. »
Une troisième prend ensuite le relais de façon plus agressive, l’enjoignant à emprunter l’argent à des amis ou demander une avance de fonds sur sa carte de crédit, allant jusqu’à le menacer de lui saisir son salaire.
Une quinzaine d’appels en trois semaines qu’il n’est pas près d’oublier. « Le dernier coup de fil a été fait le 22 décembre. Je leur ai demandé s’ils pouvaient me donner un break pendant les Fêtes. »
En janvier, on s’est entendu sur un remboursement réduit de 3 700 $, mais payé en un seul versement. Mais Éric a encore ses démêlées dans la gorge et songe sérieusement à intenter un recours en justice contre l’agence.


cinq pratiques interdites par la loi
appeler au bureau ou des proches
À moins qu’il n’ait pas de numéro personnel ou l’adresse du débiteur. Et l’agence de recouvrement ne doit appeler qu’une seule fois.
Appeler à des moments indus
Les appels doivent obligatoirement être faits entre 8 h et 20 h, du lundi au samedi, et pas les jours fériés.
Refuser de cesser d’appeler
Il est possible d’exiger que les communications se fassent uniquement par écrit. Cette demande doit toutefois être faite... par écrit.
exiger un supplément
Le débiteur n’a pas à payer davantage que ce qu’il doit. Les suppléments pour délai de paiement ou frais de recouvrement sont interdits.
menacer
« Je vais lâcher un coup de fil à ton boss » ou « Si tu vends pas ton auto pour payer ta dette, je t’envoie en cour », sont des arguments que les pires agents vont utiliser pour tenter d’accélérer le remboursement. 
 
 

mardi 10 juillet 2012

Un étudiant de McGill est sans-abris

Étudiant et sans-abri
université | mcgill

Étudiant et sans-abri

Il a 23 ans, étudie à McGill et habite dans la rue

Photo le journal de montréal, anabel cossette civitella
Originaire de Montréal, Shane Dussault porte un pyjama de soie déniché dans une vente de garage dans Westmount. Il se promène nu-pied parce que « ce ne sont que d’autres souliers ». Il pose devant l’université McGill, son lieu d’étude depuis un an.
Un étudiant en philosophie à McGill passe sa première année d'universitaire dans la rue.
L’hiver, Shane dort sur un matelas gonflable sur le campus de McGill. L’été, il installe son hamac dans un recoin isolé du Mont-Royal. Tous les jours, il plie bagage et transporte sa maison et ses quelques effets personnels dans son sac à dos.
Sur la montagne, il n’a jamais eu de problèmes. À McGill, son statut de sans-abri entre dans une zone grise. Il est toléré, et même ami avec les gardiens de sécurité, mais sa situation est toujours un peu précaire.
Ses comportements hors norme, comme se promener sans soulier, se brosser les dents dans le hall de la bibliothèque ou porter des vêtements plus adaptés à la température qu’à la mode, font qu’il attire parfois l’attention des élèves.
« Il nous arrive de l’avertir, mais il est toujours très collaboratif », commente un gardien.
Une économie d’argent
Avec 5 000 dollars par année venus de l’aide financière aux études, Shane Dussault vit et étudie sans problème : « J’ai compris que je n’avais pas besoin de biens de luxe pour vivre. Je ne considère pas mon mode de vie extraordinaire. »
Il raconte qu’avant cette année, il ne dormait déjà pas beaucoup chez lui. Fils d’une mère alcoolique et d’un père peu présent, Shane s’est inspiré d’un sans-abri rencontré sur la rue pour établir son nouveau mode de vie. En commençant l’université, vivre sans domicile fixe lui est apparu comme la meilleure façon d’économiser et de rester libre de son portefeuille.
Shane met sur le compte de l’hiver le fait que son mode de vie détonne. Selon lui, il suffit d’avoir le bon équipement pour s’adapter à un mode de vie sans domicile fixe. Il constate que les sans-abri sont souvent étiquetés comme des alcooliques ou des gens malheureux, mais que ce qu’il vit n’a rien à voir.
Relations sociales
L’université est un lieu propice où habiter, mais il est facile de rester isolé lorsqu’on ne fait qu’étudier. Pourtant, sa routine plaît bien à Shane qui assure qu’il consacre tout de même du temps à ses amis, pour cuisiner par exemple.
Au-delà de ses collègues de classe, Shane s’est fait connaître par sa présence assidue à la bibliothèque et… sur les réseaux sociaux. Les commentaires sont unanimes : il détonne, mais il est apprécié pour sa bonne humeur et ses idées.
« Ce qui m’inspire le plus, c’est son courage de défier ce qui est habituellement dicté par la société », témoigne Monika, une étudiante qui le connaît par le biais de son blogue.
« Il a beaucoup de volonté. Il est assidu, il ne lâche pas, c’est impressionnant de le voir ! », commente un gardien de sécurité sur le campus.


REF.:

lundi 9 juillet 2012

Guruisme No 8, Oui!

Guruisme No 8, Oui!


Réveillez-vous !




REF.:google est ton n'ami,

L'Avenir est au cube ?

A quand les verres carrés,les cie perdraient moins de place de rangement et aucun verre ne tomberaient ou se casseraient !$!Tim Horton devrait donner le ton.Pourquoi,............parce-qu'un verre de café c'est chaud en taaaaa!Alors pensez-s'y ,quand tu prend ta première gorgée tu la prendrait,devinez,.............dans le coin strrrie !


REF.: FallaitYpensezPointCom,

Le BiXi-Chien ?

A quand le Bixi-Chien,si la ville de Montrèal,taxe les chiens avec des licences(sauf l'ile-perrot)et en veut pas plus que 3 par maison.Laisser un chien dans une auto c'est 150$ au moins, d'amende.C'est pire que laisser un bébé dans une auto pendant l'été,vous devenez un criminel ! On veut pas d'usine a chiot ,ni de merde sur les trottoirs;tout le monde a le complexe du pouce brun !
Pas besoin de police,les ti-culs a cellulaire s'improvise agent secret pour vous faire chiiiiiiiiiiiii$.
Les magasins n'en veulent pas,alors un Bixi s'impose ?





REF.: Va s'y GéraldPointCom,

mercredi 4 juillet 2012

Des rues inondables a Mouriale ;-)

Wow la pluie Pseudo-Tropicale Montréalaise du  29 Mai 2012 avec 13 pouces d'eau et la pluie diluvienne du 4 Juillet 2012 ,avec 7 pouces d'eau,a fait des mini inondations assez problématique a Montréal.Plusieurs sous-sols et locataire des derniers étages ont eut des dégâts d'eau cette été , en moins de 2 mois ,plusieurs secteurs devienne des rues inondables,les cie d'assurance sont dans l'enbarras ou plutôt (act of God)les assurés n'ont plus d'autre recours que de déménager.Car la ville de Montréal n'aura pas complété ses travaux de réseau tampon de trop plein d'eau de ruissellement avant des mèches et des lunes !

il est temps de mentionner ces zones sinistrées :
Les rues inondables de Montréal sont dans les secteurs des collecteurs d'eau de ruissellement comme la zone des rues Lanouette et Hickson entre autres.
La zone s'étend du 3901 Lanouette jusqu'a la rue Hickson en perpendiculaire, (zone industriel)qui est inondé du 1000 a 1100 Hickson.

Le 29 Mai c'était pas beau a Mtl. Au moins 98 logements de la métropole ont été inondés mardi soir, rapporte la Ville de Montréal. D'ailleurs, déjà 30 personnes ont demandé à être dédommagées. D'autres réclamations suivront vraisemblablement, car les gens ont 15 jours pour présenter une demande.À l'Université du Québec à Montréal (UQAM), six pavillons étaient toujours fermés mercredi en lien avec des problèmes électriques et d'autres problèmes dus à l'accumulation d'eau. Une équipe d'Hydro-Québec a été déployée sur les lieux.Le corridor menant de la Place des Arts au Complexe Desjardins, qui s'est transformé en «rivière», était fonctionnel mardi, selon la conseillère aux relations publiques de la Place des Arts, Astrid Brochu.Des ordinateurs ont été endommagés au Collège d'informatique et d'administration Verdun-LaSalle où les cours ont été suspendus.Seize écoles de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeois (CSMB) ont été touchées à divers degrés par les précipitations. De 18 à 20 cm d'eau se sont accumulés dans certains établissements.

 - La rue Bannantyne a Verdun.Karina Bertrand, qui vit dans la rue Bannantyne, à Verdun, a vécu la même situation. «Tout était sec, et en moins de deux minutes, il y avait deux pouces d'eau sur le plancher. C'est sorti par les toilettes. J'entendais de l'eau couler dans les murs. Elle descendait des appartements d'en haut, qui ont eu la même chose. Ç'a fait des bulles dans mon plafond. La rue Bannantyne s'est remplie d'eau, les autos faisaient des vagues en y circulant», raconte Mme Bertrand, qui habite au rez-de-chaussée. «Je n'ai plus d'électricité et suis dans le noir depuis 19h. Ça fait 10 ans que je suis ici et je n'ai jamais vu ça. Heureusement, je n'ai pas trop de dommages, j'ai eu le temps de débrancher les appareils et de mettre en hauteur tout ce que je pouvais.»
- Même la rue blanchet a Longeuil.

Si j'étais intelligent je ne le dirais au prochain con qui va y aménagé sa petite famille.Pensez-s,y !$$$!









REF.: GrosBonSensPointcom,Va s'y  GéraldPointCom,

samedi 30 juin 2012

Deux Montréalais clone des cartes de crédits d'Américains

Trois ans de pénitencier à New York
Photo d’archives, new york daily news
Nikolai Ivanov et Dimitar Stamatov se retrouvent dans un pénitencier de l’État de New York pour avoir arnaqué 1 500 utilisateurs de guichets automatiques.
Deux Montréalais viennent d’être condamnés à purger trois ans de pénitencier, à New York, pour avoir escroqué 1 500 Américains d’un montant de plus de 285 000 $ après avoir cloné leur carte de débit.
Nikolai Ivanov et Dimitar Stamatov, des Québécois d’origine bulgare, ont ainsi écopé de sentences « parmi les plus sévères pour ce type de crime », a fait savoir le procureur en chef de Manhattan, Me Cyrus Vance Jr.
Ivanov, un mécanicien de 31 ans et Stamatov, un chauffeur de limousine de 29 ans, avaient plaidé coupable à des accusations de fraude, de vol et de possession d’appareils servant à la contrefaçon, plus tôt ce mois-ci, devant la Cour suprême de Manhattan.
Les deux Montréalais étaient déjà en détention provisoire depuis un an. Le frère cadet du premier, Jordan Ivanov, 24 ans, est toujours recherché par les autorités new-yorkaises pour sa participation alléguée dans cette combine.
Guichets trafiqués
Pendant cinq jours, en janvier 2011, les fautifs ont trafiqué quatre guichets automatiques aux abords de Union Square. Ils y ont inséré des lecteurs (‘skimmers’) permettant d’enregistrer les données des cartes de débit utilisées, ainsi que des caméras miniatures pour filmer les utilisateurs en train de composer leur NIP.
En combinant ces informations, les cartes de 1490 victimes ont pu être clonées, puis utilisées pour effectuer des retraits frauduleux d’argent liquide et des achats dans d’autres États américains, ainsi qu’au Québec et ailleurs au Canada.
L’argent en Bulgarie
Les Québécois sont retournés à New York en mai de la même année afin de répéter leur stratagème. Ils se sont fait épingler par les policiers du NYPD alors qu’ils récupéraient leur matériel de contrefaçon, dans un guichet de l’avenue Broadway.
La police avait préalablement été alertée par le service de sécurité de la banque Chase Manhattan, qui est parvenu à déceler la présence d’équipements suspects sur son guichet.
D’après l’enquête policière, « la majeure partie des sommes d’argent dérobées avait été transférée dans le pays natal des accusés », a précisé le bureau de Me Cyrus Vance Jr, dans un communiqué.

  • Après leur inculpation, les fraudeurs s’étaient attiré les foudres de Me Vance — le procureur qui a fait arrêter Dominique Strauss-Kahn pour abus sexuels sur une employée d’hôtel, au printemps 2011. Le numéro un du bureau de la poursuite dans la « Grosse Pomme » a dénoncé publiquement ces Québécois « partis du Canada afin d’arnaquer des centaines de résidents et de visiteurs à New York ».

REF.: