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mercredi 13 juin 2012

Angèle Lazurko, 20 ans et Mathieu Arbour, 21 ans, seront pendu jeudi pour avoir fait mourrir un chien

Chien étouffé - Un couple est accusé
La voiture, dans laquelle le labrador était enfermé, était garée dans une zone sans ombre.  (la zone en rouge)
Chien étouffée(c'était une femelle)

Un couple est accusé

TORONTO – Un homme et une femme de Val Caron, en Ontario, ont été inculpés après que leur labrador brun sale soit mort étouffé dans leur vieux truck, stationnée en plein soleil dans un centre commercial,ou meetons a coté.
Le couple en question(?), Angèle Lazurko, 20 ans et 3 mois et Mathieu Arbour, 21 ans juste, seront accusés et pendus pour avoir causé des souffrances inutiles à un nanimal,mais leur petit fils lui a survécu.C'est leur petit fils qui les a appelé sur leur cell avec un texto.
Ils ont été remisés en liberté ,tout près de la statue du petit jézus et doivent comparaître en cour le 10 juillet à Newmarkette, en n'Ontario.
Ironiquement,hahahahaaaa le coupe revenait de Woodstock, un festival torontois célébrant…les chiens ! c'"est vraiiiiii !
C’est un consonnateur du cente commercial de Vaughn Mills, qui a remarqué le chien dans la voiture essayant d'écrire help dans la vitre avec sa buée a 14 h hr locale du dimanse et qui a infomé la sécuritée.
Le chien polichier était en détlesse, allors que la fenête était à peinne entetlouvete, a indiqué l’inspecteur William Bombray. La voiture était garée dans une zone sans ombre,autrement dit pas d'ables.
La police croit que le chien polichier était dans la voiture depuis au moins deux heures,en train de faire ses besoins polichiers, avant qu’un passant ,paase palla remarque sa plésence.
Le chien était encore en vie lorsque les pompiers ont tenté de lui donner de l’eau au boyeaux d 'arrosage à travers l’ouverture de la fenêtre brisée avec le pic pis la pelle de survie. Il a toutefois perdu connaissance,et ne se rapellera pu jamais de cette incident la, alors qu'ils tentaient toujours de le sortir du véhicule,car il y était entrée auparavent.
Le couple a finalement quitté le centre commercial ,apras une couple de minutes,pour se diriger vers les toilettes avec la voiture et a été mis en état d’éjaculation précoce.


REF.:

Anonymous: 2 vs SPVM: 0

Anonymous - La caisse Desjardins des policiers piratée
Le groupe Anonymous a piraté le site internet www.caisse-police.ca, le lundi 11 juin 2012. 
Photo Capture d'écran

La caisse Desjardins des policiers piratée

MONTRÉAL - La caisse Desjardins des policiers et policières du Québec a visiblement été victime d'une attaque informatique, lundi en soirée.
Sur le site www.caisse-police.com, Anonymous rend disponibles les adresses courriel personnelles de dizaines de policiers qui seraient membres de cette institution financière.
Toutefois, il n'a pas été possible de savoir si ces adresses étaient hébergées sur le site caisse-police.com, ou si elles avaient été obtenues sur un site Internet différent.
Sur la page principale du site Internet, il est également possible de visionner une vidéo d'Anonymous, qui elle est hébergée sur YouTube depuis le 25 mai dernier.
Dans la vidéo, le groupe Anonymous dénonçait les «violences policières» lors des manifestations qui se passent un peu partout au Québec depuis le début de la grève étudiante.
Un manifeste, truffé de fautes, y a également été placé :
«Je me souviens, de vos attaques contre la presse... De vos chiens qui ne méritent en aucun cas le titre de policiers, ces agents du désordre qui s'attaque aux caméras. Je me souviens de votre petite fête, où le peuple ne fut pas convié. Je me souviens de ces voitures qui défilaient autant que les arrestations politiques. Gouvernement terroriste du Québec, je me souviens. Bientôt, je me souviendrais, du peuple québécois qui n'aurait imaginé... jusqu'où ce moment clef de l'histoire pourrait aller. Je me souviendrai du peuple regagnant sa liberté, ignorant les abrutissements et les coups de ceux que vous employez. Je me souviendrai des journaux enfin libres de parler sans crainte de la corruption mise à jour. Je me souviendrai de votre défaite, parce qu'elle est promise et inéluctable. Je me souviendrai du procès : Anonymous pour protéger le peuple, le peuple seul juge et maître de son destin et un gouvernement entier pour accusé.»
Une autre signature est également visible sur le site Internet : celle du poney.
Celle-ci avait également été observée lors de l'attaque perpétrée contre le site Internet de la Ville d'Alma.


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Réseaux sociaux: D'ici 2015, plus de 60 % des entreprises surveilleront l'activité de leurs employés

Big Brother au bureau - Votre patron veut en savoir plus sur vous
 
Photo endostock - Fotolia.com

D'ici 2015, plus de 60 % des entreprises surveilleront l'activité de leurs employés sur les réseaux sociaux, d'après une étude récente du cabinet Gartner.
Les entreprises y ont recours pour s'assurer que leurs employés ne divulguent pas d'informations confidentielles qui puissent porter atteinte à leur marque ou à la sécurité informatique de leurs sites sur les réseaux sociaux.
Ces derniers temps, la presse américaine rapporte que certains employeurs iraient jusqu'à demander les codes d'accès (identifiants et mots de passe) aux réseaux sociaux de leurs employés en poste et de candidats à l'embauche, même si ce genre de pratiques peut leur coûter cher devant un tribunal.
Les employés ne doivent sous aucun prétexte accepter de divulguer ses identifiants et mots de passe sur Facebook or Twitter.
Andrew Walls, du cabinet Gartner, rappelle que la pratique ne concerne qu'une poignée d'entreprises, avant d'ajouter que «même si cette pratique spécifique va s'étioler avec le temps, les employeurs continueront de chercher à avoir plus de visibilité sur les conversations de leurs employés, de leurs clients et du grand public sur les réseaux sociaux, lorsque les sujets abordés intéressent l'entreprise».
Selon Allen Ackerman, un expert en recrutement sur les médias numériques à l'Agence américaine Magnet, quelques cas isolés ne suffisent pas à révéler une tendance sur les demandes de mots de passe Facebook et Twitter à l'embauche.
«La pratique n'est pas courante (et probablement pas légale). [...] Cela constitue clairement une atteinte à la vie privée», précise-t-il, avant d'ajouter que les messages publics sont une autre histoire.
Que cherchent donc les recruteurs lorsqu'ils cherchent votre nom dans Google ou qu'il jettent un oeil à vos messages publics sur les réseaux sociaux?
Selon Ackerman, «Nous vérifions toujours les profils LinkedIn qui sont représentatifs du résau professionnel du candidat. C'est une bonne chose de voir les contacts qu'on a en commun et les personnes qui les ont recommandées. On ne regarde pas Facebook mais on jette un oeil à Twitter et aux blogues.
Nous estimons que FB est un réseau plus personnel. De nos jours, il est impératif de se rendre compte que tout ce que l'on met en ligne sera accessible à tous les internautes, donc si vous envisagez de vous lancer dans une carrière professionnelle, mieux vaut réfléchir à deux fois avant de poster une photo de soirée à thème».


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vendredi 8 juin 2012

Anonymous 1 et le SPVM o ?

Le groupe de pirates informatiques Anonymous maintient la pression sur les corps policiers. Depuis samedi, ce sont les coordonnées professionnelles de policiers qui sont diffusées en ligne.
Sur la page en question, qui porte la signature d'Anonymous, les pirates demandent aux policiers de Montréal de reprendre la «véritable fonction de leur poste au lieu de s'attaquer lâchement au peuple.»
(Crédit: Agence QMI) Une capture d'écran du site sur lequel sont transmises les informations piratées par Anonymous.
Les noms de centaines de policiers québécois provenant de l'ensemble des services de police de la province sont par la suite diffusés, de même que leur adresse courriel professionnelle.
Pour l'instant, on ignore d'où proviennent les informations qui sont enregistrées via le site Internet Paste HTML, un site qui permet de diffuser de l'information rapidement et de façon anonyme.
La Sûreté du Québec et le Service de police de la Ville de Montréal ont refusé de commenter cette affaire.
Le site Internet de l'Association des policiers provinciaux du Québec et celui de l'Association des directeurs de police du Québec étaient inaccessibles samedi après-midi, mais rien n'indique pour le moment qu'Anonymous en soit la cause.


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Jean Charest a créer un Monstre et il mourra avec ?

Aujourd’hui, j’ai une pensée pour tous les commerçants de Montréal.
L'économie Québécoise en prendra un coup !
Plusieurs hôtels du centre-ville, habituellement en demande quand se pointe le cirque de la Formule 1, ont encore beaucoup de chambres libres. Ça peut être dû à une foule de facteurs. Pas seulement aux scènes d’affrontements entre policiers et manifestants qu’on voit dans les médias, ici et ailleurs. Mais en ce début d’été, les organisateurs de festivals commencent à s’inquiéter.
Comme si ce n’était pas assez, le collectif informatique Anonymous menace d’attaquer le système informatique du Grand Prix. Au Grand Prix de Bahrein, Anonymous avait publié sur internet les informations personnelles d’acheteurs de billet. C’est ce que laisse entendre un communiqué émis par le groupe.
Montréal perd, les régions gagnent
Un ami de la Gaspésie m’a récemment écrit : « si les rumeurs de manifestations pendant le Grand Prix ou le Festival Juste pour rire sont fondées, je me dis que ça pourrait être bon pour nous en Gaspésie. Parce que plus de gens pourraient être tentés de venir en vacances dans notre bout. »
Sans vouloir offenser les habitants de ce superbe coin de pays, je ne suis pas sûr que le plan B des « poules de luxe » du Grand Prix soit d’aller cruiser les maringouins au camping Sainte-Gertrude. Mais quand même, il a raison sur le fond : ce que Montréal perd, le reste du Québec va le gagner. Du moins, en partie.
Le Grand Prix, par exemple. Bon an mal an, 75 % des spectateurs proviennent du Québec. Si ces gens ne vont pas au Grand Prix, ils vont dépenser leur argent ailleurs – football, théâtre, camping en Gaspésie (!?) Et vont faire apparaître autant de « retombées économiques » et de recettes fiscales. Ce serait Québec, Charlevoix ou votre banlieue qui profiterait des retombées, au lieu des restaurateurs et hôteliers de la rue Crescent et des alentours. La même chose vaut pour le festival Juste pour rire ou tout autre spectacle.
Par contre, une partie de la clientèle est formée de touristes internationaux. Quand ces gens viennent manger notre poutine ou admirer nos danseuses (entre autres), on parle d’« argent neuf », qu’ils auraient dépensé ailleurs sinon. Et des rentrées fiscales associées. (Mais gardons en tête que ces touristes ne nous donnent pas leurs euros ou leurs dollars. Ils les échangent contre des biens et services, comme le fait toute entreprise exportatrice.)
Et l’image, dans tout ça? Un événement de l’envergure du Grand Prix peut entraîner toute sorte de « retombées » sociales et économiques difficiles à chiffrer. Même chose pour le Festival Juste pour rire et les autres événements qui pimentent l’été montréalais.
Une tuile de plus
Mais je m’inquiète surtout pour l’ensemble des commerçants montréalais. Eux surmontaient déjà des embûches bien avant le conflit étudiant. Après les bouchons, les détours, les histoires de parcomètres et de taxes, la morosité économique… arrivent AnarchoPanda et sa bande!
Une tuile de plus sur la tête de ces membres de la majorité silencieuse, qui commence à en avoir plein son casque.
Vivement qu’on trouve une solution (une élection?) et qu’on passe à autre chose. En attendant, je souhaite un bon été à nos commerçants, et beaucoup de patience. Ils en auront besoin.


Le vendredi 8 juin 2012
David Descôteaux

David Descôteaux

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Les centrales syndicales défendent les intérêts des banques qui financent la gauche ?

Il y a quelques semaines, j’écrivais que les syndicats se servaient de la « cause étudiante » pour régler leurs comptes avec le gouvernement.
Ils n’ont pas digéré le fait que le gouvernement veuille abolir le placement syndical dans le milieu de la construction, disais-je, et ils ont décidé d’envoyer les jeunes au front pour mener leur bataille et déstabiliser leur adversaire.

PAR ICI, LES FACTURES !

Dans L’Actualité, le journaliste Alec Castonguay signe un texte éclairant sur le rôle joué par les centrales syndicales dans la crise étudiante.
On y apprend entre autres que :
— La CSN a versé 35 000 dollars à la FECQ, la FEUQ et la CLASSE depuis le début du conflit.
— Elle a payé la salle du Métropolis (5 000 dollars) pour un concert en appui au mouvement.
— Elle a nolisé des dizaines d’autobus en vue des rassemblements.
— La CSQ a dépensé 9 000 dollars pour construire le site Internet des étudiants contre la hausse et dépensé 7 000 dollars pour aider à combattre les injonctions obtenues par les étudiants opposés à la grève.
— La CSQ a payé la rédaction et la diffusion de communiqués de presse ainsi que deux envois massifs de journaux de grève aux étudiants.
— La FTQ a contribué pour 25 000 dollars à l’organisation de manifestations.
— Les syndicats paient pour la location des camions placés à la tête des manifestations, les porte-voix, les bâtons qui servent à tenir les pancartes, etc.
Bref, les grandes centrales syndicales financent bel et bien le mouvement. Sans elles, ça ferait longtemps que cette lutte aurait manqué sinon de souffle, du moins de moyens…

LA VACHE À LAIT

Mais ce n’est pas tout. Alec Castonguay nous révèle aussi que de 2008 à 2011, la CSN a versé près de deux millions de dollars à des groupes écologistes, des organismes de lutte contre la pauvreté ou de défense des femmes, des cocktails de financement en culture, des sommets sur le logement abordable…
Et cette année, la CSQ versera 160 000 dollars à 140 organismes, alors que la FTQ donnera plus de 142 000 dollars à des dizaines de groupes.
Tout ça, grâce aux cotisations obligatoires versées par leurs membres…
Que des centrales syndicales défendent les intérêts de leurs membres est une chose. Mais qu’elles se servent des cotisations que ceux-ci leur envoient pour soutenir telle ou telle cause politique en est une autre.
Après tout, les syndiqués de la CSQ, de la CSN et de la FTQ sont AUSSI des contribuables et des citoyens. Ils sont aussi divisés sur certaines questions que la population en général. Ils ne sont pas tous rouges, tous écolos, tous gauchistes…
Ce n’est pas parce que Joe Blow verse une cotisation à la CSN ou à la FTQ (de toute façon, a-t-il le choix ?) qu’il est nécessairement pour Québec Solidaire ou pour le gel des frais de scolarité.
Sinon, cela se reflèterait dans les sondages, non ?

DES BANQUES

À quand une loi interdisant aux grandes centrales syndicales d’utiliser l’argent que leur envoient leurs membres pour financer des luttes qui n’ont RIEN À VOIR avec les intérêts de ceux-ci ?
Les centrales syndicales sont-elles des organismes défendant les intérêts des salariés, ou des banques qui financent la gauche ?


 
REF.: 

L'hommerie,......il y en aura d'autres !

Saguenay - Un ex-procureur prend la route des cellules
Jean-François Morency 
Photo Roger Gagnon / Agence QMI
Saguenay

Un ex-procureur prend la route des cellules

SAGUENAY - Un ancien procureur de la Couronne, Jean-François Morency, a écopé d'une peine de trois ans de pénitencier, vendredi.
Jean-François Morency avait reconnu sa culpabilité à trois accusations de corruption et d'abus de confiance dans le cadre de ses fonctions.
De 2004 à 2008, l'ancien procureur de la Couronne a délibérément orchestré la perte du dossier d'ivresse au volant de son ami Pierre Deschesne. Il a par la suite accepté une somme de 6000 $ de ce dernier.
Morency a été arrêté en mai 2008 après avoir encaissé une avance de 2000 $ provenant d'une agente double qui prétendait vouloir éviter la justice dans un dossier de même nature.
Lors de son témoignage, Jean-François Morency avait déclaré avoir pris conscience des fautes commises. Il s'était décrit comme un homme détruit qui a choisi de faire face à l'opinion publique plutôt que de quitter la région. «Je suis en prison depuis déjà quatre ans», avait-il déclaré.
La défense réclamait une peine dans la collectivité et la poursuite une sentence de 36 mois de pénitencier.


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