Rechercher sur ce blogue

lundi 14 mai 2012

Big Brothers sur Google ?

Google et les services secrets

Google et les services secrets - Leur relation restera confidentielleLeur relation restera confidentielle


WASHINGTON - L'agence de renseignement ultra-secrète américaine NSA n'a pas l'obligation de révéler la nature de ses liens avec Google, conclus pour protéger la firme californienne de cyberattaques, a confirmé vendredi la justice américaine.Tout ça pour lutter contre les pirates Russes et Chinois !
La cour d'appel de Washington a jugé que les statuts spéciaux de l'Agence de sécurité nationale (NSA) lui permettaient de garder secret tout arrangement avec le géant de l'internet.
«Toute information se rapportant à la relation entre Google et la NSA révèlerait des informations protégées sur la NSA», a tranché la juge Janice Rogers Brown.
Cette décision répond à une requête d'une association qui défend la confidentialité des données privées sur internet. Le Centre d'information sur les données privées électroniques (EPIC) souhaitait que les accords entre Google et la NSA soient rendus publics, au nom du droit des citoyens de savoir s'ils sont surveillés.
Cette requête faisait suite à une série d'attaques informatiques dirigées contre des militants des droits de l'homme en Chine en janvier 2010. Ces militants avaient subi des attaques contre leur compte Gmail, la fonction courrier électronique de Google.
Le géant de Mountain View, pour protéger ses usagers, avait alors eu recours aux services de la NSA, selon le Washington Post et le Wall Street Journal. L'alliance des deux entités a pour but de repérer les faiblesses de Google face aux pirates et d'évaluer leur degré de sophistication, pour déterminer si les défenses mises en place sont adéquates.
Mais les défenseurs du respect de la vie privée craignent que cette union secrète expose les internautes à des violations de leurs données personnelles.


REF.:

dimanche 13 mai 2012

Le terrorisme économique ? Al Quaida fut le premier a l'utiliser !$!





Après Al Qaida et le scandale des 2 tours du world trade center visant l'économie Américaine,on l'a vu aussi dans la guerre du Golf ou Saddam met le feu a 1164 puits de pétrole,nous avons les jeunes du printemps Arabe,et la génération C de l'internet qui prend le flambeau d'occupons Wall Street qui déferla sur les pays du monde,qui eux s'en serve pour démontrer que le peuple a besoin d'un toit sur la tête et une job pour la survie de leurs famille.Et ça sa ce fera sans les Banques !

voici le poul du monde; ICI !
 « Contrairement à la "guerre économique", qui est menée par des États contre d'autres États, le "terrorisme économique" serait mené par des entités transnationales ou non-gouvernementales. Elle supposerait des actions variées, coordonnées et sophistiquées, ou des actes massifs de déstabilisation pour désorganiser la stabilité économique et financière d'un État, d'un groupe d'États ou d'une société (telle une société occidentale à l'économie de marché) pour des motifs idéologiques ou religieux. Ces actions, si menées, pourraient être violentes ou non. Elles pourraient avoir des effets immédiats ou infliger des effets psychologiques qui à leur tour peuvent avoir des conséquences économiques. »1

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc ? ou un Banquier ! 

REF.: 

Ce qu'il y a derrière les contestations Occupons Mtl,occupons wall Street,Printemps Arabe,contestation Prêts et Bourses ?

Derrière,.......................ça,c'est pas le chomage,.....................c'est plutot la répartition des richesses et les fraudes et escrocris financières dans des Paradis fiscaux !$!
La Faute ?,............................Les Banques et la Bourse a prêts toxiques avec le piège du crédit facile et surtout avec l'implantation des cartes de crédits ,que plusieurs ne veulent plus !  La France vient de devenir Socialiste et c'est tant mieux !

Les C ont tous compris et vous remplacerons bientôt , Messieurs !
Les quatre jeunes arrêtés relativement aux bombes fumigènes qui ont paralysé le métro de Montréal, jeudi, sont accusés de complot, méfaits et « incitation à craindre des activités terroristes », un chef d’accusation rare.
Ils ont brièvement comparu, hier midi, par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.
À la télévision d’une petite salle de comparution, Roxanne Belisle, 23 ans, Geneviève Vaillancourt, 25 ans, Vanessa L’Écuyer, 22 ans, et François Vivier-Gagnon, 22 ans, se tenaient côte à côte, l’air plutôt calme.
Ce dernier fait aussi face à une accusation de possession d’une arme prohibée, soit un couteau papillon.
L’avocat de la Couronne, Me Steeve Larivière, s’est opposé à leur libération conditionnelle en raison de la gravité des accusations qui pèsent contre eux, notamment celle reliée au terrorisme. Les quatre jeunes doivent revenir dans le box des accusés, lundi, pour savoir s’ils seront libres pour la suite des procédures judiciaires.
Après avoir vu leur photo faire le tour des médias, les quatre étudiants ont plié sous la pression et se sont livrés aux policiers, vendredi après-midi.
Perquisition
Ils ont été arrêtés en lien avec les bombes fumigènes lancées sur les rails à la station de métro Lionel-Groulx.
D’autres suspects sont toujours recherchés concernant les méfaits commis dans d’autres stations de métro en pleine heure de pointe, jeudi matin.
Lors du passage du Journal, hier après-midi, des policiers de l’identification judiciaire effectuaient une perquisition à l’appartement de Roxanne Belisle, dans l’arrondissement Verdun.
Aucun locataire n’était sur place, s’est contenté de dire un enquêteur.
Selon Daniel Lacoursière, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), deux autres appartements et un véhicule étaient toujours fouillés, en fin de journée.
Vendredi matin, les policiers avaient également visité le logement de Vanessa L’Écuyer et François Vivier-Gagnon, dans Hochelaga-Maisonneuve. Les policiers ont emporté quelques boîtes ainsi qu’un sac.
Une mère dévastée
Contactée par téléphone, hier, la mère de Vanessa L’Écuyer s’est dite complètement dévastée. « Ça ne va pas bien, a-t-elle dit. Ça fait deux jours que je ne dors pas. »
Les grands-parents de l’étudiante étaient également soufflés par cette nouvelle. « Je ne pensais pas qu’elle était allée jusque-là, lance la grand-mère de Vanessa. Elle a été influencée. »
Avec la collaboration de l’Agence QMI

REF.:

C'est la génération C (internet) qui conteste les prêts et Bourses

Les quatre jeunes arrêtés relativement aux bombes fumigènes qui ont paralysé le métro de Montréal, jeudi, sont accusés de complot, méfaits et « incitation à craindre des activités terroristes », un chef d’accusation rare.
Ils ont brièvement comparu, hier midi, par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.
À la télévision d’une petite salle de comparution, Roxanne Belisle, 23 ans, Geneviève Vaillancourt, 25 ans, Vanessa L’Écuyer, 22 ans, et François Vivier-Gagnon, 22 ans, se tenaient côte à côte, l’air plutôt calme.
Ce dernier fait aussi face à une accusation de possession d’une arme prohibée, soit un couteau papillon.
L’avocat de la Couronne, Me Steeve Larivière, s’est opposé à leur libération conditionnelle en raison de la gravité des accusations qui pèsent contre eux, notamment celle reliée au terrorisme. Les quatre jeunes doivent revenir dans le box des accusés, lundi, pour savoir s’ils seront libres pour la suite des procédures judiciaires.
Après avoir vu leur photo faire le tour des médias, les quatre étudiants ont plié sous la pression et se sont livrés aux policiers, vendredi après-midi.
Perquisition
Ils ont été arrêtés en lien avec les bombes fumigènes lancées sur les rails à la station de métro Lionel-Groulx.(les photos viennent du public ,car les photos des cacaméras du métro de Mtl étaient trop flou)
D’autres suspects sont toujours recherchés concernant les méfaits commis dans d’autres stations de métro en pleine heure de pointe, jeudi matin.
Lors du passage du Journal, hier après-midi, des policiers de l’identification judiciaire effectuaient une perquisition à l’appartement de Roxanne Belisle, dans l’arrondissement Verdun.
Aucun locataire n’était sur place, s’est contenté de dire un enquêteur.
Selon Daniel Lacoursière, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), deux autres appartements et un véhicule étaient toujours fouillés, en fin de journée.
Vendredi matin, les policiers avaient également visité le logement de Vanessa L’Écuyer et François Vivier-Gagnon, dans Hochelaga-Maisonneuve. Les policiers ont emporté quelques boîtes ainsi qu’un sac.
Une mère dévastée
Contactée par téléphone, hier, la mère de Vanessa L’Écuyer s’est dite complètement dévastée. « Ça ne va pas bien, a-t-elle dit. Ça fait deux jours que je ne dors pas. »
Les grands-parents de l’étudiante étaient également soufflés par cette nouvelle. « Je ne pensais pas qu’elle était allée jusque-là, lance la grand-mère de Vanessa. Elle a été influencée. »
Avec la collaboration de l’Agence QMI


REF.:

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc !

Montréal - Les indignés de retour
Les indignés du mouvement «Occupons Montréal» s’installent à nouveau au square Victoria. 
©ELIZABETH LAPLANTE/AGENCE QMI
Après occupons wall street ,........................................

Les indignés de retour


L'Espagne reviens après 1 an,avec sont mouvement de contestation du chômage et de la crise économique.80 villes d'Espagne y participe !

MONTRÉAL – Les indignés du mouvement « Occupons Montréal » étaient de retour au square Victoria, samedi, à Montréal. Dès 9 h, ils se sont à nouveau installés à l'endroit même où ils s'étaient réunis pendant plusieurs semaines, l'automne dernier, pour dénoncer les injustices du système capitaliste.
En milieu d'après-midi, ils étaient près de 150 personnes à avoir répondu à l'appel. Au programme : quatre jours de mobilisation intensive, du 12 au 15 mai.

À LIRE ÉGALEMENT:
Journée mondiale d'action
«On vit une mobilisation sans précédent et ce qu'on veut, c'est élargir la cause étudiante aux autres luttes sociales», a expliqué Carminda Mac Lorin, du collectif Journées d'actions populaires pour un printemps érable et global (JAPPEL). Selon Mme Mac Lorin, qui a participé à chaque journée de mobilisation d'Occupons Montréal à l'automne dernier, il n'est pas impossible que le mouvement s'étale sur plus de quatre jours. « Les gens qui sont ici sont indignés et assez créatifs […] Je ne peux pas vous dire ce qui va se passer, mais que ce soit ici ou d'autres façons, il y aura de la mobilisation », a-t-elle affirmé.
«On l'espère», ont pour leur part indiqué Alain Mignault et Francine Nadal, qui après avoir participé à Occupons Montréal à l'automne, souhaitent que cette nouvelle mobilisation s'étirera durant plusieurs jours.
Outre des tables, des réserves de nourriture et plusieurs affiches installées un peu partout, aucun campement n'était encore apparent, vers 16 h 30, au square Victoria. Sur les réseaux sociaux, les organisateurs sollicitaient l'aide de la population pour se doter de tables, chaises, sacs de couchage et matériel pour prodiguer des premiers soins, entre autres choses.
D'ailleurs, parmi les gens rassemblés en matinée, Sylvie était responsable des premiers soins. Secouriste de formation, il s'agit de sa première expérience à Occupons Montréal. La dernière fois, «je l'avais suivi à distance. Là, j'ai décidé de sortir de derrière mon clavier», a-t-elle dit.
En novembre dernier, la Ville de Montréal avait exigé le démantèlement des abris permanents qui avaient été construits sur le site. Les contestataires avaient peu à peu quitté le square Victoria pour l'hiver, se promettant de revenir au printemps.
Questionnée au sujet du lien établi jusqu'à présent avec la Ville de Montréal et les policiers, Mme Mac Lorin a indiqué qu'elle avait reçu un appel très courtois de la Ville en début de semaine, afin de savoir ce qui se préparait.
Quant à la police, la jeune femme a indiqué que «la dernière fois, ça c'était bien passé avec la police. Là, la conjoncture est différente donc on verra bien.»
Nouvelle réglementation
Le 27 janvier dernier, soit peu de temps après le démantèlement du campement au square Victoria, une nouvelle règlementation a été adoptée par la Ville de Montréal.
Ce règlement sur la prévention des incendies prévoit que les tentes doivent être homologuées selon le Laboratoire des Assureurs du Canada (UCL) et les appareils de cuisson de même.
Rejoint par téléphone, le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) a indiqué que des agents se sont rendus au square Victoria samedi afin de vérifier les installations du mouvement Occupons Montréal.
«Pour l'instant, il n'y a pas de tentes ou d'appareils de chauffage donc on va suivre le déroulement durant la fin de semaine et on va se prononcer plus officiellement lundi», a souligné Julie Gascon, chargée de communication au SIM.


REF.:

CIBC: Chute d'au moins 10% du marché immobilier d'ici 2013

L’immobilier inquiète ?


Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.


REF.:

Le Canada,premier pays a abandonner la carte de crédit ?

Êtes-vous en burnout du crédit?

 par: - 10 mai 2012 Commençons-nous à « slaquer » sur la carte de crédit? Votre voisin a-t-il abandonné l’idée de s’acheter un château avec garage double, pour se rabattre sur un joli cottage, plus abordable?
Avons-nous enfin écouté les avertissements de Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, qui nous répète depuis des mois dans les médias qu’il faut cesser de s’endetter comme si demain n’existait pas?
Si c’est le cas, applaudissons notre retour sur terre.
Benjamin Tal, lui, pense que oui. L’économiste de la CIBC a publié un rapport dans lequel il explique qu’une « fatigue du crédit » commence à s’abattre sur le Canada.
Le crédit à la consommation a augmenté de seulement 2,3 % depuis un an. Il a même diminué en mars par rapport au mois précédent. C’est le rythme le plus faible depuis les années 1990. Tout ça, rappelons-le, avec des taux d’intérêt qui demeurent historiquement bas.
Le marché hypothécaire aussi ralentit. Le solde des prêts hypothécaires a augmenté de 6,3 % annuellement. Oui, ça demeure élevé. Mais c’est un rythme plus faible que la moyenne des deux dernières années (7,3 %). Et par rapport au mois dernier, l’augmentation est de 0,5 %. La plus faible depuis 2001, souligne Tal, qui n’hésite pas à donner une part du crédit à Mark Carney et à la Banque du Canada pour avoir martelé leur message de prudence.
Il était temps
Un passage de l’étude m’a fait sursauter. Imaginez : pour la première fois depuis 2002, le crédit à la consommation au Canada augmente plus lentement qu’aux États-Unis.
Attendez… la première fois depuis 2002? Nous, Canadiens, avons été encore plus accrocs au crédit que nos voisins Américains depuis tout ce temps?
Oui. Contrairement à la perception populaire, nous dit l’économiste, le crédit à la consommation au Canada a augmenté deux fois plus vite qu’aux États-Unis durant la dernière décennie. Suite à la crise, alors que ce recours au crédit ralentissait aux États-Unis et sombrait même en territoire négatif, il continuait d’augmenter au Canada. Et même à accélérer! Aujourd’hui, les rôles s’inversent. La consommation à crédit augmente chez nos voisins du sud, et ralentit au Canada.
L’immobilier inquiète
Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.

REF.: