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vendredi 3 juin 2011

Le Ministre Fournier = Fou et nier, "On n'est pas obligé de dire que le jugement est la vérité absolue"

Justice

Le ministre bombardé





La décision fort controversée du juge James Brunton de libérer 31 membres ou associés des Hells Angels, mardi, a donné lieu à un débat enflammé à l'Assemblée nationale, hier, où le ministre de la justice a dû essuyer des salves bien senties qui venaient de ses adversaires.

À LIRE ÉGALEMENT:
31 Hells relâchés dans la nature


Tant la chef péquiste Pauline Marois que les critiques en matière de justice des partis d'opposition se sont relayés pour questionner le ministre Jean-Marc Fournier quant à la gestion de la justice au Québec
On ne s'est pas gêné pour accuser le gouvernement de vouloir faire dérailler «le plus important procès criminel de l'histoire du Québec».
Dans un jugement bien étoffé, le juge Brunton estimait, essentiellement, que la tâche était si grosse pour juger certains présumés motards arrêtés dans la rafle anti-motards historique SharQc, en avril 2009, qu'il était impossible de tenir leur procès avant des années. Un délai jugé déraisonnable par le magistrat.
Le juge de la cour supérieure a asséné de solides coups à Québec, reprochant d'avoir choisi d'accuser autant de gens (155 accusés) pour autant de crimes, sans s'assurer que les infrastructures étaient en place pour tenir de telles tribunes. Il manque des salles et des juges, notamment.
Improvisation
Il n'en fallait pas plus aux partis d'opposition pour sauter dans l'arène et décocher des tirs vers le ministre de la Justice et Procureur général Jean-Marc Fournier (voir tableau en page 6).
Pauline Marois a utilisé des mots lourds de sens pour qualifier cet échec du système : elle parlait d'un «jugement accablant», de «conséquences désastreuses », de «gâchis».
Sa collègue Véronique Hivon parlait d'«improvisation totale».
Le ministre Fournier a répondu timidement, risquant, notamment, une réponse qui mettait en doute le jugement: «On n'est pas obligé de dire que le jugement est la vérité absolue», a-t-il indiqué.
Grande déception et désaccord
Le ministre a indiqué sa «grande déception» et son «désaccord» face à ce jugement.
En fin de matinée, c'était au tour du directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), Me Louis Dionne, de réagir, pour la première fois, au jugement lors d'un point de presse.
Me Dionne s'est bien défendu d'avoir improvisé toute l'opération qui, selon lui, a été planifiée de longue date.
«Dès le départ, le DPCP considérait sérieusement l'impact et la gestion des accusations sur l'administration de la justice, et il était d'avis que tous les accusés pouvaient subir leur procès dans des délais raisonnables», a dit Me Dionne.
D'ailleurs, a-t-il expliqué, l'idée d'inclure, dans un même acte d'accusation, tous les accusés visait à traiter les requêtes préalables aux procès au même moment.
Toutefois, le plan de match du DPCP n'a pas été celui qui a été adopté par la cour.
Même le sénateur fédéral conservateur Pierre-Hugues Boisvenu a mis son grain de sel dans l'affaire, invitant le Québec à faire un «examen de conscience».

Poutine Ville ,quand la Poutine devient un met National


Poutine Ville - La poutine nouvelle!
N’ayons pas peur de le dire: Poutine Ville, situé près du métro Beaubien, réinvente littéralement le gras festin québécois. La Tour du Chapeau aux trois viandes.  
© Courtoisie
Poutine Ville

La poutine nouvelle!

MONTRÉAL - N’ayons pas peur de le dire: Poutine Ville réinvente littéralement le gras festin québécois. La poutine italienne, aux petits pois ou aux saucisses, on connaît, et justement, le petit nouveau de Rosemont pousse la note un peu plus loin.
Ici, on prend la poutine au sérieux et assurément jamais les visiteurs, même les plus grands adeptes du mets, ne se seront trouvés devant tant d’options avant de déguster le sacro-saint plat québécois.
En cochant des éléments sur la feuille que l’on nous remet à l’arrivée, on compose sa poutine. On choisit entre les frites classiques, les pommes de terre grelots ou les patates douces, on ajoute du fromage en grain, du brie, du suisse, du bleu, du chèvre, du feta, du fromage à nachos, ou toutes ces réponses (!), et on nappe d’une sauce classique, au vin rouge, au trois poivres ou à la viande.
On ajoute à cela un ou plusieurs légumes puis on complète avec des saucisses, du bacon, du poulet ou du faux filet haché et on obtient une poutine digne de Poutine Ville.
Comble du péché : on demande notre poutine gratinée! Et re-comble du péché, si on est courageux, on affronte La Crise cardiaque: 1,9 kg (5 lb) bien compté de frites, de viandes et de fromages pour 29 $, officiellement la plus grosse poutine en ville.
L’homme derrière le concept a les yeux brillants quand il est question du classique plat québécois. D’origine grecque, Kosta Kariotakis caressait un rêve depuis 10 ans : celui d’offrir les poutines originales qu’il inventait chez lui, à des clients. Il convainc son ami Tony, un chef qui travaille dans un resto italien de troquer les pâtes contre les patates et voilà : un nouveau venu au rayon du fast-food chic a désormais pignon sur rue coin Beaubien et de Lanaudière.
Poutine Ville a ouvert ses portes il y a quelques semaines à peine et Kosta, le « poutine-man » semble heureux, mais un brin dépassé par le succès de la place, envahie les vendredis et les samedis soirs par les familles et les jeunes du quartier. On sent que le décor, la musique et l’ambiance restent à définir. D’ailleurs, donnez vos suggestions: le sympathique Kosta ne cherche qu’à faire de Poutine Ville le meilleur endroit en ville!
Côté poutines, tout est question de goût et certains continueront à jeter leur dévolu sur les institutions montréalaises ayant fait leurs preuves. Mais grâce à ses aliments frais, à ses nombreuses options et à l’originalité des aliments offerts, gageons que Poutine Ville réussira à gagner le cœur de quelques Montréalais.
Poutine Ville
1348 Beaubien, Métro Beaubien
Comptez 7 $ pour une petite poutine classique et environ 12 $ pour une poutine «améliorée».

lundi 30 mai 2011

Voila ce qui arrive qu'en le C3S banalise les soins a domicile


CSSS - Liste d’attente pour l’aide aux personnes handicapées

© Shutterstock / Agence QMI

Liste d’attente pour l’aide aux personnes handicapées



MONTRÉAL – Des groupes engagés dans la promotion des intérêts des personnes à mobilité réduite décrient les listes d’attentes instaurées au Centre de santé et de services sociaux (CSSS) Lucille-Teasdale pour les personnes qui requièrent des services de soutien à domicile (SAD).
Le Regroupement des organismes de promotion de Montréal métropolitain (ROPMM) condamne fermement ce qu’il prétend être des réductions des services de travaux lourds.
Les personnes à mobilité réduite desservies par le CSSS bénéficient d’une aide pour effectuer l’entretien ménager à leur domicile.
Or, depuis quelques semaines, une quarantaine d’entre elles doivent faire face à une liste d’attente variant de deux semaines à cinq mois pour recevoir ce service, selon le niveau de priorité déterminé au CSSS Lucille-Teasdale.
«Nous craignons la contagion dans d’autres CSSS, lorsqu’ils réviseront leur panier de services», explique Mathieu Noël, agent de communications pour le ROPMM.
De leur côté, les représentants d’Ex aequo, un organisme montréalais qui se consacre à la défense des droits des personnes ayant une déficience motrice, appréhendent que ce remaniement soit le résultat d’un déficit au CSSS.
«Nous voudrions savoir jusqu’où iront ces coupures. Devons nous redouter la disparition des services de bains et des repas à domiciles», demande Marc-André Burelle Favron.
Cependant, les porte-paroles du CSSS concerné refusent de parler de coupures dans leur budget. «Ce remaniement s’étend à l’ensemble de l’île de Montréal et fait partie d’une révision de l’offre des services», affirme Pierrette Boivin, coordinatrice du CSSS Lucille-Teasdale.
Au ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) un discours similaire est tenu. «Selon nos échanges avec le centre, il n’est pas question d’une coupure dans les services, mais plutôt d’un ajustement à la demande proportionnelle à la population grandissante du secteur», assure Florent Tanlet, attaché de presse adjoint au MSSS.
Près de 8000 personnes sont desservies au CSSS Lucille-Teasdale selon leurs informations.


NOTA: pas de respect pour un attaché politique,nonnnnnnnnnnnnn, Merci,c'est de la foutaise au cube !

Hôpitaux: un temps d’attente moyen de 31 h 48


Patience dans les urgences






MONTRÉAL – Le temps d’attente moyen dans les urgences des hôpitaux québécois est de 17 h 36.
À Montréal, ce temps d’attente est de 20 h 13, selon des statistiques compilées par le quotidien «La Presse». Ces chiffres sont pratiquement les mêmes que l’an dernier. Sur 103 hôpitaux, seulement 35 réussissent à offrir des soins en moins de 12 heures.
Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, considère que la situation est stable et soutient que la cible de 12 heures d’attente en moyenne est toujours atteignable.
C’est l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, à Montréal, qui réalise la pire performance, avec un temps d’attente moyen de 31 h 48, même si celui-ci a baissé d’un peu plus de deux heures depuis l’an dernier. L’hôpital où l’attente moyenne à l’urgence est la moins élevée est le Centre Cloutier-du-Rivage, à Trois-Rivières, où les gens sont soignés après 4 h 36 d’attente.
Selon les données du ministère de la Santé, la fréquentation des hôpitaux de la province a augmenté de 3,5 % depuis l’an dernier, et la proportion de patients âgés de 75 ans et plus a augmenté de presque 6 %. 


REF.:

vendredi 27 mai 2011

Les spécialistes les mieux payés dans le secteur de la Santé


Santé | Rémunération - 57 médecins millionnaires
Les radiologistes sont les spécialistes les mieux payés et de loin. La très grande majorité des médecins millionnaires oeuvrent dans cette spécialité dont la moyenne salariale atteint près de 500 000 $.
© Agence QMI
Santé | Rémunération

57 médecins millionnaires,mais pas toujours ceux qui le mérite et qui sauve des vies

Le nombre de médecins millionnaires ne cesse de grandir au Québec. Pour la deuxième année de suite, le nombre de médecins qui ont touché plus d’un million a doublé dans la province.
À LIRE ÉGALEMENT:
VOTRE OPINION :
Selon les données de la RAMQ obtenues par leJournal, c’est 57 médecins qui ont touché plus d’un million $ en 2009-2010. L’année précédente, ils étaient 31 à franchir ce cap.
La très grande majorité de ces médecins sont des radiologistes. Dans leur cas, il faut calculer environ 70 % de leur salaire qui se retrouve en frais de cabinet (pour les autres médecins, ces frais sont en moyenne de 35 %). Malgré tout, quand on enlève les frais de cabinet, on compte encore 30 médecins millionnaires.
Parmi les 590 radiologistes du Québec, pas moins de 261 ont touché plus de 500 000 $. Dans ce groupe restreint, la moyenne salariale est de 745 296 $. En comparaison, la moyenne salariale de tous les médecins, y compris ceux qui travaillent à temps partiel, était de 195 896 $.
Trop payés ?
Le président de l’Association des radiologistes du Québec, Dr Frédéric Desjardins, reconnaît que ses membres touchent de bons salaires, mais il les défend.
« J’ai peut-être 100 radiologistes qui sont des hyperactifs. Ils ont travaillé pour (avoir leur salaire) », soutient-il.
Si le nombre de millionnaires ne cesse de progresser, c’est notamment en raison des hausses négociées avec le gouvernement en 2007 par la Fédération des médecins spécialistes. Depuis, les salaires ont pu augmenter d’environ 20 à 25 % pour ses membres.
« Est-ce trop payé ? C’est un jugement facile. Je suis convaincu que plein de spécialistes feraient plein d’argent eux aussi s’ils pouvaient le faire », soutient-il.
Le Dr Desjardins donne en exemple les chirurgiens qui sont souvent limités à une journée d’opération par semaine à cause du manque de personnel ou de salles d’opération. Cela a un impact sur leur salaire.
Accentué par la pénurie
Les radiologistes, eux, ont plus facilement accès aux plateaux techniques. Il n’est pas rare qu’ils puissent travailler entre 16 heures et 22 heures, ce qui n’est pas le cas de bien des chirurgiens.
Comme ils sont payés à l’acte, ils peuvent multiplier les examens et ainsi faire un salaire dépassant le million. Selon lui, tout ça est favorisé par la pénurie de radiologistes et le fait que le ministère de la Santé ne veut pas de listes d’attente trop longues pour les examens.
Les radiologistes sont vraiment dans un groupe à part puisqu’ils représentent plus du tiers des médecins qui gagnent un demimillion $ et plus. Ils sont suivis des ophtalmologistes qui sont 102 à toucher autant.
À l’opposé, 1 818 médecins ont facturé moins de 25 000 $ à la RAMQ. Il s’agit souvent de médecins qui ont pris leur retraite en cours d’année, qui ont eu un enfant ou qui remplissent uniquement des mandats très précis.
Du côté des médecins de famille, on n’en trouve aucun qui a fait plus d’un million. Une quarantaine sont tout de même parvenus à franchir la barre du demi-million $.
«Ce n’est pas juste» — Dr Paul Saba
La rémunération très élevée des radiologistes fait réagir d’autres médecins qui prônent une meilleure répartition des salaires.
C’est le cas du Dr Paul Saba de la Coalition des médecins pour la justice sociale. « Si vous avez le choix de gagner 150 000 $ ou un million $, même si vous n’êtes pas quelqu’un qui pense juste à l’argent, vous allez y penser deux fois. Ce n’est pas juste », dénonce-t-il.
Selon lui, il faudrait rééquilibrer la distribution de la rémunération entre les médecins. Il estime que les médecins de famille sont trop souvent laissés pour contre.
« Le problème dans notre système, c’est que les gens qui font beaucoup de procédures, d’examens techniques comme des scans sont beaucoup plus rémunérés que le médecin qui prend du temps avec une personne âgée », déplore-t-il.
Radiologistes avantagés
Tout en respectant le caractère essentiel du travail de ses collègues radiologistes, il estime qu’ils ont un avantage très important par rapport aux autres médecins. « On est payés pour les visites au chevet 30 $, mais il faut se déplacer. On n’est pas payés pour des réponses au téléphone. Un radiologiste, lui, peut avoir une image envoyée par Internet », soutient-il.
Conscient que les ressources financières de l’État ne sont pas sans fond, il croit qu’il faut mieux répartir les sommes pour les services médicaux effectués par les médecins.
Il croit aussi qu’on peut augmenter la rémunération des médecins en récupérant des sommes ailleurs. Il donne en exemple la prescription plus importante de médicaments génériques qui permettrait d’économiser beaucoup d’argent au Ministère.
En 2009, la moyenne de rémunération des omnipraticiens était de 196 786 $ contre 294 331 $ pour les médecins spécialistes.

Les spécialistes les mieux payés
Radiologie diagnostique: 494 229 $
Chirurgie cardiaque: 430 341 $
Ophtalmologie: 410 804 $
Urologie: 354 827 $
Anesthésiologie: 346 236 $
Source: RAMQ, SM.25, rémunération moyenne, 2009

jeudi 26 mai 2011

Les pharmacies(ciens) nous ont volées 50 millions de dollars


Fraude - Les pharmaciens doivent faire preuve de transparence
Le pharmacien Patrick Bélanger a été trouvé coupable d'avoir enfreint la déontologie en acceptant des rabais des compagnies pharmaceutiques entre 2000 et 2003.  
©Archives/Le Soleil de Châteauguay
Fraude

Les pharmaciens doivent faire preuve de transparence

CHÂTEAUGUAY - Des pharmaciens qui ont profité illégalement de ristournes au détriment du public, selon leur Ordre professionnel, ne pourront garder secrètes les sommes reçues comme ils le réclamaient au tribunal.
La pratique des rabais-volume a eu un effet sur le prix des médicaments et le public en paie le prix. «Peut-on cacher aux consommateurs l'ampleur du phénomène ?» a considéré en substance le Tribunal des professions, dans une décision rendue le 4 mai dernier.
Pour le pharmacien-propriétaire Patrick Bélanger, de Beauharnois, agissant en son nom comme requérant et en celui de 36 collègues, il s'agissait d'un deuxième échec de faire prononcer une ordonnance de non-publication à l'égard de ses pratiques d'affaires avec les compagnies pharmaceutiques.
Les 37 professionnels de la santé ont un point en commun. Ils ont tous été trouvés coupables par le Conseil de discipline de l'Ordre des pharmaciens d'avoir accepté des commissions ou autres avantages, comme des rabais sur le volume, de compagnies pharmaceutiques. Selon le Conseil, ces pratiques enfreignaient la déontologie en procurant au pharmacien «une rémunération à laquelle il n'a pas droit», au moment où elles avaient cours entre 2000 et 2003.
À l'époque, la rémunération du pharmacien devait se composer strictement d'honoraires prévus par la Régie de l'assurance-maladie du Québec (RAMQ) et du «Prix de vente garanti». Ce PVG devait être le plus bas possible du fabricant, selon la réglementation. L'argent des rabais aurait donc dû servir à baisser ce PVG payé au bout du compte par les contribuables, estime l'Ordre des pharmaciens.
Depuis, la loi a changé. Les ristournes sont autorisées, mais leur usage est encadré. Celles-ci doivent servir au public. Elles peuvent défrayer, par exemple, de la vaccination en pharmacie ou des programmes d'information sur une maladie.
Audition sur sanction
Les 37 pharmaciens concernés attendent maintenant l'audition sur sanction. C'est pour empêcher la divulgation par les médias, à cette étape, des sommes qu'ils ont reçues qu'ils ont réclamé une ordonnance de non-publication au Conseil de discipline de leur Ordre. Requête que le Conseil a rejetée et dont la décision a été confirmée par le Tribunal des professions. Les fautifs sont passibles de sanctions allant de la simple réprimande à la radiation en passant par les amendes.
Les pharmaciens entendent en appeler de leur culpabilité, geste qu'ils ne pourront poser qu'après l'audition sur sanction. Laquelle n'aurait pas lieu avant l'automne.
Des millions en jeu
Dès 1996, la Régie de l'assurance-maladie du Québec (RAMQ) a adressé des réclamations à des fabricants de médicaments génériques pour avoir consenti aux pharmaciens des cadeaux qui auraient pu servir à réduire les prix de leurs produits. Réclamations qui dépassaient 50 millions de dollars. La plupart ont été réglées hors cour et les montants récupérés sont demeurés confidentiels, selon la décision du Conseil de discipline de l'Ordre des pharmaciens à l'encontre de M. Bélanger.
Responsable des relations avec les médias à son établissement, Jean-Philippe Lambert a indiqué qu'il n'émettrait pas de commentaires. 

dimanche 22 mai 2011

Mauvaise surprise pour l'acheteur d'un véhicule




Sa voiture est saisie pour amendes impayées - Mauvaise surprise pour l'acheteur d'un véhicule
Christian Veilleux est furieux de devoir payer les amendes de l’ancien propriétaire de l’une de ses voitures. 
© Reynaldo Marquez/Agence QMI


Nouveaux propriétaires de véhicules usagés, attention. Un huissier pourrait saisir votre auto pour les amendes restées impayées par l'ancien propriétaire.
VOTRE OPINION :
C'est ce qui est arrivé à Christian Veilleux, un résident de l'arrondissement de La Salle, au sud-ouest de Montréal, plus tôt cette semaine.
Depuis, il fulmine contre cette saisie qu'il estime abusive et qu'il entend contester vigoureusement devant les tribunaux, dit-il.
«J'en reviens pas, je suis légalement le nouveau propriétaire d'une auto, mais ils me demandent quand même de payer les amendes des autres pour la récupérer», tonne-t-il, incrédule.
Christian Veilleux est le président de Groupe Veilleux, une entreprise spécialisée en signalisation routière.
«C'est nous qui installons les panneaux et les gros cônes orange et blanc pour sécuriser les chantiers de construction sur les autoroutes», explique-t-il.
Une plaque «collée»
En avril dernier, cet entrepreneur de 37 ans a acheté une flotte de quatre véhicules à l'un de ses concurrents, Signa-Québec.
Le transfert de propriété et le changement de plaques d'immatriculation ont été effectués avec succès, lundi dernier, auprès de la SAAQ.
Or, l'ancien propriétaire a laissé sa plaque sur l'un des véhicules, parce qu'elle était «complètement collée» au pare-chocs arrière, en raison de la rouille.
En attendant de prendre le temps de bien la retirer, Christian Veilleux l'a recouverte d'un sac à ordures noir pour la camoufler.
Se croyant à l'abri des soucis, il ne comptait pas sur la vigilance des huissiers de justice qui ont saisi son auto, mercredi dernier.
Voiture saisie
« u moment de recevoir le jugement de la Cour municipale, l’auto appartenait encore à l’ex-propriétaire. Nous l’avons donc saisie», explique l’huissier, Luc Valade, de chez Valade & Associés.
«Les choses auraient été différentes s’il avait retiré l’ancienne plaque», a-t-il ajouté.
C’est que Signa-Québec, qui n’a pas rappelé leJournal, doit encore 1 300 $ en amendes impayées, a-t-on appris.
«Moi, je n’étais pas au courant, sinon je n’aurais pas acheté l’auto», affirme Christian Veilleux. Il prévoit perdre 8 000 $ en revenus d’affaires, en raison de la saisie.
L’entrepreneur déplore l’absence d’un registre indiquant le montant d’amendes dues par les anciens propriétaires d’un véhicule usagé.
Si les acheteurs peuvent savoir si une hypothèque grève une auto de seconde main, ils ne disposent d’aucune information sur les amendes dues par les anciens propriétaires.
«Peut-être qu’un jour la loi changera, mais pour le moment, c’est comme ça que ça marche», affirme le président de la Chambre des huissiers de justice du Québec, Louis-Raymond Maranda.



*je dirais comme non hein on parle d’une patente unique puis un registre la c’est mon argent qui par encore au vent pour rien .Je voie rien de compliquer c’est d’aller voir l ancien propriétaire du véhicule il doit bien avoir encore un permis de conduire lui ben c’est juste de prendre le permis a la place pas sur que le monsieur va être content de retournez son permis Si l’autre a réussi a passer a la SAAQ pour transférer le véhicule trouver l’erreur ???


REF.: